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22354 aveux trouvés
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Enmaldamour, 22 ans, Istres
Je t'aime plus que tout. Même si j'ai une copine, tu as pris une telle place dans ma vie que tu la surpasse aisément, je pense à toi tous les jours, quand je me lève, quand je me couche, et entre les deux... J'aimerais tout te dire et que tu te rendes compte de ce que j'éprouve pour toi.
Je t'aime E.
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Poissonrouge83, 28 ans, Toulon
J’avoue être follement amoureuse de lui... J’avoue qu’il me fait perdre la raison.
J’avoue que j’adore faire l’amour avec lui.
J’avoue être mariée et maman de deux enfants. J’avoue que je quitterai mon mari s'il me le demandai...
J’avoue avoir très peur que ça ne soit pas réciproque... M ❤️
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Lucia, 23 ans, Avignon
J'avoue, je suis actuellement en couple avec un homme de 32 ans et cela fait 3 ans que l'on est ensemble.
Mais y a un souci jusqu'à présent Monsieur ne sait toujours pas s'il voudrait faire sa vie avec moi dans le futur et en plus il me considère en tant qu'ami, quand il me parle j'ai l'impression qu'il oublie que je suis "sa copine" et que je l'aime.

Il me parle souvent de type de femme qui lui plaît avec qui il aimerait sortir etc. le pire c'est que leur profils et le mien sont vraiment différents.
Monsieur ne veut jamais rien faire avec moi au niveau sexuel, il faut toujours que j'insiste pendant 2 mois ou 3 avant qu'il accepte. Je me remets en question car je sais qu'il ne voit pas d'autres femme même si je sais que c'est ce qu'il voudrait ! J'avoue, je suis dans une relation bizarre et je n'arrive pas à le quitter, j'ai essayé plusieurs fois mais j'ai pas pu, Je l'aime vraiment, je ne peux même pas songer à voir un autre homme, j'y arrive pas. Quand j'y pense ça me fait un sentiment de dégoût.
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Silwan, 32 ans, Paris
J'avoue ne pas savoir sur quel pied danser avec toi.
J'avoue préférer de loin les moments où on se croise alors qu'il n'y a personne dans les parages, car je sais qu'à tous les coups tu auras un mot gentil ou un sourire.
J'avoue que je déprime un peu quand je te vois arriver avec tes potes car avec eux tu deviens moqueuse et hautaine.
Je sais que tu protèges ton image, que tu joues un rôle de fille forte qui ne traîne pas avec n'importe qui, et je ferais sûrement de même à ta place. Tu es encore tellement jeune !
J'avoue que je suis à l'ouest et que ça ne changera jamais. Je suis ainsi, c'est à prendre ou à laisser ! J'avoue que tu ne peux pas te permettre de me tourner autour. Ta réputation serait anéantie.
J'avoue que c'est dommage, j'avoue que parfois ton attitude me peine mais je sais aussi que je n'essaierai pas de changer pour tes billes. Tant pis si on passe à côté de quelque chose.
J'avoue m'être fait des films il y a quelques jours, j'avoue avoir voulu tenter une approche dans la foulée, mais j'ai renoncé au dernier moment.
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Anu, 27 ans, Toulouse
J'avoue que je suis à la fois fort mais faible.
Je parais déterminé mais j'ai tellement des problèmes de confiance.
J'ai gouté à l'amour plusieurs fois mais je me suis retrouvé à chaque fois malheureux et déçu.
C'est peut-être bien que je suis moi même le problème et pas les gens qui m'entourent.
Je médite et j’essaie toujours de m'entendre et de s'autocritiquer... mais aucun changement.
Toujours à la recherche de la lumière qui peut finalement guider mon cœur et mon esprit vers la paix.
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Ptitchat, 38 ans, Clermont
J'avoue que tu m'as trompée. Que le jour où j'ai tout découvert j'ai cru que je rêvais...Toi qui a su me faire croire à l'amour, à ta fidélité, ta sincérité. J'avoue que je reste avec toi mais je crois que je n'arriverai jamais à te pardonner. J'avoue que si l'occasion se présente, à mon tour, je vais te tromper et te montrer le mal que tu m'as fait. Plus jamais je ne te croirai.
D'ailleurs si le bel homme que j'ai croisé dans un camping ardéchois en juillet 2018 se reconnait, je suis partante pour le revoir. C'était un petit camping familial, tu étais avec un couple d'amis, ta femme et ton enfant. Nos regards étaient intenses et trahissaient cette attirance rare. Nous ne sommes pas parlés quel dommage ! Si tu passes par là, laisse un message.
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Alain, 42 ans, Suisse
J'avoue que ma collègue et néanmoins amie m'excite à fond mais elle ne le sait pas... je pense.
Elle doit penser que j'ai des vues sur d'autres alors que non c'est d'elle que je fais souvent des rêves érotiques et qui n'aboutissent jamais, du coup je suppose que c'est parce que ça doit se réaliser pour de vrai...
Le problème avec elle c'est qu'on ne sait jamais si elle dit ou fait des allusions pour taquiner ou si cela peut-être vrai. J'avoue que je ne suis pas trop timide mais le fait de jouer à ce jeu fait que je n'ose pas demander plus. J'avoue que je serai hyper tenté avec elle pour des jeux interdits...
Oui car j'avoue elle est mariée et moi aussi et alors ?
Mais qu'est-ce qu'on s'en fout c'est juste pour se faire plaisir avec quelqu'un qu'on apprécie.
J'avoue j'adore ses yeux !
J'espère qu'elle me lira (vraiment !) et qu'elle fera une allusion claire et pas ambiguë et là oui je me lancerai ça serait tellement plus simple ensuite...
J'avoue oui, j'avoue j'adore parler avec et monstre envie d'elle ! Si elle savait ce à quoi je pense à chaque fois que je lui parle !
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Emy, 19 ans, Nice
J'avoue que là, tout de suite, je me sens comme égarée au milieu un océan, submergée par toutes ces difficultés et toutes ces choses que je dois faire. Je me noie dans des décisions plus dures les unes que les autres à prendre. J'ai le sentiment d'être le pilier de ma famille, famille qui d'ailleurs part en lambeau depuis maintenant 3 ans. Tout le monde compte sur moi mais j'ai la sensation d'être si faible même si certains disent le contraire. Parfois, je me demande ce que serait ma vie si je n'avais pas eu tout ces accidents de parcours, ce qu'elle serait si j'avais un peu de soutien, si pour une fois dans ma vie j'avais une figure masculine qui m'épaulerait. Puis je me dis que sans ça, sans ces blessures qui ne cessent de saigner et sans cette douleur qui m'étouffe jour après jour, je ne serais pas celle que je suis.
Et comme j'ai conscience que je suis jeune, si vous aviez comme j'en ai conscience, je sais que j'ai la vie devant moi mais vivre sa vie sans équilibre s'avère être tellement difficile. Si vous me croisiez dans la rue, aucun d'entre vous ne saurez à quel point je souffre, j'ai mal et je suis fatiguée, personne parce que ouais, je suis une bonne comédienne comme pas mal d'entre vous.

Je n'ai jamais rien demandé d'extraordinaire à mon sens, seulement à ce que l'on me voit comme je suis réellement et que l'on m'accepte avec toutes mes cassures.
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Mysterieusemadone, 35 ans, Paris
Je pense qu'il faut qu'on arrête mais je ne sais pas comment faire.
La dernière fois que j'ai été très proche de toi, avant ton déménagement, tu ne m'as sûrement pas reconnue puisque je n'avais jamais été aussi tactile et aussi proche de toi.
Je t'ai expliqué que c'était parce que je ne pourrais plus t'embêter une fois que tu aurais déménagé.
Tu m'as répondu spontanément et d'un ton assuré, qu'on trouverait une autre solution.
Le temps a passé et je n'ai pas vu de solution arriver ou proposée de ta part.
Je m'éloigne peu à peu et prends mes distances.
Tout ce temps loin de toi, me confirme dans mon choix d'arrêter alors que j'avoue aujourd'hui, par écrit, que je ressens des choses profondes pour toi.
Je pense même t'aimer mais ce n'est ni raisonnable ni inavouable.

A chaque fois que j'y pense, ça me déchire le cœur mais c'est mieux ainsi.
Jamais je n'aurais imaginé un seul instant développer les sentiments que j'ai développé aujourd'hui envers toi.
J'avoue écrire tout ça avec les larmes aux yeux mais je ne peux en parler à personne... personne ne comprendrait.

Je pense que je ne vais rien te dire mais continuer à être distante pour que tu comprennes et que tout s'arrête te tu retournes à ta petite vie d'avant, avant que l'on se rencontre.
J'aurais toujours une profonde affection et tendresse envers toi même si je vais tout faire pour ne rien montrer.
J'avoue que je crois, pour ton bien et mon bien, que nous devenions de simples collègues.
J'avoue m'en vouloir quand j'ai pu penser que tu m'aimais comme moi je t'aime.
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Adj, 39 ans, Paris
J'avoue que j'adore les militaires.
Ça tombe bien, j'en suis une moi aussi.
J'avoue que vos fesses musclées en treillis, vos pectoraux saillants sous une chemise de combat, vos nuques rasées ne me laissent pas indifférente.
Mais au delà de ça, j'avoue que j'aime échanger avec vous. Je sais ce que vous vivez, ce que vous n'osez pas évoquer avec vos collègues masculins de peur d'être jugés. Je sais que vous avez besoin parfois d'une oreille, de relâcher la pression. Je sais que vous pouvez me dire des choses que vos compagnes ne peuvent pas comprendre. J'ai plaisir à vous écouter, à partager un peu vos fardeaux. À être là pour vous.
J'avoue, j'aime prendre soin de vous. Vous offrir quelques heures de répit, de douceur, d'humour à la con, de nouveauté et plus si affinité. Ce n'est pas un but en soi, mais c'est toujours un bonheur...
J'avoue, j'ai aimé faire l'amour avec chacun d'entre vous. J'ai fait de mon mieux pour qu'à chaque fois, le concerné se sente unique, choisi, chanceux. C'est bien peu comparé à ce que vous donnez.
J'avoue que certains d'entre vous sont au-delà de toutes descriptions côté sexe ! À ceux-là, merci pour votre endurance, votre imagination et votre savoir-faire ! Merci pour m'avoir fait me sentir belle dans vos yeux, et bonne dans vos lits. Merci pour tous ces endroits insolites où nous avons échangé nos salives, nos sueurs et nos fluides corporel. Merci pour le respect que vous m'avez témoigné, en acceptant systématiquement la capote. Merci malgré les longues périodes d'abstinence qui vous sont imposées d'avoir toujours fait passer mon plaisir avant le votre.
Et merci à ceux à qui j'ai simplement dit non et qui n'ont pas insisté.
J'avoue qu'une fois je suis tombée amoureuse. Au point de me résoudre à la fidélité depuis plusieurs années et de l'avoir épousé. Je sais qu'il se croit unique mais force est de constater qu'avant lui quelques uns ont emprunté le même chemin.
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Estupida, 21 ans, Istanbul
Je n'ai jamais aimé comme ça. On est en couple mais actuellement pas dans le même pays. Et je n'ai aucune nouvelle. Les seules fois où il m'envoie des messages c'est pour me dire qu'il n'a pas le temps, qu'il ne peut pas me parler maintenant, et ça fait plus de deux mois que ça dure. J'en souffre énormément d'autant plus que quand on était ensemble, il prenait toujours le temps de contacter se amis et sa famille en m'expliquant qu'ils étaient loins, qu'ils lui manquent, etc. J'ai beaucoup de mal à admettre que j'aime quelqu'un qui n'est pas capable de consacrer ne serait-ce que 5 minutes pour moi dans une journée. Je ne sais pas quoi faire, ça me fait énormément de mal, et j'ai beau essayer de renouer le dialogue en lui envoyant des courriers, des sms, des audios, des photos, je n'en peux plus. Il m'assure qu'il m'aime mais qu'il ne peut pas me parler, mais je n'arrive plus à y croire. Je deviens folle chaque jour un peu plus et le crises de larmes se multiplient.
Je ne peux pas ne plus lui parler, la revanche est stupide et ça ne fera du mal qu'à moi je pense. Je ne sais plus quoi faire. Je passe mon temps à regarder mon téléphone, comme s'il restait encore un espoir, et il m'arrive même de ne pas en dormir en me disant qu'il ne m'aime plus. Ou peut-être ne m'a-t-il jamais aimé. Je suis perdue. Je suis en train de faire une relation à moi toute seule. Je ne compte pas pour lui, putain qu'est ce que c'est dur de l'écrire, mais j'ai besoin de le faire, de me libérer de ça et de lâcher prise.
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Martinez, 25 ans, Nancy
J'avoue que parfois, j'en ai marre de toi. J'avoue que dans ces moments là, je pense à tout ce que tu m'empêches de faire, je me demande si je ne serais pas mieux avec d'autres, si je ne passe pas à côté de ma vie.

J'avoue que quelques temps après, les sentiments que j'ai pour toi reprennent le dessus, mais j'avoue que ces pensées reviennent de plus en plus souvent...
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Biena, 31 ans, Chatou
J'ai inventé une nouvelle vie à mes collègues en leur disant que j'étais mariée alors que non. J'ai fait ça car je ne voulais pas qu'ils aient pitié de moi à 30 ans, je n'ai jamais eu un homme qui m'aime. Maintenant, je ne peux plus me défaire et j'invente des histoires sur mon couple imaginaire car ils me posent des questions.
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Fleur fanée, 41 ans, Paris
J'avoue, c'était cool.
Mais je pense ne pas être faite pour toi.
J'avoue, j'ai adoré.
Mais je suis beaucoup trop abstraite pour toi.
J'avoue, je ne suis pas gentille.
J'avoue que je ne peux pas les câlins et tout ça.
J'avoue que je sais, c'est pas bien.
J'avoue, je ne regrette rien
Tu es génial.
Mais je ne peux pas.
J'avoue que je suis détaché parce que je suis maso.
J'avoue, j'aime ça.
C'est bizarre.
Plus on me rejette plus j'aime.
C'est comme ça.
Désolé je ne ne peux pas être qui tu veux.
C'est comme ça.

J'avoue.
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Abricot, 30 ans, Rouen
J’avoue Mlle stagiaire que tu m’excites et que je me suis aperçu que tu avais l’air d’être Coquine.
J’avoue que j’aurais bien envie qu’on se face plaisir ensemble un midi ou un soir au bureau et que si tu me faisais signe ou que tu lis cet aveux, j’attends une réponse de ta part.
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Andrea, 18 ans, Arnage
Chère madame,

Je voulais vous dire que je vous aime au plus profond de moi, je sais que vous êtes ma prof mais je ne peux pas m'empêcher de vous aimer comme une maman.

Même si vous m'avez déçue je voudrais vous revoir bientôt car vous me manquez beaucoup et c'est très dur. J'ai vécue 2 bonnes années avec vous et je ne vous oublierai jamais, vous êtes très belle avec vos yeux bleus qui me font perdre mes moyens, vos beaux cheveux et vos belles tenues qui vous mettent en valeur. Vous m'avez beaucoup aidé et je vous remercierai jamais assez de votre aide pour ces 2 ans.
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émotive en cours d'amélioration, 27 ans, Rennes
Je me sens perdue.
Il m'a posé un ultimatum. Il m'a dit que je le blesse. Il dit que je suis plus désagréable avec lui qu'avec les autres. Il dit que je le fais tout le temps passer pour quelqu'un de mauvais à ses yeux. Je gâche les moments que nous passons ensemble. Il me dit que je me fâche pour rien.
Il m'a dit et redit que je lui donne envie de me quitter et d'aller voir ailleurs.

Il n'a rien vu de mes tentatives de changement.
Il ne voit pas mes efforts. Il continue de dire, de redire que je ne fais rien, aucun effort. Je reste dans mon confort. Cela fait des années qu'il se répète, qu'il me dit ce que je ne dois plus faire. Mais je continue.

Je suis découragée.
J'ai essayé pas mal de choses.
Il m'a dit que toutes mes tentatives étaient mauvaises.
Je n'ai plus d'inspiration
Je ne sais plus quoi tenter.

J'ai trouvé la respiration pour maîtriser mes émotions, toutefois, la respiration n'est pas une interaction, une communication.

Il fait pleuvoir sur moi des reproches véridiques, il attend une discussion ensuite. Mais je suis sidérée par la douleur.
Je lui dis qu'il a raison, il me dit que ça lui fait une belle jambe. Il veut du changement. Immédiatement.

Je dois annuler la douleur pour qu'elle ne me sidère plus.

Du coup, j'ai décidé de me ficher de tous les détails qui me chagrinent, de me persuader que c'est dans ma tête, c'est moi qui me blesse en interprétant mal.
Je respire, la douleur s'apaise.
Je range mes sentiments au placard, car ce n'est pas le moment.
Il veut que je change pour le retenir, je suis désespérée.

C'est avec les épreuves que l'on s'améliore, c'est ma seule consolation.
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Jaipasdepseudo, 21 ans, Dijon
J'avoue que je me sens seule souvent, j'aime pas ma vie actuelle. Je suis proche de personne, ni de ma famille ni de mes amis. La plupart des amis que j'ai c'est grâce à mon copain comme si j'étais incapable de m'en faire. J'aime de moins en moins qui je suis.je crois que mon copain aussi. Ma confiance en moi baisse. J'ai l'impression que les gens ne m'aiment pas. J'ai l'impression de pas être normal. Les gens m'abondonnent petit à petit. Je ne sais pas ce que je vais devenir. Je me hais de plus en plus, je me supporte de moins en moins. J'ai aucune volonté.
Que vais-je devenir ?
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M, 30 ans, Paris
J'avoue, j'ai complètement flashé sur toi. Je n'arrive même pas à l'expliquer. C'est la première fois que je ressens ça. Je ne mange plus, je ne dors plus. Je n'ai que ton image en tête. Ça me terrifie en même temps de perdre autant le contrôle de moi-même.
J'ai l'impression que tu as ressenti la même chose quand nous nous sommes regardés droit dans les yeux. Mais est-ce que je suis folle de le penser ? Nous allons bientôt nous revoir et je serais fixée. J'ai hâte et en même temps je redoute ce moment.
J'ai peur d'avoir le cœur brisé.
J'avoue que je me souviens du moindre détail, la couleur de tes yeux, le son de ta voix, ton sourire si envoûtant. Tellement de charme. Et je suis conquise par ta personnalité, tu as l'air de quelqu'un d'investi, humble, doux.
J'ai envie de parler de toi à tout le monde toute la journée. Mais je passerais juste pour une folle. Alors je préfère avouer ici.
Je me sens tellement bien et tellement mal en même temps. Je ne sais pas comment faire.
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Xantia, 35 ans, Lille
J’avoue que j’en ai marre de tout et ça monte depuis 4 mois, crescendo.
J’en ai marre d’avoir une collègue jalouse et hystero, marre de la paranoïa de mon mec, marre de ma belle sœur qui achète toujours les mêmes trucs que nous et qui dit qu’elle ne l’a pas fait exprès, cette folle.
Aujourd’hui, j’ai pleuré comme une madeleine, j’ai fait peur à mon fils avec mes sanglots longs des violons d’automne.
Il est 2 heures du mat mais je ne dors pas parce que j'y pense encore. Je suis faible, je suis soumise, je me sens toujours moche. Mais je n’ai pas envie de mourir, je veux quand même voir la suite avec tous les nouveaux et anciens pourrisseurs de vie que je vais rencontrer.
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Lachose, 26 ans, Paris
Il y a 3 ans, je postais ici. J'étais malheureuse, mon mari ne me regardait pas. Mes meilleures amies m'avaient trahi. 3 ans plus tard, j'ai 26 ans. J'ai divorcé et changé d'amies. Mais qu'est-ce que je suis seule ! Mon ex-mari qui m'utilise à sa guise, des amies présentes mais pas trop, une famille intéressée. Je suis seule. Désespérément seule. Pourquoi pas d'amour pour moi ? D'amitié ? Vivre à Paris, entourée de monde et être tellement seule...
Je ne veux rien pourtant, juste exister.
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Littlestrawberry, 23 ans, Évreux
J'avoue que je ne sais pas où j'en suis. J'avoue que je l'aime, j'ai quitté ma région, ma famille pour lui...
Mais 3 ans plus tard, j'avoue que je suis à bout. J'avoue que j'ai du mal à supporter son mal être qui déteint sur moi, j'avoue que ça m'énerve l'entendre râler sans qu'il ne fasse rien, j'avoue que ça m'épuise de le voir déprimer... Quand c'est moi qui est au fond du trou, il me dit ne pas pouvoir prendre ma peine sur ses épaules. J'avoue que moi, je dois toujours l'aider à se relève, même si ça me fatigue. J'avoue faire des efforts, je ne sais pas s'il en fait réellement. J'avoue ne pas savoir si j'ai la force de continuer. J'avoue que si je pars, il sera dans une situation compliquée. Est ce de la pitié ? J'avoue que je ne sais pas. Je suis fatiguée.
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Daffodil Lament, 30 ans, Paris
J'avoue que ça me fend le cœur quand je t'entends parler de lui ainsi.
À t'écouter, il est beau, bien gaulé, musclé, yeux bleus, blond, c'est dieu en fait ?
J'avoue que je ne suis pas jaloux. J'avoue que je suis juste dégoûté que l'être que j'aime ne me regarde pas ainsi.
Pourtant, nous sommes en parfaite harmonie tous les deux. Tu me l'as même avoué.
Mais alors pourquoi tu persistes à t’empêtrer dans les mauvais choix ?
Ta fougue, tes nombreux diplômes ou ta richesse ne devraient pas te dispenser de modestie et d'humilité. Ton arrogance, tes convictions te perdront.
J'avoue que tu as fais ton choix, la vie est faite de choix et que dans cette vie, certains choix sont irréversibles.
Comme dirait l'autre imbécile : "On ne se rend compte de l'importance des choses qu'après les avoir perdues".
Soit. Quel gâchis.
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444, 21 ans, Paris
Ma mère me dit tout le temps que je suis grosse. Elle me trouve pas assez grande pas assez fine, pas assez mince, pas assez intelligente. Je suis juste une grosse chose stupide moche à ses yeux.
C’est pour ça que j’ai toujours déteste les photos, miroir, tout ce qui était près du corps. Car je savais que j’étais moche, laide. Que j’étais pas féminin vu que je porte que des vêtements ample et des pantalons.
Lorsque j’ai des problèmes de peaux je lui dis que c’est le stress mais non elle me sort que c’est parce que je suis grosse !
En vrai j’en peux plus de cela. Je n’en peu plus de ce type de vie, où ta propre mère te juge sur ton apparence et non ce que tu es vraiment.
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Lolo, 23 ans, Montpellier
J'avoue le fond de ma pensée.

Eloïse.
Je sais que je ce que suis en train de faire n’est pas la meilleure des manières de te dire à quel point tu compte dans ma vie et à quel point je t’aime. Je sais que je vais avoir l’air d’un malade mental quand tu lira ce texte… Mais je ne cherche pas à te donner une bonne image de moi. Je veux juste vider mon sac. Je veux t’avouer la force de mon amour. Et puis même si ce n’est pas réciproque, au moins je te l’aurai avoué.

Je n’ai pas de mots pour décrire la force de l’amour que je ressens pour toi. On pourrait dire que c’est de l’attachement mais je t’assure qu’il n’en est rien. Je n’ai jamais ressenti quelque chose de la sorte. Je n’ai jamais à la fois autant aimé et autant souffert de ma vie.
Tu joues un rôle capital dans mon existence, tu es la personne qui m’a purgé de mes souffrances, qui m’a fait mûrir, grandir, réussir…

Je ne sais pas comment tu vas réagir à la lecture de ce message. Peut-être que tu vas mal réagir, et que tu vas avoir peur, parce que l’amour est une chose effrayante. Peut-être que tu vas pleurer : de joie, d’amour, de reconnaissance … parce qu’il est difficile de se confier, de dire aux personnes qu’on aime qui on est vraiment. Ou peut-être que tu vas simplement ignorer ce message, parce que la vie est impitoyable, et que nous devons être plus dur qu’elle pour survivre dans ce monde.

Je voudrais commencer par te dire : Merci ! Merci d’avoir croisé mon chemin, merci d’avoir eu la curiosité de intéresser à moi, merci d’avoir sacrifié une partie de ta vie pour moi, merci d’avoir été près de moi, merci de m’avoir donné des défis à relever, merci de m’avoir mis dans la difficulté, merci d’avoir eu les forces que je n’ai pas eue, merci d’avoir été forte et dure quand j’en avais besoin, merci de m’avoir donné ton amour inconditionnel, merci de m’avoir admiré, merci d’être qui tu es, merci d’exister…

A travers toutes mes crises et mes difficultés, à travers toute ma haine et ma peur, je renferme un amour infini, un amour que je protège, un amour que j’entretiens, un amour que je chéris. Cet amour c’est le tient.
Ta force de caractère m’a fait comprendre que l’amour est beaucoup plus important que n’importe quelle autre chose dans la vie. Et j’ai compris que je veux vivre pour toi. Réussir ma vie pour réussir avec toi…

Aujourd’hui, grâce à toi je n’ai plus peur de rien. Je n’ai plus peur de rater mes études, de ne pas avoir de travail, de ne pas avoir de logement, de ne pas avoir à manger… J’ai compris que la seule peur qui m’anime et celle pour laquelle je vais évoluer toute ma vie, c’est la peur de ne plus être aimé, et de ne plus aimer.
Tu m’as fait me rendre compte à quel point je suis une personne matérialiste, et finalement tu m’a fait changer. Tu m’as fait me rendre compte que l’amour est le plus important. Et qu’à la fin de ma vie la seule chose que je pleurerai c’est la souffrance que je vais faire aux personnes qui m’aiment et que j’aime.
Mais pourquoi il faut que je me rende compte de tout ça au moment ou tu n’es plus là ? Sois rassuré, je ne t’en veux pas du tout d’être partie faire tes études, au contraire, je suis vraiment heureux que tu puisse te construire une vie, un avenir. Avant que tu t’en aille, j’étais une personne égoïste, je n’en voulais que pour moi et ma personne. Mais par la force des choses tu m’as appris à être heureux pour les autres, même quand ça ne va pas pour sois-même.
Alors crois-moi je ressens du bonheur et de l’espoir pour ta réussite future, même si le chemin est encore long, et même si je ne te le montre pas au quotidien.
Je ressens tellement de choses différentes pour toi. Et ce qui me fait souffrir c’est de ne pas savoir pourquoi je les ressens. De ne pas pouvoir les maîtriser, d’être obligé de me laisser aller à mes émotions. C’est encore quelque chose que tu m’a appris.
Quand tu m’a connu, tu m’as dit que j’avais la maturité d’une personne de 40 ans. En deux ans tu m’as encore fait gagner 20 ans mon cœur. Grâce à toi je suis en avance sur mon temps, et bientôt je serai prêt à affronter les choses les plus difficiles que l’on peut. Et finalement, je trouverai le bonheur et la sérénité à l’intérieur de moi. Je te le promet. Tu finiras par t’en rendre compte…
Si je devais résumer notre relation en un mot, ce serait : grandir. Et je sais que tu es d’accord avec moi. En deux ans, j’ai découvert la vie. J’ai compris un million de choses, j’ai vécu un million de douleurs, de plaisirs, d’expériences… Plus que je n’aurais jamais pu en vivre seul.
Tu as joué un rôle fondamental dans ma vie. Dans mon existence. Tu as fait de moi un autre homme. Tu as fait de moi un homme.

Je n’ai pas envie de m’arrêter d’écrire parce que dans le fond j’ai tellement de belles choses à te dire. Mais je vais finalement de dire une seule chose. Merci.

Merci d’avoir été qui tu es. Dans ta beauté, ta joie, ton intelligence, ton ignorance, ta colère, tes problèmes de santé, ta confiance en toi, en la vie, tes objectifs, ta vision du monde, ton amour. Tu as été la personne qui me fallait. Et tu m’as fait plus grandir que quiconque sur cette terre.
Et en retour de tout ce que tu as fait pour moi, de tout ce que tu m’as donné, moi j’ai développé de l’amour. L’amour inconditionnel, l’amour avec un grand A, celui qui fait que tu ne veux plus vivre que pour la personne que tu aimes. Celui qui fait que tu veux plus que tout au monde, protéger la personne que tu aime, tu veux la chérir, tu veux l’élever, tu veux faire d’elle une princesse, une reine, la femme la plus heureuse du monde. Et si tu le pouvais, tu donnerais ta vie pour elle, pour qu’elle soit heureuse, tu décrocherais la Lune pour elle. Parce tu as une dette envers elle, une dette infinie…
Voilà mon amour ce que j’ai sur le cœur. Je te dis des choses que je pense et que je cache profondément au fond de moi. Aujourd’hui c’est facile pour moi de te les dire, tu me l’a dit toi aussi, j’ai besoin de vider mon sac. Alors je te montre la part qui te revient.
A mes yeux tu es la femme de ma vie. Je donnerai toutes les forces que j’ai pour toi, je serais prêt à n’importe quoi pour toi. Je suis là, je te protège. Mais tu as le contrôle total sur moi, parce que je te dois l’infini.

Dans le bonheur comme dans la souffrance tu m’as fait grandir. Je ne l’oublierai jamais, tu es devenu ma raison d’exister.
Pour toi je décrocherai l’infini, parce que l’amour n’a pas de prix.
Je t’aime… à la vie et à la mort.
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