2 aveux trouvés
Nous sommes sur la page 1 / 1
Tryskel, 20 ans, Paris
|
J'avoue qu'on est en juillet et que ce temps de merde, digne d'un mois d'octobre, me fait déprimer... et dire que c'est ça depuis la fin de mes cours, depuis le mois d'avril. J'avoue être de plus en plus impatiente de recevoir cette p*** de réponse de la fac dans laquelle je veux aller ! J'avoue être un peu stressée à l'idée qu'ils ne me prennent pas. L'avenir, questionnement incessant, doute qui m'angoisse plus le temps passe parce que j'ai l'impression que même si j'ai cette fameuse licence, mon avenir professionnel ne sera pas pour autant résolu. J'avoue que j'ai parfois l'impression d'être nulle comparé aux personnes de mon âge qui ont validé leur première année. J'avoue croire que je n'aurai jamais mon permis, que j'en suis à quasiment 40 h de conduite et que je ne suis vraiment pas prête. J'avoue désespérer. J'avoue aussi en avoir marre d'être bordélique et d'être dépassée pour des futilités d'ordre d'organisation. Paradoxalement je suis également maniaque, alalala ! J'avoue que ces trois mois avec toi sont magiques, me font vibrer, et que retomber amoureuse n'était pourtant pas chose aisée. Je suis comblée à tout point de vue et tu m'obsèdes. J'avoue ne pas réussir à te rassurer pour le mois d'août mais de mon côté, tout est clair, je t'aime, et tu as peur pour rien, tu restes sur des mauvais souvenirs qui t'ont fait souffrir. J'avoue avoir été très touchée quand tu m'as révelé les propos qu'elle avait eu et je me suis promis de ne jamais réagir comme elle. J'avoue avoir pas mal déconné, particulièrement jusqu'à ce que je te rencontre. On ne refait pas son passé, mais on décide de son avenir (tiens c'est ma nouvelle devise !) J'avoue qu'en ce moment, je ne tombe que sur des émissions où ils parlent de régimes, de dictature de la maigreur, de troubles alimentaires, d'anorexie... j'avoue que cela m'effraie de voir que notre société va dans ce sens. J'avoue que je ne pourrai jamais, volontairement, tomber là-dedans. Le premier pas vers la guérison c'est d'accepter, de voir en face sa maladie. J'avoue que ma mère est loin, et qu'elle ne me manque pas, seule la présence d'une mère me fait souffrir. Que ce manque fait de moi quelqu'un de vulnérable mais que je n'ai pas trouvé une personne pouvant la remplacer. J'avoue qu'avouer en toute sincérité, et en toute confidentialité fait vraiment du bien !
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
Tryskel, 20 ans, Paris
|
J'avoue que depuis la fin du mois d'avril, je ne sais pas réellement quoi faire, mis à part quelques allers/retours dans les facs parisiennes pour les inscriptions. J'avoue que j'ai quelques fois la désagréable sensation de me lever en n'ayant aucun but. J'ai même la flemme de voir mes potes, c'est dire... Seul mon chéri compte, mais il n'y pourtant pas que lui. J'avoue que même ma famille m'excède alors que mon père en fait beaucoup et qu'il ne bronche jamais. J'avoue qu'un jour il faudra que je lui dise merci pour tout ce qu'il a fait pour nous. J'avoue que je ne travaille pas cet été, que j'en cache la vraie raison à ceux qui me côtoient, et qu'au fond cela me rassure. J'avoue d'avoir j'ai peur que la fac dans laquelle je veux être prise ne m'accepte pas. J'avoue désespèrer d'obtenir mon permis après tant d'heures de conduite, et j'avoue penser être une galèrienne. J'avoue également que je fume depuis mes 16 ans et que je n'ai jamais osé l'avouer à mon père... pourtant c'est sûr il s'en doute ! J'avoue que ça fait du bien d'avouer et que lire les aveux des autres me fait parfois bien rire !
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
© 1998 - 2024 Javoue.com - tous droits réservés
- Haut de page
Développement assuré par Gilou
|