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Géniefille, 52 ans, Québec
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J'avoue, je suis amoureuse d’un collègue mais, lui, ne partage pas mes sentiments. C’est un célibataire qui mène une vie simple et qui ne veut pas la compliquer. J’ai un conjoint dont je ne suis plus amoureuse et nous avons deux enfants (1 ado, 1 préado). Je me sens tellement bien en sa présence mais il me considère comme une bonne amie. Nous habitons à plus de 5 000 km l’un de l’autre, il est belge flamand. Je devrai retourner en Belgique bientôt pour la dernière fois et j’appréhende ma réaction face à ces adieux ; j’ai peur de lui pleurer dans bras. Comme il ne partage pas mes sentiments, j’ai peur que ma réaction soit inappropriée et trop émotive alors qu’on ne partage aucune relation amoureuse ! Il est entendu que nous ferons des activités ensemble; nous l’avons déjà fait : apéro, café, dîners, soupers, visites de sites historiques, etc. Il me manque et va me manquer encore plus après cela. Dans mon fort intérieur, je souhaite qu’il m’avoue qu’il a aussi des sentiments pour moi après y avoir réfléchi... Je me fais sans doute du cinéma mais j’aimerais tellement y croire !
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Mysterieuse, 38 ans, Nice
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J'avoue avoir besoin de parler puisque je ne peux rien raconter autour de moi. J'avoue avoir essayé d'enterrer tout ce que je ressentais pour toi. J'avoue avoir pensé que tu m'utilisais, que tu te servais de moi et j'avoue que ça m'a profondément blessée. J'avoue qu'il a fallu que je ravale ma fierté quand je suis venue te demander ce papier qui m'aiderait. J'avoue avoir été très étonnée que tu me le fasses, moi qui pensais n'être qu'une chose à tes yeux. J'avoue avoir été très touchée quand tu as demandé un appui pour moi. J'avoue que tu m'as dégoûtée dès le début que tu as commencé à t'approcher de moi car je pensais aux tiens. J'avoue avoir été très très touchée et agréablement surprise que tu m'appelles le jour de ma soutenance pour savoir comment tout s'était passé. J'avoue avoir changé totalement d'opinion suite à ça. Ça m'a fait beaucoup de bien de voir ton visage s'illuminer à l'annonce de la bonne nouvelle que je t'annonçais, vraiment ! J'avoue t'aimer malgré ce que je montre quand je te vois. J'avoue penser être amoureuse de toi. A chaque fois que tu t'approches de moi, que tu m'embrasses ou que tu me touches, j'ai l'impression qu'on a 18 ans. Je ressens enfin les sensations que tu me décrivais il y a 1,5 an. J'avoue essayer de garder le contrôle à chaque fois parce que j'en souffre et je sais que si je cède, je souffrirais encore plus et probablement toi aussi. J'avoue m'être retenue cette semaine, de ne pas te dire ce que je pensais : dommage qu'on ne se soit pas rencontrés avant. Tu m'as dit que j'étais un amour, tu t'es excusé, j'ai fait l'idiote mais toi aussi, tu es un amour, tu es même merveilleux avec moi mais je ne peux pas, on ne peut pas ni toi, ni moi. J'avoue que depuis que tu m'as fait ce papier, je me lâche, tous mes doutes concernant la potentielle manipulation que j'imaginais de toi, sont partis.
J'avoue penser à toi souvent. J'avoue que tu ne corresponds pas à du tout à mes critères physiques et n'imaginais même pas que ce qui arrive puisse m'arriver. J'avoue espérer que tu ne te rends pas compte de mes sentiments même si je crois que si... Je crois qu'on ressent la même chose. J'avoue que moi non plus, je n'arrive pas à te laisser partir.
J'avoue vraiment regretter de ne pas t'avoir connu avant. J'avoue ressentir de la jalousie quand tu parles des collègues en les décrivant physiquement.
J'avoue avoir contacté mon ex dans le but qu'il me détourne de toi et de cette passion qui nous anime. J'avoue me demander si je suis normale de ressentir ces sensations bizarres, qu'on ressent quand on est amoureux, je suis attirée vers toi comme un aimant, j'aime quand tu me sers contre toi, quand tu m'embrasses, quand je sens ton souffle sur ma nuque, c'est délicieux. J'avoue penser tout le temps à arrêter et j'imagine comment on se comportera après, j'espère que ce sera simple.
J'avoue ne rien attendre car je ne veux rien changer à nous ou à vous, surtout pas. J'avoue malgré moi que je pense toujours à comment ça se serait passé si ton statut marital n'était pas le même et que je t'avais connue avant.
Ça me fait du bien d'avouer.
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Roséjoy, 15 ans, Montréal
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Aujourd’hui, je croyais que j’allais passer la meilleure journée de ma vie. J’ai pris la décision de enfin aller parler au gars qui m’intéresse depuis un bon moment, le plus dur était le fait que comme il est plus grand que moi, je ne connais rien de lui, mais j’ai essayé quand même. J’étais presque, mais j’ai pris peur et je suis partie. Je voulais retourner à l’école car une de mes amies pensait que deux de mes amies et moi ont n’allait pas bien, en fait j’ai très mal agi envers elle, à cause du fait que je voulais parler au gars. Elle était plus là et elle ne répond pas à mes messages. Je suis retourné à la maison en pensant que ma mère est allée travailler, mais non elle avait bu et ne voulait plus y aller. J’ai tellement de pensées, mais c’est trop long à tout exprimer.
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Coeurdartoutchaud, 22 ans, Toulon
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Je ne sais pas par quoi commencer. L. J’avoue t’aimer infiniment, les événements on l’air tellement de nous précipiter dans les bras l’un de l’autre. Le fait que on arrête quasi-simultanément nos relations respective de 4 ans, que on se comprenne si bien... Tu me dis que tu ne veux pas de relation maintenant, que tu as besoin d’amis... Je te comprends et te respecte, mais comment ne pas avoir d’attentes après ce week-end ? Tu étais si douce, tout coulait de manière si simple. J’avoue avoir adoré t’attacher, te frustrer, cette façon que tu as de t’abandonner à moi. L, je t’aime, et je te laisse dans ton entière liberté, tu as le droit de voir qui tu veux, te faire tout ce que tu veux. J’avoue que je crois avoir un peu peur au fond de moi que tu m’abandonnes. J’ai peur d’être comme tous les autres gars que tu as connu, de t’imposer un cadre que tu ne désires pas, de te limiter et de ne pas être à ton écoute... Ne laisse personne te prendre ta liberté, pas même moi. Soit la lumière et la paix. J’ai encore envie de toi, j’ai soif de toi. Je t’aime, je t'adore, ma meilleure amie, mon amante, mon amour.
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Alicia75, 35 ans, Paris
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Mon Charlie que notre aventure est gravée à vie. Nos échanges m'ont fait tellement vibrés, m'ont enflammé. J'ai pris mon pied avec toi et tout ce que tu rêvais de me faire. Je n'ai pas compris la rupture, l'abandon et je pleure mon Charlie, depuis ce matin. Tu as choisis de me larguer comme on s'est connu, par écran interposé... Tu as choisi ta femme, j'étais déjà mariée. Merci pour ces jours et ces nuits blanches mon trésor. Ça fait mal d'aimer si vite et si fort quelqu'un qu'on a jamais vu.
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Justemoi, 21 ans, Dijon
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J'avoue que je suis bien en couple mais parfois je sens un vide, les amis que j'ai maintenant c'est grace à mon copain, j'arrive pas à m'en faire seule, je me sens bizarre parfois. Ou je rencontre des gens via le net, ça me déprime parfois.
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Mysterieuse, 35 ans, Paris
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J'avoue aujourd'hui, après de nombreuses tourmentes dans mon esprit, que je t'aime. Mais je ne te l'avouerai jamais, c'est inavouable. Tout nous oppose et je pense que tu ressens aussi quelque chose envers moi, j'ai cru le voir dans tes yeux la dernière fois. Ça me rend folle que ça ait pu arriver mais après tout ce temps, je me suis attachée à toi et je sais aujourd'hui ce que je ressens. J'aime quand tu es là, quand tu prends par la taille, quand tu m'embrasses dans le cou, je frissonne. J'aime ta tendresse. J'aime ta douceur. Je ne sais pas comment gérer ça à part que je sais que je ne dois rien te dire, j'ai honte de tout ça. Il faut que ça s'arrête et je ne sais pas comment je vais m'y prendre ni quand. Peut-être qu'il faudra que je change de lieu de travail et j'avoue que changer d'endroit, sachant que j'étais là avant toi, me chagrine. J'avoue ne pas d'aimer d'un amour fou mais un sentiment d'attachement, de jalousie parfois quand je te vois discuter avec une autre collègue, de tristesse quand on me raconte des choses sur toi alors que je n'ai rien demandé à personne. J'avoue que tout ça me fait souffrir par moments puisque c'est sans issue. J'avoue que ton comportement m'affecte beaucoup. Je ne peux parler à personne de tout ça. J'avoue ne pas du tout assumer. J'avoue que ma place n'est pas du tout celle que j'ai actuellement. J'avoue être en pleurs au moment où j'écris. J'avoue que je vais certainement me mettre en couple avec le prochain homme qui me plaira et sans regrets. J'avoue m’être toujours demandée comment tu faisais pour être comme ça avec moi, je ne sais pas comment tu es chez toi. J'avoue ne pas poser de questions sur ta famille/foyer de peur de plus culpabiliser. J'avoue ne rien dire de moi pour ne pas que tu t'attaches à moi. J'avoue t'éviter ces derniers temps. J'avoue me dire très régulièrement que je regrette de ne pas t'avoir rencontré avant elle mais rien ne se serait fait de toutes façons au vu de toutes nos différences, trop importantes pour être surmontées. J'avoue me répéter au moins une fois par semaine que je te déteste pour ne pas m'attacher à toi. J'avoue avoir peur de la suite. J'avoue appréhender quand ça s’arrêtera entre nous. J'avoue qu'une aide n'aurait pas été superflue.
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Wesley, 45 ans, La Roche-sur-Yon
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J'avoue que ce matin, quand tu étais en face de moi, très belle comme d'habitude, je t'admirais et j'avais envie d'éjaculer dans ta bouche... J'ai aussi envie que tu jouisses dans mes bras. J'aime fantasmer sur toi car je ne t'aurai jamais, il faut que je fasse avec mais je suis dingue de toi.
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Jb2100, 22 ans, Liège
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Je n'arrive pas à oublier mon premier amour, elle m'obsède, je rêve d'elle toutes les nuits, je me réveille en sueur. J'ai du mal à me faire des amis, j'ai du mal à contrôler mes émotions, je me sens fort seul.
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Colombe2323, 19 ans, Brest
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J'avoue que même si j'aime plus que tout ma famille, je me sens mal d'avoir ce poids sur le cœur de ne pas pouvoir arranger les choses. J'avoue que je voudrai redevenir une fille à sa maman et non pas une deuxième mère de la famille. J'avoue que je voudrai rester toute ma vie jeune et ne pas devenir adulte.
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Scorpion15, 36 ans, Paris
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Mon Zorro, Si tu tombes sur cet aveu, saches que je t’aime encore malgré les années qui passent. Malgré que je sois mariée et malgré le fait d’avoir deux enfants. Je pense à toi si souvent et notre amour a été inachevé. J’attends un signe de toi, je l’espère et le souhaite secrètement.
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Debby, 15 ans, Le Mans
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J'avoue, j'ai vraiment besoin de parler de mon copain qui part en sport étude l’année prochaine. Ca peut paraître totalement enfantin et encore plus à mon âge, mais c’est ce qui signifie qu’on se verra que très rarement puisqu’il est à des heures d’ici, et même si il reviendrait les week-ends, il les passerait avec sa famille, mais est-ce qu’on gardera la même complicité ? Est-ce qu’on supportera la distance ? Est-ce qu’on va s’oublier petit à petit ? J’ai réellement un gros poids sur mes épaules, j’ai si peur de le perdre et de me perdre moi aussi, je suis totalement perdue, est-ce que je vais pouvoir tenir ? J’ai confiance en nous et pourtant.
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Scorpion, 34 ans, Paris
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Mon Zorro, j’avoue que je ne t’ai jamais oublié malgré les années qui passent. Tu as fait ta vie, j ai fait la mienne mais je rêve secrètement du jour où l’on se retrouvera. La nostalgie est séductrice dit-on, dans mon cas, elle m’a littéralement encerclée. Il m’arrive de rêver de toi et pourtant je suis mariée. Appelle-moi, parce que moi je n'aurai jamais le courage de le faire.
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Fixette, 38 ans, Paris
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J avoue que la première fois qu'on s est rencontré, ben... Il ne s'est rien passé ! Puis quand on s'est revu, il y a si longtemps, j ai su que je t'aimerai jusqu'à la fin de ma vie. J'avoue qu'on a jamais su se coordonner. J avoue enfin que c'est peut être mieux comme ça finalement, tu auras été ma plus belle pas histoire d'amour.
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Lau 89, 28 ans, Laval
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J'avoue que j'ai 28 et que ça fait 28 ans que je suis seule ! J'avoue que ça me pèse de plus en plus. Je n'ai aucune confiance en moi... Si ça se trouve j'ai loupé plein d'occasion en ne croyant pas que quelqu'un pouvait s'intéresser à moi. Ou à l'inverse il n'y a eu personne qui s'est intéressé à moi ! J'avoue que des fois (très souvent même) j'ai l'impression de jouer un rôle de ne pas être moi. J'avoue mentir très souvent car je pense que ma vie n'est pas intéressante. Je ne me sens pas légitime dans mon travail. Je pense que je ne vais pas bien mais que personne le voit puisque je suis toujours souriante.
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Ptite pomme, 17 ans, Paris
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J'avoue que tu me rends malheureuse. Je sais que ce n'est pas de ta faute, que tu n'y es pour rien et que tu ne dois même pas t'en douter ne serait-ce qu'un peu, mais tu me fais souffrir comme on m'a rarement fait souffrir. Je pensais pas m'attacher autant à toi. C'est bête je sais, on ne connait pas plus que ça, mais au fil du temps j'ai commencé à développer des sentiments pour toi. Je sais que ce n'est pas réciproque et que tu ne t'intéresseras jamais à moi, de toute manière, tu ne regardes même pas les filles comme moi. Tu me rends malheureuse car je sais que tu ne veux pas me faire de mal. Mais je sais aussi que je n'ai pas autant d'importance dans ton coeur que tu en as dans le mien. Je sais que je ne suis qu'une vague connaissance, une fille sympa parmi tant d'autres, que tu oublieras aussitôt que le lycée sera terminé. Mais toi, pour moi, tu es bien plus que ça. Tu m'obsèdes, je pense à toi tout le temps, et je ne sais pas quoi faire. Je souffre tellement, je n'ai jamais vécu ça. Je veux juste que tu sortes de ma tête. Je déprime à cause de toi tu sais ? Non, tu ne le sais sans doute pas. Te doutes-tu au moins que j'ai des sentiments pour toi ? Est ce que ça se voit à la manière dont je te regarde ? Tu me diras, tu me regardes si peu que tu ne l'auras sans doute jamais remarqué. Après tout, tu ne me considères pas même comme une de tes amies. Je suis juste une fille sympa. Ou peut-être que tu ne me trouves pas sympa en fin de compte ? Ça m'est égal, tout ce que je sais, c'est que tu ne m'aimes pas comme je t'aime. Tu t'en fous de moi. Le lycée est bientôt fini et tous les jours j’attends ce moment où tu m'enverras ce long message où tu me déclares tes sentiments, en vain. Tu continues juste à me sourire vaguement de l'autre bout du couloir lorsque tu me croises. J'avoue que je te hais Léo. Je te déteste de me faire ressentir des choses pareilles à ton égard alors que toi, tu vis tranquillement ta vie sans te soucier de moi. J'avoue que je te déteste pour m'avoir dit que j'étais jolie ce jour là sans te douter de l'effet que ça a pu me faire. J'avoue que je te déteste de ne pas d'être douté de ô combien j'ai pleuré le jour où j'ai su que tu t'étais remis avec elle. J'avoue que je me suis bêtement attachée à toi, toi et ton sourire, ton intelligence, ton charisme naturel. Moi qui était pourtant si difficile en amour. Maintenant je veux juste t'oublier. Pourquoi est-ce si difficile ? Plus que trois mois à tenir avant la fin du lycée. Peut-être qu'après ça, tu sortiras de ma vie pour de bon. Peut-être...
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Carton, 27 ans, Paris
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J'avoue que je l'aime toujours, que malgré le mal qu'il a pu me faire, malgré le fait que ça fasse un an que tout s'est arrêté, je ne cesse de me dire qu'il était le seul. Il était mon homme de très très longtemps... Il me manque énormément. Et le pire dans tout ça, c'est que je sais que jamais nous ne serons à nouveau ensemble et ça me fait mal. J'avoue que jamais je n'oublierais ce que j'ai pu vivre avec lui.
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Lisa, 20 ans, Belgique
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J'avoue que je me suis en relation libre avec deux hommes en ce moment, tout en continuant à fantasmer sur des femmes.
J'avoue que j'aime le BDSM que je pratique avec l'un de mes partenaires. J'aime être attachée et qu'il me prenne comme il le souhaite puisque je ne sais jamais quoi faire de mes membres.
J'avoue qu'il est presque 3h du matin et que j'ai envie qu'il me prenne maintenant.
J'avoue que mon fantasme actuel est que plusieurs personnes (peut être deux ou trois hommes/femmes) s'occupent de moi.
J'avoue que mon ex était une erreur. J'ai commencé à sortir avec lui après une soirée arrosée et on a continué pendant quelques mois. Malheureusement j'ai arrêté trop tard. J’aurais dû le plaquer plus tôt.
J'avoue que j'ai mal géré ma relation avec mon ex précédente. Je suis désolée pour elle, si c'était à refaire, je le ferais différemment.
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Amimour, 25 ans, Caen
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J'avoue que lorsque mon regard a croisé le tien à cette soirée, j'ai immédiatement été chamboulé. Un je-ne-sais-quoi que je n'avais plus ressenti depuis longtemps s'est imposé comme une évidence. J'avoue que j'ai mis bien quelques semaines pour t'apprivoiser, toi qui souffrais d'une récente relation dont les termes ne te convenaient pas.
En toi, un tout me plaisait, tu représentais un idéal sur lequel je ne pensais plus tomber, j'admirais ta personne entièrement et notre relation était belle et simple. J'avoue que le jour où cette fille est entrée en contact avec moi, cette fille sur qui j'avais fantasmé depuis des années en secret sans jamais oser l'approcher, je n'ai pas pu m'empêcher de vouloir la connaître. Une fille qui s'est avéré être attrayante, qui enfin me voyait, et qui semblait aimer le tableau. Je me suis contenté de nos échanges, je ne voulais pas te manquer de respect physiquement. J'avoue que j'ai eu du mal à garder mes distances avec elle, que notre complicité était dingue, mais qu'entre elle et toi, il n'y avait pas photo ; tu étais trop précieuse. J'avoue que l'ambiguïté s'est tout de même installée, que nous avons partagé des choses qui n'auraient dû se passer qu'avec toi, même si la barrière n'a pas été franchie. J'avoue que je t'en avais parlé, et que tu as été d'une patience honorable, présente, dans l'attente que je me calme, dans une silencieuse souffrance. L'idylle superficiel passé, comme je l'imaginais, le mal était déjà fait, et nombreux détails que j'ai omis de te dire, risquent d'éclater ce soir au grand jour. J'avoue que tu es actuellement entrain de passer une soirée avec sa meilleure amie, et qu'elle va probablement t'apprendre plus que ce que tu ne sais en réalité. Une histoire s'apprête à tirer sa révérence, la nôtre. J'avoue que tout avait changé, nous n'étions qu'aux prémisses de ce qu'on avait encore à vivre. Pourquoi ? Parce qu'enfin, je t'aime, et que je vais devoir te laisser partir.
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Masha, 26 ans, Paris
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J’avoue être en couple depuis quatre ans. J’avoue que je ne manque de rien et que je pourrais tout simplement continuer cette vie tranquille sans encombres. Mais j’avoue que j’ai envie d’aller voir ailleurs... juste pour vivre à nouveau la passion, la folie, la fougue comme lorsque l’on est adolescents. J’avoue que j’ai peur de tout gâcher et de ne jamais assumer. Ce serait juste physique, juste de l’attirance. Est-ce si mal ? Pourquoi est-on emprisonné dans l’idée que tromper serait amoral ? J’avoue que je l’aime mais que j’ai besoin de vivre d’autres histoires.
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Lp, 26 ans, Poitiers
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J'avoue que la première fois que j'ai vu G. je l'ai trouvé moche. Puis son rire et sa voix mon séduite ainsi que ses yeux d'un bleu magique et son sourire radieux qu'il arbore si souvent. J'avoue que tu es comme un aimant mon regard est automatiquement attiré par toi. J'avoue que je pourrais te regarder pendant des heures ce que je fais dès que j'en ai l'occasion. J'avoue que j'ai rêvé qu'on s'embrassait j'avoue que tes lèvres me hantent. J'avoue que si on se retrouvait seul dans une pièce et malgré qu'on soit l'un et l'autre en couple je ne pourrais pas me retenir de te sauter dessus et je ne suis pas sûre que tu me repousserais. J'avoue que tu es mon fantasme, j'avoue que tu me donne le sourire chaque jour et que tu me fais rêver. Merci beaucoup G 💙
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Trinity, 36 ans, Paris
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J'avoue en avoir marre... maladie pourrie, mon concubin qui vit avec moi mais n'est jamais là. J'avoue parfois avoir envie d'en finir mais un bout de chou me retient et je ferais tout pour lui. J'avoue qu'il devient le seul amour de ma vie et heureusement qu'il est là. J'avoue ne plus savoir où j'en suis. J'avoue pleurer tous les jours mais sourire devant les gens pour ne pas avoir à répondre à des questions. Plus les jours passent plus il est difficile de garder le sourire.
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La chose 2.0, 24 ans, Paris
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Ce message est pour Lachose. Si vous avez un travail et que vous êtes indépendante financièrement quittez votre mari qui mérite une bonne leçon. Quant à vos meilleures amies, comment les appeler meilleures amies alors qu’elles vous volent votre mari et vous trahissent en toute impunité. Les couples toxiques et les amitiés toxiques sont dangereuses pour la santé. Je vous en parle en connaissance de cause. J’ai viré tout le monde et depuis, j’ai des amis sincères et honnêtes et un chéri qui m’aime pour ce que je suis. Vous verrez un divorce, c’est une signature en bas de la page. Ce sont eux les choses et les personnes inutiles, pas vous !
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S, 38 ans, Occitanie
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J'avoue avoir peur et n'avoir plus peur de rien paradoxalement... J'avoue de ne plus avoir aucune larme, tant elles ont coulé... J'avoue que je n'ai plus de force pour continuer et, pourtant... J'avoue être sans espoir et espérer en même temps... J'avoue vouloir les haïr mais le pire c'est que je n'y arriverai même pas... J'avoue avoir le cœur totalement en lambeau !!!
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Vitalité, 20 ans, Paris
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J'ai une maladie qui me ronge. C'est l'hyperhidrose. Une maladie peu connue, même des médecins. Il s'agit d'une transpiration excessive, qui peut être zonée ou générale. Chez moi elle est générale, présente en été comme en hiver. C'est infernal. C'est un mal-être qui m'empêche constamment de vivre ma vie pleinement et de connaitre le bonheur. Je sais qu'il s'agit d'un site pour rigoler. Mais je ne sais plus quoi faire, si même les médecins sont incapables de me régler ce problème.
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