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| Touteptitecaro, 27 ans, Le Mans |
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J'avoue que jamais un aveu ne m'a fait plus pitié que celui de Melle Rhubarbe. Je trouve ton aveu tout à fait représentatif de la bêtise humaine dans son ensemble ! Tu es jolie ? Félicitations ! Tu sais dans 40 ans, tu seras flétrie comme une vieille peau comme nous le serons tous et toutes. Etre désirée par 200 hommes ne vaut jamais le sourire et le regarde de mon amoureux quand il me voit décoiffée et encore mal réveillée le matin et que je sais qu'à ses yeux, je suis la plus belle. Je te plains ma pauvre Rhubarbe, et j'avoue que je plains aussi les hommes et les femmes qui croiseront ton chemin. Des filles comme toi sont à l'origine de drames familiaux, tout ça parce que tout le monde te désire, mais finalement, regarde bien autour de toi, personne ne t'aime ! L'amour vrai est bien plus compliqué à obtenir d'un homme que d'obtenir des érections par centaine ! Comme je plains les garces dans ton genre. |
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| Leger, 27 ans, Djibouti |
| J'avoue que vous avez une grande chance que de pouvoir vous exprimer sur ce site car ma schizoparanoide me fait douter de la probable mise sur écoute de ma ligne internet et que par conséquent je ne peux rien dire. Je ne fais même pas confiance aux psychologue par crainte d'être trahi. L'envie de parler me rend fou. |
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| RasLeBol, 22 ans, Toulon |
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Rhubarbe ... c'est à cause de filles et de mecs comme toi qu'il y a autant de divorce, et que plein de filles ne croient plus en l'amour. Tu me comprendras si j'te dis pas merci. Tu appelles ces filles de ton collège des pimbêches ... Je me demande de quoi tu te qualifies. Certes c'est pas toujours facile la vie en couple. Mais quand un couple a un problème, c'est pas en sautant sur le mec de la nana que ça risque de s'arranger. (et vice versa, c'est valable aussi pour les garçons). En fait c'est pas tellement des garçons dont j'ai peur. Mais de toutes ces vipères qui rôdent, et qui préfèrent jeter leur dévolu sur des garçons déjà pris, parce qu'elles n'arrivent pas à en trouver toutes seules. |
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| Beez Beez, 22 ans, Paris |
| J'avoue que je suis dégoûtée parce que mon copain est en formation loin de moi en ce moment, il n'a pas pu venir le weekend dernier, et ce weekend on va pas pouvoir faire l'amour, non seulement parce que je vais avoir mes règles (ce qui n'est pas tout à fait rédhibitoire), mais en plus parce que je fais une satanée crise d'herpès... Et me voilà prête à faire 3 semaines d'abstinence. |
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| Douli, 27 ans, Lyon |
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J'aime ma copine énormément, on va bien ensemble, on a des projets d'avenir. Mais depuis que j'ai commencé mon nouveau boulot, j'avoue que j'ai les yeux tournés vers une collègue. Elle est gentille, terriblement mignonne, plein de vie et sa voix et son rire me font fondre. Je ne peux m'empêcher de lui parler, de la regarder dans les yeux un peu trop souvent. Je m'efforce de ne pas laisser transparaître mon engouement pour elle, mais cela ne tiendra pas longtemps, je suis trop maladroit. Je ne veux pas quitter ma copine pour elle, car il y a peu de chances qu'on aille bien ensemble sur le long terme. Je devrais donc faire des efforts, surmonter la souffrance de ne pas succomber à mes sentiments pour ma collègue, et éviter de blesser qui que ce soit. Mais j'avoue que la perspective d'une petite aventure ne me déplairait pas... Aïe aïe aïe. |
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| Moteur, 20 ans, Paris |
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J'avoue que le monde du cinéma dans lequel je travaille est peuplé de beaucoup de pourris. J'avoue que j'ai toujours voulu lutter contre ça en essayant de rester honnête et de respecter certaines valeurs morales. J'avoue que les gentils se font toujours entuber. J'avoue que ces gens me dégoutent. J'avoue que ce sont eux qui travaillent sur les films les plus intéressants, la plupart du temps. Et ce sont eux qui ont les meilleurs postes, alors qu'ils ne sont pas plus compétents que les autres. J'avoue que je suis en train d'en devenir un, que j'en joue et que ça me fait marrer. J'avoue que j'adore vraiment mon job. |
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| McFly, 16 ans, Boitsfort |
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J'avoue que je tombe systématiquement amoureux des femmes, il suffit que j'en trouve une assez douce et gentille pour qu'elle me vole mon coeur d'un simple regard. J'ai même acheté une bague à 50€ pour l'anniversaire de la première alors que je ne lui aie donné qu'embarras et honte. La deuxième, je n'ai cessé de lui embrasser les mains, ça ne l'a dérangeait pas, mais elle ne voulait pas qu'on soit plus proche vu nos 3 ans de différence (moi 15, elle 19) et elle est partie à l'université à Lille... La troisième, j'y ai été franco, assez bref, on a discuté ensemble mais j'ai craqué à force d'attendre. visiblement, je ne l'intéressais pas non-plus. Mais directement après, je tourne autour d'une fille qui est ma meilleure amie. Je serai tenté de lui déclaré ma flamme, mais je tiens trop à elle pour la faire fuir, depuis, je vis dans l'angoisse et la peur de rester seul durant les dernières années de mon adolescence. |
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| Informaticien, 29 ans, Strasbourg |
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J'avoue que le concept de ce site est super. J'avoue que ce site pourrait être remis au gout du jour. J'avoue que je suis informaticien et que je ne peux pas m'empêcher. (ndlr : cher informaticien, merci de prendre contact avec Daniel. Cf. mail en bas de page) |
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| Man on the edge, 25 ans, Ottignies-Louvain-la-Neuve |
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Isa, je suis fou de toi. Tu me fais bouillonner. Tu agis sur moi comme un aimant. Je ne pense qu'à une chose, c'est de t'embrasser sauvagement. J'ai envie de passer une nuit avec toi, même rien qu'une nuit. T'explorer, te gouter, te demander ce que tu aimes et m'unir à toi. T'entendre me dire que je te plais. Entendre le timbre de ta voix délicieuse. Sentir le souffle d'un murmure tout bas, au creux de mon oreille, tes lèvres qui caressent mon oreille. Et puis nous rhabiller et repartir chacun à pas de loup, chacun vers nos vies. Si tu savais l'effet que tu me fais. Si tu savais la passion que je mettrais sous nos draps. Tu brulerais toi aussi. |
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| Keskisepass, 20 ans, Paris |
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J'avoue que je suis une femme qui a toujours aimé les hommes. J'avoue que depuis quelques semaines je me sens de plus en plus attirée par cette fille. J'avoue qu'elle m'obsède et que je pense tout le temps à elle. J'avoue que je ne sais plus quoi faire ou quoi penser, je ne sais même plus qui je suis. J'avoue qu'elle a des problèmes avec son petit ami et que ça me rend triste. J'avoue que je ne veux que son bonheur et être près d'elle. J'avoue que j'ai envie de la réconforter en la prenant dans mes bras, en passant ma main sur sa joue et en plongeant mon regard dans le sien. J'avoue que je suis en train de devenir folle. |
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| Pas d'bol, 28 ans, Valenciennes |
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A Arnaud le robot de Dijon, j'avoue que je suis désolée que tu n'aies pas pu décoller. J'avoue également que tu n'es pas le seul à avoir la poisse, puisque c'est mon quotidien puisque mon surnom est pas d'bol. Si y'a une tuile ou une galère à 10 kms, elle est pour moi. Donc, je compatis ! |
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| Cass, 26 ans, Lille |
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J'avoue que je ne supporte plus l'ingratitude et l'égoïsme dont peuvent faire preuve les gens. Une de mes amies traverse une très mauvaise période, et ce dans l'ignorance totale et "je m'en foutiste" de sa meilleure amie, qui appartient au clan très fermé des "Tout pour ma gueule" ou NPG, et ça me révolte de voir à quel point ça la fait souffrir d'être face à tant d'ingratitude. J'avoue ne plus avoir confiance en la gente masculine, depuis le jour où je me suis rendue compte que celui que je prenais pour un frère, ne valait pas mieux que les autres et qu'il mentait tout autant. J'avoue qu'au cours de notre dernière dispute, il m'a balancé d'oublier tout ce qui était en rapport avec avant, parce que c'était du blabla de frustré connaissant rien à la vie, en somme du vent. J'avoue que j'en ai ma claque de me demander ce qu'il est réellement, ou Docteur Jekyll ou Mister Hyde. J'avoue, que dans mon intérêt, il vaut vraiment mieux pour moi de faire le deuil de cette histoire, d'oublier et de passer à autre chose... J'avoue également qu'au bout de tant d'années, c'est vraiment emmerdant. |
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| Lollypop, 30 ans, Québec |
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J'avoue qu'il y a 2 mois, j'ai remarqué qu'un homme inconnu, qui travaille à la même place que moi (même bâtisse) m'a fait les yeux doux... J'avoue l'avoir trouvé séduisant, même si je suis déjà en couple et que j'ai commencé à guetter les moments où il venait travailler... J'ai fait des recherches sur son entreprise et prétexté une raison professionnelle pour entrer en contact avec lui, alors que je venais de le croiser à la cafétéria... Il m'a avoué à son tour, m'avoir suivi à mon bureau suite à cette rencontre afin de savoir où je travaillais... Depuis ce jour, nous avons échangé 100 courriels, 100 téléphones, 100 session de chat et je lui ai fait une grosse gâterie dans son bureau alors qu'il était habillé en complet cravate et qu'il m'a trop allumée ! J'avoue avoir l'impression de vivre dans un film tellement c'est irréel et qu'on s'est promis toutes les folies... Ça me rend complètement dingue de savoir qu'il bande chaque fois qu'on se parle et qu'il se caresse en pensant à moi... je lui ai écrit des scénarios incroyables, des courriels tellement torrides, que je ne me reconnais même pas moi-même ! J'me suis jamais sentie aussi désirée de toute ma vie, je ne sais plus où j'en suis. |
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| Sasa07, 18 ans, Paris |
| J'avoue que je lui dis "je t'aime" uniquement parce que il a beaucoup d'argent et que je veux m'assurer un bel avenir . J'avoue que j'ai peur qu'il me quitte et que je me retrouve dans le besoin. J'avoue que il a 10 ans de plus que moi et que je fais exprès d'être merveilleuse avec lui pour que ça me conduise au mariage. J'avoue que je ne l'aime pas et que je préfère son argent. |
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| Une fille, 19 ans, Londres |
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J'avoue que ça faisais longtemps que je n'étais pas venue lire les aveux. J'avoue que pendant ma lecture quelqu'un parlait d'Antibiotik. J'avoue que ma curiosité étais grande et que j'ai donc lancé une recherche. J'avoue que j'ai tout de suite trouvé son humour très sympathique, et que j'ai passé un bon moment, jusqu'à ce que je lise son "histoire" avec Proantibiotik qui m'a fort déplu... J'avoue qu'à sa place, j'aurais honte, lui qui a une femme aimante et des enfants... prendre le risque de tout gacher pour une nana qui gonfle son ego... J'avoue que ça m'a vraiment énervée de voir qu'ils se donnaient des petits noms. J'avoue que je suis contente que monsieur ne se soit pas déplacé et j'espère qu'il ne reviendra pas sur sa décision car c'était celle qu'il fallait prendre. J'avoue que Proantibiotik est une garce car elle sait que monsieur a une femme et des enfants et qu'elle se fout du mal qu'elle pourrait faire. Enfin j'avoue espérer que ces deux là ne se rencontreront jamais. Trop de familles sont détruite a cause de l'infidélité et quand ça met en jeu des enfants il serait bien qu'ils y réfléchissent à deux fois. |
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| Tilt, 24 ans, Lyon |
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J'avoue que ça fait un bout de temps que je connais javoue.com maintenant. Mais j'avoue aussi qu'aujourd'hui j'ai fait une grosse bêtise et que c'est mon premier aveu. J'avoue que je viens de lire deux des sept pages des aveux laissés par Antibiotik, et que j'ai beaucoup trop rit. J'avoue que je connaissais déjà Antibiotik, mais que jusqu'ici je n'avais lu qu'une dizaine de ces aveux, pas plus. J'avoue que je n'aurai certainement pas dû en lire autant à la fois, car maintenant j'ai mal partout. J'avoue qu'en plus il écrit bien et qu'il ne fait pas de fautes d'orthographe. J'avoue que je ne supporte pas ça. J'avoue qu'il me reste encore de nombreux aveux d'Antibiotik à lire, mais que je vais certainement me les garder pour une prochaine fois. J'avoue que je viens encore d'en lire un et qu'une nouvelle fois je me prends un fou rire. J'avoue qu'Antibiotik devrait certainement être sacré le plus grand avoueur du site. |
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| Tofu, 22 ans, Bruxelles |
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J'avoue que je me demandais toujours pourquoi mon portefeuille était si épais. J'avoue que je n'aurais jamais dû sortir mon permis pour montrer ma photo à mes collègues pour déconner. Enfin, au moins maintenant je sais (et mon manager aussi) que j'ai toujours sur moi ce qu'il faut pour ne pas être papa tout de suite. |
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| Rhubarbe, 23 ans, Paris |
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J'avoue que ça m'excite, me rassure et me flatte de faire l'amour à des hommes déjà pris, d'être leur amante. J'avoue que faire de meilleures fellations, être mieux foutue, être plus chaude qu'elles, et qu'ils me le disent, transis de reconnaissance, d'excitation, terrassés par ces orgasmes, me flatte. Avec eux et dans ces moments, je me sens supérieure aux autres filles. Je ne les connais pas, elles ne m'ont rien fait de mal. Mais je me dis toujours "elles n'ont qu'à être libre sexuellement, comme moi." Et je me sens probablement supérieure à toutes ces pimbèches habillées à la mode et ces puceaux bons en sport qui m'ont fait une vie d'enfer au collège parce que j'étais la fille mal coiffée, à lunettes, qui s'habillait n'importe comment et parlait tout doucement. Quand je croise dans la rue, des années plus tard, une pimbèche de mon ancien collège, et qui ne me reconnait pas car j'ai bien changé physiquement, je lui dis, intérieurement : "je ferais jouir ton copain comme jamais. Haha !". Et j'ai l'impression qu'il n'y a pas un mec sur terre, aussi gentil et amoureux d'elle soit-il, qui résisterait à la perspective d'une fellation magistrale ou d'une nuit de sexe torride avec une fille plus experte, mieux épilée, plus adroite et plus jouisseuse que leur copine. |
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| Antibiotik, 38 ans, Paris |
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Depuis que j'ai fait poser un attelage de remorque à mon véhicule, je cogne beaucoup plus souvent quand je me gare (muret, poteau ...), avec une large préférence pour les véhicules de mes collègues sur le parking du bureau. D'habitude, ça fait juste un petit "poc" et ça ne laisse pas de trace. Mais l'autre jour, en revenant de déjeuner, je me garais en téléphonant en même temps car ma dulcinée aux cheveux roux souhaitait que je passe au supermarché ... et je n'avais pas très envie, donc je négociais un "vas-y à ma place, je n'aurais pas le temps". Au même moment, un choc assez important à l'arrière me rappelle à l'ordre. - "J'ai encore tapé !" Pas de témoin sur le parking, je me gare 10 mètres plus loin histoire de ne pas me désigner comme étant le coupable. Je regarde la voiture pour contempler l'ampleur des dégâts : pare-choc défoncé, capot du moteur légèrement soulevé, un phare sorti de son axe, à moitié cassé. "Quelle voiture en carton pourtant j'avais pas l'impression de reculer vite". Finalement je change d'avis et je compte assumer mes bêtises. Je cherchais dans mes poches crayon et stylo pour laisser mon numéro au propriétaire quand je vois un collègue de réputation pas aimable sortir du bâtiment d'un pas rapide. Aussitôt je me suis dit que ça doit être le propriétaire en question, il m'a vu de son bureau et ça va être ma fête. Je reste près de ma voiture, prêt à dégainer le constat. Mais il me passe devant et pousse un cri de rage en voyant les dégâts. Il vient vers moi et commence à s'agiter : - "T'as vu qui a fait ça ? t'as vu qui a fait ça ?" - "Non je viens d'arriver, je regardais justement ta voiture. Je croyais que t'avais eu un accident ce matin en venant moi" - "Noon putain c'est arrivé entre midi et deux, si je choppe l'enculé qui m'a fait ça !" - "On dirait que le coupable n'a pas laissé son adresse en plus. Ça doit être un 4x4 ou une camionnette de livraison qui t'a défoncé comme ça ..." - "Faut que je le choppe ! Faut que je le choppe ! Putain comment je vais faire, j'ai une réunion chez un client cet après-midi !" - "Tu veux que je demande à l'accueil la réservation d'un taxi pour l'après-midi ?" - "Oui ok, fais vite !" - "J'y vais tout de suite." Il était hystérique. Cela dit, si je l'avais apprécié, j'aurais avoué mes méfaits. Mais je suis bon prince, je lui ai commandé son taxi et je préfère avouer ici qu'à un collègue hystérique. ->  Meilleur Aveu 09/04/2012 <- |
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| Candy, 22 ans, Brighton |
| Je couche avec mon coloc depuis 7 mois et je suis amoureuse de lui la honte, ça m'est jamais arrivé d'être amoureuse de quelqu'un en plus il est fan de techno, s'habille pas comme j'aime et me brise le coeur régulièrement mais bon sa queue est magnifique et il a un piercing sur la langue. |
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| Mélu, 21 ans, Bretagne |
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J'avoue que je pars en Irlande ce soir. J'avoue que je suis morte de trouille. J'ai déjà voyagé assez longtemps, je suis déjà partie un an à l'étranger, loin. Mais je n'ai jamais eu autant la trouille qu'aujourd'hui. J'avoue que je pars 3 mois, pour mon stage. J'avoue que tout le monde me dit que les irlandais sont géniaux et que j'aurai jamais envie de repartir. J'ai peur de pas trouver un endroit où loger rapidement, d'avoir des coloc qui puent, de me perdre dans la ville de Dublin... Bref, ces angoisses seront passées une fois que je serai arrivée sur place, je pense, mais en attendant, je déguste ! |
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| Alice, 19 ans, Toulouse |
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J'avoue que j'étais un peu verte de ne pas avoir de vacances en même temps que mon chéri (foutues vacances scolaires !). J'avoue que l'éruption de ce volcan me permet de rester une semaine supplémentaire en vacances, puisque je suis coincée sur une île en Thaïlande. J'avoue que finalement, ce n'est plus si grave que ça, ces vacances séparées... |
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| EP, 18 ans, Paris |
| J'avoue, que Daniel m'embête à me parler cours un mercredi matin à 00.01 et qu'ensuite, il me force à avouer !!! |
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| Livre ouvert, 32 ans, Bruxelles |
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J'avoue que j'adore mon boulot. J'achète des livres d'occasion aux particuliers qui viennent les présenter dans mon magasin, et j'adore fouiller la bibliothèque des gens (on apprend beaucoup de choses sur les personnes en voyant ce qu'elles lisent !). J'avoue que, malheureusement, comme dans tous les boulots, il y a des trucs désagréables. J'avoue que je déteste quand certains clients, après m'avoir observé une demie heure en train de prendre des livres à des gens en échange d'argent, me demandent: "C'est bien ici qu'on peut vendre des livres ?" J'avoue que je déteste qu'on m'interrompe pendant que je suis en train de trier en comptant. J'avoue que je déteste qu'on écorche les noms des auteurs ou des titres, surtout quand il s'agit de classiques qui, selon moi, devraient être connus de tous. J'avoue qu'il y en a encore une, aujourd'hui, qui a osé me dire: "Je cherche un livre, mais je ne connais ni l'auteur ni le titre. Le héros de l'histoire s'appelle Valérian." Oui, je l'avoue, je n'ai pas lu les milliers de livres qu'il y a dans le magasin (même en supposant que j'ai lu un livre par jour depuis mes 6 ans, ça ne fait même pas 10.000 livres, et je n'ai malheureusement pas le temps de lire un livre par jour !). J'avoue que j'aimerais avoir 1 euro pour chaque question débile dans le genre que j'entends. Aujourd'hui, je serais millionnaire... |
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| Livre ouvert, 32 ans, Bruxelles |
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J'avoue que, le jour où j'ai été faire ma photo pour ma nouvelle carte d'identité, je me suis dit qu'il fallait avoir le visage dégagé et j'ai décidé de m'attacher les cheveux. J'avoue qu'au moment où je me lançais dans ma guerre aux cheveux récalcitrants, mon fils s'est mis à hurler dans le salon. J'avoue que pour accélérer les choses, j'ai opté pour un bandeau. J'avoue que je n'ai pas songé un seul instant que cela pourrait poser un problème. J'avoue que l'employée communale qui m'a reçue a été très désagréable et d'une mauvaise volonté incroyable. J'avoue que ma belle photo a été refusée parce que je n'ai aucun motif religieux ou médical pour porter un bandeau. J'avoue que j'envisage diverse solutions : - créer une secte qui impose le port du bandeau, afin d'avoir un motif religieux ; - me raser la tête et me faire tatouer "mort aux cons" sur le front ; - me faire faire une coiffure en forme de chapeau ; - faire une nouvelle photo avec une perruque, me présenter à la commune avec la perruque et la retirer au moment où je quitte les bureaux, une fois les documents remplis ; - me faire teindre une bande rouge sur les cheveux ; - soudoyer un médecin pour qu'il me trouve un motif médical d'avoir un bandeau. J'avoue que je trouve ça débile de refuser cette photo, alors qu'elle me représente vraiment telle que je suis. J'avoue que, si c'est ça la Belgique, ils peuvent se la garder, ma carte : j'ai plus envie d'être belge ! J'avoue qu'à partir du mois prochain, je serai simplement une terrienne anonyme, sans religion, sans maladie, mais qui met des bandeaux dans ses cheveux... |
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