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La Grande Ourse, 23 ans, Paris
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J'avoue que demain, si je ne suis pas publiée, j'aurai au moins ma place dans le Livre des Records pour le nombre de confessions que j'ai envoyée ce matin...
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La Grande Ourse, 23 ans, Paris
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J’avoue qu’avec mes potes ça fait 7 ans qu’on a le virus des photos et qu’on mitraille presque tous nos faits et gestes du petit barbecue aux vacances passées ensemble. J’avoue que quand je déprime, je ressors mes albums. De revoir tous nos délires, j’en ai presque la larme à l’œil. Alors cette confession juste pour dire que même si je fais rarement état de mes sentiments, je vous aime tous ! Et attention, c’est une Grande ourse non pompette qui vous l’écrit !
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La Grande Ourse, 23 ans, Paris
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J’avoue que ma mère n’en rate pas une. Un été, j’occupais sa résidence secondaire en compagnie de mon p’tit ami rencontré quelque jours plus tôt. Vu que ma mère m’avait laissé 5 messages me demandant si j’étais allée à « Toreilles » parce que m’assurait-elle « c’est super », je décide d’en parler à mon copain. Celui m’a rétorqué : « Toreilles ? Bien sûr que je connais ! c’est une plage de nudistes ! Elle à l’air sympa ta mère, vraiment, t’oublieras pas de me la présenter ! ». Pour la p’tite histoire, on y est allé, mais comme on était mi-septembre, la plage était déserte. Je peux vous assurer cependant que ce jour-là, il y a eu au moins 2 nudistes…
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La Grande Ourse, 23 ans, Paris
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J’avoue dormir la fenêtre ouverte. On ne sait jamais, vu qu’un jour, mon prince viendra, il se peut très bien qu’il passe par la fenêtre…
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La Grande Ourse, 23 ans, Paris
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J’avoue que pendant longtemps je me demandais pourquoi un copain m’appelait toujours le soir. Il me disait que ma voix lui permettait de se détendre et de trouver rapidement le sommeil. Bah tiens ! Bizarrement, depuis qu’il a une p’tite copine, il semble ne plus souffrir d’aucune insomnie !
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La Grande Ourse, 23 ans, Paris
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J’avoue qu’à Paris, plan vigipirate oblige, la Police est de sortie. J’avoue que ne suis pas fière de constater que les contrôles de papiers s’effectuent pour la plupart sur des mecs d'origine africaine. Mais j’avoue que quand je me suis faite « emmerdée » dans un parc par un clochard renoi qui voulait à tout prix me masser les pieds (bien sûr !) je me suis dit « mais que fait la police ? ». -> Meilleur Aveu 29/08/2005 <-
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La Grande Ourse, 23 ans, Paris
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J’avoue qu’une de mes copines critiquait un jour les nanas qui venaient en cours habillées ultra chic et qui faisaient étalage de leurs marques. Le souci c’est qu’elle ne s’est pas rendu compte que son interlocutrice ne se séparait jamais de son sac Longchamp. Bien la boulette ! J’ai hâte de revoir ma copine pour voire sa tête quand je lui montrerai mon cadeau de fin de stage, à savoir un sac… Longchamp ! PS : Ne t’inquiète pas, poulette, le sac est trop petit pour remplacer mon cartable !
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La Grande Ourse, 23 ans, Paris
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J’avoue que petite, quand j’étais avec un amoureux, j’étais irrémédiablement attirée par ses copains. J’avoue qu’il semblerait que je n’ai pas changé. J’avoue que je n’aime pas particulièrement les enfants (sauf s’ils sont calmes et bien élevés) mais que je fonds devant les papas avec leur p’tits bouts de choux.
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La Grande Ourse, 23 ans, Paris
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J’avoue mon patron (juste en face, on est dans le même bureau) me fait bien marrer. Je viens d’augmenter le volume de mon PC, ce qui fait qu’à chaque fois que je reçois un mail, assez souvent en fait : j’ai d’autres copines en stage… une sonnerie qui ressemble au bruit des fermetures du RER retenti dans la pièce. Et le boss qui lève la tête, regarde par la fenêtre et qui lance un « mais c’est quoi ce bruit ? C’est pénible à la fin ! ».
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La Grande Ourse, 23 ans, Paris
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J’avoue avoir dîné avec un jeune homme que je n’avais pas vu depuis deux ans. Pour tout dire, je ne le connais pas si bien que ça car en fait à l’époque, on a dû passer environ 5 soirées ensemble (je le voyais par charité chrétienne : une de mes copines essayait de brancher son copain et à chaque fois ce-dernier insistait pour que je vienne, car je plaisais à son copain, c’est clair ?). Donc pour en revenir au jeune homme, il ne m’attirait pas (j’étais déjà avec un mec génial) mais cela ne l’empêchait pas d’être assez tactile et de vouloir me sauter dessus à chaque occasion (d’où son surnom de Gargamel). Encore heureux que je le trouvais super drôle, vous savez, c’était un de ces mecs avec qui on ne s’ennuie jamais, qui a toujours un trucs à raconter et à qui il arrive tout un tas de choses. Enfin bref, pendant ces deux ans où je suis parti étudier en Province, il y a juste eu quelques SMS entre nous. Là je suis de nouveau sur Paris, il m’appelle, je suis célibataire, c’est l’été, je sais que je lui plait donc c’est entendu, on décide de dîner ensemble (et moi je suis fermement décidée à coucher avec). Mais dès le début, c’est le drame. Le soufflet est retombé comme on dit. Autant je me rappelait d’un mec drôle, d’un bon vivant, autant là, c’était la dégringolade. Qu’est ce qu’il était chiant sérieux ! Et qu’est ce que j’ai été déçue ! Je ne sais pas ce qu’il a eu, il a dû avoir un choc le pauvre (c’est pas possible autrement !) ou alors c’est la crise de la trentaine… Mais ce n’est plus le même homme ! Pour résumer, il est devenu super speed (j’avais presque honte d’être avec au resto, il arrêtait pas de gesticuler dans tous les sens, la drogue peut-être ?) égocentrique (je n’ai pas arrêter d’acquiescer toute la soirée), parano et le pire, c’est qu’il n’a même pas essayé de me sauter dessus ! Non mais ! A la fin, bonne poire je lui dis « moi aussi ça m’a fait plaisir de te revoir, oui c’est ça, on reste on contact, on s’rappelle et on s’fait une bouffe !». Mais pourquoi j’ai pas osé lui dire « t’as trop changé (et moi aussi sans doute), et là tu m’fous un peu les boules, j’ai l’impression d’avoir passé la soirée avec un psychopathe donc ben on en reste là, et tu oublies mon numéro, merci… » ? J’avoue avoir le chic pour rencontrer des mecs bizarres… -> Meilleur Aveu 29/08/2005 <-
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La Grande Ourse, 23 ans, Paris
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J’avoue que cette année, j’ai connu une fille qui est une grosse flemmarde. Par exemple, le lundi matin, on avait cours à 9h30 (y’a pire quand même !). Et bien elle se levait 10 min avant, heureusement elle habitait à côté et quand elle venait en cours, on voyait bien qu’elle n’était pas fraîche, la fifille ! Il lui est même arrivé deux trois fois d’ « oublier » de se brosser les dents… Si jamais vous avez un réveil difficile, de grâce, accepter les chewing-gums qu’on vous propose ! Croyez moi, cette nana je l’adore depuis (elle m’a séduite autrement !) mais son haleine de poney, non merci !
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La Grande Ourse, 23 ans, Paris
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J’avoue avoir souvent fait la faute. Moi aussi je disais « c’est la copine à mon frère » au lieu de « c’est la copine de mon frère ». Et puis un jour je discute avec une nana qui trouvait cette faute horripilante. Ses paroles m’ont marquées (puisque j’en parle aujourd’hui) : « on ne pas dit « une crotte A chien » mais bien « une crotte DE chien » non ? Bah alors ! ». Je ne sais plus ce qu’on enseigne dans les petites classes, mais il est vrai que cet exemple pourrait aider un grands nombre de jeunes à se retenir de cette règle de grammaire !
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La Grande Ourse, 23 ans, Paris
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On dit toujours que l’accent enjoué du sud met de bonne humeur, mais j’avoue apprécier celui des Normands qui donne à peu près cela « Aleuur, tu l’as fini ton rappeuur de speeeuur ? » (traduction : alors, tu l’as fini ton rapport de sport ? et confirmation : si si on fait des rapports partout maintenant, même en sport !). Autre clin d’œil à une copine originaire d’un village en Champagne qui nous fera toujours mourir de rire avec son éternel « alors, on va chez cu-ique ? (pour Quick).
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La Grande Ourse, 23 ans, Paris
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Un soir, j’ai emmené des copines en course car je voulais m’acheter une imprimante. A chaque fois, même verdict : trop cher ou pas de cartouche générique disponible. Quand on arrive dans le dernier magasin, j’en trouve une, mais il faut encore attendre un vendeur pour la garantie. Bizarrement, en ce premier jour des soldes, je n’étais pas la seule. Après, re-attente aux caisses et comme d’habitude on a choisi la plus longue... Enfin bref, la nana en caisse et me donne un ticket et commence à me dire « oui, alors, vous devez garder ce ticket, il fait office de garantie et... ». Moi j’en avais plein le dos d’avoir marché, attendu… et pour couper court à la conversation, je lui ai répondu excédée « ouais c’est ça ouais ». Et je commence à partir. Et puis ne voyant pas mes copines, je me retourne vers la caisse et là qu’est ce que je vois ? Mes copines rouges de honte en train de s’excuser pour mon comportement ! Ah bon ? Apparemment, mon « ouais c’est ça ouais » était super sec et comme j’étais naze, je tirais la tronche. Bon. Pas bien grave me direz-vous. Mais maintenant d’une, je suis polie au possible avec les caissières et de deux, mes copines n’arrêtent pas de se foutent de ma gueule : dès que je dis un truc, elles le commentent d’un « ouais c’est ça ouais » ! Sympa !
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La Grande Ourse, 23 ans, Paris
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Si vous avez vu « au cœur des hommes », une histoire d’amitié entre 4 mecs, vous aurez sûrement retenu cette phrase : « Mais qu’est ce que je ferais si j’étais moins con ? ». Depuis que j’ai vu ce film, je n’arrête pas de me la poser. Et je me rends compte que dans pas mal de situations ce que je fais, je ne le fais pas forcément pour mon propre plaisir, et que je suis même « un mouton » de la société. C’est moche, non ? L’ennui c’est qu’excepté le fait d’être heureux dans la vie, je ne sais pas concrètement ce que j’attends d’elle…
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La Grande Ourse, 23 ans, Paris
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J’avoue que ça fait des mois qu’avec une copine on parlait de se faire une coloration. C’est donc avec une joie non dissimulée qu’on s’est retrouvées (en grande surface) pour la choisir. On a fait bien attention à ne pas favoriser une coloration par rapport au modèle (que des tops de toute façon !) mais bien par rapport à notre couleur de départ. L’une étant brune, l’autre châtain, notre choix s’est porté sur « Duo de chocolats » soit une couleur châtain foncé et des reflets acajou-cuivrés. Etant donné qu’on a les cheveux courts, on n’a pris qu’une boîte pour deux. On suit scrupuleusement les indications, on respecte les temps de poses, bref, on fait ça bien. Pendant 3 heures (tout de même !) on n’a pas arrêté pas de dire « whaou, on va être trop belles, tout le monde va nous regarder dans la rue, ils vont tous nous envier… ». Au final, après m’être essorés les cheveux, quand j’ai enlevé ma serviette j’ai cru que j’allais pleurer ! J’avais les cheveux rouges ! Et des mèches oranges par dessus le marché ! Et merde ! Moi qui voulait quelque chose de discret ! Ma copine (la brune) aussi a été déçue, à elle on ne voyait que des légers reflets rouges… On n’a même pas eu le temps de se remettre. Son copain est rentré, nous a regardé et mort de rire a dit « Sympa votre couleur, c’est quoi, rouge caca ? ». Pffffff. Aucune solidarité, ça fait plaisir ! J’avoue que la première semaine, morte de honte, suis allée au taf les cheveux mouillés plein de gel (histoire d’atténuer un peu le massacre). Aujourd’hui j’assume un peu plus mais j’ai écopé d’un nouveau surnom ici : « poil de carotte » !
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La Grande Ourse, 23 ans, Paris
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J’avoue qu’en ce moment, pour le travail, je dois souvent appeler un dénommé Robert que je n’ai jamais vu. J’imagine qu’il ne doit pas comprendre pourquoi à chaque fois je suis morte de rire… Est-ce que c’est de ma faute si je pense au Robert de la pub de la croix rouge ? Rappel : voix off « demain la Croix rouge va récolter de l’argent. Merci d’avance pour vos dons » avec en image de fond l’ambassadrice (soit Adriana Karembeu). Puis voix off à nouveau : « malheureusement Adriana ne pourra pas être partout mais d’autres bénévoles seront là, comme Robert » et là en fond on voit un illustre inconnu, petit, gros…
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La Grande Ourse, 23 ans, Paris
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J’avoue que ce soir c’est l’anniversaire d’une pote. Hier on en parlait avec une autre copine. Elle me demandait « elle va avoir combien, déjà ? ». Et moi de lui répondre « ben… un an de plus que moi, soit 23 ans ! ». Et là ma copine de sourire et de me dire « ah un an de plus que toi ? Ben ça fait 24 alors ! ». Exact. En même temps je n’ai jamais été bonne en math et on se fout bien de l’âge civil, non, ce qui compte, c’est l’âge qu’on a dans la tête ?
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La Grande Ourse, 23 ans, Paris
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J’avoue être en stage et devoir faire un boulot qui, une fois de plus, n’est pas pour moi. Ben oui, j’ai déjà du mal à me repérer sur une carte routière normale, alors là, compter sur des cartes de radionavigations les espaces aériens des aéroports de tous les pays, on est plutôt mal ! Non mais sympa vraiment, j’aurai presque préféré faire un stage photocopie ou café… Réflexion faite, non. Ici au moins j’ai internet. Et oui, sans ce stage, comment je pourrais écrire mes confessions ?
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La Grande Ourse, 23 ans, Paris
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Dites-donc, j’ai vérifié, re-vérifié, et vérifié à nouveau, je ne trouve aucune confession de ma plume (sous un autre pseudo) dans le livre javoue.com ! Sympa, déjà que j’avais été publiée censurée sur le site…. Du coup, j’ai enfin trouvé une réponse à cette question que les vieux n’arrêtent pas de me poser, à savoir « quels sont tes objectifs dans ta vie ? ». Maintenant c’est décidé, je leur répondrai avec un grand sourire : « être dans le prochain Javoue Tout ! ». -> Meilleur Aveu 29/08/2005 <-
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La Grande Ourse, 23 ans, Paris
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J’avoue qu’en écrivant la lettre aux Editions CVMag j’avais des doutes. J’entends encore mon père, me dire «Non mais ça sert à quoi ce que tu fais ? T’as déjà vu quelque chose de gratuit ? Ils n’ont aucun intérêt dans cette histoire ! Lâche l’affaire !». Ainsi je n’étais pas sûre que mes copines et moi allions recevoir le fameux livre Javoue Tout en question. Mais si ! Hier on en a chacune trouvé un exemplaire dans la boîte aux lettres et elles m’ont toutes appelées pour me remercier. C’est fou quand même ! C’est juste un livre et pourtant ces anecdotes nous procurent un plaisir certain ! Et même si les dédicaces ont un peu étonnées ( «ben si ça vient d’elle mais j’comprends rien, c’est pas son écriture !» ), je tenais à mon tour à dire un grand merci à Daniel pour ces séries de dédicaces et pour ces envois gratuits de confessions contemporaines.
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