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| Daniel, 24 ans, Paris |
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J'avoue que je viens de trouver un post-it, dans mon Moleskine, avec écrit : "J'avoue que je kiff Javoue.com ! Gros bisous Monsieur Beau gosse !". Le problème, c'est que je ne sais pas qui m'a écrit cela. Cette charmante personne aurait-elle l'amabilité de se manifester auprès des autorités compétentes ? |
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| Pascale w, 40 ans, Angers |
| J'avoue je suis mariée et maman de deux loustics, tu es divorcé et papa de deux loustics, ça fait des mois que l'on joue au jeu du chat et de la souris, et ce week-end, tu as tout chamboulé dans ma vie, ma tête, on s'est grandement rapproché sans jamais passer à l'acte, sans jamais s'embrasser mais avec tellement d'émotion... Aujourd'hui je ne sais plus où j'en suis... Tout quitter pour vivre une passion dévorante autant qu'éphémère, ou continuer à faire semblant d'être heureuse auprès des miens avec ton souvenir dans un coin de ma tête comme un gout d'inachevé ? Je ne sais pas, je ne sais plus, ce que je sais, c'est que je vous aime tous les deux... |
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| Miss, 21 ans, Aubervilliers |
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J'avoue que j'en ai marre et que je ne peux pas (plus ?) en parler. Tout a commencé à cause de cette fille immature et fade. Tu dis que ce n'est qu'une amie mais plusieurs sms par jours moi ça me gave, si tu peux pas comprendre ça, c'est qu'il y a un problème... Je n'en peux plus, quand je dis quelque chose, je suis une garce jalouse et quand je ne dis rien, tu as la vie belle. Je trouve ça un peu facile tu vois. Je ne sais pas si on va pouvoir vivre comme ça continuellement tu vois... J'avoue que je n'ai que très peu d'espoirs concernant notre relation, si tu ne changes pas, si tu ne la vires pas de notre vie on va pas s'en sortir, tu comprends ? Je suis à bout de nerfs, j'essaie d'être compréhensive mais j'ai mes limites. Aujourd'hui, c'était le premier jour "sans" elle dans le sens où elle n'est plus sur ton lieu de travail, tu lui as envoyé 5 sms et un mail, et il faudrait que je sois heureuse comme ça ? Franchement, je me demande si le jeu en vaut la chandelle. |
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| Ludo62, 35 ans, Lille |
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J'avoue que depuis peu, je suis devenu mon propre patron et ma femme la secrétaire du patron. J'avoue que depuis elle passe 1h le matin et 1h l'après midi à quatre pattes sous mon bureau. J'avoue que en deux mois elle m'a sucé plus qu'en 7 ans de mariage... J'avoue que l'on s'est déjà fait surprendre plus d'une fois. J'avoue que je suis heureux d'être devenu patron mais j'avoue que parfois j'en ai pas envie mais rien que de savoir que l'heure approche je ne tiens plus. J'avoue que j'aime ma nouvelle femme. |
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| Géraldinette, 22 ans, Paris |
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J'avoue que quand je suis passé à côté de ces deux beaux gosses, je n'ai pas pu m'empêcher de leur jeter un regard coquin. Ces derniers ne m'ont prêté aucune attention... mais j'ai vu le porte feuille de l'un deux tomber et eux ne se sont aperçu de rien. J'ai essayé de ramasser le portefeuille discrètement devant les automobilistes et je l'ai ouvert... Après avoir bien fouillé dedans il n'y avait pas d'argent, juste sa carte imagine R et des carte de bibliothèque. C'est donc à ce moment que j'ai couru après eux pour leur rendre le porte monnaie et j'ai eu le droit à un petit merci, rien de plus. Double déception. J'avoue que c'est très malhonnête mais je l'avoue donc je suis pardonnée n'est-ce pas ? |
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| Le bon queutar, 24 ans, Paris |
| J'avoue que toutes mes nanas sont cocues jusqu'à la moelle. |
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| Iomg, 18 ans, Nancy |
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J'avoue que je ne vais plus à la fac depuis au moins 4 mois et que mes parents sont persuadés que j'y vais toujours, parce qu'ils le veulent. Je passe mes journées chez mon copain à l'attendre et à regarder la télé à la place. Quand un papier est arrivé à la maison disant que je ne m'étais pas présenté aux partiels, je me suis encore plus empêtrée dans le mensonge. J'avoue avoir un mal fou à dire la vérité, mais j'ai trop mauvaise conscience alors j'avoue. |
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| Laythereinthesun, 20 ans, Rennes |
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J'avoue qu'en ce moment je suis pas mal en train de faire n'importe quoi, je ne vais plus à la fac, et je compte officiellement lâcher l'université à la fin de l'année pour partir voyager l'année prochaine. J'avoue qu'il y a ce pote de soirée qui me perturbe pas mal aussi, nous nous sommes mis au clair mais toujours, tout ça reste bien bizarre. J'avoue que je fais aussi un peu exprès de passer ma vie à sortir car je sais que je le verrai et quand je sors je suis souvent incapable d'aller en cours le lendemain. J'avoue que j'aimerais juste le savoir là, juste là, mais je ne veux rien dénaturer, ni aller trop vite, j'ai bien peur d'être en train de m'oublier. |
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| Alex, 23 ans, Lyon |
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J'avoue : Que depuis 6 ans que je connais mon meilleur ami, je suis tombé amoureux de sa soeur. Que chaque fois que je vais chez lui, j'espère qu'elle soit là. Que la dernière fois qu'il est venu dîner à la maison avant de partir à l'étranger, surprise ! elle l'a accompagné, et je n'ai pas pu m'empêcher d'avoir la banane pendant tout le début du repas. Que je l'ai dit à mon meilleur ami en lui faisant croire que je ne ressentais plus rien et qu'il m'a répondu tant mieux parce que y a pas moyen. Que même moi j'ai cru me convaincre que je ne ressentais rien pour elle, mais que chaque fois que je la vois je veux la prendre dans mes bras. Que je ne sais plus quoi faire, lui dire à elle, lui dire à lui, le dire aux deux, ne rien faire : il est à l'étranger en ce moment donc si je parle à sa soeur, c'est un peu lâche, et si j'attends qu'il revienne en juillet, elle s'en ira en aout à l'étranger. Que ça fait du bien d'avouer mais que j'arrive toujours pas à me décider. |
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| Caline, 38 ans, Tours |
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J'avoue aimer faire l'amour avec mon mari qui fait si bien ceci, mais je suis aussi attirée par un ami d'enfance, mais seulement virtuellement. J'avoue que je veux une expérience à trois mais pas facile de planifier ça. J'avoue me sentir désirable et si épanouie dans ma sexualité. Je suis une dévoreuse de sexe. |
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| Yolaine63, 17 ans, Clermont ferrand |
| J'avoue, je suis une lycéenne célibataire depuis bientôt 6 mois. J'avoue je suis sortie à de nombreuses reprises avec des garçons. J'avoue je ne suis jamais tombée amoureuse de l'un d'entre eux. J'avoue adorer les garçons quand même. J'avoue me poser des questions sur mon orientation sexuelle. J'avoue même être quasiment certaine d'être lesbienne. |
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| Serpent, 30 ans, Quimper |
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J'avoue que j'en ai vraiment marre que l'on sollicite en permanence mon porte monnaie. Je paie pour manger, pour m'amuser, pour faire plaisir à mes bambins et pour travailler ! Ah les économies que je ferais si j'arrêtais de bosser ! L'essence, les fringues, les chaussures, les sandwichs, les plats-tout-prêts, la cantine, la garderie, les centres de loisirs, etc. Et plus je gagne, plus j'en sors. J'avoue que je vis dans une maison qui n'a qu'une cheminée pour chauffer, que mes bambins dorment tous les trois dans la même chambre, et que tous les enduits et isolation sont à refaire. Qu'à chaque fois que je gagne 1 euro, on m'en repique 2 et donc que je n'ai pas un centime pour faire des travaux malgré des semaines épuisantes. Même les copines se mettent aux réunions lingeries, boites en plastique, ou pire ! Bougies ! J'avoue que je mate à la télé des séries ou des reportages ou je vois de beaux apparts, ou pire ! des travaux de rénovation gratis ! Cela ne me fais pas rêver du tout ! Cela me fout les boules ! J'avoue que je suis une aigrie de la société de consommation ! Gagner plus pour dépenser plus ! J'avoue que si je ne pensais pas aux études de mes loulous, il est probable que j'aurais laché l'affaire pour prendre le temps de vivre au crochet de la société. Je n'ai qu'une vie, et je la gaspille à travailler. J'avoue que j'aimerais assez que quelqu'un m'enlève cette idée qui trotte dans ma tête... |
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| Capricam, 25 ans, Arras |
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J'avoue que je "parle" avec ce fameux monsieur... qui me plait tant depuis cette semaine via des emails... J'avoue qu'il n'y a rien de choquant juste une discussion entre "amis"... il n'y a ni je t'aime, ni bisous, ni je t'embrasse... J'avoue que malgré tout je me sens mal vis à vis de mon compagnon à qui j'ai dit que lui et moi ça ne rimait plus à rien. J'avoue je sais que c'est immoral mais je suis totalement perdue... |
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| Allias, 25 ans, Montréal |
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J'avoue que j'ai fais des niaiseries avec le meilleur ami de mon chum. J'avoue que ça fait 8 ans que je suis avec lui, que nous avons un enfant et que j'ai l'impression de ne plus trop savoir ce que je ressens. J'avoue que le meilleur ami en question m'attire énormément, que je l'ai embrassé il y a 3 ans et que nous avons fait plus il y a 2 ans, j'avoue que je ne sais pas quoi faire car si nous avions encore l'occasion d'être seul à seul, je ne pourrai résister, j'avoue avoir adorer notre aventure et vouloir le refaire. |
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| Marie, 23 ans, Paris |
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J'avoue avoir craqué physiquement pour toi dès la première fois. J'avoue m'être leurrée en pensant qu'il ne s'agissait que d'une attirance physique. J'avoue m'être sentie blessée et souillée lorsque du jour au lendemain je n'ai pas eu de tes nouvelles. J'avoue que c'est là que je me suis rendue compte que tu étais bien plus que ça pour moi. J'avoue que j'ai été plus rassurée lorsque je t'ai appelé et que tu m'as répondu que tu ne voulais pas me mêler à tes problèmes. J'avoue avoir été choqué lorsque j'ai su ce qui t'était arrivé et j'avoue t'en vouloir parce que tu t'es fais passer pour quelqu'un de bien alors que tu es le pire des goujats et que tu avais peur de l'engagement, j'avoue me sentir sale parce que tu as couché avec moi et tu t'es enfui comme un voleur. J'avoue tout de même t'aimer comme une folle. J'avoue que c'est la première fois que je fais une dépression et j'espère m'en remettre rapidement. |
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| Katia, 17 ans, Paris |
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J'avoue que j'en ai marre de cette ambiance de merde à la maison, j'avoue que tout le monde refait l'histoire à l'envers et me désigne comme étant la méchante alors même que je suis l'une des victimes. J'avoue que toi, ma grande soeur chérie, tu me reproches de ne pas assez m'intéresser à la vie des autres alors même que je connais toutes les péripéties de ton histoire palpitante par coeur tandis que tu ignores tout des miennes. Tu n'as pas été foutue de me demander si j'avais perdu ou pas ma virginité alors que ça fait bientôt un an que je suis en couple. C'est toi qui ne sais rien de ma vie, c'est toi qui fait de ton mélodrame personnel le centre du monde. J'avoue qu'on essaie de me fait croire que c'est moi qui ne vais pas bien alors que je n'ai jamais été aussi heureuse, je ne me suis jamais sentie aussi vivante que dans ses bras. Mais ça, vous ne voulez pas le voir. J'avoue que vous me croyez mal... avec vous, je le suis assurément. Quant au reste... j'avoue que vous êtes loin du compte. |
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| Help, 21 ans, Nantes |
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J'avoue que je m'envole demain pour les caraïbes, j'avoue que j'attends cette date depuis plus d'un mois. J'avoue que je rêve de me prélasser sur la plage, j'avoue avoir toujours su que j'avais quelques kilos en trop... J'avoue que j'ai dû monter sur la balance pour vérifier le poids de ma valise et que j'ai failli avoir un attaque... 76 kg !!! J'avoue que tout d'un coup je n'ai plus du tout envie de partir. |
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| Parus, 30 ans, Metz |
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Je viens d'avoir 30 ans, je suis célibataire, et autour de moi, que ce soit mes connaissances, mes amis, ma famille ou encore mes collègues, je suis envahi par les bébés. Etant seul, sans projet de vie amoureuse à l'heure actuelle, il est vrai que ça me fait toujours un pincement au coeur en me disant que je suis en retard dans le planning de ma vie, que ce n'est pas ce dont j'avais rêvé. Mais le pire de tout, et c'est là que l'aveu me pèse : j'ai l'impression de ne plus en avoir envie. J'en ai trop bavé en amour, j'ai connu trop d'échecs sentimentaux, et même si je ne suis pas découragé, je suis aujourd'hui intimement convaincu que tout ça n'est pas pour moi. Désormais, et ce depuis maintenant un an, je suis persuadé que j'ai autre chose à faire de ma vie. Sans savoir si tout cela a un sens. J'aurais aimé trouver la bonne avant d'être dégoûté de l'amour. Aujourd'hui, une seule question : que faire du temps qu'il me reste ? |
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| Elodie, 19 ans, Strasbourg |
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J'avoue qu'à chaque fois que le téléphone sonne, je prie pour que se soit toi au bout du fil. J'avoue que j'attends vainement que tu me demande pardon de ton comportement. J'avoue que malgré les conseils, je n'arriverais pas à t'ignorer, à t'oublier. J'avoue que je ne pourrais pas m'empêcher de te regarder, de te sourire, je n'arriverais pas à être aussi désagréable avec toi autant tu l'as été avec moi. J'avoue ne plus savoir où j'en suis, si tu m'aime ou si tu ne m'aime pas. Je ne te comprend plus et je crois même que je ne t'ai jamais compris. J'avoue que je t'aime. |
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| Estelle, 19 ans, Marseille |
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J'avoue que tu as brisé l'élan de chacun de mes réveils. J'avoue que tu fais de chaque journée une immensité sans nom. J'avoue que tu transformes mon passé en espoir et mon futur en abîme. J'avoue que je n'ai jamais autant désiré l'oubli du sommeil mais que souvent les heures où je me retourne dans mon lit sont infernales. J'avoue que tu as tout changé. J'avoue que je ne me reconnais plus vraiment, que quelques fois je me cherche face à mon miroir, comme pour me prouver que je suis vraiment réelle. J'avoue que me cherche dans le regard gens pour savoir ce que je suis. J'avoue que je te cherche dans le regard des hommes. Celui qui me regardera comme toi. J'avoue j'ai tellement hâte de le trouver. |
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| P'tite fille, 20 ans, Paris |
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J'avoue en ce moment je fais n'importe quoi. Ca a commencé y a un an et demi quand mon ex m'a largué, enfin en fait c'est moi, mais c'est clairement ce qu'il n'osait pas faire. J'ai commencé à me chercher des plans culs. J'en ai trouvé quelques uns, en même temps c'est pas dur il suffit de demander à un mec, généralement ils sont tous partant... Sauf que c'est pas trop mon truc, je n'arrive pas à me lâcher, à les toucher, ils me dégoutent. Est-ce qu'il n'y a donc que la chaire humaine qui compte ? Les sentiments humains n'ont pas d'importance ? Enfin bref, le pire c'est que j'y retourne quand même... à croire que je suis maso. Ca me fait peur, j'ai l'impression que ma rupture m'a totalement changé, comme si j'y croyais plus... C'est vrai qu'il m'a mit le coeur en miette. Ceux qui lui ont succédé ne me comprennent pas. C'est vrai, j'ai beaucoup plus de mal à dialoguer, à ouvrir mon coeur... J'ai eu quelqu'un avec qui c'était sérieux, sauf que lui était encore pire que moi et en plus de ça passif. Je suis sortie avec quelqu'un d'autre avant de rompre. Vraiment je ne me reconnais pas. Mais cependant il en vaut vraiment la peine. Ca n'arrive pas souvent d'avoir une complicité comme ça. D'être sur la même longueur d'onde. Qu'il me comprenne si bien, qu'on pense les mêmes choses en même temps... J'avoue comme d'hab je m’enflamme, je vais encore vite déchanter. Affaire à suivre... |
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| Plouf, 19 ans, Paris |
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J'avoue t'aimer à en creuver. Ça me tue de savoir que tu ne m'aimes plus... Pourquoi tu ne m'as rien dis ? Pourquoi tu ne m'as pas dis que tu doutais ? J'ai beau me raisonner, je sais que cette histoire j'en guérirai jamais. J'avoue que je t'attends toujours, que j'espère que tu reviendras. J'avoue que tu habites à 2mn de chez moi et que te savoir si près je le supporte pas. Tu as plein de filles à tes pieds et tu tarderas pas à en trouver une autre. Pourquoi bordel pourquoi tu m'as fais ça ??? J'essaie de me battre mais j'arrive plus à me relever... J'avoue ne plus avoir goût à rien, j'avoue vouloir mourir parce que sans toi la vie ne rime plus à rien. Tout me paraît insignifiant, alors à quoi bon ? Je t'aime crétin ! |
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| Sorcière, 18 ans, Dijon |
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J'avoue que tous les jours quand je te croise, je ressens cette même excitation que lorsque je le croisais autrefois. J'avoue que tu ressembles terriblement à celui avec qui j'ai fait ma première fois, et que cette ressemblance ne me laisse pas de marbre. J'avoue que je sais que tu as une petite amie, tout du moins je le pense, mais que peu m'importe. J'avoue que tu me plais énormément, et que même si on se parle peu, j'ai l'impression de te connaître par coeur. J'avoue qu'il faudra bien que je te le dise un jour, mais que cela risque de prendre du temps. |
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| Izzie, 19 ans, Toulouse |
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J'avoue que cette année, j'ai recommencé quelque chose de neuf en quittant la prépa dans laquelle j'étais depuis un an, pour me réorienter vers une école d'ingénieurs postbac. J'avais des espérances, des attentes, celles d'enfin m'épanouir... D'avoir du temps, de m'amuser, d'enfin réussir... Mais j'ai dû en attendre un peu trop, car j'ai l'impression de perdre tous mes repères et d'aller d'échec en échec cette année : déménagement et rupture avec mes amis de CPGE, rupture aussi avec mon copain de l'époque, difficultés pour m'intégrer dans cette nouvelle école en étant nouvelle entrante, le sentiment de ramer dans certaines matières alors qu'on m'a gentiment insufflé que c'était déjà une "régression" d'intégrer une école postbac (oui certains élèves méprisent ceux qui ne passent pas par deux ans de prépa), une estime de moi qui va de mal en pis, l'impression d'être affreusement seule, d'être vide, de ne pas me reconnaitre dans ce que je fais, de ne pas être capable de montrer ma pertinence, seulement de montrer l'image d'une fille insipide, de ne pas être appréciée alors que j'étais tellement entourée en prépa, que j'avais tant d'amis... J'avoue, cette prépa que je voulais tant quitter à cause du rythme de travail me manque. Ils me manquent, tous, ces gens de prépa, ces gens qui savaient me comprendre, ceux avec qui je pouvais rire à foison, ceux avec qui j'ai partagé tant de galères... J'avoue. Je suis peut-être une éternelle insatisfaite... Et je ne sais pas ce que je cherchais en quittant tout, en recommençant tout... Mais je pense que je ne l'ai toujours pas trouvé. |
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| Bistouri, 20 ans, Rennes |
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Il est temps de passer aux aveux... J'avoue qu'il y a quelques années, je me marchais à la tombée de la nuit dans un petit port de Bretagne. C'était l'été, une belle soirée, des touristes dans tous les coins, je ne me presse pas pour rejoindre ma famille sur les pontons. J'étais même absorbée par le souvenir d'un beau garçon qui m'avait souri à la marina plus tôt dans la journée. Je rêvassais ainsi quand une voix me parvint : « hey, vous êtes bien charmante, miss, avec votre pantalon blanc ! » Un groupe de jeunes en jogging, nonchalamment affalé sur un banc. Je leur avais à peine accordé un regard que je presse le pas la tête haute, outrée par une telle familiarité, me drapant dans ma dignité telle une tragédienne offensée. Je ne leur adresse pas un mot. Je pense : « Quels rustres ! Bande d'imbéciles en rut ! En plus ils sont trop cons pour désigner correctement les couleurs ! Mon treillis est beige, pas blanc... vraiment aucun vocabulaire...! » J'en étais à ce stade de mes réflexions quand je vois quelqu'un, que j'entendais marcher derrière mon dos depuis plusieurs minutes, me dépasser : une petite brune, 25 ans, en tenue de vacances, tongs, débardeur et … pantalon blanc ! Il ne m'a pas fallu moins de deux secondes pour comprendre : la « charmante miss » qu'on avait hélée, ce n'était pas moi, mais la fille qui marchait deux mètres plus bas... Il n'a pas fallu deux secondes non plus pour que mon ego se dégonfle comme un ballon de baudruche percé par une aiguille... Et j'ai bien été forcée d'admettre que malgré ma posture de fierté effarouchée, j'aurais aimé qu'on me témoigne de l'attention plutôt que de me sentir complètement invisible... Ca flattait mon ego de me faire aborder même si je me le cachais à moi même, et en définitive ma fierté ne se trouvait pas là où je le pensais... Aujourd'hui, je ris intérieurement en repensant à cet ascenseur émotionnel et à ma piteuse déception... Sinon, tant que je suis là, j'avoue qu'une semaine d'examens blancs supers importants commence demain, que je suis très en retard dans mes révisions, que j'ai passé une bonne partie de l'après midi à lire des aveux et à rédiger le mien au lieu d'étudier... J'avoue que j'espère secrètement que l'adage « faute avouée à demi pardonnée » va se réaliser pour booster mon karma et faire que demain je réussisse cette dissertation qui s'annonce horrible... |
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