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Bounty, 22 ans, Paris
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J'avoue que j'en chiale, que j'en crève. Cela fait trois mois que ce garçon, pour qui j'aurais tout donné, m'a rayée de sa vie sans aucun scrupule, sans aucune explication, sans aucun tact, aucun respect. Je devrais l'avoir oublié depuis longtemps, rien que pour cette raison, rien que pour le fait que je n'ai rien à me reprocher et que j'ai tout fait pour que les choses s'arrangent pendant qu'il faisait la sourde oreille.
J'en chiale bêtement, pathétiquement, et la douleur est la même, si ce n'est plus forte, qu'il y a trois mois. Je reste dans l'incompréhension la plus totale, avec ce désir qu'il comprenne ses torts, qu'il revienne et me prenne dans ses bras. Je peux lui pardonner sa bêtise, oui, parce que c'est un être humain avec ses faiblesses et ses défauts, autant que moi. Pourtant, il ne m'a pas acceptée telle que j'étais... c'est fou, je devrais garder ça à l'esprit mais c'est comme si je m'en moquais entièrement. J'avoue qu'il me manque attrocement... et que je pensais avoir guéri... jusqu'à ce que je tombe ce soir comme d'un fait exprès sur une vidéo sur laquelle il apparaît. Aussitôt, mon coeur s'est emballé et j'ai eu cette horrible douleur au ventre. Je suis mal.
J'avoue que je deviens folle...
J'avoue que je ne sais même pas pourquoi je me mets dans un tel état à cause de lui.
J'avoue que ça me fait du bien d'avouer, comme toujours, ces choses que je ne souhaite plus dire à mes amis, par peur de les lasser à force, tellement cette histoire m'obsède chaque jour.
J'avoue que pourtant sans eux, je serais vraiment bonne à enfermer car je n'ai jamais autant bougé, autant fait de choses et de projets, depuis qu'il m'a laissée tomber.
Merci Daniel d'avoir créé ce site.
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Bounty, 22 ans, Paris
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J'avoue que je prends toujours plaisir à lire tous les aveux...
Cela fait en fait pas mal sur l'amour ces derniers temps, ou bien est-ce une fausse idée.
Quoi qu'il en soit, j'avoue que je pense à vous tous, oui... je vous envoie à tous une pensée, vous souhaitant beaucoup de courage, d'y voir plus clair pour certains, de l'amour en retour pour d'autres, de faire les bons choix ou bien encore... tout simplement... de vous en sortir et d'être heureux !
Eh oui. J'avoue, je suis comme ça. J'aime mes semblables ce soir.
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Bounty, 22 ans, Paris
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J'avoue que je suis sur les fesses, de constater que les personnes qu'on croit connaître et que l'on cotoie depuis des années se révèlent tout à coup totalement différentes.
J'avoue que ces temps-ci, j'ai peur. Je ne sais plus à qui je peux faire confiance, étant donné que tant de choses peuvent changer.
J'avoue que tant qu'il a eu ce qu'il voulait, c'était un ange et maintenant il est devenu le diable en personne, et que j'ai du mal à y croire, à penser qu'il est lui-même et qu'il ne se cache pas derrière une façade pour ne pas souffrir.
J'avoue que je rêve qu'il revienne vers moi et me dise qu'il est profondément désolé pour tout ce qu'il a pu dire et faire, que je demeure à ses yeux cette personne si spéciale et précieuse, mais je ne peux compter là-dessus puisque si c'était vraiment le cas, il ne m'aurait pas manqué de respect (à ce point... enfin manqué de respect "tout court" en fait).
J'avoue qu'il est toujours dans ma liste de contacts et moi dans la sienne et que malgré mon "adieu j'te souhaite beaucoup de bonheur", je suis très surprise qu'il ne m'ait pas encore supprimée.
Veut-il une fois de plus me nuire ? Pense-t-il que je vais encore revenir vers lui ? Ou bien éprouve-t-il toujours des sentiments pour moi et ne veut-il pas au fond de lui faire un trait sur moi...
J'avoue que j'ai les boules. Les boules parce qu'à l'heure qu'il est, s'il m'avait acceptée telle que je suis, s'il m'avait laissé un peu de temps, connaissant mon douloureux passé, j'aurais pu lui donner mon coeur en entier et nous serions ensemble...
J'avoue que je le maudis... et que je ne vais pas m'empêcher de vivre à cause de lui comme je l'ai fait jusque-là, que désormais je vais tracer ma route et aller de l'avant, même si dans un coin de ma tête brillera toujours cette lueur d'espoir qu'il comprenne enfin ses torts.
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Bounty, 22 ans, Paris
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J'avoue que comme le dit la chanson de Serge Lama, je suis malade. Tout à l'heure, j'étais dans la voiture, je m'ennuyais en attendant mon grand-père et j'ai allumé la radio. La station qui s'est mise en premier fut Nostalgie (ne crions pas au cliché !). J'hésite, puis je décide de la laisser et d'écouter, histoire de... parce que je me dis que quelquefois, je suis contente quand je tombe sur du Piaf ou du Brel. J'avoue que déjà, le temps était pourri et qu'en plus, la radio semblait s'acharner à diffuser les pires chansons d'amours déçues. Synchronicité, destin sournois, conspiration, appelez ça comme vous voulez. J'avoue que "Je suis malade" s'est faite entendre. En moi, je me suis dit "ooh c'est de la rigolade ça". Mais, pour une fois, j'ai décidé d'écouter les paroles attentivement, comme jamais je ne l'avais fait, parce que je m'ennuyais vraiment. Il s'est avéré que je m'y suis totalement reconnue, au point de laisser involontairement mon esprit vagabonder et imaginer toutes sortes de choses, mais de préférence des images très tristes comme des souvenirs avec lui... Lui, moi, ses sourires, ses baisers, ses bras... et la façon dont il m'a laissée tomber comme une vieille chaussette. Les larmes me viennent. Miss, ressaisis-toi. Tu ne pleureras pas sur du Serge Lama. Même si. Et puis là... "La foule", de Piaf. Je me dis "celle-là, elle est plus gaie, non?". Alors, je respire un coup, je me sens mieux. Et puis mon imagination s'emballe à nouveau. Une masse de passants, lui, moi. Son corps contre le mien .Un sourire partagé. Nous vivons la chanson. "Et le flot sans effort Nous pousse, enchaînés l'un et l'autre Et nous laisse tous deux Épanouis, enivrés et heureux." Mais non, bonheur il n'y a pas. Et j'ai pleuré. C'est sorti tout seul. Je ne sais pas pourquoi. Je n'attends que lui. Qu'il revienne. Je suis pathétique mais je m'en fous. Je l'attends. J'avoue que je déteste Nostalgie.
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Bounty, 22 ans, Paris
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J'avoue que cette fois-ci je peux avouer dans la catégorie "Amour fou" parce que je ne vois vraiment pas ce que ça pourrait être d'autre...
J'avoue que tout est parti en sucette à cause d'une simple moquerie que tu n'as jamais voulu reconnaître, que ça a pris des proportions monstres et que je m'attendais bien à l'issue, puisque je sais bien qu'il te fallait un prétexte pour rompre une relation que tu n'arrivais plus à gérer.
J'avoue que tu m'as balancé des horreurs, que personne n'a jamais été aussi odieux, mesquin et cruel avec moi, surtout pour des raisons infondées, mais que je continue de t'aimer.
J'avoue que je dois être totalement maso pour continuer de ressentir ça pour toi après tout ce mal que tu m'as infligé volontairement.
J'avoue que tu me manques et que je continue de penser à ton sourire, tes caresses, ces moments passés qui semblent si loin d'aujourd'hui, tellement tu étais différent à ce moment-là.
J'avoue que cependant, je souris à l'heure qu'il est car, bien que tu m'aies supprimée de tes contacts et affirmé que tu ne reviendrais plus vers moi, tu y seras obligé car tu tiens beaucoup à ton FFX que j'ai gardé chez moi et tu voudras forcément le récupérer !
J'avoue que si seulement tu pouvais enfin reconnaître tes torts et enterrer la hâche de guerre, on pourrait être ensemble à l'heure qu'il est.
J'avoue que je t'aime.
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Bounty, 22 ans, Paris
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J'avoue que je fais tout de travers quand je suis en ta présence.
J'avoue que chacun attend ce que l'autre ne peut lui offrir, que tu es amoureux de moi et que je te considère comme mon meilleur ami.
J'avoue qu'il est interdit que l'envie de t'embrasser de de te faire l'amour s'empare de moi lorsque je te vois mais qu'à chaque fois je déconne à plein tube, que je ne peux résister à cette tentation, et que je craque...
J'avoue que j'en suis terriblement désolée. Pour tout le mal que je t'inflige sans le vouloir, pour tout le mal que je me fais à moi-même.
J'avoue que je suis désespérée depuis que tu m'as dit qu'il fallait que nos routes se séparent pour que ce soit "plus facile", pour que tu m'oublies...
J'avoue que je t'aime. Je ne t'aime hélas pas comme tu le souhaiterais mais c'est si fort pourtant... tu es mon ami, mon âme soeur, mon confident, mon frère, une partie de moi... et l'idée de passer le reste de ma vie sans toi, sans te voir, sans te parler, sans plus rien échanger avec toi me terrifie, me rend malheureuse et vide.
J'avoue que je n'ai jamais rencontré quelqu'un comme toi.
J'avoue que c'est interdit dans un sens de ressentir tout cela et d'être aussi contradictoire avec toi, mais peut-on vraiment s'empêcher d'avoir tel ou tel sentiment ?
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Bounty, 22 ans, Paris
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J'avoue que j'aurais aimé classer cet aveu dans la catégorie "Amour fou" mais ça n'est pas le cas et ça me rend malade. J'avoue qu'il est mon ami depuis 5 ans, qu'il est amoureux de moi depuis le début, et que moi non. J'avoue que depuis que l'on s'est vus en vrai il y a quelques mois (on s'est rencontré sur le net au départ), je l'ai considéré autrement : une forte attirance est née. J'avoue que ce désir a foutu une pagaille monstre dans ma tête et m'a bien embrouillée comme il fallait... et que j'ai craqué. J'avoue qu'on a fait l'amour. J'avoue que c'était merveilleux. J'avoue que la dernière fois qu'on s'est quitté sur le quai de mon RER, le baiser qu'on a partagé était planant. J'avoue que ça ne pouvait pas durer et que je lui ai dit qu'il fallait qu'on s'éloigne un petit peu, pour ne pas qu'il continue à espérer mon amour. Je l'aime mais je ne suis pas amoureuse. Je ressens de la tendresse, une amitié infaillible, une énorme attirance... Mais il manque ce petit quelque chose pour que ce soit de l'amour.
J'avoue que je l'adore et que je crève de peur que l'on s'éloigne de trop, mais on verra bien. J'avoue qu'il me manque, que je guette ma boîte mail, mon téléphone, dans l'espoir d'avoir un petit signe de lui, mais je dois grandir un peu et accepter que c'est la dernière chose dont on ait chacun besoin à l'heure qu'il est.
J'avoue que je me sens endeuillée. Une page se tourne sur un nouvel espoir mort-né de faire la rencontre et j'ai du mal à accepter cette angoisse au fond de moi, celle de rester seule à jamais.
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Bounty, 22 ans, Paris
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J'avoue que je suis légèrement exhibitionniste. Et ça, pratiquement personne dans mon entourage ne le sait, ce qui peut sembler curieux au premier abord. J'avoue que je laisse mon store ouvert quand je me déshabille le soir, alors que je sais que l'un de mes voisins est à sa fenêtre. J'avoue que j'aime ça. J'avoue que je n'ai aucun scrupule ni aucune gêne à me mettre complètement nue en imaginant la réaction que cela peut susciter chez lui, que je ne connais absolument pas. J'avoue qu'une fois, pour aller chercher un truc au fin fond de mon armoire, j'ai dû monter à l'échelle (mon armoire est assez haute et je suis relativement petite) et je ne portais alors en tout et pour tout qu'un string et qu'à ce moment précis, un autre voisin a décidé d'aller à sa fenêtre et de l'ouvrir... J'avoue que j'aime tout simplement que l'on me regarde, que l'on m'admire et que l'on me désire...
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