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| Katia, 18 ans, Paris |
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J'avoue que rien ne va plus. J'avoue que je suis un câble sous haute tension et que j'ai besoin qu'on me débranche. |
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| Katia, 17 ans, Paris |
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J'avoue que j'en ai marre de cette ambiance de merde à la maison, j'avoue que tout le monde refait l'histoire à l'envers et me désigne comme étant la méchante alors même que je suis l'une des victimes. J'avoue que toi, ma grande soeur chérie, tu me reproches de ne pas assez m'intéresser à la vie des autres alors même que je connais toutes les péripéties de ton histoire palpitante par coeur tandis que tu ignores tout des miennes. Tu n'as pas été foutue de me demander si j'avais perdu ou pas ma virginité alors que ça fait bientôt un an que je suis en couple. C'est toi qui ne sais rien de ma vie, c'est toi qui fait de ton mélodrame personnel le centre du monde. J'avoue qu'on essaie de me fait croire que c'est moi qui ne vais pas bien alors que je n'ai jamais été aussi heureuse, je ne me suis jamais sentie aussi vivante que dans ses bras. Mais ça, vous ne voulez pas le voir. J'avoue que vous me croyez mal... avec vous, je le suis assurément. Quant au reste... j'avoue que vous êtes loin du compte. |
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| Katia, 17 ans, Paris |
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J'avoue qu'il est 23h44, que je suis en plein milieu de ma dissert de philo que je devais rendre pour avant-hier. J'avoue que mon super prof nous a laissé deux super jours de répit et que j'en ai super pas profité. J'ai besoin de tout faire la veille, de préférence quand il y a 3 bons contrôles le lendemain (c'est tout-de-même plus drôle !), de sorte que je dois me répartir ma nuit façon DIT (Division Internationale du Travail) sauf que c'est tout sauf international et que je me tape toutes les étapes du taylorisme seule... Je déconne, je le sais, ils le savent. L'homme est perfectible, non ? Pourquoi j'apprends pas de mes erreurs, moi ? Je suis soûlée, profondément amoureuse, définitivement amourée (néologisme, et alors ?), il faut que j'arrête de fumer, maman, j'aime pas que tu me regardes avec cette tristesse dans les yeux. Je retourne à ma philo, et puis pour les contrôles, ce sera au talent. Les notes, ça ira... J'avoue que le pire, c'est toujours de se détester toute une nuit avant une journée prévue depuis mille ans... Incorrigible, cette enfant. |
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| Katia, 17 ans, Paris |
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J'avoue que je reviens de vacances, je viens du moins d'achever le premier acte de l'été. J'avoue que mon cher et tendre a tout bonnement refusé de rejoindre sa maison de vacances à Deauville juste pour me voir 3 jours. Deux semaines de rêve au détriment de trois jours au parfum d'éternité. On n'a plus que demain à se voir avant que tu t'envoles à l'autre bout du monde, mon chéri... Sous mes allures désinvoltes qui te font sourire, je ne le vis pas très bien. Je suis d'une indépendance folle, tu le sais trop bien. Tu en as eu peur mais tu t'es juré d'y remédier, un peu. Mission accomplie, mon ami. Je suis dorénavant perpétuellement hantée par tes baisers, par tes mots, ta voix, ta douce étreinte. Un mois sans ça ? Ah, il y a toujours plus malheureux que soi, dit-on. Feuille verte, tu appelles à l'aide et j'ose te répondre. Je ne peux te donner qu'un conseil mitigé. Si ton grand amour a une certaine profondeur pouvant ressembler à de la fiabilité, fonce, rejoins-la et commence à vivre. L'argent ne fait pas le bonheur, la gloire et la stabilité subie non plus. Extirpe-toi de ce dilemme qui n'en est pas un. Tu la veux, cours vite la posséder si tu ne veux pas te retrouver sur ce site dans dix ans pour y inscrire ces mots: "J'ai de lourds regrets..." Amphigouri, souris à la vie et elle te sourira. Crois en toi et le reste du monde suivra. Tu mènes la danse, ne la subie plus... 21 ans et pas de copine... Envie de dire que ce n'est absolument pas dramatique, ça fait partie de ton histoire, de cette histoire que l'amour de ta vie aimera tant... Alors n'attends rien et tout viendra, parole de scout (je ne suis absolument pas scout mais qu'importe !) J'avoue que le temps dehors est pourri mais que ça reste une bien jolie journée. |
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| Katia, 17 ans, Paris |
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J'avoue que je passe mon oral de français demain 8h. J'avoue que j'ai exactement 22h pour apprendre 20 commentaires composés ainsi que 15 fiches de textes complémentaires par coeur. J'avoue que j'ai toujours été la meilleure en français sans en foutre une. J'avoue que ce BAC vient de m'offrir le défi de ma vie. |
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| Katia, 17 ans, Paris |
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J'avoue que je t'aime. Tu m'appartiens et je suis tienne... Mon orgueil ronronne. Cela fait deux mois, deux mois qui ne veulent rien dire sans les trois qui ont précédé. Deux mois qui ne veulent rien dire sans Sartre et Camus. Deux mois qui ne veulent rien dire sans les sacrifices, le doute et l'autre que tu n'aimes toujours pas. Deux mois qui ne veulent rien dire sans nos cafés, sans ton regard, sans ce désert froid qu'était ton être. Deux mois qui ne veulent rien dire sans ce concert et sans ces larmes. J'ai grandi. En quatre mois, j'ai grandi. Toi aussi, je t'ai rendu beau. Plus beau encore si c'est possible. Ces mois... ça ne veut rien dire. Non ça ne veut rien dire puisque nous savons ce que nous sommes. Ce que nous sommes devenus. |
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| Katia, 16 ans, Paris |
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J'avoue qu'on dit du lycée que ce sont "les meilleures années de sa vie". J'avoue que je n'en suis pas si sûre. Les gens me déçoivent... Je passe mon temps à me projeter à 20 ans, comme quand j'avais 12 ans et que je me projetais à 16. Je vis dans l'anticipation. Dans l'attente de lendemains meilleurs. J'attends de rire contre le vent, fort et beaucoup plus longtemps. J'attends de ne plus être fatiguée de la vie, de me réveiller de cette léthargie pesante. J'attends l'écho d'une âme insoupçonnée. J'attends, j'attends... C'est beau, le lycée. J'avoue qu'on dit du lycée que ce sont les meilleures années de sa vie... J'espère que le mec qui a dit ça avait tout faux. |
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| Katia, 16 ans, Paris |
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J'avoue que je pars au Royaume-Uni la semaine prochaine et que ça m'est totalement égal, moi qui ai d'habitude l'esprit aventurier. J'avoue que ces derniers temps, j'éprouve un détachement des choses ou de la vie tout-à-fait flippant et que plus rien ne m'attire ou ne m'effraie. Ni d'avoir 4 contrôles demain en n'ayant que des aveux dans la tête. Ni la perspective de le croiser, lui. Cette phase "j'm'en foutiste" commence à traîner en longueur mais j'avoue qu'elle a du bon. Je ne me prends plus la tête pour x ou y facteur. Je n'ai pas le temps d'être démoralisée à la perspective de quoi que ce soit puisque je ne me projette plus. Je me laisse vivre... Je crois que j'attends quelque chose. Mais... quoi ? |
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| Katia, 16 ans, Paris |
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J'avoue que plus je vagabonde sur ce site, plus j'ai l'impression d'y être étrangère. J'avoue que beaucoup des aveux font un clein d'oeil à ce Daniel que, moi, je ne connais pas. J'avoue pourtant que, si je connais ce site, c'est qu'une personne l'ayant un temps cotoyé m'en a dit le plus grand bien. Elle disait qu'il avait créé ce site étant adolescent et qu'il avait grandit avec, comme ses internautes. J'avoue que je voudrais rentrer dans la ronde de cette famille recomposée. J'avoue aussi qu'on ne choisit pas sa famille et que je ne le sais que trop bien. |
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| Katia, 16 ans, Paris |
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J'avoue que j'aime beaucoup ce site. Que les aveux exprimés se mêlent et s'enlisent dans un amas de douleur, de joies enfouies et de frustrations diverses. Que vos tourments me chagrinent et m'apaisent, qu'ils me touchent et me soulagent. J'avoue que j'ai 16 ans et que j'ai fais de belles choses. Je suis constamment respectée, admirée et louée où que j'aille... C'est dans l'ordre des choses. J'ai des facilités d'expression qui peuvent laisser coi, un humour singulier et une personnalité attirante. J'avoue que ma famille me reproche d'être parfois prétentieuse, simplement parce que je rapporte les compliments qu'on m'a à nouveau fait. J'avoue que je ne suis pas arrogante mais que je me sens souvent supérieure. Malgré moi. C'est mal, je sais. Pourtant, je ne peux pas nier l'évidence... Tout autour de moi me semble médiocre. Ces filles au lycée sont à des années lumière de moi par leur futilité exaspérante. Ces garçons me regardent avec la crainte du mystère et de l'inconnu subtil... Comment puis-je garder les pieds sur terre lorsqu'on me ligote à ce piédestal ? J'avoue que je me pose souvent la question. |
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| Katia, 16 ans, Paris |
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J'avoue que je m'autorisais à le regarder parce qu'il était trop beau pour être vrai, trop beau pour soupçonner mon existence. J'avoue qu'on a échangé un long regard d'une intensité troublante et que j'en ai frissonné. J'avoue que je veux le croiser à chaque instant au lycée... J'avoue que son charme m'oppresse comme il me permet de respirer, que son charisme me tue comme il me garde en vie, que sa profondeur me blesse comme elle me ravit. J'avoue que j'ai compris aujourd'hui que je lui plaisais et que j'hallucine toujours autant. J'avoue que mes amies me disent de foncer et que je pense tout haut que nous c'est différent, que c'est beaucoup plus subtil. J'avoue que je ne sais ni quoi faire, ni quoi dire... J'avoue que je veux qu'il ose m'aborder de sa voix transcendante et qu'il m'embrasse comme une évidence. J'avoue que je trouve notre lien impalpable, pur et beau, terriblement beau. J'avoue que je me sens exister dans son regard, à présent, et que je veux me glisser dans son étreinte. J'avoue que je risque de quitter la ronde des célibataires d'ici quelques temps... |
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| Katia, 15 ans, Paris |
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C'était il y a quelques années, du côté de Strasbourg... En effet, ma chère famille accompagnée d'un couple d'amis et de leur fils de 5 ans Julien se rendait au Sud pour les grandes vacances. Nous avions décidé de faire une halte au McDo du coin... Nous avons commandé nos menus ; le petit Julien avait réservé son happy meal (comme tout enfant qui se respecte) et voilà que nous mangions tous avec grand appétit. Au bout d'un moment, la maman du petit Julien s'est rendu compte qu'il n'avait pas eu son Actimel... Et voilà qu'un scandale éclata dans l'établissement... Cette chère mère qui hurlait à qui voulait l'entendre que les employés du McDo étaient des incapables réclamait donc son Actimel et en vitesse... Les employés lui présentèrent des excuses confuses et s'exécutèrent sur le champ pour à laver l'affront... Finalement, tout est rentré dans l'ordre et Julien a pu déguster son dessert tandis que je cachais discrètement la bouteille vide du premier yahourt qui était censé ne jamais avoir été inséré dans le menu enfant de Juju... J'avoue que c'est moi qui l'avais bu. J'avoue que je ne me suis jamais dénoncée. J'avoue que je l'ai fait inintentionnellement et qu'il m'était sortit de l'esprit que c'était pour Julien. J'avoue qu'à ce jour, j'en ai encore des remords... Ah, lâcheté, quand tu nous tiens... |
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| Katia, 33 ans, Paris |
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Une vie de façade, pour combien de temps encore ? Un amant adorable mais dont je ne suis pas éperdument amoureuse, pas le même que l'an dernier. Un mec sur qui je viens de flasher, et qui m'est inaccessible pour un tas de raisons. Ca fait un beau merdier... Mais quand est-ce que je vais m'en sortir de tout ça ??? |
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| Katia, 33 ans, Paris |
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J'en ai marre d'échanger des "bonne année" à tire-larigot, avec des sourires en veux-tu en voilà. Surtout que la majorité provient de gens qui n'en ont rien à faire de moi. Et réciproquement. Et en plus, je suis à peu près sûre que mon année ne sera pas bonne. Alors arrêtez de me tanner ! Vivement février. |
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| Katia, 32 ans, Paris |
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Ca y est, j'ai changé de job. Du coup, j'ai moins le temps de penser à moi. Du coup, j'ai moins le temps de penser à lui. Mais parfois ça me reprend quand même. Et parfois encore je me conduis comme une idiote, en essayant de voir dans ses yeux des choses qui n'y seront plus jamais. Et puis, ça passe... Et ainsi passe ma vie. Dans cette impasse d'où je n'arrive pas à sortir... D'où je ne vois pas comment sortir... Et ainsi passe le temps. Avec son lot de rides et d'anti-rides, et je me dis qu'un jour, je ne plairai plus... Et ce jour-là me glace d'avance. Alors, je joue avec leurs regards. Je me montre gentiment sexy, mutine, un peu provocante. Mais s'ils savaient quel désert est ma vie... Lui, il avait su m'en tirer un peu, de mon désert. C'est sans doute pour ça que j'ai tant de mal à l'effacer. Et je pense que je n'y arriverai pas complètement, tant que je n'aurai trouvé personne d'autre à aimer. Je voudrais quelqu'un à aimer. |
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| Katia, 32 ans, Paris |
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Il paraît que les 3 piliers d'un couple sont : l'affectif, le sexe, et les projets. J'ai lu ça dans un bouquin de psycho. Le problème, c'est quand on a ça avec 3 personnes différentes... Un mari pour les projets, un ami pour l'affectif, un amant pour le sexe. Bon, l'amant je ne l'ai plus, ça vient de se terminer. Et l'ami, c'est un ex-amant avec qui je renouerais bien volontiers... S'il voulait encore. Dire qu'avant j'avais tout ça avec mon mari. J'avoue que je ne le quitterai pourtant pas car c'est le meilleur papa du monde. Alors voilà, j'espère retrouver bientôt le pilier qui me manque... |
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| Katia, 32 ans, Paris |
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J'avoue que je n'arrive pas à faire comprendre mes choix de vie. J'avoue que de nos jours, une femme qui reste avec son mari juste pour ne pas briser le cadre de vie de ses enfants, ça fait super ringard et incongru. Et pourtant je ne vois même pas comment je pourrais faire autrement. J'avoue que je le vis parfois très mal, mais je tiens bon. J'avoue que j'aimerais bien pouvoir parler avec quelqu'un qui ait fait le même choix. |
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| Katia, 32 ans, Paris |
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J'avoue que j'ai plein de raisons de déprimer. Ma vie conjugale a tourné en eau de boudin depuis un bon moment déjà. Je rentre chez moi tous les soirs avec des pieds de plomb. Ca fait plus d'un an que j'essaie de changer de poste dans ma boîte, et ma collègue y arrive du premier coup. Moi j'ai été prise pour un poste qui finalement ne s'ouvre pas, c'est bête, non ? Mon amant est sur le point de déménager à des centaines de kilomètres, et de toute façon il n'est même pas amoureux de moi. Le dernier mec dont j'aie été amoureuse, et pour qui j'ai encore un peu trop d'attachement, s'emberlificote dans une histoire pas possible avec une nana hystérique qu'il ne veut plus tromper... J'avoue j'ai fauté avec lui par le passé. J'ai de la cellulite et des seins tombants, même si j'arrive à le cacher et qu'on me trouve plutôt mignonne en général. Et je n'ai jamais été aussi près d'être vieille. Et pourtant, aujourd'hui, j'ai une de ces pêches ! J'avoue que ça ne va sûrement pas durer... |
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| Katia, 32 ans, Paris |
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J'avoue qu'il fait très beau, très chaud et que je suis très triste. J'avoue qu'au sujet de ce mec qui ne sort jamais très longtemps de mon esprit, j'ai un regret, ne pas avoir su assez profiter de lui au moment où je le pouvais, un constat amer, un autre amant n'a pas suffi à me le faire oublier, une crainte, me pourrir la vie pendant les semaines qui viennent avec toute la série des "il y a un an", un espoir raisonnable : tenir un jour la seule promesse que je lui aie jamais faite. J'avoue lui avoir dit tout à l'heure que je pensais encore trop à lui, alors que ce n'était pas trop le moment, et que c'est un aveu de faiblesse dont j'aurais pu m'abstenir. J'avoue qu'envers et contre tout, malgré ce qu'il vit de son côté et ce que je vis du mien, je ne m'interdis pas l'espoir qu'il puisse y avoir, un jour, un autre faux pas. J'avoue que c'est peu réaliste et stupide, d'autant que je risque de me faire encore très mal. Comme si je n'avais pas déjà assez souffert pour ses beaux yeux. J'avoue que malgré tous les trésors de volonté que j'ai déployés ces derniers mois, je suis obligée de me rendre au constat que "c'est plus fort que moi". |
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| Katia, 32 ans, Paris |
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J'avoue avoir deux hommes dans ma vie en ce moment. L'un pour le quotidien et la vie de famille, et l'autre pour l'ombre et l'évasion. J'avoue n'être amoureuse ni de l'un, ni de l'autre. J'avoue être encore amoureuse d'un troisième, un ex-homme de l'ombre qui m'a fait beaucoup souffrir, mais avec qui j'ai encore énormément d'affinités. J'avoue avoir cru autrefois, que mon amour c'était pour la vie. Je m'étais trompée... J'avoue avoir cru très longtemps, que jamais je ne pourrais tromper qui que ce soit. Et pourtant je l'ai fait... J'avoue avoir cru il y a encore peu de temps, que je ne pourrais pas avoir une relation sans sentiments. Et pourtant c'est ce que je vis en ce moment... J'avoue avoir cru aussi, que cette nouvelle histoire me détacherait définitivement de l'autre. Mais c'est presque le contraire. J'avoue en apprendre beaucoup sur moi-même ces temps-ci. J'avoue avoir 3 hommes dans ma vie en ce moment ! |
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| Katia, 32 ans, Paris |
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J'avoue qu'il y a des moments où mon découragement surpasse ma combativité. J'avoue que des journées comme celle-ci, à courir entre les urgences familiales et professionnelles, sans aucune reconnaissance de part et d'autre, me donnent envie de prendre mon manteau (saleté de temps) et ma bagnole pour aller n'importe où. Enfin... de préférence aller le retrouver, lui, qui est ma secrète bouffée d'oxygène depuis quelques semaines. Dommage, simplement, qu'il ne soit pas amoureux de moi... |
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| Katia, 19 ans, Paris |
| J'avoue ne rien comprendre à mon histoire. Depuis un an, je suis follement amoureuse d'un mec à l'école. Ca avait l'air réciproque... Très réciproque, même. Je me suis donc finalement décidée à lui avouer mon amour dans une lettre... et j'avoue avoir pleuré toutes les larmes de mon corps lorsque son ami m'a dit que le gars en question avait jeté la lettre sans même l'avoir lu. J'avoue avoir eu envie de le détester mais j'en suis pas capable. C'est plus fort que moi, je l'aime. Seulement, j'avoue que je commence à être attirée par un mec que j'ai connu il y a pas longtemps. J'aimerais qu'il se passe quelque chose, mais j'avoue que ma meilleure amie n'aimerait pas que je flirt avec son mec. |
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