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Azizou, 35 ans, Rennes
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J'avoue que cette histoire est assez rocambolesque. J'avoue que je pensais que ce genre d'histoire ne pouvait arriver dans ce genre de films auxquels le scénario n'est pas plus épais qu'une feuille de papier cigarette. J'avoue que cette histoire m'est arrivé et que d'en parler va me faire un plus grand bien. Cette histoire est enfoui en moi et cela a été un changement de vie radicale. En tout cas, maintenant, à cause ou grâce à cette histoire j'ai une vie cachée.
J'avoue que pour me rendre à mon travail, il me faut environ 40 minutes de trajet par départemental, nationale et autoroutes. Je traverse divers villages, campagnes et forêt, cette dernière aura son importance pour l'histoire... J'avoue que sur le chemin du retour d'une bonne journée de travail, j'étais un peu las, voir fatigué. Au tout début de mon trajet, je sentais une présence, cette présence s'est manifesté, en regardant le rétro intérieur, par une voiture de marque Clio rouge qui me collat sévrement aux basques. J'avoue que je suis plutôt de tempérament impulsif et ce genre de situation me met la plupart du temps dans une colère noire. Mais là que nenni. Rien, nada, nothing... pourquoi ? Certainement la fatigue. Pas l'envie de me prendre la tête. J'ai fait signe à l'automobiliste de passer, nous entrions dans une portions de 2 voies. Ce qu'elle fît ! J'avoue qu'au passage de cette voiture, je n'ai point laché du regard le conducteur qui s'est avéré être une conductrice. J'avoue que j'ai insisté lourdement sur le reagard mais alors que je voulais lui faire la tête des très mauvais jours... J'ai souri ! Le sourire a été communicatif car la conductrice a souri également. Elle s'est calée devant ma voiture et je sentais qu'elle regardait souvent dans son rétro. Je décidais de la redoubler, en étant respectueux de la vitesse, et au passage je lui réitérais mon sourire, qu'elle me rendait. A mon tour de regarder dans mon rétro, un appel de phare de sa part, un coup de feux de détresse de la mienne. Elle décida de me redoubler, je la laissais faire en réduisant ma vitesse. Au passage on s'est regardé en simultané et franchement nous avons souris un peu plus que les fois précedentes. Un petit coup d'appel de phare de ma part, un petit coup de feux de détresse de la sienne. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque j'ai vu son clignotant droit se mettre en action alors qu'il n'y avait pas de route sur sa droite. En plus de son clignotant, elle me faisait de grands signes pour m'inviter moi aussi à en faire de même. J'avoue en quelques secondes je fus bousculé, mon coeur se mît à battre un peu plus, les mains tremblante et ne m'écoutant pas du tout, j'en fis de même. La voiture stoppée, j'étais là, assis et ne sachant quoi faire ! Ma conductrice sortit de la voiture, s'approcha de moi, du moins de la voiture dans un premier temps. Elle alla diretement côté passager, je m'empressai de déverouiller la fermeture automatique. Elle ouvrit, entra... Elle était charmante, souriante et jeune... Jeune mais assez vielle pour avoir le permis donc la majorité. Ouf ! Assis tous les deux dans ma voiture, elle prit les devants : "Tu me plais, j'ai une envie folle de faire l'amour, ça te dit ?". Waouuuuh !!! Pour une entrée en matière, au moins c'est du direct. Moi qui ne suis pas si vieux pour être vieux jeu, j'ai été quelques peu abasourdi. Moi : " Oui". Sans réflechir, sans même, me posait une seule question de conscience... Moi l'homme marié, enfants, aimant, fidèle voir donneur de leçons à mes propres amis me racontant les vertus de l'infidèlité. Pourquoi ce oui ? Je n'en sais rien. Toujours est-il qu'elle prit les choses en mains, m'invita à la suivre... Sa voiture. Quelques kilomètres plus loin, une sortie, que je connais parce ce que c'est celle que je prends, la fôrêt à droite, à gauche... partout. Je vois ! Pendant ces quelques minutes de trajet, aucun état d'ame, aucuns soucis, aucunes questions... J'étais là, assis dans ma voiture, suivant une jeune demoiselle qui m'avait invitait à lui faire l'amour, du moins à nous faire l'amour. Arrêt des automobiles, je ne tremble plus, j'ai bien respiré, me suis calmé intérieurment. J'avoue, le sport de haut niveau pratiqué durant quelques années m'a beaucoup aidé sur cette situation de stress. Elle sort la première, je suis... "Dans ta voiture, elle est plus grande ! me dit-elle ! Euhhh !! oui !" réponds-je, l'air benêt. On entre, je jette un oeil alentour. La voiture est elle à l'abris des regards, me semble que oui. Les préliminaires furent longs et sensuels. Je suis un dégustateur et l'ait fait jouir de ma langue... Dans ses yeux une complainte... S'il te plaît, j'en peux plus, viens, prends moi ! Le passage préservatif a cassé l'ambiance et le rythme... Mademoiselle avait tout prévu, même cela. Il a fallu se remettre à l'ouvrage et j'avoue que là c'est moi qui ait dégusté. J'avoue avoir été corrigé, net, précis et sans bavure. Après l'acte, nous sommes restés blottis l'un contre l'autre... Se donnant des petits baisers, son souffle se mélangeant à mon souffle. Je pense que l'on était bien. Je m'interroge, je me dis, nous nous sommes pas parlé, du moins si peu... Elle se rhabille, je ne dis rien, j'attends... quoi ? Je ne sais pas. Qu'elle parle, me dises des mots, des phrases... elle le fait : "Toi, je veux ton numéro de portable !". Je m'éxecute. A cet instant, je me rend compte que je suis faible, je suis un faible. Pourquoi tout cela ??? Les remords m'envahissent après son baiser et son... "je tappelle, on se revoit, d'acodac ?" Qu'ais-je donc fait ? J'ai envie d'hurler, crier, m'arrachait la tête, les tripes... Je reste là dans ma voiture comme un naze. Je reprends la route, plus j'avance de la maison, plus j'ai le ventre qui se tord comme un gosse qui a fait une grosse boulette. Comment cela va se passer à la maison ? Vais-je être comme d'habitude ? Le sixième sens féminin va-t-il se mettre en route ?
Je rentre dans la cour, femme et enfants sont là... Les remords se sont éstompés au fur et à mesure des jours. Pour cela je me suis vidé l'esprit au sport. Me femme croyait que j'allais reprendre la compétition. J'avoue que je pensais tous les jours à ma belle inconnue. Je ne sais même pas son nom. J'avoue que j'ai eu les nerfs de ne pas avoir de nouvelles d'elle. J'avoue que chaque jour, j'a scruté la route, à la recherche d'une clio rouge. J'avoue que j'étais heureux lorsqu'elle m'a contacté. Le répondeur de mon portable avait enregistré sa petite voix de jeune gazelle et j'étais comme un adolescant à l'écouter. Oui, elle voulait me revoir. Oui, elle voulait qu'on se mélange de nouveau. Oui, on s'éclate comme de fous à chaque fois. Oui, ma vie a changé depuis. Oui, ma femme trouve que je suis mieux qu'avant... plus doux, plus attentionné, plus aimant qu'avant. Oui je comprends mes copains maintenant. Oui, je sais que ce que j'ai fait est mal et ne suis pas en train de me persuader du contraire. Oui je me trouve degueu envers mes proches. Oui je me sens mal à l'aise chaque fois que l'on me prend pour exemple. J'ai envie de dire non, mais je suis un lâche. J'avoue que cela fait du bien d'en parler sur ce site. J'avoue que cela vaut toutes les visistes chez un psy. Oui je viendrais avouer de nouveau car j'en ai besoin pour me sentir mieux.
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Azizou, 35 ans, Rennes
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J'avoue que j'ai écouté France Inter ce matin entre 6h et 7h, le trajet pour me rendre au travail, et je me suis laissé bluffer, tenté par la rubrique de David. Ce dernier m'a mis l'eau à la bouche en parlant du site Javoue.com. Je suis un faible et n'ai pas résisté à la tentation d'aller jeter un oeil sur ce site. J'avoue que depuis ce matin je lis à m'en rendre aveugle. J'avoue que j'y prends un plaisir énorme...
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