4 aveux trouvés
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Neige, 16 ans, Paris
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J'avoue que j'adore les fêtes de fin d'année. Oh oui je raffole de la neige, du froid, des vitrines de Noel, des guirlandes, des lumières,des sapins. Je raffole des manteaux d'hiver, des bonnets qui tiennent chaud. Je divague devant toutes les lumières devant cet air de fête qui embaume les rues. Je sais que je suis puérile mais toutes ces choses là me font rêver parce que là où je suis, je sais que mon jour de l'an sera le jour de la déprime vu les circonstances dont seul moi peut témpoigner.
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Neige, 29 ans, Paris
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J'avoue qu'il y a un mois, je suis allée acheter des cigarettes chez mon tabagiste et, toute fière, lui ai lancé "Bientôt vous ne me verrez plus car je vais arrêter de fumer !" -propos d'ailleurs limite crédible quand on est justement en train de s'approvisionner- et le rustre me répond, l'air mauvais : "Mouais, si vous y arrivez...". Je sors, la mine déconfite - bonjour la solidarité, gros con ! - mais c'est décidé, demain j'arrête, ça lui fera les pieds. Depuis, je rase les murs et guette si c'est lui ou son associé qui est à la vente, et si c'est lui, je me prends les 200 mètres qui mènent au tabac le plus proche. Non mais ! -> Meilleur Aveu 16/07/2007 <-
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Neige, 28 ans, Paris
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J'avoue que quand j'étais petite, mon père me demandait souvent d'aller faire une commission : acheter une baguette, un paquet de cigarette etc. Distraite comme toujours, je répondais « oui oui » et partais en mission. En chemin, il m'arrivait rarement de me rappeler de l'objet de la course et, me disant que j'avais une chance sur 2 ou 3, je revenais tantôt avec une baguette, tantôt avec des cigarettes etc. Allez savoir pourquoi, les lois de la probabilité n'ont jamais daigné me faire revenir avec le bon article.
A la même époque, ma mère m’a un jour envoyée au Shopi du coin pour chercher en urgence des couches pour mon petit frère. Je suis à peine arrivée que mes yeux brillent à la vue de toutes ces bonnes choses qui me supplient de les acheter. A la caisse, à côté des couches s’étalent mes courses pour la semaine. Zut ! J’ai pas assez pour tout payer. J’enlève un article, pas encore assez. Un autre, toujours pas. La caissière m’avisant que ce sont les couches qui coûtent le plus cher, je retire les couches, ben oui logique, et m’en retourne à la maison. Je ne souviens pas de la suite des événements…
Je repense à ça parce que je rentre juste de la supérette où je me rendais pour acheter lait, beurre et pesto. « 14 euros 55 ! » me chante le caissier. Chocolat, pignons et d’autres amis ont en chemin insisté pour que je les embarque. J’ai que 14 euros. Tout en interdisant à mes joues de rougir davantage et en prenant mon air le plus souverain, j’ai demandé au caissier de ne pas compter les pignons (qui avaient la larme à l’œil) et j’ai réglé le reste avant d’aller dehors rougir pour de bon.
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Neige, 28 ans, Paris
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J'avoue que quand j'ai lu l'aveu de VonDutch j'ai bien ri et j'ai moi aussi eu envie d'avouer. Moi ce n'est pas les contrôleurs mais les dispositifs anti-vol à la sortie des magasins. Je n'ai pourtant jamais volé (enfin, pas depuis ma tendre enfance et rien que des bonbons), et pourtant, chaque fois que je sors d'un magasin (de vêtements surtout, j’ignore pourquoi), j'ai une décharge d'adrénaline. En fait, je suis parfois (souvent) tellement dans la lune que quand j’en sors, j’ai toujours peur d’avoir oublié de reposer un article et de l’avoir toujours en main. Et chaque fois, je me dis que jamais j’aurais réussi à faire avaler ça aux gars de la sécurité.
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