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| Helios, 26 ans, Lyon |
| Je me, demande si je suis pas un peu, voir beaucoup, narcissique... Je m'explique : à chaque fois que je croise un miroir, j'ai envie de regarder dedans et j'essaie de ne pas le faire en me disant "non, pas besoin". Peut-être est-ce plutôt un manque d'assurance ? Je ne crois pas, car il m'arrive souvent de remarquer quand je me promène qu'on me regarde, plus de femmes que d'hommes, mais les deux quand même. Alors j'essaie de voir si ma braguette est ouverte, ou si je n'ai pas du nutella sur ma face... Et non, alors là je me mets à penser que c'est que... je suis beau gosse quand même... C'est grave docteur, à mon âge ?! Quelqu'un peut-il me donner son avis ce serait gentil, merci. |
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| Helios, 26 ans, Lyon |
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Je viens de relire mes aveux ! C'est génial de relire ses aveux, c'est sûrement ceux qu'on lit en premier ! On est toujours impatient de les voir et on espère secrètement qu'on fera parti des meilleurs aveux... Mais fort heureusement, je ne figure pas dans les meilleurs... C'est vraiment trop mielleux ce que j'ai écrit ! Je me fais honte ! Je félicite au passage les pauvres yeux qui ont dû lire mes niaiseries ! |
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| Helios, 26 ans, Lyon |
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Toi que j'appelai princesse, une fille si belle, une amie si proche, un grain de folie si plein de vie, si futile mais si attendrissante. Te souviens tu comme moi de nos fou rires ? Je n'ai pu oublier tes yeux si malicieux, ta bouche sensuelle et tes courbes délicates avant et après la "petite" touche que tu as voulu ajouter. Ce n'était vraiment pas la peine mais, le regard des hommes est si important à tes yeux ! Princesse, tu as fais une belle distance pour me voir avant mon départ pour rejoindre ma bien-aimée ! Quelle tristesse que les choses se soient mal passées ! Quelle tristesse que tu sois si sotte parfois. Mais c'est toi ! Je t'admire tu sais ! Même si ta moralité n’est pas à l'épreuve des désirs de ton corps ! Quelle tristesse que ma moitié soit si rancunière même si j'ai essayé de la persuader (à juste titre) que tu n'as jamais voulu faire de mal ! Je ne peux t'oublier ! J’ai honte de repenser à nos baisers volés en sortant de soirées, ta façon de me présenter ce chewing-gum entre tes dents d'une blancheur aveuglante pour mes yeux alors si admiratifs ! Le contact de tes lèvres si douces et de ta langue caressante, ta main cherchant la mienne pour en obtenir des caresses intimes. Ton trouble qui suivait le lendemain pour m'expliquer tes agissements. Tu avais l'air si gênée j'ai cru comprendre que tu n'osais pas entretenir de vrai relation avec moi de crainte de troubler l'ordre établi dans notre groupe d'amis... C’était dur à croire car tu n'as jamais trop eu de moralité quand tu désirais une étreinte d'un autre, pourquoi cette différence avec moi ? Tu n'as pu me mentir pourtant, à quoi bon entre nous ! Puisque tu m'as rejeté quand j'ai voulu t'avoir pour moi seul. Peut être me connaissais tu mieux que je ne le pensais. Que tu ne voulais prendre le risque de nous froisser car ta fidélité a toujours été relative... Et je ne peux vivre d'histoire d'un soir, trop vieux-jeux sans doute. Je me souviens encore ce soir où blessée dans ton coeur tu as voulu trouver un réconfort charnel auprès de moi. Quel atroce supplice de me refuser à toi, à ton corps si désirable, à ton visage si magnifique, à tes lèvres si enivrantes, à ta langue qui m'avais donner des frissons. Je n'ai pu te résister que 5 fois. Et je me maudissais en même temps d'être si droit. Mais je te chérissais plus que mon désir et je savais que tu souffrais du manque d'un autre ! Je ne pouvais ni ne devais le remplacer. Heureusement l'arrivée de nos amis nous a empêché de nous livrer aux ébats entre nous ébauchés. J’aurais fait un bien piètre amant, toi qui as connu tant d'hommes ! J'aimerais te serrer tendrement dans mes bras comme le soir où nous avons dormi ensembles enlacés, tendrement, juste tendrement... Saches que tu me manques beaucoup et que je pense souvent à toi... J'espère que tu vas bien et que tu as retrouvé l'amour fou auprès d'un homme digne de toi. |
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| Helios, 26 ans, Lyon |
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J'avoue tout : Je suis avec une femme magnifique, belle sensible, intelligente, amoureuse (de moi). j'avoue qu'elle a biensûr des défauts mais si peu. J'avoue que je la convoitais depuis longtemps puisqu'on se connait depuis 10 ans et je ne savais pas qu'elle aussi (sauf les 4 dernieres années). J'avoue que notre histoire comme tant d'autres a été compliquée. Que j'y ai perdu des amis... J'avoue que je repense à mon ex qu'elle haït pardessus tout mais sans aucun sentiment, juste comme ça. J'avoue que tu es une déesse mon coeur ! Et que je suis un démon... |
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