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Christianblack, 30 ans, Bruxelles
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J'avoue que j'ai recontacté mon ex A., juste pour lui souhaiter bon anniversaire, mais le fait qu'elle me réponde et que le message soit si positif, cela m'a touché.
J'avoue qu'on s'est séparé mon ex et moi avec perte et fracas et que jusqu'à aujourd'hui, je dois l'avouer je pense très souvent à elle, vous me direz mais qu'a-t-elle de plus que les autres, pas grand chose si on parle du physique car je peux vous dire que j'en ai rencontré des beaucoup plus belles mais elle a ce petit quelque chose qui quand je l'ai rencontré la première fois vous fait un choc comme un coup de poing de Mike Tyson en pleine tête.
J'avoue que je n'ose lui dire que je suis en couple, que ma vie a finalement bien changé et je redoute qu'elle me dise la même chose, car au fond de moi je voudrais être celui qui partage sa vie, comme dirait "Colonel Reyel".
J'avoue que je suis étonné que mon cœur puisse encore s'emballer pour une histoire/relation qui date de plus de 6 ans, mais comme on dit je l'ai dans la peau !
J'avoue pourtant que je suis devenu un libertin, que je ne suis plus fidèle et ce depuis qu'elle et moi nous nous sommes séparés, ma réflexion de l'époque était pourquoi rester fidèle, vu que même comme cela elle vous quitte sans dire pourquoi !
J'avoue que je pense tous les jours au fait que je pourrais quitter ma copine du moment, qu'au final pas grand chose nous retient et qu'elle et moi sommes au final bien plus différent qu'il n'y paraît.
J'avoue que cela me fait mal au cœur car je l'apprécie vraiment beaucoup, mais je ne l'aime plus, c'est un constat d'échec, quelle triste fin me direz-vous, la question est quand, et les lecteurs de cet aveu me diront mais il est lâche car il ne l'a pas encore quitté, je leur réponds c'est vrai, je suis sur ce coup-là très lâche car au fond de moi c'est sans avenir, je me rends compte que je suis un solitaire endurci et cela je le dois à A. et à notre rupture d'il y a 6 ans.
J'avoue que je console mon mal-être avec des filles d'un soir, des relations tronquées, des tromperies infâmes, des mensonges, mais que cela me permet de me sentir vivre ou plutôt de repousser le moment où la vie n'aura plus de réel goût.
J'avoue qu'aucune des deux ne comprendraient ma vision de la vie actuelle et mes nouveaux fantasmes sexuels entre domination (je suis un Maître), femme soumise, soirée d'initiés, sexualité débridée, j'ai changé et je ne pourrais leur avouer que je ne suis plus un simple amant, compagnon, joueur de jeux sexuel, il m'en faut plus, la relation simple, banale m'ennuie, il me faut du sensationnel, du orgasmique, du clinquant, de l'excessif, du politiquement incorrect !
J'avoue que 2012 sera une année pleine de défis, pleine de désirs, pleine de self control.
J'avoue que je péterais les plombs si je n'avais pas ce site et ses nombreux lecteurs anonymes pour partager ma schizophrénie, ma dichotomie de mes relations amoureuses.
J'avoue que parfois je me dis que je devrais consulter, est-ce grave docteur ?
J'avoue que je ne suis pas prêt d'arrêter d'avouer.
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Christianblack, 30 ans, Bruxelles
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J'avoue qu'au travail je matte à mort et sans retenue ! J'avoue qu'il y a quelques mois nous avons accueilli une nouvelle collègue L.
J'avoue que je regardais cette nouvelle collègue avec insistance car elle avait le regard d'une jeune femme naïve fraichement débarquée dans le monde du travail.
J'avoue qu'elle a de quoi plaire avec ses 25 ans, un joli minois, des cheveux blonds, des yeux verts, un corps de femme féconde, des hanches larges mais pas grosse, des seins moyens, une silhouette affinée et une petite bouche comme une adolescente.
J'avoue que de nos discussions à l'heure de table étaient au départ bien courtoises et amicales et sont devenues après un court laps de temps assez tendancieuses et mêmes grivoises, malgré qu'elle se défend toujours sous la variable de "l'hypothèse=si..." .
J'avoue que je l'ai surprise à de nombreuses reprises me matant indirectement, je pense qu'elle était intrigué par la "légende" sur les hommes noirs (rires).
J'avoue que rien que pour cela je voudrais renaître encore si cela est possible en homme noire, car beaucoup de femmes fantasment sur la chose et nous (je) en sommes les heureux bénéficiaires.
J'avoue qu'aux détours de l'une de nos discussions, elle m'a avoué qu'elle essayerait bien "si" l'occasion se présentait (il ne fallait pas tant m'en dire).
J'avoue que je lui ai fait du rentre dedans afin qu'elle comprenne bien que j'étais très intéressé, elle m'avoua qu'elle était en couple et qu'ils venaient d'emménager et que cette expérience extra-conjugale, lui taraudait l'esprit.
J'avoue que je dû m'employer pour lui donner envie..., pas facile de transformer une jeune femme timide et discrète en femme mangeuse d'hommes et demandeuse de plaisir.
J'avoue que j'étais assez fier de moi le jour où elle m'envoya un email pour me demander si j'étais libre certains jours car elle avait fait beaucoup de rêves érotiques avec moi comme partenaire et que l'envie devenait pressante...
J'avoue qu'elle me surpris un matin en me croisant dans le couloir, m'entraînant directement dans un petit coin discret et me délivrant un baiser digne d'une actrice du X...
J'avoue qu'elle me déclara ce matin-là qu'elle avait très très envie et qu'elle voulait que je la prenne dans le bâtiment... J'avoue que l'idée me plaisait bien, mais que notre département étant un lieu de passage important, cela aurait été malvenue de nous faire griller à deux en se tapant une partie de jambes en l'air. Je lui proposais un petit hôtel discret sur l'heure de table.
J'avoue que ces deux heures passées avec miss L. furent tout bonnement jouissives, cette jeune femme avait une faim de loup, de sexe devrais-je dire, durant 2h j'abusais d'elle sans qu'elle ne manifeste aucune réticence, ni tabou.
J'avoue que quand nous arrivâmes dans la chambre de cette hôtel et qu'elle me jeta littéralement sur le lit sans même me laisser le temps d'ôter un vêtement, qu'elle m'ouvrit le pantalon et me complimenta sur mon sexe avant de l'engloutir, je crus que j'avais en face de moi une nymphomane refoulée (et mon sentiment se confirma tout au long de notre joute sexuelle).
J'avoue que j'étais aussi étonné de voir qu'elle aimait qu'on la traite de tous les noms et qu'on la prenne comme une "salope" sans retenue, ni ménagement.
J'avoue que j'ai adoré abuser de son petit abricot comme de son anus sans modération.
J'avoue qu'on sua durant ce moment langoureux, qu'on cria de plaisir et nos corps emboîtés si parfaitement ne laissaient pas de place à la patience, tout était excès et luxure.
J'avoue que j'abusais de son corps à ma guise, que je lui fis ressentir tout mon être en elle, et qu'elle me cria plusieurs fois de ne pas m'arrêter.
J'avoue que de retour au travail, cette après-midi là, je n'ai plus su me concentrer et j'étais vidé (dans tous les sens du terme).
J'avoue que maintenant miss L. et moi sommes des "intimes", qu'elle a un toujours depuis ce jour un grand sourire quand on se voit, nos collègues ne comprennent pas, faut croire qu'ils sont peu imaginatifs.
J'avoue que parfois en fin de journée quand les effectifs sont nettement moins nombreux dans les locaux, miss L. et moi nous nous retrouvons dans les toilettes ou dans une salle de réunion pour que l'on se fasse plaisir et chacune de ses fellations est un pur moment de plaisir où son regard sadique m'enjoint à la prendre à nouveau sans ménagement.
J'avoue que j'adore mon job et mes collègues.
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Christianblack, 30 ans, Bruxelles
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J'avoue que Ju de Liège, j'adore les clubs échangistes, je ne sais pas si tu y as déjà été Ju ?
J'avoue adorer ces ambiances très particulières où la libido, les fantasmes des femmes et des hommes sont magnifiés par les rencontres éphémères et si jouissives !
J'avoue avoir déjà fréquenté pas mal de club dans la région.
J'avoue que ma femme demanderait le divorce et ne comprendrait rien au "côté obscur" de ma personne.
J'avoue avoir pu très souvent y assouvir mes fantasmes les plus lubriques ainsi que faire plaisir à pas mal de femmes voulant goûter à la "black touch" et oui on est black ou on ne l'est pas... si vous voyez ce que je veux dire !
J'avoue que Ju de liège, si on se connaissait je serais ravi de t'accompagner en club.
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Christianblack, 30 ans, Bruxelles
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J'avoue être parti en vacances avec ma copine chez ses parents dans leur maison du sud de la France, on y a passé une agréable semaine, son petit frère a une copine qui a un corps sculptural, des cheveux bruns soyeux et doux, des lèvres pulpeuses et savoureuses, des hanches mi-ado, mi-femme, des jambes fines et interminables, des yeux d'un brun profonds, qui exaltent à la sexualité et une paire de seins, qui n'a rien à envier au plus belles poitrines. J'avoue que durant les deux premiers jours, j'ai noué contact sans arrière pensé..., du fait que mon ambivalence va vers ma copine et des femmes (qui se veulent être des "salopes"). J'avoue que mon intérêt pour cette jeune femme grandit au fur et à mesure que nos regards, nos discussions, nos sous-entendus, nos effleurements dans la piscine, dans les couloirs de la villa, dans les hamacs m'intriguèrent et m’interpellèrent. J'avoue que quel ne fut pas mon étonnement de sentir, de savoir que j'avais bien en face de moi, une femme croqueuse d'homme "en herbe", une de ces femmes qui est sûre de son pouvoir d'attraction, de son charme et de sa capacité à faire retourner les têtes de la gente masculine sur un trottoir, sans avoir l'air d'y toucher. J'avoue qu'au deuxième jour, certaines de nos paroles firent qu'on comprit que nous étions des chauds lapins et que nous nous plaisions ! Maintenant comment faire pour passer un moment en-tête à tête alors que vous êtes entourés de votre belle famille, de votre beau-frère et de votre copine. J'avoue que moi mon truc c'est la course à pied et le vélo, elle est une sportive aussi, heureusement pour nous nos compagnons respectifs, eux ils n'aiment pas suer, s'ils savaient comme c'est bon, surtout quand on est collé-serré ! Nous décidâmes de partir faire toutes les fins d'après-midis, une rando à pied ou à vélo, nous étions seuls, tranquilles et on en profita pour se découvrir mutuellement, dans cette partie-là de la France, les lieux pour se cacher et se mettre parterre afin de faire l'amour ne manque pas. J'avoue avoir aimer découvrir le corps menu, mais ferme et exquis de ma petite L., elle était fraîche et généreuse dans l'effort, ouverte et voulant découvrir ce que son chéri du moment n'osait lui faire ou ne pensait lui faire..., je lui fis découvrir les joies de la luxure, de la pénétration anale, de l'excitation par la peur d'être vu, pris au moment de nos ébats. J'avoue qu'elle me fit jouir comme cela ne m'était plus arrivé depuis quelques temps, la jeunesse a ce quelque chose de tourbillonnant qui nous exalte quand on la côtoie. J'avoue avoir dévoré son corps, j'agrippais ses hanches, pétrissait ses seins comme si ma vie en dépendait, elle me le rendait bien par ses va et vient puissants, sa bouche doucet accueillante et ses caresses divines. Durant ce court mais agréable séjour rien ne transpira de notre liaison, mais le désir était chaque fois plus intense quand nous nous frôlions. A la fin de la semaine, nous rentrâmes sur Bruxelles, miss L. et son chéri me dirent qu'ils s'arrangeraient pour venir nous voir à Bruxelles et que ce serait chouette si je pouvais nous organiser (elle et moi évidemment) quelques moments de courses à pied ou de randos vélos, vous pensez bien que nous n'irons pas courir, mais bien passer un moment dans ma garçonnière à Bruxelles. J'ai hâte, miss L., de te chevaucher à nouveau et de partager avec toi ces moments de plaisir ô combien jouissifs.
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Christianblack, 30 ans, Bruxelles
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J'avoue, qu'en 2007, j'ai intégré une nouvelle boîte où j'y ai baisé toutes les plus jolies femmes du lieu, celles mariées et non mariées, de plus j'ai découvert le monde du libertinage, j'y ai pris goût et depuis j'adore aller en soirée pour y assouvir mes désirs sexuels les plus dingues. Pourtant depuis 2008, je me suis remis avec une ex d'il y a 10 ans, je l'aime beaucoup mais je n'arrive pas à me satisfaire que d'elle, elle me fait l'amour divinement bien, mais moi j'aime les salopes, les femmes qui aiment qu'on les traites comme telles et qui n'ont pas de limites, cette ambivalence me travaille tous les jours, mais jusqu'à présent j'arrive à gérer quand je suis avec ma copine et mes salopes d'un soir, mais pour combien de temps encore ?
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