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| -SeD-, 21 ans, Paris |
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Au début je pissais dans le lavabo pour éviter de traverser l’appartement la nuit et de réveiller tout le monde. Ensuite j’ai pris l’habitude pour l’envie du matin qui est trop pressante pour ne pas traverser les 10 mètres qui me sépare des toilettes. Peu à peu, je me suis mis à l’utiliser pour l’envie en rentrant de cours, quand les toilettes sont occupées, quand je n’ai pas envie de traverser le salon… J’avoue que j’ai peur de me réveiller un matin et de trouver un caca dans le lavabo. ->  Meilleur Aveu 01/01/2007 <- |
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| -SeD-, 21 ans, Paris |
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Cet été je suis encore parti en Chine pour les vacances. J’adore ce pays et chaque fois que j’y vais, je fais tout pour ne pas rentrer. Mais cette fois c’était une fois de trop… Mon père se mariait une semaine après mon arrivée, j’étais témoin, j’avais même acheté le smoking et les chaussures dans le style Men in Black mais sans les lunettes ni les gadgets anti-aliens. La veille je me suis décidé à faire une bonne chtouille pour fêter mon départ, la soirée où il faut dépenser tout l’argent qu’il nous reste, le bouquet final… Je me suis donc couché bien tard et bien saoul. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, le lendemain matin j’ai entendu le réveil, j’ai fait mon sac et je suis parti à l’aéroport encore tout titubant. Arrivé sur place, j’ai réalisé que l’alcool pouvait nous faire faire de belles conneries. La déprime accentué par l’état d’ébriété, j’ai pris la file d’attente pour Moscou. Je le savais, mais j’avais envie de me tromper, j’avais envie de rater mon vol tout en essayant de l’avoir pour me donner bonne conscience. Opération réussie, je l’ai raté. J’ai ensuite fait changer mon billet pour dans 2 semaines. Suite à quoi j’ai envoyé un beau mail à mon père en m’excusant milles fois. C’est tout ce que je savais dire, « excuse-moi » parce que je savais que ça ne changerai rien et j’étais trop content pour argumenter plus. Et le plus fort c’est qu’il y’a quelques jours, je le vois et il m’annonce « il y’a deux semaines c’était mon anniversaire et tu ne me l’as toujours pas souhaité ». Ouh la boulette ! Si un jour j’ai un fils, je voudrai pas qu’il soit comme moi… |
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| -SeD-, 20 ans, Paris |
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En fait c'est une histoire assez compliquée, il y'a trois ans j'ai eu une relation avec une fille. C'était vraiment pas sérieux, j'avais une autre copine en même temps et elle c'était "juste pour le fun". A l'heure actuelle je regrette trop ce que j'ai fait. Bref cette histoire s'est finie aussi vite qu'elle a commencé, on a dû rester deux semaines ensemble à tout casser et puis on s'est quitté. On se parlait plus mais on était pas en mauvais termes. Et deux ans plus tard, au début des dernières grandes vacances exactement, on s'est revus sur les quais de seine. Ce soir là j'étais pas spécialement fin, j'avais beaucoup bu, elle aussi. On a bien rigolé et le soir même on s'est remis ensemble. Ca a duré 3 jours exactement, c'était les vacances, y'avait personne chez moi et elle était là tous les jours. J'ai appris à la connaitre et je me suis attaché à elle. Et puis le troisième jour au soir, on faisait la fête et j'avais décidé de lui raconter ce qu'il s'était passé deux ans avant. Ca me faisait comme un poids sur la conscience, c'est difficile à expliquer... Je pensais qu'elle comprendrait, de toute façon la relation qu'on avait eu c'était il y'a longtemps et c'était du vent, comme elle comme pour moi enfin c'est ce que je pensais. A partir de là elle l'a trop mal vécu, elle est partie en plein milieu de la soirée sans prévenir. Sur le coup je suis parti et j'ai couru dans les rues de Paris pour la rattraper mais je l'ai pas retrouvé. Une semaine après je partais en Chine pour deux mois, je voulais la revoir avant et je l'appelais souvent, de temps en temps seulement elle répondait... A force d'acharnement j'ai réussi à la voir, c'était le soir de la fête de la musique. Comme je savais pas si elle viendrait ou non, ça me torturait l'esprit et je me suis mis à picoler. Quand elle est arrivée j'avais du mal à trouver mes mots, je savais juste que j'avais envie d'elle, qu'elle me plaisait beaucoup et que si je lui avait dit ça c'était parce que j'avais envie de lui montrer ma sincerité. On a discuté pendant quelques heures mais ça n'aboutissait à rien. Finalement elle est repartie et m'a laissé en plan... J'ai essayé d'oublier, en Chine je me suis fait plaisir, je ne me suis pas privé à cause d'elle mais elle restait toujours dans une petite case de mon cerveau. Je ne voulais pas l'oublier. Et puis au retour je l'ai rappelé en me disant qu'elle irait peut-être mieux et qu'elle voudrait me revoir. Répondeur : j'ai rappelé plusieurs fois et elle m'a répondu par sms que c'était plus la peine d'insister, qu'elle avait un autre copain etc. J'ai effacé son numéro. De toute façons je l'appelais trop souvent, elle a du me prendre pour un cinglé. Et maintenant j'y repense souvent, j'ai rêvé d'elle cette nuit et c'est pour ça que j'avoue tout ça. Je sais que si je retrouve son numéro et que je l'appelle j'aurai la même réponse. En même temps j'aimerai bien la revoir, pas forcément pour la draguer, j'en sais rien en fait... C'est une bizarre impression d'inachevé, comme si il fallait que je finisse quelque chose mais que c'est pas possible. Et tout ça est parti d'une relation qui a duré 3 jours. Je suis presque resté un an avec une fille mais l'histoire qui m'a le plus marqué a durée 3 jours... |
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| -SeD-, 20 ans, Paris |
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Je suis étudiant en chinois, j'avoue que c'est toujours un plaisir quand un groupe de demoiselles me demandent ce que je fais dans la vie, j'adore ce regard qu'elles me lançent qui veut dire que je vais être le centre d'interet pendant au moins dix minutes. J'avoue aussi que quand elles me demandent de leur parler j'adore leur dire des cochonneries sans qu'elles comprennent... -> Meilleur Aveu 11/07/2005 <- |
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