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Une autre, 30 ans, Rennes
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J'avoue nous avons eu une relation inoubliable - et dont l'évolution a pu être suivie ici. J'avoue, on en est arrivés au stade où c'est devenu fusionnel, où on a presque tout échangé, où on a presque tout partagé, on est passé à "faire l'amour".
J'avoue, j'ai découvert que tu cherchais désormais le réconfort dans d'autres bras que les miens. J'avoue c'est entrain de me tuer.
Tu m'as jeté au visage que de toute façon on n'était pas mariés. Je sais que quand ta "rencontre à venir" t'a posé la question tu as dit que tu ne l'étais pas. Bravo, t'es marié et t'as une maitresse mais tu viens dire que t'es célibataire, sur ce coup là t'as été un beau salaud.
Tout ce que je sais je le sais car tu n'as pas été forcément prudent concernant ta boite mail alors que tu sais pertinemment que j'y ai accès vu que la cloche que je suis s'occupe de t'aider dans ta recherche d'emploi.
J'avoue, réfléchis bien à ce que tu vas perdre, car quand tu l'auras perdu ça sera pour de bon, quoi que je tente de t'en dire pour essayer de te garder à moi.
J'avoue, un jour tu te réveilleras sans moi, dans les bras d'une autre qui ne te consolera pas, qui ne t'apaisera pas, qui ne te caressera pas les cheveux quand tu fais un cauchemar, qui ne t'écoutera pas parler pendant des heures et radoter toujours des mêmes choses, qui ne saura pas te donner un pull car tu gèles quand tu viens de prendre tes médocs, qui n'aura pas forcément la tête à parler cul ou à baiser à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit, qui ne te satisfera pas autant que moi, qui comme ta femme trouvera que tu pars un peu vite, qui sera plus longue à jouir que moi, qui n'acceptera pas la moitié de ce que j'accepte de toi, et ce jour là tu t'en mordras les doigts.
T'as voulu jouer, maintenant tu vas constater que tu n'es pas le seul, et que tu pourrais bien perdre.
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Une autre, 30 ans, Rennes
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J'avoue, notre relation continue toujours à tourner comme aux premiers jours, toujours aussi sensuelle et forte. J'avoue nous avons fait un plan à 3 il y a 15 jours, même si c'était moins fun que prévu car vous vous jaugiez avec "l'autre" et que ce crétin normalement très grande gueule a fait son timide.
J'avoue, c'est fusionnel entre nous, et nous avons à nouveau batifolé dans les bois, je garde même un souvenir merveilleux d'une escapade nocturne en ville, à batifoler derrière une haie où personne ne pouvait nous voir.
J'avoue, notre amour fraternel n'a cessé de grandir, de se déployer, de s'ancrer dans nos cœurs et c'est à la fois merveilleux et douloureux. J'avoue, j'ai vécu 1 mois H24 avec toi et malgré les coups durs nous en sommes sortis plus forts, plus proches, plus frère et sœur que jamais.
J'avoue, tu sais que je suis amoureuse de toi, tu sais que tu seras toujours dans mon cœur, tu sais que je ne peux pas me passer de toi, tu m'as écrit noir sur blanc que tu ne voulais plus me sortir de ta vie, tu m'as aussi répondu de vive voix "moi aussi" quand je t'ai dit "je t'aime fort".
J'avoue, ce mois passé avec toi a gravé quelque chose d'indélébile dans nos deux cœurs, un point de jonction unique entre toi et moi, une chose que personne ne pourra jamais nous enlever.
J'avoue, il y a cet homme vers lequel tu me pousses, pour qui je vibre gentiment parce qu'il est adorable, mais c'est encore trop tôt, chaque fibre de mon cœur et de mon corps ne tremble que pour toi, pour tout ce que tu m'apportes, pour la confiance que nous avons l'un envers l'autre. J'avoue, tu as mis de moins en moins de barrières et du coup nous nous sommes écorchés, tu m'as dit quand je te le faisais remarquer "on accepte tout de l'autre". On accepte l'autre comme il est, on se comprend enfin, et tu as enfin accepté de te reposer sur moi - tout comme moi j'ai appris à te connaitre et à percevoir les moments de solitude dont tu avais besoin. Le maitre mot entre toi et moi c'est confiance. J'avoue, je t'aime, je ne peux qu'apprendre à avancer un jour après l'autre, en essayant de garder à l'esprit que nous nous serions sans doute déchirés si nous avions été réellement ensemble, et que nous sommes plus proches ainsi que nous ne l'aurions jamais été...
J'avoue me poser une question... Être si bien quand on est tous les deux, se deviner, savoir se déchiffrer, jouir en même temps quasiment à chaque fois, savoir dormir ensemble sans batifoler, savoir se créer une bulle où nous n'existons que tous deux et dans laquelle nous baissons la garde... tout ça, est-ce que ça ne serait pas de l'amour, pur et simple, de ceux dont on rêve toute sa vie ?
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Une autre, 30 ans, Rennes
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J'avoue, notre relation passionnée s'est intensifiée et nous avons partagé des moments délicieux à chaque fois que l'occasion se présentait. J'avoue, l'un comme l'autre avons toujours envie de continuer à approfondir cet aspect de notre relation. J'avoue, nous partageons aussi de plus en plus de moments privilégiés et spéciaux ensemble. J'avoue que nous avons dormi ensemble, juste dormi, pour pouvoir se ressourcer ensemble, parce qu'à mes cotés tu t'apaises. J'avoue, il y a 3 jours nous avons discuté après avoir un peu bu, et j'ai fini par t'avouer que ça n'était pas 100% amitié de ma part. J'avoue que tu m'as avoué la même chose de ton coté, même si tu admets toi-même ne pas savoir comment ça se répartit dans ton cœur. J'avoue, le lendemain je t'ai dit que je n'avais pas suffisamment bu pour ne pas savoir ce que je disais, et tu m'as répondu avec un petit sourire "mais moi non plus".
J'avoue, j'ignore si quelque chose pourra se faire durablement entre nous, comme je te l'ai dit le fait qu'on puisse être ensemble ou pas ne changera rien à l'affection ni au désir que j'ai pour toi. J'avoue, tu m'as dit que tu avais commencé à te poser des questions sur la nature de tes sentiments le jour précis où notre amitié a été scellée pour de bon. J'avoue, tu voulais que je te demande si quelque chose était envisageable entre nous, j'avoue tu m'as dit que vu la situation non, et que si la situation évoluait c'était à réfléchir. J'avoue, tu es un fin stratège, je commence à te soupçonner d'avoir patiemment attendu que je me dévoile alors que tu savais déjà pertinemment ce que j'éprouvais pour toi. Je commence même à me dire que tu me parlais de cette autre fille pour me pousser à te parler.
J'avoue, tu as le don pour anticiper mes réactions, ce matin tu savais que je m'inquiétais pour toi, que j'avais de la peine, tu n'avais pas la possibilité de me parler directement comme c'est hélas souvent le cas. Je t'avais mis un message sur facebook hier, te rappelant que je suis là. Ce matin tu m'as juste répondu "je sais, frangine" - car c'est notre degré de proximité. J'étais en train de pleurer quand j'ai vu ça, j'ai vu que tu étais en ligne je t'ai juste dit que je me faisais un sang d'encre, je t'ai envoyé un sms te demandant comment ça allait, et tu m'as appelée. Tes premiers mots furent "je sais que tu te fais un sang d'encre", les suivants ont été pour t'excuser de ne pas avoir répondu à mon sms d'hier soir - un rituel un peu magique entre nous, juste un bisou avant de dormir. J'avoue je me suis jurée de te mentir le moins possible et de t'en cacher le moins possible alors je t'ai dit que je n'avais pas dormi et que j'avais pleuré parce que je m'inquiétais, et tu sais que c'est vrai.
J'avoue, je ne veux qu'une chose : refaire ma vie avec toi, et je sais aussi que ça ne se fera pas... mais j'aurai au moins eu le bonheur de savoir qu'il y a de l'amour entre toi et moi...
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Une autre, 30 ans, Rennes
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J'avoue ça fait 2 mois maintenant que nous entretenons cette relation terriblement indécente et passionnelle. J'avoue que par ailleurs l'amitié s'est muée en une relation forte et intense, que le sexe n'est que secondaire. J'avoue que notre dernière étreinte a été un moment inoubliable parmi tant d'autres. J'avoue que j'adore m'occuper de toi, j'adore te prendre dans ma bouche et je sais que tu aimes recevoir ces faveurs de ma part. J'avoue que ce week-end je t'ai fait tester le jouet "point G" que j'avais pris pour toi, et que j'ai encore des vapeurs au seul souvenir de toi... J'avoue je t'ai aussi dit que je m'interdisais d'éprouver d'autres choses pour toi, j'avoue aussi je sais que tu es parfaitement au courant de mon amour pour toi. J'avoue, cette relation ne durera pas je le sais, j'avoue aussi que dans 1 mois et demi ta femme devra avoir fait son choix, partir ou rester, j'avoue souhaiter de presque tout mon coeur qu'elle te revienne car je sais à quel point tu l'aimes, j'avoue qu'il y a aussi une part de moi qui voudrait qu'elle parte, elle t'a fait tant de mal, moi je ne veux que t'aimer et te rendre heureux. J'avoue qu'on a évoqué l'éventualité de se mettre ensemble. La réponse de ta part n'a pas été non, mais je sais que tu n'y penses pas vraiment. Je sais qu'on se ferait sans doute du mal.
J'avoue notre amitié restera la plus belle que nous vivrons sans doute jamais. J'avoue que dormir ensemble a été magique, quand je t'ai dit "j'aurais bien dormi avec toi" tu m'as répondu "je sais moi aussi" et ça m'a bouleversée car on commence à être en réelle harmonie. J'avoue, on vibre sur des fréquences de plus en plus semblables, quelque part je crois que ça commence à te faire peur toi aussi.
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Une autre, 30 ans, Rennes
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J'avoue que depuis ce fameux soir du 24 on ne pensait qu'à se revoir. J'avoue que le 30 j'ai fait 80 bornes pour te rejoindre et que je ne le regrette pas. J'avoue que j'ai eu tout juste le temps d’ôter mon manteau et mon sac, que déjà nos bouches se trouvaient, j'ai fini dans les 30 secondes agenouillée sur le carrelage, ton sexe au plus profond de ma bouche, les yeux rivés dans les tiens. J'avoue que j'ai adoré. J'avoue nous avons pris un café, histoire de, puis nous sommes partis dans la chambre. J'avoue avoir frémi sous tes coups de langue et joui sous tes doigts. J'avoue que décrire tout ce qui a eu lieu serait barbant. J'avoue avoir regretté que le latex te fasse débander, enfin juste le temps que tu m'attrapes pour un 69. J'avoue que tu m'as laissé venir nicher ma langue entre tes fesses et que c'etait juste torride. L'image de toi à 4 pattes, te masturbant pendant que ma langue te pénètre... J'en ai encore des frissons. J'avoue que tu as fini dans ma bouche et que tu m'as fait vivre une expérience inédite en m'embrassant à pleine bouche, venant goûter délicatement ma langue. J'avoue que ce seul souvenir m’émeut encore.
J'avoue que rapidement on a reparlé de tout ça, et que la question de "as tu pensé à moi quand tu étais avec ton "officiel" a vite été posée. J'avoue que tu savais que moi ça serait le cas mais j'avoue que quand tu m'as dit avoir pensé à notre 69 quand tu étais dans la même position avec elle ça m'a retournée. J'avoue qu'on s'est revus le vendredi d'après. On a manqué de temps, on s'est enfermés dans la salle de bains, tu as encore profité de ma bouche, j'étais aux anges, on a fini 3 minutes avant que mon mari n'arrive et c’était d'enfer.
Le soir il avait bu, on a rejoué ensemble, ivres du danger d'être surpris. J'avoue que la suite est plus dure, tu t'es endormi la tête sur ma cuisse, moi assise sur le canapé, et tu as dormi comme une souche, toi qui n'a presque plus de sommeil, et je t'ai trouvé beau, et j'ai compris que je t'aime. Le lendemain matin, avant que mon mari ne s'éveille, je t'ai réveillé avec ma langue, et tu étais ravi... Tu m'as même dit "si je pouvais me faire sucer tous les matins au réveil je signe tout de suite !" et tu as du sentir que ce commentaire m'avait fait mal - tu sais à quel point c'est difficile ces temps ci avec mon mari. J'avoue qu'on l'a envoyé chercher le petit déjeuner et qu'on en a profité - commencé dans la salle de bains, continué dans la chambre devant un porno, interrompus hélas. J'avoue que je t'ai allumé discrètement pendant le petit dej et que chaque regard était complice. J'avoue que le soir tu es venu chez nous avec ton fils et que chaque instant "volable" est devenu volé, et que j'ai découvert que la manière que tu as de te mordre la lèvre inférieure m'excite. J'avoue que le soir on a fait boire mon mari et que, munis de capotes plus fines, on a enfin pu baiser et que j'ai joui. J'avoue que tu as fini sur mon visage et que tu étais ravi et moi aussi. J'avoue que le lendemain matin je t'ai réveillé avec ma bouche la aussi, et qu'on s'est rendus compte tous deux qu'on s'attachait même aucun de nous n'a voulu l'admettre. J'avoue, chaque moment de la journée s'est passé ensemble, bouche contre bouche, même au moment de se séparer devant ta voiture. J'avoue je sais que rien ne pourrait durer si on se mettait réellement ensemble, que c'est une situation douloureuse, que ça se fait parce qu'on peut partager au moment opportun. J'avoue regretter quand même, j'avoue que tu fais vibrer mon corps mais aussi mon cœur malgré tous les obstacles, j'avoue avoir envie de plus avec toi en sachant que ça risquerait de tout gâcher...
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Une autre, 30 ans, Rennes
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J'avoue ça s'est succédé à toute allure. J'avoue qu'on a continué à échanger par sms et que ça devenait chaud. J'avoue qu'il a commencé à être question de réel et que c'était pas du délicat... J'avoue que le soir du réveillon tu as été bluffé de découvrir que je portais un porte jarretelles et des bas. J'avoue qu'à un moment on a échangé par message, je te disais que je ne voulais pas la charité, tu m'as répondu d'attendre qu'on soit seuls et que je verrais que c'était pas de la charité. J'avoue que j'étais allongée sur le lit à coté de ta "nana" (ton plan cul devrais je dire) et que tu es venu me parler et que tes mains se sont promenées et que j'ai adoré. J'avoue que plus tard à table je t'ai fait du pied et que ça t'a fait tripper et moi aussi. J'avoue que quand elle s'est endormie pour de bon et mon mari faisant de même dans le salon on s'est retrouvés seuls, à papoter, comme deux cons et que ça a dérapé très vite. J'avoue que tu m'as entrainée dans la salle de bains en me prenant par la main et que c'était le geste le plus érotique que j'ai vu ! J'avoue qu'on s'est enfermés dans la salle de bains et que je t'ai embrassé, tu as défait ton pantalon et tu as posé ta main sur mon épaule, j'avoue que tu n'as pas eu à insister pour que je me mette à genoux et que je te prenne dans ma bouche. J'avoue que je suis fière que mes talents t'aient plu car tu as joui rapidement toi qui est plutôt endurant en temps ordinaire. J'avoue que j'ai adoré et que toi aussi et qu'on en a reparlé. J'avoue que ce soir par sms on a évoqué ce qu'on voulait l'un de l'autre, ce qu'on attendait ou pas, ce qu'on cherchait. J'avoue qu'on est officiellement amants désormais, et que notre mot d'ordre c'est carpe diem. J'avoue on est aussi obsédés l'un que l'autre et on a plein de fantasmes en commun et que ça sera un grand kiff.
J'avoue tu as avoué que si on avait été célibataires tous les deux tu aurais envisagé qu'il se passe autre chose. J'avoue que cet aveu là m'a bouleversée...
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