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3 aveux trouvés
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Tendre Lola, 20 ans, Paris

J’avoue qu’hier soir mon chéri hésitait à venir me voir tout ça parce que je devais me lever très tôt ce matin. Alors moi au téléphone je joue ma vexée et je lui dis pour rigoler "Tant pis c'est pas grave, vu que je suis toute seule à la maison, je vais appeler S."
S. c'est mon voisin, et accessoirement aussi un mec beau comme un dieu, mannequin de son état, avec qui je suis sortie brièvement il y a deux ans, chose que mon chéri n'ignore pas. Bizarrement il n'apprécie pas la plaisanterie et s'écrie "Hmmprrrfff j'arrive tout de suite !".
Plus tard dans la soirée il n'arrive pas à s'ôter S. de la tête et pour le rassurer je lui promets "Mais non, mon chéri ne t'inquiète pas, je n'irai pas voir mon voisin...".

A ce moment là sonne le téléphone, c'est ma mère en panique. Elle est comme par hasard à un dîner avec la mère de S., sa copine et elle me lance "Ma chéri, il faut à tout pris que tu ailles chez S., sa mère et moi n'arrivons pas à le joindre il faut le prévenir de toute urgence que son père rentre à l'improviste et que ses copain doivent déguerpir, sinon ça va être sa fête !" Euh, là j'ai eu un peu de mal à faire avaler à mon copain que c'était ma mère qui me suppliait d'aller voir immédiatement mon ex et qu'elle n'était pas ma complice secrète, pourtant, c'est la vérité ! Désolée mon coeur, si c'est maman qui me le demande... Je n'ai pas le choix !

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Tendre Lola, 20 ans, Paris

Ajourd'hui à la pause déjeuner, mon copain et moi avons fait l'amour au dernier palier de l'escalier d'un bâtiment de la fac. C'était bon... mais très risqué car l'escalier est très emprunté, et j'ai eu beacoup de mal à rester discrète, surtout vu combien l'endroit résonne... Demain on ira sûrement sur le toît...

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Tendre Lola, 20 ans, Paris

Samedi dernier j'ai eu une migraine alors que je me trouvais à une soirée avec tous mes amis de la fac. La douleur est arrivée d'un seul coup, elle me vrille le cerveau comme une visseuse-devisseuse 3600 tours minutes.
Je m'éclipse pour tenter d’arrêter la crise : café serré, medocs, eau glacée rien à faire je suis bien partie pour passer la soirée à m'ennuyer seule dans le noir en attendant que la douleur cesse. Ma meilleure amie, qui est déjà joyeusement bourrée me propose de prendre un peu l'air sur le balcon. Je lui chuchote « j’ai mal, je veux un câlin ». Elle s'écrit alors sans complexe devant tout le monde "Ben, t'a qu'à demander à D. de te prendre, tu te sentiras mieux!" D. c'est mon ami, accessoirement celui-que-j'aime-depuis-2 -ans-en-secret-mais-t'inquiètes-je-me-lancerai-quand-je-serai prête. Là je suis prise d'un fou rire, je suis rouge de honte et complètement écroulée malgré la douleur.
D. qui a tout entendu est aussi passablement mort de rire, il me sourit en coin et s'écrit "d'accord !". Moi "hein ?" Je me masse les tempes, ça va plus du tout les gens disent n'importe quoi faut que j'aille me coucher. Soudain D. est derrière moi, il m'encercle de ses bras se colle à moi et commence à me bercer. Hmmm qu'est ce que je fous dans ce rêve je suis toute engourdie... Il me caresse la nuque les cheveux, glisse ses mains sur mes hanches "D. qu'est ce que tu fous, bordel ?" Il me retourne par les épaules s’approche de mes lèvres… Moi : « Non ! ». Je suis trop pâteuse et complètement larguée « j’vais me coucher ».
Quelques minutes plus tard, D. se glisse dans la chambre où je me suis réfugiée. Il s’assoit sur le lit, me caresse le visage « Tu te sens vraiment mal ? » « oui » « Attends je vais te guérir » Il me caresse le ventre, les fesses. Moi, depuis mon carcan de douleur « Ouais, pur altruisme…. » « Bien sur, entre corses il faut s’entraider » « Salaud ! » il m’embrasse. C’est bon c’est comme un vol plané. « Encore ! » Je suis toute défoncée. Il sourit me câline, je ronronne, il sort. Bon, je n’ai rien compris je choisis de dormir. Deux minutes plus tard se pointe mon pote C. « Chui …. bourré. Trop bu…. De sky» « Ben allonge toi ça va passer » Il s’exécute je lui gratouille la tête « Ca va aller mon ptit C. ? » Il se rapproche de moi et me fixe bizarrement… puis lache : « Qu’est ce que tu dirais si j’te disais que j’ai envie de t’embrasser ? … EUh… « Ben j’te dirais que je viens d’embrasser D. »…… « Ah ouais forcé-ment… Bon j’vais vomir. ». Bon moi j’ai préféré me rendormir.
J’avoue que je simulerais bien un p’tit mal de tête la prochaine fois, juste histoire de voir…

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