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Regrets, 30 ans, Paris
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J'avoue, j'en peux plus en fait je crois. J'en suis sûre. C'est trop. Enfin, comprenez ! Réalisez un peu ! On ne m'autorise plus à travailler, danser, partager, créer, rigoler, baiser, rencontrer, serrer les gens dans mes bras (alors que je ne le fais pas), leur dire que je les aime, boire des shots avec eux, ou juste n'importe quoi, vibrer, ressentir, espérer, aimer, m'élever, tomber, me relever, et j'en passe... Non. Tout ça m'est interdit maintenant. Bonne ou mauvaise cause, je ne suis pas décisionnaire et ne souhaite pas l'être... Mais voilà, en ce même temps, oui, en ce temps où l'on me demande de faire abnégation, où l'on arrête une manifestation pacifique faite en musique, (je laisse les termes à chacun), où l'on se fout royalement de la représentation populaire de la culture globale, dans les rues, chaque semaine; dans ce même temps je disais, on autorise publiquement, en rassemblement, des gens à me traiter de meurtrière. On m'oblige, alors que je n'ai pas le droit de faire entendre de musique de mon balcon, à regarder passer ces manifestations légales (elles oui !!!). Que dis je, Ô pardon ?! Ces rave party (le mot rassure il paraît), ces réunions de bien pensant, de simples d'esprits, d’étriqués, de mal baisés, de simple connards qui osent dire de moi, que je suis une femme trop faible pour m'être défendue contre le grand méchant Loup, que je suis une femme bastillonnée, lâchée, perdue, que j'ai agit comme une broyeuse à poussins, (sorry pour les nuggets). Qu'on me libère !!! Qu'on me libère de votre sombre idiotie, à tous. Qu'on m'explique pourquoi je dois vivre ça. En 2021. La légalité de la manifestation n'explique pas l'étrangeté de la chose, des priorités, de l'absence de cohérence... Rien ne va. Quand je vois ça, rien ne va. Et on confond tout. Et on me retient de faire trop de bruits, de respirer, de parler trop fort... J'avoue, fallait pas me le dire deux fois. Je crie, je m'exclame, et je hurle : j'avoue, je vous emmerde. Royalement. Simplement.
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Regrets, 37 ans, Paris
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J'avoue que je suis tombée amoureuse de mon collègue qui a seulement 24 ans. On a beaucoup partagé, on était confident, et puis un jour, un baiser, une caresse... on a fait l'amour une seule fois dans son bureau, il est si gentil, si tendre, si sexy. On a du arrêter car on savait que ça ne menait à rien mais j'ai le cœur vide. Son contrat est terminé, il est parti et il me manque tellement. Il a un regard qui me transcende. Je sais qu'on gardera contact, mais plus de cette façon qui me plaisait tant. Il a sa vie à construire, il est si jeune. Si seulement on avait le même age. Il me plait tellement ! Bonne route mon sexyboy, soit heureux.
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