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Lili, 30 ans, Nice
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J'avoue que j'étais revenue à mon ancien bureau pas tant pour prendre des nouvelles que pour asséner à mes ex chefs une belle baffe visuelle, celle de ma perte de poids - 37 kg. J'avoue que j'avais un peu soigné la tenue, hauts talons et jupe de secrétaire. J'avoue que j'avais peur de monter et que c'est pour ça que je t'ai demandé s'ils étaient la mais tu m'as répondu "monte je suis seul". J'avoue que tu as fait une drôle de tête en me voyant et que j'en étais flattée. J'avoue qu'on s'est fumé une tite clope tranquille, que j'ai glissé que je te trouvais mignon et qu'on a parlé de cul comme d'hab, et c'est sans arrière pensée que je t'ai raconté la soirée de mon anniv où les ex avaient tenté de me choper dans un coin. Tu as fait quelques commentaires sur mes ongles longs et mes talons aiguille, disant que c'était tout ce qui faisait tourner la tête des hommes. Tu m'as demandé si un de mes ex avait réussi à m'attraper et ça m'a paru innocent sur le moment. J'avoue qu'on a échangé sur la nécessité de trouver quelqu'un pour pallier l'absence de désir de nos partenaires respectifs et qu'on se comprenait. J'avoue qu'il y a eu un petit quelque chose dans l'air quand j'ai avoué à demi mot la pratique intensive de la branlette. J'avoue comprendre rétrospectivement que c'est quand j'ai dit "je tiens pas 3 jours, alors 3 semaines..." que tu m'as répondu quelque chose comme "dis pas ça méfie toi" que tout a basculé tandis qu'en rigolant je te répondais "bah quand tu m'as dit de monter tu t'attendais pas à un tel changement". J'avoue que je t'ai vu te lever mais que je n'ai pas eu le temps de comprendre que tu t'approchais de moi, tu m'avais déjà roulé une pelle monumentale et tu laissais tes mains errer sur moi. J'avoue avoir frémi quand tu t'es attaqué à mon corsage et que ta bouche est venue se poser sur mon téton piercé. J'avoue que mes mains n'étaient pas en reste et idem pour ma bouche sur ta gorge. J'avoue que quand tu as défait ton pantalon et attrapé ma main pour la mettre sur ta queue j'ai frôlé l'apoplexie, je n'en avais jamais eu de si longue entre les mains. J'avoue qu'il y a eu un moment de flottement quand tu as tenté de me convaincre de faire quelque chose sans capote et que je t'ai menacé de te faire très mal si tu insistais. J'avoue m'être souvenue que les chefs en avaient toujours eu dans leur bureau et que la perspective de devoir expliquer la disparition de l'objet au chef le lendemain ne t'a pas arrêté. J'avoue t'avoir stoppé dans ton geste de m'enlever ma jupe en te proposant une pipe et que tu as eu l'air ravi. J'avoue que ça a été bref mais intense - t'as failli me démonter une cervicale à me bourrer la tronche, t'enfonçant à la limite de l’étouffement, me tenant la tête à deux mains dans la plus pure tradition porno - et que sentant que tu tiendrais pas j'ai encaissé - et j'avoue que 3 minutes c'était long vu l'intensité de l'ébat. J'avoue que tu as été expressif (en terme de halètement) tandis que ton orgasme montait et que tu t'es figé dans un râle tandis que ma langue continuait à te lécher à travers le latex. J'avoue que j'ai pris un pied d'enfer à n'être que ton objet de plaisir.
J'avoue que ce matin je suis retournée te voir pour discuter et que quand tu m'as annoncé que tu n'arrivais pas à assumer j'ai été déçue mais je t'ai montré qu'on était entre adultes et que je ferai comme si de rien n'était. J'avoue que quand on a été en présence du chef je t'ai renvoyé un SMS te disant que je ferai comme si rien ne s'était passé, que si tu changeais d'avis j'étais là, que je te remerciais et en ps j'ai ajouté "beau matos". J'avoue que tu m'as répondu merci à toi et merci pour le matos - j'ai juste répondu de rien c'est sincère et on a oublié cet épisode. J'avoue que tu m'as fait prendre conscience de mon potentiel de séduction et que j'ai été flattée de ta réaction, d'autant que je t'ai toujours trouvé attirant. J'avoue espérer secrètement deux choses : que tu te sois confié - suite à la disparition de capote - à mon ex chef (qui me fait fantasmer depuis 2 ans) et qu'il en soit retourné et que tu m'appelles pour un autre moment intense.
J'avoue, plus les mois passent moins mon mari est porté sur le cul tandis que dans le même temps je suis devenue beaucoup plus belle, sexy et sûre de moi. J'avoue ne pas être fière mais j'avoue aussi que se sentir désirée ainsi c'est phénoménal. J'avoue que le sexe est une drogue...
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