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Nataska, 22 ans, Neuchâtel
J'avoue, oui j'avoue tout. Tout ce que je n'ai pas pu dire. A personne, de peur d'être jugée...
J'avoue que toi, L. tu m'attires, tu m'excites, rien que ta présence réveille tous mes sens et ma libido.
J'avoue, je vis pourtant avec un autre. Ca fait déjà longtemps. J'étais heureuse. Tu es dans ma vie depuis déjà longtemps aussi... et pourtant ce n'est que maintenant, maintenant que je me rends compte à quel point... j'ai envie.
J'ai failli le quitter pour toi. J'en étais à deux doigts. Si tu savais ce que ça m'a fait mal quand tu m'as dit que tu ne te serais jamais mis avec moi par amitié pour lui ! J'en aurais hurlé ! J'ai tout gardé pour moi.
Malgré tout... j'avoue que je ne regrette pas ce jeu de séduction entre nous, l'autre soir quand je vous ai invité, ses trois amis, à passer à la maison.
J'avoue que j'ai adoré tout faire pour te séduire. Tout faire pour être coller à toi. Pour que tu ne regardes que moi. Que tu oublies le reste. Tu m'as avoué que je t'attire. Je t'avoue que ma tenue, ma coiffure et mon maquillage t'étaient destinés entièrement.
J'avoue que lui s'est rendu compte que je jouais avec toi. J'avoue que j'y ai pris du plaisir. J'ai aimé qu'il le sache sans rien dire. J'ai aimé tout faire. J'aurais même adoré faire plus. Quelle connerie que la loyauté entre ami ! Si elle n'existait pas tu m'aurais déjà embrassée dans cette voiture quand je t'ai raccompagné ! Tu aurais peut-être même fait plus !
Bon sang j'avoue tout ! J'avoue que si tu avais dit un mot, un seul, non seulement je t'aurais laissé faire, laissé faire tout ce que tu aurais eu envie.
J'avoue que je ne regrette que deux choses :
- que nous ayons été trop honnête et loyaux envers lui
- que nous n'ayons rien fait.

J'avoue que je fantasme sur toi tous les soirs. Que c'est toi que j'imagine quand je cherche de la tendresse.

J'avoue aussi que je ne m'étais jamais sentie aussi belle que lorsque j'ai surpris ton regard sur ma poitrine. J'avoue que je vais recommencer, que la prochaine fois qu'on se verra... il me faudra être discrète. Je lui ai promis de ne plus recommencer...
J'avoue, j'ai menti.
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Secrette, 29 ans, Lille
J'avoue que cet après midi, j'avais un RdV qui a été annulé à la dernière minute, je disposais de temps devant moi... pour moi...
J'avoue que je suis alors montée dans ma chambre avec des piles neuves et l'ordi. J'ai ouvert la fenêtre en grand. Je me suis mise nue, j'ai cherché une vidéo avec une fille qui jouissait, qui jouissait de préférence bruyamment et j'ai sorti mon vibromasseur de sa belle pochette en satin. J'ai pris un pied terrible. Le vent frais sur mon corps nu, les oscillations dans mon vagin... J'avoue n'avoir arrêter qu'après avoir atteint mon 2ème orgasme. J'avoue qu'il était si fort que j'ai dû me mordre les lèvres pour ne pas hurler de plaisir et affoler les voisins.
J'avoue ensuite être allée chercher mes enfants à l'école, et maintenant, je suis une maman "classique".

J'avoue qu'en lisant les aveux de tendre esthète, je suis jalouse de sa compagne, jamais je n'oserai en parler à mon époux, me faire bander les yeux et être là, pour plusieurs hommes... ça doit vraiment, vraiment être au delà de mes espérances.

J'avoue que maintenant, je vais mettre mes enfants au bain, et je vais enfiler ma guêpière en espérant que mon mari me prenne sur la table du séjour ce soir.
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Violette, 21 ans, Paris
J'avoue avoir un problème avec la nourriture.
Je ne peux pas faire de courses sans en dévorer la moitié en rentrant.
J'avoue être seulement bien portante, malgré tout.
Mais j'avoue vouloir arrêter de vivre pour manger et enfin commencer à manger pour vivre.
Mais comment faire pour y arriver ?
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Mimalt, 25 ans, Lyon
J'avoue que j'aime beaucoup ce site, mais aussi en avoir marre de tous ces aveux de gens pourris ou pervers qui me mettent mal à l'aise avec leurs coucheries et tromperies...
Je me sens souvent bouleversée par ces lectures et pourtant continue...
J'aimerai leur faire voir comme la vie peut être magnifique quand on est aimé et soutenu ou qu'on entreprend et qu'on rêve.
J'aimerai leur dire de vivre à fond mais sans blesser les autres... et aussi leur faire gouter mon gâteau pâte d'amande-myrtille...
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Il était une fois, 18 ans, Rennes
J'avoue que j'aime faire caca en pleine nature, me bourrer à la vodka, faire l'amour, manger des frites à 3h de l'aprem avoir raison, péter fort, piquer dans les magasins sans se faire attraper, regarder des films niais et pleurer à la fin, chanter les chansons dans les Walt Disney, glander devant la télé une bière à la main, fumer un pétard de temps en temps, prendre les escalators à l'envers, faire des batailles de nourritures, péter dans l'eau et que ça fasse des bulles, faire des blagues au téléphone, regarder barbie coeur de princesse, me déguiser pour sortir dans la rue sans aucune raisons... et tellement d'autres choses et j'espère trouver un mec qui pourra faire toutes ces choses avec moi !
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Infinity, 23 ans, Paris
J'avoue que je t'ai souhaité un bon anniversaire par sms, mais je n'ai pas eu de réponse. Cela fait presqu'un an que l'on ne s'est pas vu, ni parlé, et j'ai peur que tu aies changé de numéro sans me le dire. Ca serait la preuve que tu m'as bel et bien oubliée.
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Error 404, 15 ans, Strasbourg
J'avoue. Oui j'avoue avoir avalé de ce liquide blanc, oui, très liquide; quelques fois un peu visqueux. Oui. J'avoue. J'ai juste mangé un Yahourt Nature...
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Lilie, 25 ans, Marseille
J'avoue que tu me manques, que je ne suis pas guérie de toi... J'avoue que ta peau, ton odeur, ta douceur, ta voix, nos jeux, nos rires, nos discussions, nos délires... restent encore ancrés en moi et que je n'arrive pas à tourner la page. Je donnerai tout pour t'entendre me dire "encore des chaussures ???" ou pour te voir écraser mes cigarettes à peine allumées... Pour sentir ta main dans mes cheveux... Tu me manques tellement... J'espère avoir un jour la force de t'oublier.
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Satzuki, 32 ans, Genève
J'avoue être toute chamboulée depuis quelques temps. Je n'aurais jamais imaginé que cela puisse m'arriver. Lorsque j'ai emmené ma fille a sa 1ère leçon de karaté, j'ai trouvé le "sensei" très sympa, sans plus. Puis, quelques temps plus tard, je l'ai croisé dans la rue et de l'avoir vu autrement qu'en kimono m'a fait ressentir un bon dans ma poitrine. Et quelques semaines après, je me suis réveillée en sueur à la suite d'un rêve érotique avec cet homme. Et depuis, il m'obsède. Je rêve de faire l'amour avec lui, de sentir sa peau contre la mienne. Je voudrais qu'il me prenne avec force, sur le tatami et qu'on baise en se regardant dans le miroir. Il a l'air si fort et si doux à la fois.
J'avoue que j'attends toujours impatiemment les leçons de ma fille. J'avoue aussi tout mettre en oeuvre pour que cela se réalise.
Et bien sûr, j'avoue que je suis mariée...
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Aze, 25 ans, Besançon
A la rentrée, je n'ai ni appart, ni fac, ni travail, ni sous sur mon compte en banque. J'avoue, je suis dans une merde noire.
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Aerobyz, 23 ans, Orleans
J'avoue, Nellie, que j'ai été touchée par ton aveu. Car tu as raison. Ce n'est pas le poids qui régit notre capacité à vivre pleinement la sexualité.
D'ailleurs, ce qui compte vraiment, c'est justement l'aptitude à se laisser aller, à s'abandonner, en cessant d'être obsédé par l'esthétique.
Hélas, difficile de sortir du carcan de notre société d'apparences n'est-ce pas ?

J'avoue que mon physique est très différent du tien : mince, 85 A.
J'avoue que je pense appartenir à la catégorie si bien nommée "peine-à-jouir".
Sache qu'il peut être difficile de s'assumer physiquement pour n'importe qui. Très difficile de faire taire le juge impitoyable qui s'impose dans notre esprit, sans cesse alimenté par notre manque d'assurance.

J'avoue que ton aveu me donne de l'espoir, et que je suis contente pour toi si tu parviens aujourd'hui à avoir une sexualité épanouie car tu as su accepter ton corps tel qu'il est.
Je dois même dire qu'en te lisant je suis fière d'être une femme, et de voir qu'il existe de vraies femmes telles que toi qui s'assument, atteignant de la sorte l'essence même de la féminité.
Oui, j'avoue que je t'admire pour cela.

J'avoue enfin espérer qu'un jour je passerai de la catégorie "peine-à-jouir", à la catégorie qui est la tienne, "jouis-sans-peine".
J'y travaille.
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Petitchat, 21 ans, Paris
J'avoue que ce que tu m'as dis l'autre soir était inespéré.
J'avoue que je suis folle de toi et que je t'aime de plus en plus chaque jours.
J'avoue que j'aime à me dire que tu es l'amour de ma vie et j'espère qu'à ces trois années de bonheur s'en rajouteront beaucoup d'autres.
J'avoue, je t'aime à la folie.
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Mia, 32 ans, La Rochelle
J'avoue que j'ai encore rêvé de toi.
J'avoue que toute les nuits tu accompagnes mes rêves les plus chauds.
J'avoue que je mouille ma culotte en pensant à toi.
J'avoue que j'aimerais que tu me prennes sauvagement sur le bureau une fois que les collègues sont partis.
J'avoue que je suis jalouse de ta femme.
J'avoue que j'aimerais que tu craques au moins une fois.
J'avoue que j'ai envie de toi !
J'avoue que je te désire !!!
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Petite fille, 20 ans, Paris
J'avoue que cette nuit a été une nuit de folie, enfin folie entre guillemet. Après une soirée en boite, je rentre chez moi en compagnie d'un pote.
En allant nous coucher, je m'endors dans ses bras, sous l'emprise de ses caresses.
Je dois dire que je n'avais jamais été aussi bien traité, ça fait du bien de recevoir de l'affection sans arrière pensée derrière.
Le lendemain matin en se réveillant trois autres amis nous rejoignent dans ma chambre.
J'ai adoré notre petit jeu sous la couette, c'est dur de pas se faire griller mais c'est vraiment excitant !

Merci j'ai passé vraiment une agréable nuit.
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Hermanita, 19 ans, Rennes
J'avoue, ma soeur m'inquiète depuis plusieurs mois, et je ne sais absolument pas comment aborder le problème. Je sais que sa perte de poids et sa manie de vouloir tout contrôler ne sont que des signaux d'alarme que je peine à déchiffrer.

Je voudrais t'aider sans savoir comment. Ca fait presque un an que je te vois déperrir à petit feu sans pouvoir rien faire. Même si ce n'est pas glorieux, je t'avoue qu'il m'est arrivé d'avoir des bouffées de colère en constatant que tu continuais de maigrir car cette situation me pesait et je voulais que tout redevienne comme avant, mais je que m'en voulais immédiatement de penser des choses pareilles. J'avoue que l'autre jour lorsque tu ne m'a pas répondu j'ai tout de suite pensé que tu t'étais évanouie dans la salle de bain. Depuis, avec le rythme que t'imposent tes études, je n'ai qu'une peur c'est que tu fasses un malaise.

Je sais que je ne suis pas la bonne personne à qui tu peux parler de tes problèmes, parce que je suis ta soeur et que tu as besoin de distance. Je sais aussi que pour toi ce n'est pas facile en ce moment, surtout à la maison et avec le reste de la famille, et si ça peut te rassurer je trouve qu'ils sont souvent injustes avec toi. Je suis désolée de mes réactions parfois, je me conduis comme une garce mais c'est juste que je ne sais plus comment faire face à tout ça. Mon intolérance prend parfois le dessus mais crois-moi, je m'en veux cruellement par la suite, et je sais que la sècheresse n'est pas une solution.

J'avoue que quand tu es partie tout à l'heure, je me suis dit que je ne pouvais pas rester sans rien faire, mais je te respecte trop pour te mettre devant le fait accompli et te demander des comptes, tu aurais pu te sentir agressée et ça n'aurait abouti à rien. Je sais que tu viens régulièrement sur ce site et j'espère que tu te reconnaîtra. Si c'est le cas, tu peux très bien faire comme si tu n'avais rien lu : je ne te demande pas de venir te confier à moi, je veux juste que tu saches que je suis là et que tu peux me demander n'importe quoi. Tu m'en voudras probablement d'avoir posté ça sur internet, c'est une démarche un peu exhibitioniste, mais c'est le seul moyen que j'ai trouvé pour être sûre que tu aies ce message en te laissant la liberté de l'ignorer ou non.

Tu mérites d'être heureuse et je serais toujours là pour toi même si je ne comprends pas toujours tout.
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Sex_Addict, 19 ans, Paris
J'avoue que je me suis fait K., Y., M., O., S., A., J., N., H., K. et J. pendant le mois de juillet. Et non je ne suis pas une fille facile.
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Paracétamol, 23 ans, Paris
J'avoue qu'il y a 4 ans, j'ai avoué sur ce site avoir flirté avec un de mes collègues de bureau, qui était en couple et avec un enfant.
J'avoue qu'à ce moment-là, nous n'avions pas couché ensemble car - raison honteuse - je n'étais pas épilée ce jour-là.
J'avoue que cet été, je bosse à nouveau dans cette même boite. Lui y est toujours, mais sur un autre site à plusieurs kilomètres de là.
J'avoue que l'on s'est revus début juillet, quatre ans après, donc, et qu'à la seconde où nos yeux se sont croisés, nous avons su tous les deux que tout était pareil qu'il y a 4 ans. Que nous avions toujours autant envie l'un de l'autre. Que dès que nous sommes dans la même pièce, nous ressentons une terrible tension sexuelle entre nous. Que nous n'avons qu'une envie, c'est de bai*ser sur l'instant.
J'avoue qu'il m'a raccompagnée en voiture ce jour-là, et que cela a été très difficile à gérer car nous av(i)ons très envie de reprendre les choses là où nous les avions laissées, mais le détail qui a son importance est qu’aujourd’hui, je suis en couple, et qu’il m’est impossible d’être infidèle. J’avoue qu’il m’a dit qu’à l’époque j’avais un peu foutu le bordel dans sa tête et son couple ; que lui et sa copine s’étaient séparés un an environ, que là ils s’étaient remis ensemble, qu’il n’avait pas envie de la tromper, sauf si c’était avec moi.
J’avoue que l’on s’envoie des textos où l’on se dit ce que l’on pense, où l’on se cherche et j’avoue que c’est très dur pour moi de supporter ma culpabilité (et ma frustration). J’avoue que je lui demande sans cesse s’il va passer au boulot, pour le voir et ressentir ce désir de part et d’autre ; et même si je lui ai dit qu’il ne se passerait rien entre nous, cela sonnait faux… Il ne se passera rien, car je ne peux tolérer l’idée même d’être infidèle, mais que c’est dur… que j’en ai envie…
J’avoue que je suis toujours amoureuse de mon copain, que je ne me vois pas être sans lui ou le quitter, mais j’avoue que j’ai découvert le pur désir physique sans sentiments, le « uniquement sexuel ».
J’avoue que je fantasme à l’idée qu’il me prenne sauvagement n’importe où, plusieurs fois, avec toute la bestialité qui je le sens, serait présente en(tre) nous.
J’avoue que j’aimerai pouvoir m’envoyer en l’air avec lui, sans conséquences, mais j’avoue que j’en suis incapable, car trop droite.
J’avoue que je m’en veux de ressentir ce désir envers lui, que je m’en veux d’avoir envie de lui, encore plus intensément qu’il y a quatre ans.
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Syfine95, 27 ans, Paris
J'avoue avoir appris à te connaître et être tombée amoureuse de toi.
J'avoue m'entendre avec ta copine et pourtant je rêve qu'elle te quitte.
J'avoue que je sais que jamais tu ne te retourneras vers moi.
Mais voilà, je te le dit, je t'aime... mais tu ne le sauras jamais.
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Pierrot, 26 ans, Angers
J'avoue, c'est moi qui ai écrasé ton chat en sortant de chez toi en voiture la semaine dernière. Nous avions passé une soirée magnifique, Sophie, que pouvais-je bien faire ?
Constatant que tu n'avais rien entendu, j'ai ramassé ce qui restait et je suis allé l'enterrer le jour suivant dans notre petit bois.
A chaque promenade que nous ferons désormais, je ne pourrais m'empêcher d'y penser. Et puis nous nous déroberons aux regards des passants et j'oublierai tout en embrassant ton cou.
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On marche ensemble, 33 ans, Paris
J'avoue, nous étions amis dans la vie professionnelle et je lui avouais tout, elle savait tout de moi car je lui parlai de toute ma vie un peu compliquée, sans tabou, sans retenue !

J'avoue que je n'osai même pas croire qu'elle puisse s'intéresser à moi, me regarder autrement qu'un ami parce que tout lui dire sur moi, sur mon comportement, ma vie, signifiait pour moi qu'elle ne s'aventurerait jamais à me regarder, trop hasardeux !

J'avoue que depuis le premier jour, je l'aie trouvée jolie et qu'au fur et à mesure que je l'aie connue elle m'a charmé et malgré ça, en aucun cas je n'espérai un rapprochement quelconque.

J'avoue que quand j'ai compris que moi aussi je l'avais charmée, je n'y ai pas cru, elle était trop belle, trop pertinente, trop rigolote.... Trop inaccessible !

J'avoue que quand elle m'a dit :" Nous nous sommes connus trop tard", j'ai su ce qui allait arriver car j'étais déjà plus que charmé et qu'à partir de ce moment là, je ferai tout pour la tenir dans mes bras et que j'y arriverai car elle avait déjà formulé un aveu !

J'avoue que quand je l'ai embrassée pour la première fois, comme un premier baiser d'adolescent, furtivement dans un endroit calme, je n'y ai pas vraiment cru et que je doutais toujours un peu car elle était trop parfaite.

J'avoue que cela fait trois mois aujourd'hui et que je suis tombé amoureux d'elle bien avant que nous nous embrassions.

J'avoue qu'elle est sensiblement plus jeune que moi et que je me sens comme un enfant devant elle quand elle me regarde, quand elle me parle, quand je la vois nue.

J'avoue que quand nous faisons l'amour, je la regarde avec autant de ferveur amoureuse que physique, que tout ces sentiments et nous même ne formons plus qu'une seule entité, forte et douce en même temps.

J'avoue que je pensais bien la connaître et que tous les jours elle me surprend, je ne savais pas qu'elle était aussi une "femme", une amie, une complice et une maîtresse. Je ne pouvais pas savoir tout ça.

J'avoue que ma situation personnelle est compliquée, que j'ai peur de lui faire du mal et que malgré cela, c'est encore elle qui est là, pour me soutenir et ma rassurer.

J'avoue que j'estime ne pas être à la hauteur, ne pas la mériter mais malgré cela, j'avoue que je l'aime et qu'avec elle je me sens homme comme cela n'a jamais été le cas avant, elle me rend important, vivant !

J'avoue que je ne veux pas lui faire de mal mais que j'ai envie de profiter de chaque moment avec elle, de son parfum quand nous sommes allongés nus l'un contre l'autre, de chacun des gestes qu'elle fait, même les plus simples.

J'avoue que je l'aime...
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Kay, 22 ans, Paris
J'avoue que je me fais tellement chier au boulot que je m'amuse à apprendre à taper au clavier à 10 doigts grâce à un logiciel. Je dois dire que je suis assez contente de moi pour l'instant...

J'avoue aussi que du coup j'ai mis 10 minutes à écrire cet aveu.
-> Meilleur aveu 16/05/2011 Meilleur Aveu 16/05/2011 <-
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Coeur de Pirate, 27 ans, Paris
J'avoue que j'ai envie de toi, que ce matin tu en avais très envie, mais que nous étions dans un lieu public, j'avoue que si nous avions pu, je l'aurais prise dans ma bouche... Je t'aime mon amour, tu me rends folle de toi, folle de ton corps...
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Nellie, 29 ans, Rennes
J'avoue que tous les articles, messages, photomontages et autres publications média tournant les grosses (et oui, avec les hommes c'est beaaaaacoup plus rare) en ridicule, en sujet de honte voire en sujet de pitié me sortent littéralement par les oreilles.

J'avoue je pèse au jour présent aux alentours de 135 kg, je porte des fringues taille 48/50 (en fonction des matières, de l'intelligence de la coupe et de leur adaptation à ma morphologie) et affiche un bon 95D. Mes problèmes de poids sont la conséquence d'une dépression très dure et très pénible qui a duré 10 ans... mais dans l'imaginaire collectif, je ne suis qu'une grosse qui bouffe comme 15 et qui ne sait pas se limiter, voire qui n'a aucune volonté.

J'avoue que dans la société d'aujourd'hui, être grosse (que ce soit obèse ou simplement ronde) c'est pire que le sceau de l'infâmie, c'est pire que la peste, et c'est le symbole antisexe par excellence (dans l'esprit des gens gavés de "magazines féminins" et dopés à "Secret Story").

Bah j'ai un scoop pour tous ces peines à jouir; je suis mariée depuis 3 ans, en couple depuis 7 ans, heureuse en amour et surtout heureuse au lit, où je m'éclate à prendre mon pied sans que ni mon homme ni moi ne nous soucions le moins du monde de mon poids, je suis plus passionnée au lit que beaucoup de mes "congénères" ayant un poids normal, j'adore le sexe, mon mari est aux anges d'avoir une petite femme capable de l'accueillir dans sa bouche, entre ses cuisses ou même entre ses reins à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit, une petite femme qui aime et qui sait faire l'amour, et mes kilos ne l'empêchent en rien de me plaquer contre la cuisinière ou sur la table du salon quand je cuisine en sous vêtements et tablier, voire quand simplement je passe à coté de lui.

J'avoue aussi que j'ai 2 de mes ex qui me font des avances (dont un qui est marié maintenant), ainsi que le conjoint pacsé d'une ancienne amie, et tous 3 avouent avoir le désir de pétrir mes seins, mes fesses, caresser, lécher et embrasser mes courbes, et venir se nicher au plus chaud, au plus accueillant entre mes cuisses et m'écouter jouir sans retenue.

J'avoue, je suis grosse, désirable, je baise bien et j'aime le sexe, et j'emmerde les peine-à-jouir qui pensent qu'une grosse c'est célibataire, frustré et frigide.
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Mat the bird, 26 ans, Brest
J'avoue que l'aveu d'Arzellah ressemble très fort à ce que je vis pour le moment.
J'avoue que j'aimerais qu'elle soit en réalité celle que j'ai aussi larguée comme un malpropre, en la mettant dans le train un mercredi matin...
J'avoue que j'ai rencontré cette fille sur un site de rencontre.
J'avoue qu'elle est tombée dingue de moi.
J'avoue qu'elle est très belle, qu'elle me plaisait mais que quand on s'est rencontrés, j'ai eu le sentiment qu'elle n'était pas faite pour moi...
J'avoue que je ne voulais pas la faire souffrir et pourtant c'est exactement ce que j'ai fait.
J'avoue que ma vie est extrêmement dure et triste en ce moment, que je suis seul et que j'avais envie d'amour et de ses bras la nuit.
J'avoue que j'aurais du prendre le canapé mais qu'au lieu de ça on a fait l'amour une partie de la nuit et du matin.
J'avoue que sa chaleur est inoubliable. Et qu'aucune fille n'a jamais autant aimé mes étreintes comme elle.
J'avoue qu'elle m'a fait me sentir comme un dieu...
J'avoue que j'ai prononcé son nom en jouissant cette après midi.
J'avoue que je lui ai demandé de me pardonner et de m'accorder son amitié car je ne veux pas qu'elle sorte de ma vie.
J'avoue qu'elle l'a plutôt mal pris... et que je la comprends !
Elle me prends pour un comédien et un manipulateur.
J'avoue que dans cette histoire, je ne lui ai jamais menti... que les baisers dont je l'ai couverte, les ptits noms que je lui ai donné, tout était sincère.
J'avoue qu'au fond de moi, tout au fond de moi, j'ai envie de l'aimer mais j'ai bien trop peur de la faire souffrir.
J'avoue que la solitude fait faire des bêtises.
J'avoue que penser à elle est insoutenable.
Si tu lis ceci, descends de ta montagne de mépris et ouvre moi ton coeur...
J'avoue : je ne le piétinerai plus !
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Anne d'Autruche, 26 ans, Paris
J'avoue que depuis que je t'ai vu, j'ai un fâcheux faible pour toi.
Mais je ne t'intéresse plus depuis qu'on ne peut plus se draguer. J'avoue que je méprise cette façon de voir les choses. Pour moi, flirt, ami, amant, ça ne change rien à l'estime que j'ai pour toi.
Je voudrais qu'on soit ami, ça m'est complètement égal que tu flirtes avec d'autres. Mais j'avoue que je suis trop fière pour aller vers toi à nouveau. J'avoue que ça me rends maboule.
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