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5 aveux trouvés
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Yaholim, 19 ans, Lille
Les vacances... Quelle magnifique invention que ce concept... si si, c'est franchement fabuleux.
On s'y sent bien, paisibles, libérés de toutes responsabilités.
Les cours approchent, les responsabilités reviennent, mais pourtant des séquelles de vacances restent !
Pour aller en cours j'ai eu besoin comme la plupart des gens de mon âge d'aller à Transpole pour remplir des papiers afin de recevoir la divine carte de transport illimitée !!!
C'était géniaaaal !
Quoi qu'il en soit, la manoeuvre d'inscription à transpole se passe sans encombre (si ce n'est un couple et deux mémés qui s'engueulent pour une histoire de file d'attente).

Je donne tous mes papiers au monsieur, ce dernier m'en donne un autre qui me force à sortir du rang; après l'avoir rempli, j'y écrit mon RIB (deux fois) puis je lui rend (après 15 autres minutes de queue au milieu d'une dispute qui s'est maintenant généralisée à toute l'assemblée), je donne tout ce que j'ai au monsieur et celui-ci me redonne mon RIB m'assurant qu'ils n'en ont pas besoin, (à ce moment je m'en suis voulu de ne pas avoir noté le RIB d'un autre sur le papier) puis je suis rentré chez moi (les gens s'étaient calmés après le départ des mémés).
Trois jours plus tard, je me fais disputer par transpole, apparemment je ne leur aurais pas donné le RIB !
J'y retourne donc après le deuxième coup de fil.
Bien sûr, vacances oblige, je me lève à 16h après une nuit passée à dessiner. Je glandouille un peu pendant ma "matinée" puis je pars en trombe de peur d'arriver là bas après la fermeture, j'attrape donc mon sac et je me dépêche d'attraper le premier bus qui passe...
Arrivé là bas, encore plus de monde que la dernière fois, facilement le triple ! Avec pour la première fois 4 guichets ouverts !
Bon je prends une file et j'attends, après la première demi heure d'attente, je panique et je passe un coup de fil à un ami... puis je range mon portable dans mon sac...
Je décide de prendre le journal qu'on m'avait enfoncé dans le ventre en arrivant au métro et que j'avais plié dans mon sac...
C'est là que c'est arrivé, j'étais au beau milieu de 4 files d'attentes, qui débordaient jusqu'à la porte d'entrée !
J'ouvre le journal et devant tous les gens qui me regardaient, moi le gars qui allait lire en faisant la queue, un slip tombe du papier et se fracasse sur le sol !
Oui, bon, le weekend d'avant, on avait dormi chez un ami et je n'avais toujours pas vidé mon sac du linge sale qui le remplissait.
Je me suis donc retrouvé à faire la queue encore 15 bonnes minutes au milieu des regards d'une quarantaine de personnes qui me regardaient en souriant de temps à autre...
Je pense que le plus drôle pour eux tous a été le moment où j'ai du ramasser ce slip en me penchant à côté d'une fille qui a eu un léger sursaut en remarquant la présence d'un gars accroupi à ses pieds, un slip dans la main...

J'ai survécu à cette histoire et je suis rentré chez moi.
J'avoue, il est 23h39 et le slip est encore dans mon sac.
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Yaholim, 18 ans, Lille
J'avais 9 ans...
Avec la petite famille nous étions dans le salon ; ma mère repassait le linge, je regardais la télé et ma soeur épiais un énorme bourdon tout pépère qui se laissait porter par les courants d'airs au dessus de nos têtes.
Ma soeur n'était vraiment pas rassurée, cet être bourdonnant attirait tellement son attention que bien évidemment, je n'ai pu m'empêcher de me moquer d'elle.

Je m'en souviens comme si c'était hier...

Ma mère me réprimandait un peu, apparemment je ne devais pas me moquer de ma soeur, car moi aussi j'avais peur des bourdons !
Je me souviens que blessé dans mon orgueil d'enfant je me suis écrié : " Moi j'ai même pas peur des bourdons !".
Et c'est à ce moment-là que sortant de sa tranquillité en altitude, le bourdon m'a foncé dessus jusqu'à se cogner sur mon nez.
J'avais l'impression qu'une balle de tennis m'attaquait ! Je me souviens encore avoir crié, terrifié que j'étais...

Cette terrible aventure est encore un sujet de plaisanterie au sein de ma famille.
J'avoue que ça me fait sourire quand je les revois tous se marrer en me pointant du doigt.
Et j'avoue que maintenant j'évite de rouler des mécaniques devant les bourdons qui passent...
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Yaholim, 18 ans, Lille
J'avoue passer des heures et des heures à lire les blogs d'adolescents déprimés, amoureux ou les deux.
J'avoue qu'ils me font rire chaque fois.
J'avoue que plus l'auteur va mal et plus je ris.
J'avoue tellement m'y connaître que je peux prévoir chaque fois ce que chaque ado va écrire.
J'avoue avoir gardé quelques phrases que j'appelle des "collectors" (j'avoue que c'est une amie qui a utilisé ce terme en premier).
J'avoue lire ces phrases à tous ceux que ça pourrait intéresser pour rire encore plus.
J'avoue être extrêmement déçu quand mes amis ont de la compassion pour ces gens.
J'avoue que je rêverais de faire un blog comme les leur pour pouvoir rire des gens qui mettent des messages de réconfort.
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Yaholim, 18 ans, Lille
J’avoue que je trouve les aveux de Calamity-gêne extrêmement drôles, et que même parfois, en les lisant avec la B.O. de Little Miss Sunshine en fond sonore ils auront su m’arracher au moins les prémices d’une larme pleine d’émotions !
J’avoue que je rêverais de créer un scénario avec un aussi grand personnage qu’elle et en faire un film !
J’avoue qu’après avoir lu tous ses aveux je me suis exclamé « ce site est génial ! » alors que tout le monde dort chez moi.
J’avoue me retrouver dans beaucoup de ces aveux.

J’avoue avoir envie d’avouer toutes mes conneries de ces 18 années passées !
J’avoue avoir été fan des 2be3 sans jamais l’avouer quand j’étais gosse … les worlds aparts n’étaient pas mal non plus…
J’avoue qu’en ce moment j’écris en me dandinant au rythme de super freak … She's Alright !!!

Allez j’ose ! J’avoue, quand j’étais môme, c’est moi qui ai aspiré accidentellement le hamster de ma voisine alors que je l’aidais à nettoyer la cage. Ahhh ! J’avoue que ça fait un bien fou d’avouer l’inavouable ! J’avoue ne m’être jamais dénoncé même quand son père l’a engueulé en hurlant comme un goret à l’abattoir…
J’avoue quand j’avais 9 ans… c’est moi qui ai eu l’idée de mettre ce pétard dans la bouche de la souris…J’avoue qu’après coup, c’est moi qui ai pleuré en premier.
J’avoue que quand mon chat s’est sauvé et que ma mère m’a donné du jambon pour aller l’appâter j’ai tout mangé à moi tout seul.
J’avoue que quand les gens me disent que je suis fou, je suis fier !
J’avoue que je hais tous les gens qui marchent dans la rue ! Ils prennent beaucoup trop de place !
J’avoue que je préfère la pluie au soleil, pour pouvoir enfin marcher avec toute la place que je veux autour de moi.
J’avoue ne jamais jeter la moindre chose à terre, biodégradable ou non… j’avoue que c’est plus par maniaquerie que par souci pour l’environnement.
J’avoue que je contribue à la destruction de la planète en injectant des tonnes de produit antimoustiques dans l’atmosphère chaque année.

J’avoue avoir déjà attendu dans la cuisine que quelqu’un glisse sur la petite voiture que j’avais placé dans l’escalier. J’avoue avoir été déçu quand mon père m’a dit d’aller la ranger avant que ça ne tue quelqu’un...

J’avoue avoir fait exprès d’écraser les pétunias de mon papa après qu’il ai refusé que j’invite un copain à jouer chez moi après l’école.
J’avoue que je suis responsable d’un génocide fourmilié... élargissons plutôt le génocide à la catégorie des insectes en général... Pour les petits animaux, nous ne parlerons que de meurtres en série. Par contre pour la poule, là il s’agissait vraiment d’un accident !
J’avoue qu’en fait je suis humain et que maintenant j’ai besoin de dormir.

J’avoue qu’il était fort plaisant d’avouer tout ça... Mais j’avoue aussi que ce n’était qu’un début.
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Yaholim, 18 ans, Lille
J’ai un ami qui vit avec sa mère, ils viennent d’emménager dans l’appart’ juste derrière chez eux qui est la copie conforme du leur.
Nous séchions les cours lui et moi quand nous sommes arrivés dans son nouvel appart’ ce jour là... une sorte de capharnaüm où prolifèrent cartons et planches en tous genres... Sa mère était là entrain de nettoyer et déballer certaines affaires et elle a émit un regret par rapport à leur ancien logement : il y avait en effet un miroir collé sur la porte de leur ancienne salle de bain… Elle demandait donc à son fils s’il était possible d’échanger discrètement ces portes …

C’est ainsi qu’en pleine après midi je me suis retrouvé embringué dans une histoire de vol de porte d’appartement !
Nous sommes donc allé à cet appartement puis nous avons élaboré un plan machiavélique totalement improvisé :
Il restait de la moquette sur les lieux, nous l’avons prise puis avons caché la porte dedans comme une feuille de salade dans un sandwich. C’est à dire que la porte dépassait d’au moins 20 cm et qu’on pouvait voir les poignées !
Nous sommes ensuite descendus par l’escalier en faisant un boucan extrêmement discret (j’avoue avoir fait tout ce bruit exprès pour qu’on se fasse prendre par le concierge), nous sommes ensuite passé en pleine journée en pleine rue jusqu’à l’autre appart, puis nous avons amené la nouvelle porte pour remplacer la volée (une vielle femme nous a tenu la porte à l’entrée pour qu’on puisse passer, merci à elle d’avoir été complice de notre forfait !).
J’ai beaucoup ri quand dans l’ancien appartement, la porte ne se fermait pas ! Elle était trop grande ! Et j’avoue avoir pris beaucoup de plaisir à tout ça et surtout à regarder mon ami poncer le bord de cette porte pendant des heures jusqu’à ce qu’elle puisse rentrer dans ses gonds !
Tiens tant que j’y pense... j’avoue que je déteste... Non... je hais l’odeur de cigarette qui plane sans cesse dans ces deux appartements !
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