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Smack kiss, 14 ans, Paris
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J'avoue que l'autre jour, j'étais à la bibliothèque de mon lycée lorsque j'ai entendu, derrière une rangée de livres, quelques personnes qui semblaient se "moquer de moi" (dirons-nous poliment). Comme je suis curieuse (c'est un vilain défaut, je sais !), je me suis baissée afin de regarder par-dessus les livres, entre les étagères de la bibliothèque : et là, comme j'aurais dû y penser, une personne m'a vue, puis toutes les têtes se sont tournées vers moi et je suis soudain devenue toute rouge... Imaginez-moi presque à 4 pattes, me tordant le cou pour regarder entre deux livres, et de l'autre côté 6 personnes me regardant d'un regard surpris, dont la conversation s'était arrêtée ! Je venais comprendre d'où venait l'expression "un silence pesant"... J'ai fait un grand sourire qui voulait dire "je passais simplement par là" (c'est évident, qu'est-ce que je pourrais faire d'autre dans cette posture ?) j'ai fait semblant de refaire mon lacet (indispensable, sur des chaussures de skate) et suis partie rouge de honte... J'avoue que je suis vraiment un cas social !
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Smack kiss, 14 ans, Paris
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J'avoue que je déteste cuisiner. J'avoue que l'autre jour, j'étais seule et j'avais très faim. Prise d'un élan de folie (qu'est-ce qui m'a pris ??), je décide de me faire cuire des poissons panés, surgelés. Comme le chef cuisinier que je ne suis pas, je les mets directement dans la poêle, sans les décongeler, sans mettre d'huile. Et je laisse ma poêle se carboniser toute seule, imaginant que, bien sûr, les surgelés vont se retourner tous seuls dans la poêle (vous ne le saviez pas ?). Quand je reviens quelques minutes après, ô surprise ! Ma poêle est noire, les poissons panés sont accrochés au fond, complètement carbonisés. J'avoue que, pleine de volonté, je décide de faire plutôt des pâtes. Les pâtes n'ont pas eu meilleure mine : elles sont restées accrochées au fond de la casserole. Le menu était donc : Poissons panés carbonisés à l'extérieur, congelés à l'intérieur, et purée de pâtes dures. J'avoue que même mon chat n'en a pas voulu, et que j'ai mangé de la brioche et du chocolat (selon une recette extrêmement plus simple). J'avoue que je suis vraiment un cas social.
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Smack kiss, 15 ans, Paris
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J'avoue que je suis vraiment la championne pour me taper la honte en public... L'autre jour, j'ai pris le train pour aller voir mon chéri, qui habite malheureusement à 50 km de chez moi. Je suis donc dans le train, j'arrive à la gare, je m'approche de la porte, très impatiente de descendre pour pouvoir lui sauter au cou... Le train s'arrête, mais la porte ne s'ouvre pas ! Très gênée, je regarde les quelques personnes derrière moi, espérant deviner si je dois ouvrir cette satanée porte ou bien attendre qu'elle le fasse elle-même. Mais les visages fermés et dédaigneux de ces braves gens impatients me font comprendre que je suis une idiote ! Je leur demande si je dois l'ouvrir : réponse affirmative. Ca les fatiguerait de me dire comment faire ? Apparemment oui, ou alors ils adorent mettre la honte à de pauvres idiotes comme moi. Enfin quelqu'un m'explique, j'appuye sur le bon bouton (bien caché, merci SNCF), les gens soupirent de soulagement. Je saute hors du train, 50 personnes visiblement mécontentes me suivent. Je ne sais même pas ouvrir une porte ! J'avoue que je suis un cas social.
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