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| Ava, 59 ans, Etretat |
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J'avoue... mes aveux ne sont plus publiés... il est arrivé la même mésaventure à l'un de mes amants... nous étions complices... je ne crois pas trop au hasard. Mais je n'en veux pas trop à Daniel Latif... Je le remercie pour mes aveux diffusés et le félicite encore pour la conception de son site. Une très bonne idée, sans flagornerie de ma part... Ai-je été trop envahissante, trop franche, trop impudique... Fallait-il davantage tenir compte des lecteurs timorés et "bien pensants"... et se censurer en conséquence. J'ai pourtant lu des aveux plus crus. A chacun ses goûts et ses dégoûts, après tout, celui qui veut noyer son chien l'accuse d'avoir la rage, c'est bien connu... On fait chacun son lit comme on se couche et nul n'est louis d'or... et nous sommes encore en république. Il est vrai que Georges Bataille écrivait : "la pornographie, c'est l'érotisme des autres !" écrire mes aveux était pour moi une excellente thérapie, un bon exercice littéraire et un grand plaisir... J'en parle d'ailleurs à mon "psy"... qui lit mes aveux depuis qu'il sait le pseudo sous lequel je me cache. Il trouve ma démarche intéressante, très instructive... Il lit quasiment tous les aveux du site, rien ne le choque, son métier n'est pas de juger mais de chercher à comprendre... Pour aider parfois. Revenons à mes aveux... Quelqu'un avait avoué les apprécier, il les avait même reliés à ceux d'un autre pseudo, l'un de mes amants, fin lecteur, j'en étais flattée et toute chose... Et je me suis sentie encouragée à continuer... Depuis, j'ai renoncé à écrire sur ce site... Découragée par les refus... |
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| Ava, 58 ans, Etretat |
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J'avoue...je regrette ces années où le sida n'existait pas.. La liberté sexuelle était totale. Je prenais la pilule... Nous lisions W.Reich, Emmanuelle Arsan, Pauline Réage ,tous les écrivains libertins. Il suffisait de se respecter soi même, ainsi que les autres... De simples règles d'hygiène étaient suffisantes. Aujourd'hui, impossible de se passer des préservatifs dès que l'on veut rencontrer sexuellement des inconnus. Une grande part de poésie s'est évanouie. On ne peut vraiment faire la fête qu'avec des ami(e)s de très longue date, la recherche du plaisir peut mener à la mort. Quelle tristesse... Je repense avec nostalgie aux années soixante et soixante dix... J'avoue, j'ai sucé de beaux étudiants pour plaire à mon amoureux, celui qui est devenu mon mari... Je le faisais très souvent sous la douche. J'avoue... dans une petite chambre de campus universitaire, j'ai accueilli entre mes cuisses plus d'un copain de fac, quelle que soit sa nationalité... Il suffisait d'une soirée un peu folle, d'un peu de champagne... Que de beaux souvenirs... Il me suffisait de m'abandonner à l'imagination sans bornes de mon compagnon... J'avoue... J'étais libre, jeune, audacieuse, amoureuse de la vie, de la beauté, de la jouissance. Ivre de mon corps, de son pouvoir de séduction... J'étais comme la jolie môme que chantait Léo Ferré. Ma prairie sentait bon, j'en faisais cadeau, ma source éclaboussait du bon dieu... Comme nous avons bien fait d'en profiter. |
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| Ava, 58 ans, Etretat |
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J'avoue... plus je me confesse, plus je mouille... J'aime à penser que des inconnus vont se masturber en lisant mes aveux... que des femmes vont se lâcher avec leurs maris ou leurs amants... que je participerai un peu à leur superbe jouissance. J'avoue, j'aime me sentir utile. J'aime quand mon mari abuse de mon corps. J'aime que mes amants me saccagent avec tendresse et savoir faire. J'aime quand ils éjaculent dans mes orifices en grognant, en gémissant, en criant mon nom, en me traitant de salope ! C'est si bon. |
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| Ava, 58 ans, Etretat |
| J'avoue... je m'assois sur les cuisses de mon mari, je lui tourne le dos, empalée sur sa verge... et je vous en fais l'aveu. Il me caresse les seins, lit mes confessions par dessus mon épaule, me mordille et me suce l'oreille. Cela me suffit pour atteindre de violents orgasmes... |
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| Ava, 58 ans, Etretat |
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J'avoue... mon mari m'a toujours procuré des amants, des amantes... En plus, je n'ai aucun mal à en trouver par moi même, étant donné les atouts physiques que la nature m'a généreusement offerts. Un beau visage, une grande bouche, des seins assez lourds, de longues jambes, une peau très douce... J'ai toujours aimé m'exhiber en privé, m'offrir, me laisser aimer, jouir toujours et davantage, obéir à l'appétit des êtres épicuriens et jouisseurs. J'avoue... qui s'assemble se ressemble. J'aime être regardée, mon mari adore me regarder... J'aime faire bander les hommes, mouiller les femmes... C'est si facile... Plus je donne de moi-même, plus je reçois... Je suce, on me suce, je caresse, on me caresse, je fais jouir, on me fait jouir... Il n'y a vraiment pas de mal à se faire du bien. J'aime aider les autres à se libérer, à être heureux. Il ne faut pas de tout pour faire un monde... Il faut du bonheur, rien que du bonheur ! |
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| Ava, 58 ans, Etretat |
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J'avoue... Il pleut, il vente... Je suce avec application des amis de longue date... ces messieurs passent l'après-midi chez moi... et me rendent la pareille. Je leur offre le café, le thé, du whisky, mes seins, ma chatte, mes reins, ma bouche... Ca fait bander mon mari... Ca ferait bander des millions d'hommes... |
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| Ava, 58 ans, Etretat |
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J'avoue... mon mari est mon confesseur... je suis appuyée sur les coudes, je tape les touches, penchée sur le clavier. Il me tient par les hanches, il va et vient avec lenteur entre mes reins. Il a toujours su se retenir, comme les vrais amants... Il caresse mon dos, mes fesses, mes cuisses... Il ressort de temps en temps sa verge raide, juste pour le plaisir de re-rentrer en moi. J'avoue être... trempée et surexcitée... il me dit des mots d'amour très crus, très raffinés... Je suis sa salope, sa pute, sa marie-couche-toi-là, sa femelle en chaleur, sa pipeuse préférée, sa nymphomane adorée, sa chienne, sa chatte, sa jument, sa lionne, sa courtisane, son harem, sa star de porno, son enculée, sa chose, son objet, son esclave, son réceptacle. J'avoue je suis tout cela et pire et mieux encore ! Je suis son ivresse, son paradis terrestre... J'obéis et j'aime, il me prend, me prête, me partage... Après mes aveux, je suce son gland, ses couilles, j'aime lui faire plaisir... Les femmes amoureuses me comprennent. |
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| Ava, 58 ans, Etretat |
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J'avoue... ne refuser aucun fantasme de mon mari. C'est un être doux et tolérant, cultivé et pacifique. Depuis plus de trente ans j'accède à tous ses désirs : je bois son sperme, je le laisse éjaculer où il veut, sur mon visage, sur mes seins, sur mes cuisses, dans mes cheveux... J'avoue que je suis sa poupée d'amour... Il peut me sodomiser, me prêter à ses amis, m'attacher, me fesser, me culbuter, me filmer, me faire poser pour son ami sculpteur. J'avoue être très amoureuse de sa personne, de son corps, de son sexe, de ses idées généreuses... J'aime le surprendre, le bluffer, le séduire, l'épater et j'y réussis de plus en plus... |
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| Ava, 58 ans, Etretat |
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J'avoue aimer écrire mes aveux... Je me caresse l'entre-cuisses de la main droite. Je suis gauchère et je tape d'un doigt sur le clavier, je suis toute trempée... J'aime avouer mes souvenirs de libertinage. J'avoue, mon mari m'accompagne toujours dans mes achats de sous vêtements, nous les choisissons ensemble...Un jour, la vendeuse était rousse, très jolie et rougissante. Et seule... Rapidement très troublée par notre complicité de couple, nous avons ri, plaisanté. A force d'allusions très fines, j'ai fini à genoux sur la moquette, en petite culotte, seins nus... Pour bien montrer l'exemple et faire tomber les timidités de chacun, j'ai rendu buccalement hommage à la verge de mon mari et nous avons invité la demoiselle pour une soirée très spéciale... J'avoue... mon mari s'est bien régalé. Il nous a matées des heures dans nos ébats lesbiens puis nous a fait nous agenouiller la tête dans le sofa, le cul perché bien haut. En bas, porte jarretelle et corset bien entendu, il nous a besognées lentement, l'une après l'autre... J'avoue... C'était la première sodomie de notre nouvelle amie. |
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| Ava, 58 ans, Etretat |
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J'avoue le plaisir de pouvoir dire vraiment qui je suis... Je ne pourrai jamais être moi même en famille. Pourtant... C'est si bon d'être libre, de piétiner les tabous hypocrites, j'avoue... J'aime que mon mari me fouille la chatte de sa langue, de ses doigts, de son nez, avec une bougie, une banane, un manche de plumeau, sa verge et tout objet à portée de sa main et de son imaginaire... J'avoue surtout que j'aime qu'il me regarde baiser avec ses amis, parfois trois en même temps... Je me sens belle, reine, désirée, désirable, à la merci de ces bouches, de ces verges affolées par mon audace... J'avoue, je suis fière... Des milliers d'hommes n'osent pas demander ces cadeaux à leurs femmes coincées, refoulées... J'avoue... Jouir, faire jouir... Summum de la volupté... Le vrai bonheur réside dans le partage et la générosité. |
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| Ava, 58 ans, Etretat |
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J'avoue... en plein restaurant, il me dit d'aller aux toilettes, il m'y rejoint. J'avoue, il me retrousse, me courbe sur la cuvette, les bras tendus, il s'enfonce d'un seul coup. Je me mords les lèvres pour ne pas crier, il se libère égoïstement en moins d'une minute, il ressort sans un mot, me laisse me débrouiller... Quand je reviens la beauté refaite, il me sourit, me baise la main et me ressert une coupe de champagne... Nous continuons de manger comme si rien ne s'était passé. Il m'offre des fleurs... J'avoue... |
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