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Quentin, 18 ans, Auberville
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J'avoue que j'étais vraiment triste. Tu m'as laissé tomber du jour au lendemain. Sans un mot, sans un regard, sans une caresse. Tu ne m'as pas donné le temps de t'en faire. J'ai pleuré. Je pensais que notre relation avait un avenir. Nos longues heures à courir dans la campagne, à se chamailler. Je pensais que notre relation avait un avenir. Des que je t'appelais, tu étais disponible, tu était ma compagne idéalle. Mais tu es parti, pour ce joli blond, qui semble te correspondre. Je le hais, il m'a tout pris. Mon chien, je te reverrai toujours embrasser ce jeune labrador, cela m'a fait mal, mais je t'aime.
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