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Usut, 32 ans, Namur
J'avoue qu'il y a des jours où je devrais rester au lit !
Je voyais déjà mal la journée, mon réveil qui sonne 15 min trop tard -le bus n'attend pas ! Je verse mon cacao dans le bol, y laisse la cuillère et avant d'y mettre le lait je bascule, oui oui sans le faire exprès, la cuillère vers le haut, ce qui fait levier -vous me suivez ?- et hop ! Tout le cacao étalé sur la table, dans le beurre, la confiture, le pain... Bon, je m'arme de patience en me disant qu'il est préférable que je me concentre pour nettoyer ces cochonneries que de commencer à m'énerver !
Je sors de la maison et y enferme mes clefs du bureau-> 30 min à attendre qu'un collègue n'arrive... L'ouvrier sonne : il est absent aujourd'hui le Con -il ne faut jamais leur dire à l'avance le job du lendemain- qui s'est tapé les livraisons au matin pendant 2h ? + le téléphone, ma copine qui me harcèle sur le portable -on s'était engueulé le veille- et plus rien à bouffer pour 12h dans le frigo !
Je me demande des jours ce que j'ai fait au bon dieu !
Je vous épargne mon après-midi...
Mais alors le soir... le summum !
Je rentre, me réconcilie avec mon amie -après 2h30 de discussion- on fait l'amour et là, au moment crucial, le plus attendu, le meilleur je lui dis : "Ola Céline..." et hop, elle s'arrête net ! Elle s'appelle Laurence !
Bon je retourne dormir moi !
-> Meilleur aveu 20/11/2006 Meilleur Aveu 20/11/2006 <-
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Usut, 31 ans, Namur
Samedi dernier, je suis allé chercher de l’argent au distributeur automatique. Il y a avait devant moi, une jeune fille, qui manifestement avait un problème avec sa carte. Ne voulant pas trop m’occuper de ce qui ne me regarde pas, et vu l’indélicatesse de la situation, je reste discret, mais la longueur de la situation me décide à lui proposé mon aide. Quand elle s’est retournée, il y a eu je ne sais quoi qui est passé par son visage, avec ses cheveux mi-longs, les 25 ans fait, un visage, un charme, elle portait un chemisier et un jean qui lui allait à merveille, j’étais déjà en train de m’imaginer caresser ses doux cheveux, de lui embrasser le cou, sa poitrine, son ventre, son entre-jambe, de la faire jouir en fait. Elle avait l’air un peu désespérée, seule, il y avait dans ses yeux de la tristesse, et un pétillance, une joie en se retournant vers moi… Elle était adorable ! et belle ! Comme si c’était la première fois que j’avais le coup de foudre et réciproquement. Vous voyez ? Extraordinaire, le femme de ma vie, la femme qui te rendra heureux, que tu n’as plus jamais envie de quitter, de lui faire l’amour, pas la « baiser » !
Je lui ai demandé où elle habitait et l’ai reconduite dans le centre ville après qu’elle me l’ai proposé.
Dans la voiture, un calme royale, je n’osais la toucher, mais je sentais qu’elle en mourrait d’envie. Ses jambes, légèrement écartée, s’offraient à moi sans vulgarité, ses mains bougeaient avec une légère sensualité sur son ventre, et dans son cou.
Et puis la raison est venue à moi, pourquoi le ferais-tu ? Tu n’es qu’un lâche ! Que penserai ta femme si elle le savait ? Pourrais-tu encore te regarder dans la glace ?
Elle s’est retournée et m’a regardé, j’ai mis ma main sur ses jambes qui se sont écartées de plus en plus, j’ai déboutonné son jean, elle a abaissé sa culotte, je l’ai caressée, et me suis arrêté sur le bord de la route. Je n’en pouvais plus, l’envie était trop forte, elle m’avait trop excité.
J’ai reculé les sièges à fond, et me suis présenté face à elle, j’ai défais son chemisier et me demande ce que j’ai fait avec son soutien, j’aurais voulu être en elle, la dévorer, la posséder. Je l’ai embrassé, doucement, son cou, ses épaules, ma main frôlait son clitoris, je voulais la connaître en entière le premier soir ! Comme elle était belle ! Je suis ensuite descendu sur son ventre plat, et lui ai léché son sexe, il était trempé, je l’entendais gémir, je lui aurais avalé tout son corps…
La première fois qu’elle a ouvert la bouche dans la voiture c’était pour me demandé de me retourner.
J’étais à peine assis qu’elle s’en est prise à mon sexe. Elle s’est empressée de défaire ma ceinture et mon jean, elle m’a caressé mon sexe, m’a léché le scrotum, elle a tourné sa langue autour de mon gland, elle à enfoncé mon pénis dans sa bouche en le faisant tourné avec des va et vient… Ohhh !!! Jamais je n’ai eu une fellation pareille… J’ai finis par jouir dans sa bouche avec mes mains dans ses cheveux qui lui montrait mon rythme…
Elle m’a regardé avec un sourire impérial, heureuse de m’avoir fait jouir comme ça… Quelle puissance d’émotion réciproque était en train de s’échanger entre nous…
J’aurais voulu l’emmener loin, tout quitter, tout laissé là et partir sans rien dire, sans rendre de compte à personne… La vie…
Je l’ai ensuite retournée sur son siège, me suis mis en face d’elle, je l’ai regardée… elle a écarté les jambes avec un regard envieux, je l’ai pénétrée doucement en la regardant, et toujours en la regardant je continuai mes allé-venues… au plus ça durait, au plus je la voyait s’évader dans l’autre monde… Je lui ai fait l’amour comme ça, tout doucement…
J’ai jouis en même temps qu’elle… en silence… sans rien dire… Avec la nette impression de n’avoir jamais été aussi loin dans la fusion avec une femme qu’avec elle…
Jamais je ne l’oublierais !!! Jamais !
Je ne sais même pas son prénom.
Elle est sortie de la voiture, on a voulu parler en même temps mais on n’a pas ouvert la bouche… Je suis sorti et l’ai serrée très fort dans mes bras…
Nous sommes tous les deux mariés, elle est du Périgord et a deux enfants. Je suis de Belgique, deux enfants également…
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