JAVOUE.com - Recherche

Recherche

Avouer - Tous les aveux - Meilleurs aveux

Bêtises - Amour Fou - Multizaveux - Inclassable
Vantards - Ras le bol - Aïe - Trompé - Interdits

JAVOUE.com en page d'accueil - JAVOUE.com dans les favoris - Recommander ce site - PressBook - Un aveu au hasard

6 aveux trouvés
Nous sommes sur la page 1 / 1

Pandore, 16 ans, Paris

J'avoue que ma mère m'insupporte. Plus elle me bride, plus elle est satisfaite. Elle me casse, m'humilie, me rappelle que je suis chez elle et que tant que j'y resterai je suis sous sa coupe.
Je rajouterai que ceci n'est pas le message d'une petite idiote qui se rebelle.
En effet, j'avoue qu'il est réellement pesant d'entendre des remarques perpétuelles sur le fait qu'on ne fait aucun effort (alors qu'on bosse comme une malade), qu'on est nulle, paresseuse, que jamais je n'aurai le niveau pour faire une prépa, et j'en passe, et des meilleures. Elle n'arrête pas d'ennuyer toute la famille, de crier pour un oui ou pour un non, donc je lui réponds sur le même ton, elle me traite d'insolente, mais si je restais silencieuse en entendant ce qu'elle me sort, il faudrait vraiment que j'ai une araignée au plafond.
D'où cette femme prend-elle le droit de m'empoisonner l'existence ?
Elle m'infantilise, me saoule, me rabaisse, alors maman (sans majuscule, tu ne la mérite pas), lâche moi, laisse moi tranquille, laisse moi sortir, parce que là tu es en train de pourrir mon adolescence, si tu ne veux pas que je me barre prématurément, du moment que je n'ai pas à te supporter, n'importe quoi vaudrait mieux.
C'est simple : moins je te vois, mieux je me porte.
Avant, elle me tapait vaguement dessus quand elle était vraiment énervée. Cela ne me faisait pas mal, mais c'est terriblement humiliant. Maintenant elle n'ose plus trop, depuis quelques années, car je la repousse, et elle s'est rendue compte que je suis devenue aussi forte qu'elle. Parfois c'est mon père qui la retient, carrément. Quand il ne doit pas nous séparer. C'est rare, mais c'est triste, au fond.
Et si elle savait le petit surnom que mon frère lui a donné...
Comment mon père peut-il aimer une pareille mégère ?
Même lui reconnaît, qu'effectivement, elle ne se rend pas compte qu'elle a une fille de 16 ans bientôt 17.
La perspective de deux mois de vacances avec elle me désèspère. Assez vite, le seul son de sa voix de harpie me donne envie de lui renvoyer ce que je pense dès qu'elle me balance l'une des amabilités dont elle a le secret : "mais ma pauvre mère, si tu savais comme je t'emmerde...".
J'avoue que pour moi, toutes les belles théories sur "l'amour filial" ne sont qu'un amoncellement de fadaises.

Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Pandore, 20 ans, Paris

J'avoue que je suis en colère, furieuse, énervée, j'ai la rage.
D'abord cette grosse conne au taf et son sans-gêne, sa façon de d'humilier les autres pour oublier l'ingratitude que la nature a eu envers elle..
Et puis, maintenant je me reçois un petit message bien piquant.
C'est facile quand on se casse en chine le jour même ?
C'est facile par mail ?
T'as pas appris que ça causait plus de problèmes qu'autres choses les explications par mail ?
J'avoue que tu m'as mise hors de moi.
J'avoue que parfois coté égoisme tu rejoins bien tes potes.
J'avoue que j'en ai marre de me laisser marcher sur les pieds, qu'on me prenne pour une arriéré.
A présent, c'est fini.
Marre de faire attention aux gens, de les aimer pour qu'ils nous rejettent comme si on était un sale truc collé à leur godasses, hein?
Pardon, excuse-moi, ça fait pas non plus partie du vocabulaire de certaines personnes.
J'avoue avoir eu tellement mal parfois que c'en était physique.
Alors donner de l'amour pour recevoir de la merde, non merci.

Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Pandore, 20 ans, Paris

J'avoue que je suis complètement dégoutée. J'ai fait une sorte de simulation d'emprunt sur le site de ma banque. Juste pour voir. Et apparemment, il va falloir que je sois millionnaire avant de pouvoir faire un prêt et acheter mon appartement...
J'avoue que j'ai un gros découvert en ce moment.
C'est mon tout premier.
J'avoue que je viens de finir mon stage et qu'en plus,je reprends les cours lundi.
J'avoue que revoir le groupe des "méchantes" et celui des "connes" est au-dessus de mes forces.
Parfois je me demande comment certaines personnes de ma classe, ont fait pour entrer dans ce BTS, comment ont-ils réussi le concours d'entrée? Est-ce que la connerie est contagieuse ?
J'avoue qu'en ce moment, je me sens forte, oui c'est le mot. Je me sens capable de tout. J'aime bien ce genre de période.
J'avoue que lire les aveux sur l'amour, les ruptures m'ennuient de plus en plus.
Non pas que je sois frustrée mais je trouve ça répétitifs et parfois tellement niais..
Ca me fait penser qu'adolescente, je n'ai jamais eu les dilemmes et les mêmes intérêts que les autres et que ça doit être pour ça que je ne comprends pas comment on peut dire que l'on "kiffe" un mec alors qu'on le connaît depuis un mois, qu'on ne sais même pas qui il est et qui l'on est soi-même aussi.
J'avoue que je pense qu'il y a beaucoup d'ado qui se créent de faux problèmes parce que finalement ils ont tout sous la main et qu'être heureux c'est pas "in".
C'est pas vrai, me dira-t-on, dans certains cas peut-être, dans la plupart j'en doute.
Finalement, je ne regrette pas mon adolescence, parfois je suis même contente de "vieillir", ça doit être le début de la fin et la fin du commencement de l'adultisme..

Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Pandore, 20 ans, Paris

J'avoue que même si je me fais royalement chier durant ce "stage en entreprise", je ne regrette pas de le faire ne serait-ce que pour les ragots colportés ici et là et qu'une stagiaire, donc employée éphémère et sans importance, peut écouter sans problème.
J'avoue que, sans me vanter, j'arrive à amener les gens à se confier.
J'avoue donc que hier, dans la "salle détente (= fumoir)" en moins de 5 minutes, j'ai réussi à faire avouer à une employée du même étage qu'elle détestait sa chef.
Il faut juste avoir l'air très naïve, préciser que l'on est que de passage et, bien sûr, savoir écouter.
J'avoue que ça va bien me faire marrer quand je taperai mon rapport de stage, j'hésite à inclure une partie "colportage, rumeur and cie.."
J'avoue que j'ai peur, très peur d'être un jour une vieille conne, la quarantaine, assise devant son bureau qui n'a pas changé depuis 15 ans, à taper des bons de commande à l'infini et traiter des dossiers qui se ressemblent tous..
J'avoue que je me vois plus dans le style "heather lockhart" dans Melrose Place, donc la vraie salope, ambitieuse et sans pitié.
Oui, j'avoue qu'au fond de moi, j'ai tellement envie de réussir que je serais capable de presque tout...
J'avoue que j'ai toujours été secrètement contente d'être copine avec le chef, plus que mes autres petits camarades de classe qui sont dans la même entreprise.
J'avoue, c'est pas bien, mais j'avoue que je me sens sans cesse en compétition et que j'adore gagner...

Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Pandore, 20 ans, Paris

J'avoue que ce week-end, je n'ai fait que lire, encore et encore et que c'était bien, ça faisait longtemps que je n'avais pas autant lu.
D'ailleurs je suis presque à la fin du nouveau Grangé.
Et je me retiens pour ne pas le finir tout de suite..
J'avoue que je veux pas aller au travail demain... et que si je pouvais rester dans mon lit tranquille à lire d'autres romans, ben je dirais pas non..
J'avoue que je viens de découvrir que j'ai un poil sous le menton..
C'est horrible..
L'autre jour, j'étais au supermarché et la caissière, la cinquantaine, avait un poil sous le menton d'au moins deux centimètres (et un poil de 2 cm c'est très long..)
J'avoue que j'ai eu peur, et que je me suis dit qu'un jour, je m'en rendrais pas compte et je le laisserai pousser et tout le monde pourra LE voir. Le pire, c'est qu'IL est peut-être là depuis longtemps, mais ça ne fait que deux semaines que je l'ai découvert par hasard, en plein cours. Je me triturais le menton et là je sens quelque chose..
J'avoue qu'au début j'ai cru que c'étais une simple peluche ou un cheveu et que j'ai vite compris qu'il me faudrait une pince à épiler pour L'enlever.
Alors, à quand les poils dans les oreilles, les pustules et la barbe ?

Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Pandore, 20 ans, Paris

J'avoue que jeudi dernier en rentrant du boulot, j'ai souhaité être malade le lendemain pour partir plus tôt.
J'avoue que le lendemain grâce à mes pouvoirs psychiques de superwoman, j'étais malade.
Pour être franche, j'avais une diarhée en continue, à partir de 9 heures du mat' et comme ça toute la journée.
Toutes les cinq minutes donc, j'allais aux chiottes, essayant de me soulager de façon discrète et gracieuse, me retenant quand quelqu'un entrait dans les toilettes et y sortant doucement quand j'étais sûre qu'il n'y avait personne dans le coin.
J'avoue que j'ai fini plus tôt mais que je me serais bien passé de ces séjours répétitif aux WC.
J'avoue que tout de suite après je suis allée à la pharmacie, redoutant de me sentir mal dans le métro (ça aurait été beau, moi me vidant en public..)
J'avoue que comme par hasard, je suis tombée sur un magnifique apollon et que j'ai du lui expliqué mon cas. J'ai commencé par dire que j'avais une colique (c'est plus joli que diarhée, non?)
Et lui qui me sort : "colique avec diarhée?'
Et moi : "Ah, parce que colique c'est pas pareil que diarhée?"
Et le reste du dialogue n'a été qu'une succesion de questions plus humiliantes les unes que les autres ( ça a commencé quand ? nausée, douleurs, intervalles des crises ?etc.)
Au final, j'étais rouge comme une tomate et lui gentil comme tout qui me propose un verre d'eau pour mes médicaments.. et moi encore plus mal qui accepte...
N'empêche que ça m'a fait du bien presque immédiatement et que grâce à ça j'ai pu aller voir ma petite chinoise qui, elle, avait gerbé toute la journée et s'était retrouvée avec des plaques rouges partout sur le corps... comme quoi qui se ressemble, s'assemble..

Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -