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22354 aveux trouvés
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Vièrepi, 60 ans, Nantes
J'avoue que fidèle lecteur de ce site c'est la première fois que je prends la plume.
J'avoue que je le fais car j'ai été touché par le message de Capricam.
J'avoue que sa lucidité et la sobriété avec laquelle elle s'exprime force mon admiration même si je sais que parfois elle doit avoir de grands coups de blues.
J'avoue que son état me fait penser à une de mes proches pour qui cette maladie s'est développée alors qu'elle avait 45 ans. Elle a aujourd'hui 88 ans et malgré ses problèmes physiques sa vitalité et son optimisme sont communicatifs.
J'avoue que je me permets de faire une grosse bise à Capricam.
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C pas bien, 27 ans, Nantes
J'avoue que j'ai très envie du mari d'une copine... Je sais qu'il ne va pas résister à mes avances... Vais-je lui en faire ?
J'avoue que j'adore ses yeux, ses clin d'oeil, ses sourires, sa voix... Hou... il faut que je me calme !
On verra ça ce soir ou demain soir !
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C pas bien, 27 ans, Nantes
J'avoue que depuis que j'ai perdu du poids (beaucoup) je capte le regard des hommes comme un aimant ! Je suis une séductrice et j'adore ça... Même si c'est juste le plaisir de plaire (en général ça s'arrête là !) c'est super agréable...
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What?, 19 ans, Nice
Au secours ! J'avoue ça m'arrive souvent de flasher sur plusieurs mecs en même temps, d'habitude ça dépasse jamais le trio, mais là ils sont sept !!!

J'avoue ça me fait beaucoup rire et en même temps ça m'inquiète un peu, j'ai peur de donner l'impression que je les considère comme des objets, surtout que je croyais être limite amoureuse de S. Compte là-dessus. Non mais un plan A, B, C, D, E, F et G, quand même, j'avais jamais fait.

J'avoue pour tourner ça en dérision et ne pas trop me prendre la tête je fais régulièrement des classements et je leur ai donné des noms.

J'avoue qu'en ce moment j'en suis là :
1 L'Enfer
2 Ciné
3 Cheveux
4 Wallace
5 Steevy
6 Bamboule
7 Shakespeare
et en 8 j'ai rajouté Gromit le pote de Wallace bien sûr... Il n'est absolument pas beau mais très marrant et je crois que j'ai une touche.

J'avoue que S. c'est Bamboule, pour vous dire comme ça peut switcher vite.

J'avoue que lire ça en sachant à qui correspond quel surnom ça vaut de l'or... Quand je pense que l'Enfer a failli s'appeler Pépito. Le pauvre !!!
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Satzuki, 32 ans, Genève
Me voilà en femme infidèle, trompant son mari, avec le maître de karaté. Cela pourrait être d'une banalité pitoyable au fond si il n'y avait pas ce lien si fort entre lui et moi. Avant le sexe, il y a déjà eu une attirance spirituelle, intellectuelle très très forte. Maintenant, grâce au sexe, nous sommes encore plus proche. C'est une relation magnifique. J'en ai aucun remords vis-à-vis de mon mari. Je me sens juste tellement bien comme je ne l'ai plus été depuis des années.
Oh comme c'est bon le sexe avec lui. J'aime tout ce qu'il me fait. Je suis totalement soumise à tous ses désirs, c'est délicieux. Il a un goût très sucré dont je raffole. Je le suce avec avidité et ravissement. Et quand il est en moi, je suis aux anges. Il sait si bien faire l'amour, à la fois doux et brusque, tendre et distant. Tout ce que j'aime. Nous sommes sur la même longueur d'onde, à tous points de vue. Vraiment, pour rien au monde, je ne pourrais renoncer à cette relation autant dangereuse que magnifique.
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Comme une fleur, 23 ans, Paris
J'avoue mon amour, je t'aime à en mourir.
J'avoue que j'attends que tu me fasses ta demande.
J'avoue qu'au bout de 10 ans d'amour fou il serait temps qu'on se marie.
J'avoue que j'ai envie que pour une fois ça soit toi qui fasse toutes les démarches.
J'avoue que j'attendrais le temps qu'il faut car je t'aime.
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PlusDAmi, 20 ans, Lille
J'avoue qu'aujourd'hui j'ai supprimé une bonne partie de mes amis facebook. Un coup de tête, un ras le bol de lire la vie des gens.
J'avoue que ce soir, je me sens seul et sans amis.
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Max, 25 ans, Lille/arras
J'avoue que quand je lis l'aveu de Capricam, j'ai honte de me sentir mal à cause d'histoire de coeur...

J'ai connu quelqu'un qui avais la même m***e que toi et mesdemoiselles, vous avez cette force en vous qui vous permet de continuer à avancer.

Capricam, je te tire mon chapeau car si quelque chose comme ça me tombait dessus, je crois que j'aurai du mal à ne pas sombrer.
Bravo à toi et à toutes les personnes qui sont dans la même situation.
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Butterflying, 30 ans, Woippy
J'avoue qu'il me plait, que chaque jour je le vois au travail il est mon rayon de soleil, j'avoue qu'il me plaît, j'avoue que j'ai déjà rêvé d'être dans ses bras, j'avoue que j'ai déjà rêvé d'être dans son lit. J'avoue que c'est un collègue d'abord, j'avoue que c'est un ami, j'avoue que je crois en être amoureuse.
J'avoue qu'il a compris mon intérêt pour lui, j'avoue que j'ai honte, j'avoue qu'il me touche quand il sourit, j'avoue qu'il me touche quand il a l'air triste, j'avoue que j'ai envie qu'il m'embrasse, j'avoue qu'il est trop mignon, j'avoue que je ne devrais pas le regarder comme ça, j'avoue que je fais tout pour passer quelques minutes par jour avec lui, j'avoue qu'il me plaît tel qu'il est.
J'avoue qu'il n'a aucun sentiment pour moi, j'avoue qu'il est gêné d'avoir appris les miens. J'avoue que c'est difficile maintenant de le croiser dans les bureaux.
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Lili, 29 ans, Paris
J'avoue que je ne m'étais pas attendue à grand chose en te rencontrant, toi que mon mari avait retrouvé sur un portail communautaire bien connu.
J'avoue que ton coté brut de décoffrage m'a tout de suite plu, et qu'en adulte amateurs de bonnes choses, on a parlé cul très facilement.

J'avoue que tes confidences sur "l'étoile de mer" que tu as épousée m'ont fait de la peine, parce que je trouve toujours ça dommage qu'une femme cesse d'être passionnée au lit.

J'avoue que notre complémentarité m'a sauté aux yeux, ayant la même façon de penser, aimant le sexe et aimant jouir. Et toi ayant des fantasmes que j'aurais volontiers comblés.

J'avoue que tu étais bien joyeux, enivré, vendredi soir, que ta femme dormait depuis déjà longtemps et que mon mari venait de s'endormir lorsque nous avons décidé de terminer de papoter dans la cuisine.
J'avoue avoir espéré, te faisant la bise, que tu aies un geste déplacé, mais non.

J'avoue m'être fait plaisir toute seule en pensant à toi et pas qu'une fois depuis qu'on est rentrés chez nous, ma tendre moitié et moi.

J'avoue, tu me plais, je ne devrais pas penser à toi en ces termes, mais te savoir privé de sexe par ta femme rend mes désirs encore plus fous...

J'avoue, avoir vu si souvent tes yeux briller en m'écoutant confesser ce que j'aimais pratiquer m'a fait un sacré effet.

J'avoue, je suis mariée, heureuse avec mon mari mais le fait qu'il ne soit pas porté sur les choses du sexe me frustre un peu, et je crois qu'il en aurait fallu peu pour que toi et moi on se crée de gros, gros problèmes...
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Estelle la plus belle, 18 ans, Paris
J'avoue que je mangeais tranquillement avec mon amoureux aux galeries Lafayette gourmet lorsque j'ai vu... six souris sortir de sous les sièges !!!
J'avoue que j'ai caché mon fromage...
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Shiva, 33 ans, Lyon
Rejetée, j'avoue que je me sens complètement rejetée.
C'était la première fois que tu acceptais de te montrer officiellement à mes côtés. J'avoue que j'étais tellement contente que je l'ai tout de suite annoncé à ma famille.

J'avoue que j'avais bien senti que tu n'étais pas chaud, mais tu avais accepté. J'avoue que pour la première fois, j'aurai eu l'impression d'être ta petite amie. Et puis voilà, un incident dans ta famille et tu dois y aller. Je ne peux pas être à tes côtés. Tu ne veux pas de moi à tes côtés. Ta famille ne sait pas que j'existe. Et je me retrouve seule comme une idiote.

Il va falloir que j'annonce à ma famille que finalement, je viendrai seule, encore. J'aurai droit à la pitié, à la déception et aux remarques humiliantes. Mais j'avoue que je vais faire bonne figure, je vais prendre sur moi, encore une fois. Alors que je suis malheureuse, malheureuse que tu m'abandonnes encore, malheureuse de ne pouvoir être avec toi pour te soutenir, malheureuse de savoir que tu n'as pas besoin de moi. Et j'avoue que je me sens minable d'être malheureuse, d'être aussi égoïste et de ne pas réussir à prendre sur moi alors que tu vas passer un moment difficile. J'avoue que là, tout de suite, je me déteste. Et j'avoue que je t'aime mon ange.
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Tendreesthète, 63 ans, Calais
J'avoue...
des musiques de Yann Tiersen... les yeux clos, je savoure la pipe que me fait ma maîtresse... elle me mordille la hampe comme si elle mangeait délicatement un épi de maïs... elle me tète le gland, me titille le méat d'une langue experte... elle entoure ma verge de ses longs cheveux, elle suce délicatement mes couilles...
elle est très belle, je ne lui ai laissé que son string et des hauts talons... elle m'offre ensuite une magnifique "cravate de notaire", ma verge blottie entre ses seins magnifiques...
mon ami apprécie le spectacle... il attend sagement son tour... en lui caressant doucement les fesses...
c'était juste hier soir : heures inoubliables...
j'adore enfiler ma maîtresse par derrière, lorsqu'elle fait une gâterie à un compagnon de libertinage...
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Lovebuzz, 21 ans, Lyon
J'avoue, j'en ai marre de mes soi-disant amis, que je vois une ou deux fois par mois ; s'ils étaient là pour moi il y a un an, aujourd'hui, ils ne sont bons qu'à me démolir le moral encore plus...

J'avoue, ca se passe très mal au boulot en ce moment et je me plains beaucoup, mais il faut bien que je décompresse, non ? Et si on ne peut pas compter sur le soutien de ses amis, on compte sur celui de qui ?

J'avoue, j'aimerai qu'ils fassent un effort et arrêtent de me dire de changer de job comme s'ils poussaient sur les arbres.

J'avoue, je ne dois pas être très drôle à voir, mais est-ce que l'amitié, ce n'est pas pour le meilleur et pour le pire ?

J'avoue, j'aimerai bien que les choses changent...
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Cyria, 18 ans, Rennes
J'avoue que depuis que tu m'as lâchement quitté par texto, je te déteste, je te hais plus que tout.
J'avoue que pourtant je ne fais que penser à toi, à tes baisers langoureux, à tes caresses qui m'ont fait frissonner.
J'avoue que tu avais l'art de te servir de toutes les parties de ton corps pour me faire succomber.
J'avoue que tu es le premier homme à m'avoir fait découvrir le plaisir suprême.
J'avoue que j'aimerais refaire l'amour avec toi juste une dernière fois.
J'avoue que je voudrais t'appeler des centaines de fois par jour, t'envoyer des milliers de textos pour te reconquérir.
J'avoue que j'ai ma fierté et que je fais ma forte devant les autres mais seule, c'est tout autre chose...
Reviens-moi.
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Katia, 17 ans, Paris
J'avoue qu'il est 23h44, que je suis en plein milieu de ma dissert de philo que je devais rendre pour avant-hier. J'avoue que mon super prof nous a laissé deux super jours de répit et que j'en ai super pas profité. J'ai besoin de tout faire la veille, de préférence quand il y a 3 bons contrôles le lendemain (c'est tout-de-même plus drôle !), de sorte que je dois me répartir ma nuit façon DIT (Division Internationale du Travail) sauf que c'est tout sauf international et que je me tape toutes les étapes du taylorisme seule... Je déconne, je le sais, ils le savent. L'homme est perfectible, non ? Pourquoi j'apprends pas de mes erreurs, moi ?
Je suis soûlée, profondément amoureuse, définitivement amourée (néologisme, et alors ?), il faut que j'arrête de fumer, maman, j'aime pas que tu me regardes avec cette tristesse dans les yeux. Je retourne à ma philo, et puis pour les contrôles, ce sera au talent. Les notes, ça ira... J'avoue que le pire, c'est toujours de se détester toute une nuit avant une journée prévue depuis mille ans... Incorrigible, cette enfant.
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DreamToRealize, 19 ans, Paris
J'avoue qu'à 19 ans, je suis fière de pouvoir me dire, que je peux m'acheter cash une de ces voitures toutes belles toutes neuves que l'on voit à la télé.
C'est peut être idiot mais ça me fait bien plaisir car en plus je travaille en alternance !
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P'tite Fille, 20 ans, Paris
J'avoue que depuis que je t'ai rencontré je vis un rêve éveillé.
Tu es si compréhensif, si câlin, avec toi je me sens importante.
J'avoue je n'ai pas l'habitude, mes ex, je les voyais pas beaucoup, toi je te vois pratiquement tous les jours, et t'arrive quand même à me manquer.

J'ai tout le temps envie de toi, quand t'es là, quand t'es pas là, quand tu me touche ou même pas, quand tu m'embrasses, quand je vois que t'as envie.
J'avoue j'en peux plus, j'ai l'impression que je vais exploser.
J'avoue j'adore quand tu m'appelle mon coeur.
J'avoue on se connait depuis pas longtemps, mais dès qu'on s'est vu, j'ai su que je voulais être avec toi.
Personne ne peux me comprendre aussi bien que toi.
J'avoue on est ensemble depuis seulement quelques semaines mais j'ai l'impression ça fait plusieurs mois.
Je ne peux décidément pas me passer de toi.

J'adore quand t'as envie de moi, que tu me mords, que tu m'embrasses, que tu me fais des bisous partout, quand tu me regardes.

J'avoue j'y peux rien je suis folle de toi.
J'avoue j'ai pas envie de m'enflammer.
J'avoue c'est trop tard je crois.
J'avoue je crois que je vais bientôt être amoureuse, si ce n'est déjà fait, mais j'ai peur que toi non, alors je dis rien.

J'avoue t'es merveilleux.
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Malasko, 29 ans, Paris
J'avoue que ma belle-mère a fait un gâteau à la fraise et que j'ai (volontairement) mis du sel, en cachette, avant qu'elle le serve. Pauvre d'elle... j'ai honte, mais je suis tellement content.
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Anna, 22 ans, Paris
J'avoue avoir trompé mon amoureux hier soir. Je suis pourtant la première à prôner la fidélité, à être jalouse, à ne pas supporter ses ex, à surveiller ses mails et sms. Pendant 5 ans, j'ai été irréprochable, un peu dragueuse mais toujours dans les limites du raisonnable, sans jamais tromper l'homme que j'aime.
Ce weekend, un autre m'a embrassée.
Quelques jours plus tard, j'ai prétexté un séminaire pour aller dormir chez lui. J'ai passé la nuit dans ses bras, plusieurs fois on a failli faire l'amour, mais je n'ai pas osé franchir le pas, je n'assume pas encore. Nous n'avons dormi que deux heures sur toute la nuit, à force de se rapprocher, de se chauffer, de me retenir, de recommencer, de le sentir s'approcher de plus en plus près, de devoir le repousser, de l'embrasser encore, et encore et encore.
J'avoue que comme nous n'avons pas couché ensemble, je me sens encore fidèle, comme si je n'avais rien à me reprocher.
J'avoue que je lui en veux lorsqu'il envoie de simples messages à ses collègues féminines.
J'avoue que j'ai envie de faire l'amour avec l'autre.
J'avoue que je ne quitterai jamais mon homme pour cet autre.
J'avoue que si je le pouvais, je garderais les deux.
J'avoue, je ne me sens absolument pas coupable.
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Capricam, 24 ans, Arras
J'avoue que je porte en moi un grand secret.
J'avoue que ce secret a un nom.
J'avoue qu'il n'est pas facile de vivre avec cela.
j'avoue que je suis malade.
J'avoue que ce n'est pas guérissable, on peut juste ralentir le processus.
J'avoue, c'est dur de parfois vivre avec cela même si j'ai une vie aussi normale que possible, je fais du sport, je travaille à plein temps, j'ai un amoureux... comme vous.
J'avoue que j'espère que ca ne se manifestera plus, eh oui c'est aléatoire comme les chiffres du loto.
J'avoue que j'aurais aimé ne pas piocher le numéro perdant au jeu de la vie.
j'avoue malgré tout que je préfère que ca soit moi plutôt qu'une de mes soeurs.
j'avoue, lorsqu'on en parle on dit que j'ai du courage.
j'avoue, je dois sortir du placard... car une petite partie sait ce que j'ai.
J'avoue que j'espère un jour que la mentalité des gens changera.
Oui j'avoue je suis atteinte de la sclérose en plaques, maladie fidèle et qui se fait de temps à autre voir mais qui peut provoquer des lésions irréversibles à n'importe quel niveau.
J'avoue que ca me fait peur mais j'avoue que chaque jour est un nouveau combat que je ne vaux guère perdre.
j'avoue également que je ne désire pas qu'on me regarde avec pitié.
J'avoue que chaque jour est une nouveauté car je ne sais vraiment pas ce qui m'attend le lendemain.
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Anne-Laure, 30 ans, Bruxelles
J'avoue que je suis une bonne mère, une excellente mère et quand je vois l'éducation des autres gosses, je mérite le prix Nobel de la bonne mère !
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Loulou, 24 ans, Lyon
J'avoue que la vie avec mon ex me manque.
J'avoue que la vie avec ma copine actuelle me gonfle déjà.
J'avoue que la vie avec une de mes collègue de boulot serait surement le top.
J'avoue avoir admis que dans la vie, on a jamais ce que l'on souhaite...
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Pfff c'est la merde, 36 ans, En Alsace
J'avoue que je suis dans la merde financièrement à cause de mes conneries de cet été : tout plaquer pour aller rejoindre mon mec à l'autre bout de la France et dépenser sans compter.
Résultat : deux mois d'impayés de loyer, un interdit bancaire et deux gosses à nourrir.
J'avoue que j'ai salement merdé sur ce coup là !
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Un mec bien... si si !, 27 ans, Grenoble
J’avoue que j’ai beau être un mec bien (!), j’ai quand même quelques défauts…

Et celui qui m’énerve le plus, c’est d’être mauvais perdant. Attention, je ne suis pas mauvais joueur, mais mauvais perdant. C’est très fourbe comme défaut parce que c’est un mix subtile entre la jalousie et le complexe d’infériorité, agrémenté d’une pincée de frustration propre et d’une bonne couche de cynisme à l’encontre des « adversaires » qui généralement frôle le politiquement correct…
Je l’applique à toutes les sauces ou presque : lorsqu’une fille me plait et qu’elle répond aux avances d’un de mes potes plutôt qu’à mes sourires (« elle a pas du voir… !! »), lorsqu’au cours d’une partie de handball je ne suis pas celui qui marque le plus de buts (« mal au bras les mecs, je vous distribue des caviars, vous me direz merci à la fin ! »), ou bien (et surtout) lorsque je perds aux jeux vidéos avec mes potes.
Encore pour les deux premiers, je ne laisse rien transparaître, à part quelques grommellements dans ma barbe et un ou deux légers sautes d’humeur et de frustration assimilables à l’alcool (pour la fille) ou à la compétition (pour le hand), ceci dans le but de maintenir mon bon comportement en société dû à une éducation axée sur le paraître très rigide, que je réprime au fur et à mesure des années mais qui m’habite toujours un peu, et aussi pour ne pas ruiner un événement par mes « caprices » (soirée ou match).
Mais j’avoue que concernant les jeux vidéos, c’est une autre histoire… N’y jouant qu’avec quelques amis, dont mon voisin, et principalement à des jeux de foot ou de « baston avec des flingues pour faire la guerre », autant dire qu’à chaque fois il y a une autre bagarre, au niveau des nerfs, qui a lieu sur le canapé.
Oh, quand je gagne tout roule, je suis « bon gagnant », c’est à dire que je ne chambre pas les perdants, même si je trouve qu’ils ne me flattent pas assez pour mes victoires (ben tiens !)…

Mais alors quand je perds, c’est là que ça se corse… Vas-y que je les accuse d’avoir « une chance par possible », que « la manette a pas marché, jte-jure-j’ai-appuyé-ça-a-rien-fait !! », « j’en reviens pas comme j’ai pas de chance », etc.
Bien sûr, plus ça avance, plus j’enrage, donc moins bien je joue, donc plus je perds !! Et mes potes, eux, sont des mauvais gagnants, genre « oho celui là il fait plaisir », ou bien « ahaha comme je te l’ai mis » et qui brandissent le poing victorieux juste pour me mettre la mort…

J’avoue que souvent, je leur met des petites claques sur les cuisses, ou des bequilles, ou bien je saute simplement sur le canapé comme une furie ; entre deux parties, je fais mine de tout oublier en savourant une clope avec mon verre de Chivas sur le balcon, mais je n’attends qu’une chose, c’est qu’ils reconnaissent qu’effectivement, « j’ai pas eu chance », etc.

J’avoue que le pire, c’est que je suis conscient de mon attitude ridicule et enfantine et que généralement, je suis bien plus énervé contre moi-même que contre eux.

J’avoue qu’il y a un mois, j’ai tellement mal joué, et ils ont tellement fanfaronné, qu’en rentrant, j’avais bien les nerfs. J’ai grommelé un « bonne nuit » en claquant la porte comme un enfant, et j’ai parcouru les dix mètres qui séparent nos immeubles en bouillonnant intérieurement. J’ouvre ma porte, puis celle du frigo, pour casser la croûte en vue de me calmer un tantinet, quand j’aperçois une demi-douzaines d’œufs dont la date d’arrivée dans mon frigo devait approcher les six mois.
Ni-une ni deux, je me poste à la fenêtre et j’attends que mes autres potes sortent, afin de leur montrer que ma précision au hand était, elle, bien réelle… Bilan : un « headshot » et un pourrissement de veste pour l’autre... Heureusement que ce sont des bons potes, ils me connaissent et ont pris ça plutôt à la rigolade, mais j’avoue que ce jour-là, mon statut de mauvais perdant s’est vu réellement confirmé !
Même si depuis ce jour, aucun n’a plus jamais remis en question mon talent au hand…
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