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Clémence, 33 ans, Strasbourg
J'avoue que depuis que j'ai fait ta rencontre en vacances, je ne fais que penser à toi...
Oui, j'ai deux enfants et je suis mariée.
Ton regard, ta façon de parler, de bouger... J'aime tout en toi. On ne se reverra certainement jamais mais je rêve d'une nuit d'amour à tes côtés !
Pépito, si tu te reconnais...
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Lastrasbourgeoise, 34 ans, Strasbourg
J'avoue, ça fait 10 ans que nous avons eu une histoire...
J'étais en couple, toi non.
J'avoue qu'il n'y a pas un jour sans que je ne pense à toi.
M., j'aimerais tellement te revoir...
Fais-moi signe.
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Jembluk, 35 ans, Rembang
J'ai regardé le téléphone de mon mari. Au début, c'était par coïncidence, mais j'ai découvert qu'il s'envoyait des messages avec son ex, des messages avec des cœurs et des phrases du genre "tu me manques". Depuis ce jour-là, je regarde de temps en temps ses messages.
Il est abonné à beaucoup de filles dénudées sur Instagram, Telegram, etc., et il leur envoie des messages privés pour admirer leurs corps et échanger des messages coquins.
Je ne peux rien dire, car si j'en parle, il va me reprocher d'avoir regardé son téléphone. J'avoue que ça me fait mal et ça me fait peur. J'ai peur qu'il la voie, car certaines lui répondent et lui donnent même des détails comme la ville où elles habitent.
L'année dernière, j'ai trouvé un message (et cette fois, c'était sans le vouloir, car on a une tablette partagée). Il parlait à son ex et lui disait qu'il allait divorcer. Il a ajouté que s'il restait avec moi, c'était juste pour notre enfant.
Je ne comprends pas du tout, car il m'avait dit qu'il m'aimait et qu'il avait hâte de me voir (à l'époque, j'étais en vacances à l'étranger pour voir mes parents).
J'ai vu les messages "en live", il était en train d'écrire à son ex. J'ai vu les messages défiler. Je suis brisée.
J'ai appelé pour lui demander ce qu'il en était, mais il m'a dit que non, il ne voulait pas divorcer, etc.
Je suis revenue en France, il ne voulait pas en parler et il a agi comme si c'était de ma faute, comme si c'était moi qui voulais divorcer au fond de moi.
On a laissé couler le problème, on n'en a plus parlé. J'ai gardé la douleur pour moi. J'essaie de m'améliorer, mais quand je pense encore à ce qu'il m'a fait, je suis toujours dégoûtée par lui et parfois je n'arrive même pas à rester dans la même pièce que lui.
Aujourd'hui, on regardait son téléphone ensemble pour le travail, et encore ! Des messages reçus de son ex.
J'ai pris son téléphone des mains et j'ai lu ses messages. Ils continuent à s'envoyer des messages. Les phrases sont normales, mais les émojis avec des bisous et des cœurs sont là. Je suppose qu'il a effacé certains messages précédents, car d'après leurs phrases, je sens que ce n'est pas la première fois.
Elle a écrit : "Si on se voit, tu vas me faire la bise ou deux bisous sur la joue ?"
Il a répondu : "Je ne sais pas, et toi ?"
Elle a répondu : "Je suis timide. ❤️❤️❤️"
Lui : "Ah bon ? ❤️❤️❤️"

Je n'ai rien dit. J'ai donné son téléphone et je suis partie.
Il m'a envoyé un message plus tard, me reprochant : "De toute façon, tu veux vendre la maison, tu veux déménager, etc."
À aucun moment je n'ai pensé à ça, encore moins en parler.
Je lui ai expliqué calmement que ça ne se fait pas, dans un couple marié, de s'envoyer ce genre de messages.
Mais pour lui, il n'a rien à se reprocher.

J'avoue, je ne sais pas à qui en parler.
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Starlightchat, 24 ans, Paris
J'avoue que je viens de renter chez mes parents dans la banlieue Parisienne. Il faut savoir que je m'entraîne depuis plusieurs années à la boxe thaïlandaise et que je vais effectuer un combat dans peu de temps. Aussi, en fin d'après-midi, après avoir bu une tasse de thé avec mes parents, je décide d'aller me promener pour me calmer mes nerfs. Mon prochain combat m'angoisse un peu, car je ne suis pas sûr de pouvoir battre mon adversaire. Je marche donc une bonne heure, et c'est là qu'au détour d'une rue, je tombe sur ce qui s'apparente à un salon de massage thaïlandais.

Après réflexion, je me dis que cela me fera le plus grand bien. Je rentre donc dans le salon de massage, sans m'attendre à grand-chose. Je tombe alors sur une dame qui devait avoir la cinquantaine et qui me tend une brochure avec plusieurs options de massage. Après avoir fait mon choix, elle m'accompagne jusqu'à une chambre sans fenêtres, avec une lumière tamisée et une musique douce.

C'est là que j'ai commencé à comprendre qu'il y avait quelque-chose qui n'allait pas. Je n'avais jamais fait de massage au paravent, mais j'étais à peu près sûr qu'il n'y aurait pas dû y avoir de cœur sur les murs. Avec ce doute en tête, je me suis installé sur le lit sur le dos. Je précise que je n'avais que mon caleçon. La même dame est ensuite entrée, et a commencé à me masser le dos sans poser de questions. Elle m'a ensuite dit de me retourner, et c'est là que je me suis rendu compte qu'elle était en nuisette, mais qu'en plus elle n'avait pas de culotte. J'ai commencé à blêmir.
Je restai figé d'embarras, ne sachant pas quoi faire. La dame continuait à me masser, en commençant par mes pieds, mes jambes, puis mon ventre, jusqu'au moment où elle me fit un clin d'oeil et me demanda « Tu veux... » en indiquant mon pénis. D'abord je fis non de la tête, puis, après quelques minutes, j'ai finalement changé d'avis, aussi je lui ai fait signe que finalement j'étais partant. Après ce qui me sembla une éternité, la dame termina enfin son massage et se leva pour partir.

Je pus enfin me lever et me rhabiller, en essayant de ne pas montrer mon malaise. Je payai rapidement et sortis du salon de massage, en espérant que personne ne m'ait vu. Une fois dehors, je me suis sentis honteux et humilié. Je ne pouvais pas croire ce qui venait de se passer et me demandais comment j'allais faire face à cette situation. Je décidai de ne rien dire à personne et de continuer comme si de rien n'était. Mais à l'intérieur, je me sentais bouleversé et confus. Je me demandais pourquoi cela m'était arrivé et ce que cela signifiait pour moi. C'est comme ça que je termine sur ce site, car il fallait que j'en parle à quelqu'un, mais impossible d'en parler à mes proches, j'ai trop honte pour ça.
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Omelette, 26 ans, Bruxelles
J'avoue, j'en ai marre de cette vie... encore !
Enfin, non, c'est pas vrai, j'aime ma vie, mais j'en ai marre, surtout du côté sentimental.
C'est tout le temps pareil : je vois un gars, il se montre très intéressé, je suis contente et je commence à ressentir quelque chose, je dis ce que je ressens, le gars a peur ou ne veut pas s'investir et, enfin, je me retrouve encore seule.
Pourquoi les personnes que je veux ne veulent-elles pas de moi ? C'est systématique. À croire que je suis maudite. Je suis en colère contre les hommes, j'ai l'impression qu'il faudrait un dictionnaire pour les décoder.
J'ai dit mes sentiments aujourd'hui à un gars avec qui je me voyais bien. Il m'a dit qu'il préférait rester ce qu'on est, car il ne veut pas s'investir dans une relation alors que ce con le fait déjà en soi ! Il me parle tous les jours, parle de moi à ses amis et à sa mère, se montre taquin, il rigole avec moi, mais non, encore une fois, tout est dans ma tête.
J'en ai marre que tout soit toujours dans ma tête...
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Banane, 35 ans, Lyon
J'avoue avoir trouvé mon autre, et c'est tellement énorme pour moi d'être dans cette satisfaction depuis ces années.
Toi aussi, tu l'as trouvé.
Mais alors, pourquoi ai-je la sensation qu'on a besoin de passer autant de temps ensemble ? On ne peut pas s'en empêcher. J'oublie tout pour venir te retrouver, je laisse tout en plan pour te voir rire à nos bêtises, comme deux gosses toujours partants pour sortir du cadre, jouer avec le feu, aller vers l'inédit. Tu en redemandes.
J'avoue, j'ai beau me raisonner, mais... je risquerais ma relation pour répondre à mes questions. Amitié fusionnelle ou réel désir ? Les deux m'iraient, j'aimerais juste que toi aussi, tu aies envie de savoir ce qui nous anime tant.
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Grenoblecentre, 50 ans, Grenoble
J'avoue avoir ouvert un compte Gleeden, mon fantasme une quinquagénaire de Chambéry mariée avec un mari candauliste. Très envie d'être le futur amant de Mme car mon fantasme est de baiser en étant vu, qui plus est par le mari. Trop bon rien que d'y penser.
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Pasla, 40 ans, Ain
J'avoue je suis une femme de 40 ans et qu'une autre femme de 34 ans d'une origine différente de la mienne, m'a avoué ces sentiments lors d'une soirée.
J'avoue que sur le moment, elle m'a dérouté car je n'ai rien vu venir ou plutôt je n'y ai pas prêté attention.
J'avoue qu'elle a tout d'une hétéro et qu'elle venait à peine de rompre avec son petit ami du moment avec qui elle est restée 3 mois seulement.
J'avoue que son ex n'a rien pour lui et qu'il n'est pas aimé de mon entourage.
J'avoue qu'en apprenant la nouvelle, je n'étais pas étonnée et j'étais même ravie de l'apprendre.
J'avoue que ce soir là, je lui ai proposé de la ramener en tout bien tout honneur sans arrière pensée.
J'avoue l'alcool aidant qu'elle m'a fait des avances pendant le trajet. J'ai alors posé ma main sur sa cuisse et elle s'est blottie contre moi.
J'avoue qu'à peine arrivée chez elle, on s'est embrassée passionnellement.
J'avoue lui avoir dis que j'avais envie d'elle.
J'avoue qu'on a fait l'amour plusieurs fois de suite dans la nuit et qu'on a recommencé au petit matin après n'avoir dormi que 3h.
J'avoue que j'étais sa première femme avec qui elle le faisait.
J'avoue que j'ai adoré et que je peux faire tout ce que je veux avec son corps.
J'avoue qu'elle est assez soumise et que ça me rend dingue d'elle.
J'avoue que j'ai tout le temps envi d'elle et que lorsqu'elle rentrera de voyage, je lui ferai l'amour très souvent.
J'avoue qu'à part le sexe, elle me plaît sur tous les points : intelligente, sensible, douce, naturelle, un soupçon de folie, une femme somptueusement belle à l'extérieur comme à l'intérieur.
J'avoue, je suis in love d'elle depuis cette fameuse soirée.
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Melle_printemps, 32 ans, Paris
J'avoue qu'il est 00h46 et qu'à nouveau, je ne dors pas. 10 putains d'années sont passées depuis notre séparation. Bientôt 8 ans que je suis avec quelqu'un d'autre, je l'aime ! ... mais putain, tu es toujours dans mes rêves !

J'avoue, notre dernier contact date d'il y a environ un an, suite à un décès. On ne s'est même pas revus, on a juste échangé par texto. Quelques mois après, je t'ai dit qu'il était temps pour moi d'avancer. Puis, j'ai reçu un lien vers AEDE avec comme accompagnement « Je t'embrasse ». Je n'ai pas répondu.
J'avoue qu'un an après, j'ai toujours l'impression de ramer. Je suis pacsée, on envisage un bébé.
J'avoue, je me questionne sur ma relation actuelle, à savoir s'il n'a pas plus de sentiments qu'il ne le dit pour une « amourette de collège »... Est-ce en lien avec mes propres questionnements ? Je projette ? Je me fais des idées ? Est-ce pour ça que je rêve à nouveau de LUI ?
J'avoue que le psy m'a fait réfléchir sur le bénéfice de laisser du doute dans cette histoire : pourquoi est-ce toujours aussi important pour moi, parfois au détriment du présent ? Eh bien, j'en sais rien. Bordel.

J'avoue, je ne sais pas, mais il fallait que ça sorte.
J'avoue, je vais avoir une sale tête pour le travail demain à force d'écrire sur javoue.com au lieu de dormir.
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Baiseur masqué, 52 ans, Paris
J'avoue que j'ai eu une aventure avec la mère d'un copain de classe de ma fille.
J'avoue que ça a commencé tout simplement par des balades, et puis un jour dans les bois, on s'est retrouvé collés.
J'avoue que c'était irréel quand elle m'a invité prendre le thé chez elle.
Sincèrement je ne pensais qu'il allait se passer quelque chose.
Il faut croire que je dois être un peu naïf.
On a baisé sur son canapé.
C'était une expérience hors du temps de la voir me chevaucher et de la remplir de moi.

J'avoue qu'on s'est revu plusieurs fois dans des bois, dans d'autres villes pour baiser.

Puis, tout s'est arrêté...

J'avoue que c'était vraiment bien.
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Lamarmotte, 35 ans, Paris
J'avoue que je suis amoureux de ma cheffe. Les séances hebdomadaires seul à seul, je savoure ces moments, en essayant de ne rien faire paraître.
Je sais que ce n'est pas une bonne idée, mais on ne choisit pas toujours.
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Pasla, 40 ans, Ain
J'avoue je suis une femme de 40 ans, bi mais avec une grande préférence pour les femmes.
J'avoue qu'une femme de 34 ans qui venait de quitter son petit ami, m'a clairement fait des avances auxquelles j'ai cédé.
J'avoue qu'elle m'a confessé que je suis sa première fois avec une femme.
J'avoue que ça m'a encore plus excité.
J'avoue qu'on l'a fait plusieurs fois dans la journée.
J'avoue que c'est devenu plus intense au fur et à mesure.
J'avoue que j'ai tout le temps envie d'elle dès que je la vois.
J'avoue que je lui ai dis je t'aime assez rapidement.
J'avoue que je pense avoir merder à l'annonce de ces mots.
J'avoue que ça va faire bientôt 3 semaines que je ne l'ai pas vu parce qu'on était toujours avec du monde.
J'avoue que quelques amis de nos entourages sont au courant.
J'avoue que je ne sais pas trop m'y prendre avec elle.
J'avoue que je commence à vouloir rompre cette relation.
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Kimono28, 53 ans, Vesoul
Ce matin, tu m'as fait attendre comme d'habitude mais peu importe, j'aurais patienté deux heures si nécessaire. On ne s'était pas vu en privé depuis longtemps et je constate avec satisfaction qu'on a repris les bons réflexes. Je t'ai trouvée magnifique, plus belle que jamais, quel bonheur ces quelques minutes avec toi. Comme souvent hélas, ce fut bien trop court mais c'est ainsi, je dois faire avec et je crois bien que dans une autre vie, toi et moi serions sans doute ensemble. C'est une belle histoire, ce qu'il y en a entre nous.
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Riverloverr, 25 ans, Réunion
J'ai l'impression de devenir la pire version de moi-même en ce moment. Je mens à tout le monde et surtout à moi-même. Je fais comme si tout allait bien mais au fond je suis mal. Je juge tout le monde dans ma tête et parfois je suis très méchante et égoïste. J'ai constamment envie d'attirer l'attention et je veux faire croire que tout se passe très bien dans ma vie. Je suis hypocrite, je ne dis pas ce que je pense réellement, j'ai l'habitude de parler dans le dos des gens pour plaire aux autres. Je cache ma vraie personnalité et je me cache derrière un ou plusieurs personnages. Je me déteste, j'aimerais tellement changer mais je n'arrive pas, je procrastine tout le temps.
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Renegade, 24 ans, Nimes
J'en ai marre et j'ai peur. J'avoue les personnes avec qui j'ai passé des années à leurs cotes et que j'ai laissé partir, me manquent.
J'avoue j'ai peur que ma situation ne s'améliore jamais. J'ai peur de ne pas retrouver des amis, de ne plus avoir de vie sociale, j'ai peur de la solitude, de l'éloignement.
J'ai peur de passer ma vie toute seule, de ne plus jamais oser faire confiance à un homme.
J'ai peur d'avoir toujours cette image des hommes, incapable de me soutenir et d'être à la hauteur.
J'avoue, j'ai peur de ne jamais oublier mon ex.
J'ai peur de ne pas être assez forte, de ne pas tenir, de ne pas y arriver.
Je ne veux pas être cette personne mais pourtant aujourd'hui je tends à l'être.
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Jinx, 44 ans, Metz
J'avoue qu'après notre première rencontre, je n'étais pas sereine à l'idée de travailler avec toi. Je te trouvais assez intimidant, froid, et peu enthousiaste à l'idée de m'avoir dans l'équipe...

J'avoue m'être trompée ! Tu es drôle, mais vraiment, à un point ! J'adore ton humour irrévérencieux, j'ai rarement autant ri de ma vie qu'avec toi.
Tu es prévenant et attentionné. J'ai remarqué tes efforts pour m'intégrer après que tu m'aies entendue dire à quel point mes anciens collègues me manquaient, et ça m'a beaucoup touché.
Ton côté râleur et bougon, brut de décoffrage, ne suffisent pas à cacher ton cœur en or et ta sensibilité.

J'avoue que tu as rebattu les cartes dès notre premier jour de travail ensemble et que c'est un bonheur de bosser avec quelqu'un avec qui je partage tellement de goûts.

J'avoue que quand nos collègues me disent qu'on est trop mignons tous les deux, que tu as changé depuis mon arrivée ou que je semble t'apaiser, ça me fait quelque chose.

J'avoue que je suis plus que sensible à ton sourire de fauve, à ton odeur, à la lumière dans ton regard quand tu me parles. J'adore quand tu t'assois près de moi, quand on se frôle par accident, quand tu me tapotes la tête en disant « elle est gentille » et que ta main reste une seconde de trop sur mes cheveux.

J'avoue, j'ai très, très envie de toi. Je ne peux qu'imaginer l'alchimie que nous avons déjà, transposée dans un lit. Ou sur ton bureau. Où tu veux, quand tu veux, autant que tu veux. Que ce soit sage, sale, fou, plein de tendresse ou très vilain, je suis certaine qu'on saurait se faire jouir à en perdre le souffle. Tu n'imagines pas combien de fois par jour je pense à ce que je te ferais si....

... si nous n'étions pas tous deux mariés et heureux dans nos vies de couple, si tu n'étais pas mon chef, si nous n'étions pas l'un comme l'autre des gens raisonnables et avant tout professionnels.

Alors j'avoue, je garde pour moi mes envies, je fais taire mes sentiments, et je me contente de mesurer la chance que j'ai de t'avoir, toi mon « mari de bureau » (comme te surnomme le mien), en tant qu'ami.

Et j'avoue n'avoir pas du tout hâte de venir dîner chez vous ce week-end, de peur que ne saute aux yeux de ceux qui partagent nos vies depuis si longtemps, ce que toi et moi faisons mine d'ignorer depuis toujours.
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Aldo, 49 ans, Toulouse
Il y a dix ans, j'avais avoué cela :

J'avoue que, lorsque j'ai appris que tu m'avais trompé avec ton collègue de bureau, à quelques mois de notre mariage, je suis tombé plus bas que tout. J'avoue que, lorsque je regarde les photos de notre mariage, je suis triste. Tu t'es mariée alors que tu en aimais un autre, et moi, je ne voyais rien.

Aujourd'hui, nous avons trois enfants magnifiques et je te trouve resplendissante, mais je suis malheureux. Tu m'as trompé il y a dix ans et pourtant je n'oublie pas, et je ne peux pas te pardonner non plus. J'avoue que je ne t'ai pas cru une seule seconde quand tu m'as dit que tu n'avais couché qu'une seule fois avec lui. Je me sens mal à cause de cette histoire. J'avoue que c'est lourd à porter et que tu ne le vois même pas. J'avoue que je t'aime autant que je te hais. Si un jour je te quitte, ce sera à cause de tout ça.

Aujourd'hui, dix ans plus tard, nous sommes à quelques jours de nos 20 ans de mariage et la douleur de ta tromperie est toujours là. J'avoue que je n'ai pas envie de célébrer ce qui, pour moi, représente le jour du mensonge. Avec le recul, je regrette de ne pas t'avoir quitté avant d'avoir eu des enfants. J'ai le sentiment d'être passé à côté de mon bonheur. Maintenant, je fais de mon mieux pour nos enfants, pour qu'ils deviennent les meilleurs possibles et qu'ils acquièrent le sens du respect de l'autre et de soi-même. Te quitter serait très difficile pour eux, alors je laisse grandir autant que possible la petite dernière avant de l'exposer à une éventuelle séparation. Personne n'y croirait si je te quittais maintenant, tellement l'écran de fumée est épais.

L'ironie du sort, c'est que, comme un signe du destin, je suis tombé amoureux d'une collègue de travail... moi aussi. Quel bonheur de sentir mon cœur battre si fort, de voir son sourire le matin, de parler avec elle, d'échanger des regards complices. Pourtant, il ne se passe rien entre nous, mais ses mots et ses yeux me disent "je t'aime", et c'est tellement agréable.

Il ne se passe rien, car elle aussi est en couple et elle aussi a été trompée. C'est pour cela qu'il ne se passe rien d'ailleurs : on se respecte et on respecte encore l'autre (pour combien de temps ?). Alors, cet amour inattendu m'aide à comprendre certaines choses : tu es tombée amoureuse de ton collègue, et je ne t'en veux pas pour ça. On ne contrôle pas ce sentiment-là, ça arrive sans prévenir et on ne peut pas lutter. Par contre, pour le mensonge, la partie de jambe en l'air et toutes ces moqueries devant une de tes copines qui savait que tu me trompais... je ne te pardonnerai jamais.

Des enfants merveilleux, pas de problème d'argent, une belle maison, le tableau est idéal et nos amis nous félicitent régulièrement pour cette relation de 20 ans. Et d'ailleurs, je me suis toujours dit que, malgré ma souffrance, j'étais bien avec toi. Et dans un sens, c'est plutôt vrai. Alors oui, j'ai tout pour être heureux, mais ce n'est pas le cas. Le pire, c'est que tu ne t'en rends même pas compte.

Si ma relation évolue avec J., je te quitterai, et ce, avant de me retrouver avec elle dans un lit. Je me respecte, je la respecte et je te respecterai jusqu'au bout, parce que tu es quand même une femme formidable et une super maman. Mais je suis toujours coupé en deux : une partie qui t'aime et l'autre qui te déteste. Malheureusement, cela fait quelques années que la deuxième partie empiète sur la première.

Moi aussi, j'ai droit au bonheur et je compte bien en profiter... mais probablement pas avec toi.
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St4r, 69 ans, Lyon
On avait cette histoire digne d'un compte de fée. La vie nous a mis des étoiles dans les yeux et le corps. C'était un rêve, magnifique. Honnêtement, tout était aligné pour nous.

Seulement, elle était là. Tu l'as gardé auprès de toi au cas où.

Alors j'avoue que cette ombre au tableau, ça brise un peu l'enchantement.

Je t'en veux toujours, et on ne pourra jamais recommencer le début de ce livre. Par ta faute. Tu as gâché un début si fort, si unique...

Dis-moi, combien de temps attendais-tu après nos appels pour vite la recontacter ? T'étais si fier de me dire qu'elle t'écrivait.
Parfois, j'avoue vouloir n'avoir jamais ouvert ce chapitre de nos vies.

Si dès l'envoûtement, tu te gardes cette fille de côté, où irons-nous ?
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Kaira, 25 ans, Orleans
J'avoue que depuis quelque temps que je suis inscrite sur deux sites de rencontres pour un plan d'un soir. Dont un qui est extraconjugal, libertin. J'ai de nombreux fantasme dont avoir un Daddy et une Mommy, que l'on me fouette très fort les fesses et le dos avec un fouet. Mais aussi que l'on m'appelle Baby et porter une couche, me comporter comme un bébé. Je suis surtout attirée par les personnes bien plus agées.
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Pas de pseudo, 45 ans, Sud
J'avoue que je fantasme sur ma voisine. J'avoue que sa poitrine y est pour beaucoup. J'avoue que je suis marié. Mais j'avoue que c'est plus fort que moi. J'avoue que dès que je peux la mater je ne me prive pas. Et j'avoue que parfois nos conversations sont parfois ambiguës et que ça m'excite beaucoup.
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Omelette, 25 ans, Bruxelles
J'avoue je comprend rien aux hommes.
Il s'est écoulé un an depuis la dernière fois que j'ai écris sur ce site. Et en moins d'un ans j'ai réussi à faire certaine chose que je souhaitais le plus : me faire des amis, vivre des expériences nouvelles, rire, apprendre,...
Mais les hommes vous restez un mystère pour moi ! J'ai enfin atteint le physique que j'avais avant ma relation toxique et malsaine. Je ne me considère toujours pas comme femme fatale mais bon je suis très loin d'être laide. Ça va peut être paraître superficiel de ma part mais pourquoi vous choisissez la meuf moche et chiante ? Non parce que je comprend pas
Vous préférez souffrir ? Je me suis rapproché d'un mec, il m'a fait penser qu'il m'aimait mais en fait c'est non parce que dès que j'ai osé dire que j'étais jalouse (en plus je ne le disais pas sérieusement à ce moment-là) il s'est refroidi et m'a repoussé et a sauté dans les bras d'une autre fille (qui je suis désolé est franchement laide et cucu la praline).
Je suis en colère contre vous messieurs. Car à chaque fois c'est comme ça. Il suffit que je montre un peu trop d'affection pour que vous ayez peur. C'est pas de la gentillesse qu'il faut avoir peur mais des affreuses manipulatrices.
Surtout que maintenant j'ai peur de mes sentiments. Il y a un nouveau mec qui me plaît mais maintenant j'ai peur. J'ai l'impression qu'il commence à faire la même chose (tout ça parce que j'ai dit qu'il me plaisait à une soirée romantique, je n'ai même pas dit je t'aime purée)
J'avoue que j'ai peur de le perdre et que j'ai l'impression que c'est le seul mec « bien » et mignon que je connaisse.
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Mimine, 40 ans, Paris
J'avoue que je n'irai plus au Monoprix.
La caisse automatique où il est impossible de payer avant qu'un agent vienne contrôler votre panier puis impossible de sortir dans scanner le ticket de caisse sous le contrôle du vigile.
J'avoue, adieu Monoprix !
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Etayune, 37 ans, Aix
J'avoue que j'ai emmené ma mère au Starbucks, le serveur lui a demandé quel est son prénom et ma mère a répondu "Désolé je suis mariée". J'avoue c'est la honte !
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Tais-toi quand tu parles et embrasse-moi, 39 ans, lyon, 49 ans, Lyon
Tais-toi quand tu parles et embrasse-moi, 49 ans, Lyon
- J'avoue qu'il y a maintenant 10 ans en 2013, j'écrivais sur ce site, ce que mon merveilleux kiné, beau mec, gentil et doux, me faisait comme massage.
- J'avoue qu'aujourd'hui encore, soit 10 ans plus tard nous sommes en 2023, je ne t'ai jamais oublié G. M.
- Ta voix me manque, ton beau sourire me manque, ta présence et ton charme fou me manque aussi.
- Tu étais si doux, toi le natif de l'été, comme moi.
- J'avoue que cette histoire inachevée me bouleverse encore, même si on a fait l'amour ensemble, on aurait dû prendre le temps et passer une nuit complète rien que tous les deux.
Un jour peut-être quand on sera plus vieux, on se retrouvera...
J'avoue que je t'ai goûté... et que j'ai kiffée J. H
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Lola, 31 ans, Châtellerault
J'avoue j'ai trompé mon mari c'était planifié...
J'avoue j'ai tellement aimé, découvrir un nouveau corps après 11 ans.
J'avoue je n'ai pas un seul regrets.
J'avoue que j'aimerais le refaire tous les jours.
J'avoue que si je continue je vais tomber amoureuse.
J'avoue que j'ai encore plein de choses à découvrir avec cet homme j'avoue que j'ai hate de le revoir.
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