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| Qpidon, 30 ans, Toulouse |
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J'avoue que malgré tout, malgré le temps qui passe et sans remords, sans reproches, sans regrets... Il reste toujours quelque chose d'enfoui au plus profond de moi. Et qu'il n'existe qu'une personne pour le savoir. Mais, j'avoue aussi que cette personne en aime un autre. Bonne année et à defaut d'être heureux à deux, sois heureuse ça me suffira. |
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| Qpidon, 28 ans, Toulouse |
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Chere Sweety. Ce pseudo me fera toujours tiquer mais bon c'est une autre histoire. Pourquoi les "femmes" devraient-elles en profiter maintenant ? Pourquoi devraient-elles faire ce qu'elles ont subit et tout le mal que cela engendre ? Non, j'avoue que je ne comprendrais jamais la methode de penser : on me l'a fait donc je le fait, c'est un stéréotype que je ne conçois toujours pas, je ne dois pas être normal. Pour moi peu importe, et dieu sait si je l'ai subit, homme ou femme c'est pareil, aucun n'a le droit de faire du mal à l'autre par omission ou en sachant tres bien ce qu'il ou elle fait. Ne jamais faire à autrui ce qu'on ne voudrait pas qu'il nous fasse. Les femministes me degoûtent, mais les machistes aussi. Je n'aime pas les extrêmes car c'est tellement facile d'adopter cette conduite. J'avoue, de même, que je suis têtu et que jamais je ne me resigne. Et surtout : dans la vie faut pas s'en faire... Moi j'ne m'en fais pas... |
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| Qpidon, 28 ans, Toulouse |
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J'avoue j'avais jamais osé mais qu'est ce que ça fait du bien... Un client au téléphone : Mr le client : "Oui mais je suis un Informaticien diplomé du CNAM, je sais ce que je dis !" Moi : "Ce n'est pas synonyme de compétence ..." Après quoi le client a marqué un gros blanc... J'avoue j'en ai presque honte et pourtant j'en souris encore... |
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| Qpidon, 28 ans, Toulouse |
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J'avoue qu'il fait trop beau. J'avoue que maintenant je me sens bien avec moi-même, car j'ai avoué ce que j'avais à dire à certains. J'avoue que maintenant je vais profiter enfin. J'avoue que j'espère ne pas passer ce week-end seul, c'est un peu bête mais ça permettra de terminer ce "bip" de deuil sentimental, peut-être en me disant que j'ai trompé mon amour mais au moins ce sera fini et comme ça je pourrais enfin vivre libre. J'avoue que je me dis que ce serait bien de passer le week-end en ballade avec elle, à faire des siestes crapuleuses dans les champs mais que de toutes façons ce sera une autre ! J'avoue qu'elle en a de la chance car je vais l'aimer de tout l'amour que l'on m'a privé pendant toute cette année. J'avoue que quand je t'aurais trouvé (retrouvé) je te lâcherais plus et je t'inonderais d'amour. J'avoue que l'amour c'est beau mais qu'il ne faut pas se tromper... |
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| Qpidon, 28 ans, Toulouse |
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J'avoue a Charlotte que je ne peux pas revenir car je ne suis jamais parti. Dans cela je veux dire que jamais mes sentiments ne sont partis et j'espère que jamais ils ne partiront car je trouve ça beau. J'avoue que j'aime la vie. Et j'en profite. J'avoue que l'on ne peut pas changer le passé mais que l'on peut changer son avenir, il suffit juste de faire des choix (que je ne faisait jamais avant) et de ne jamais se resigner. Et je ne renonce jamais... Jamais. J'avoue que ton aveux me fais poser de nouvelles questions (de bonnes questions) mais que les cartes c'est toi qui les a en mains et je ne peux pas faire tes choix à ta place. J'avoue que ca fait du bien d'avouer quand même. |
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| Qpidon, 28 ans, Toulouse |
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En partant au boulot en voiture, je me rends compte que le feu devant moi vient de passer au rouge. Discipliné je ne m'avance pas pour laisser un passage aux voitures qui viendraient latéralements. Sur ce, la voiture de derriere se met à me Klaxonner... Hop un petit coup d'oeil dans le rétro central et je vois une femme s'exciter en agitant les bras et visiblement en colère après moi de ne pas avoir bloqué tout le carrefour. Son homme à coté visiblement en colère aussi défait sa ceinture et fait mine de sortir de la voiture, mais au dernier moment la dame le retient voyant les voitures latérales passer sans encombre et comprenant enfin pourquoi je ne me suis pas avancé... Au feu rouge d'après, il y avait une camionnette de police. Et qui s'est fait arrêté ? Ben la voiture des deux écervelés. Et pourquoi ? Je ne l'ai compris qu'après avoir dépassé la camionnette... Le savant Mr qui voulait sortir de sa voiture pour m'expliquer son point de vue avait tout simplement oublié de remettre sa ceinture. J'en ris encore. Et ils doivent me maudir... |
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| Qpidon, 28 ans, Toulouse |
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Dring !!! Quelqu'un sonne à ma porte. Je vais ouvrir et qui vois-je ? Ben mon ex naturellement... J'avais ouvert avec un large sourire et celui ci est retombé bien vite. Je la regarde dans les yeux, ah la la ils sont toujours aussi beaux comme elle d'ailleurs. Des secondes semblables à des heures s'écoulent sans qu'aucun de nous ne dise rien. Puis je lui lance directement un : "Qu'est ce que tu veux ?" assez brutal et indélicat sans la quitter des yeux. Et là je sens un pincement au coeur s'amplifier en même temps que ses yeux se remplissent de larmes. Après encore quelques secondes elle me repond juste : "Excuses-moi Olivier" et de nouveau après quelques secondes "Je t'aime". Je cherche dans ses yeux la véritée, et une larme s'écoule sur mon visage en même temps que la confirmation que je contemple, le regard ne trompe jamais. J'abaisse les yeux, resigné : "Moi aussi je t'aime et je t'ai toujours aimé". Les yeux bas je me recule, fais demi tour et referme ma porte. Je me rend compte que je pleure maintenant. C'est fou comme des fois des moments si courts paraissent si long. Lorsque j'arrive dans mon salon un cri se dechire en moi... Je cours et j'ouvre ma porte. Elle n'est plus là... Je cours hors de chez moi. Elle n'est plus là... Je cherche des yeux autour de moi. Ca y est je la vois, je cris : "Charlotte..." Elle s'arrête puis se retourne. Je ne suis plus qu'à quelques mètres d'elle. On se prend mutuellement dans les bras. Mes mains prennent delicatement son visage, mes yeux se noyent dans les siens... Nos bouches se rapprochent, quel bonheur, nos langues s'entrecroisent, mon coeur va exploser. Et là j'entend une musique au loin. Qui devient de plus en plus présente... Je re-ouvre les yeux... je suis dans ma chambre, tout seul... Mon réveil vient de me reveiller pour partir au boulot. J'avoue que maintenant je me souviens de mes rêves. J'avoue qu'il ne me tarde que le soir pour m'endormir et te rejoindre, car c'est le seul endroit où je puisse te retrouver (ainsi est la vie). J'avoue tout simplement que je t'aime. |
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