Recherche

Avouer - Tous les aveux - Meilleurs aveux

Bêtises - Amour Fou - Multizaveux - Inclassable
Vantards - Ras le bol - Aïe - Trompé - Interdits

JAVOUE.com en page d'accueil - JAVOUE.com dans les favoris - Recommander ce site - PressBook - Un aveu au hasard

22354 aveux trouvés
Nous sommes sur la page 60 / 895

Estelle, 19 ans, Marseille
J'avoue que décidément l'amour est la chose la plus magnifique et le plus décevante qui soit. Mais vraiment là, j'avoue que j'en peux plus. Il y a quelque chose de vraiment épuisant dans l'ascension de ces merveilles et de très décourageant quand on regarde les sommets qui nous entourent.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Kerlane, 21 ans, Paris
J'avoue être totalement indifférente.
J'ai quitté mon copain, avec qui j'étais depuis 5 ans, parce que je ne ressentais plus rien pour lui. Je pensais que se serait mieux.
J'avoue, cela fait maintenant plus de 6 mois qu'on est séparé, et que je ne suis toujours pas plus heureuse. Pas plus malheureuse non plus, cela dit.

J'avoue, il m'a rendu indifférente. Il m'a détruite. Je suis devenue incapable de ressentir de l'amour, de la haine, de la compassion, de la pitié, ou de la peine.

Deux de mes proches sont décédés à un mois d'intervalle, et je n'ai même pas été triste. Ca ne m'a rien fait. Deux de mes meilleurs amis m'ont avoué qu'ils étaient amoureux de moi, et ça non plus, ça ne m'a rien fait. Ni pitié, ni compassion, ni tristesse. Rien du tout.

Mon petit ami actuel m'a dit qu'il m'aimait, et ça ne m'a rien fait. Je l'ai quitté, il a pleuré en face de moi, il m'a insulté, ça ne m'a rien fait. Je lui ai menti, je lui ai dit que je l'aimais, il a pleuré de joie, et ça ne m'a rien fait.

J'avoue, je mens continuellement à tout le monde. Je mens sur ce que je ressens. J'agis comme si je ressentais quelque chose, alors que je ne ressens rien. Je dis seulement ce que les gens s'attendent à entendre, sans pourtant ne rien penser. Le pire, c'est que ça fonctionne. J'ai des amis, qui m'aiment, sincèrement, et qui sont là pour moi ; et pour qui je suis également là.

J'avoue penser que je suis devenue un monstre. Sans cœur. Et même ça, ça m'est devenu égal...
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Nataska, 23 ans, Neuchâtel
J'avoue que je suis complètement perdue. Découragée et déprimée. Moi qui pensais si bien savoir ce que je voulais, je me découvre d'une lâcheté sans nom. Incapable de prendre le peu de courage que j'ai à deux mains. Incapable de faire quoique ce soit. Je pense à tellement de choses... de solutions plus ou moins bonnes, plus ou moins à long terme.
J'aimerais tellement qu'il m'aide. Que tu m'aides. Mais lui n'ose pas à cause de toi, et toi tu n'as pas l'air de te rendre compte de ce que j'éprouve.
J'avoue que je suis pire qu'une ado : j'ai refumé dans ton dos, pendant mes vacances en solo. Et j'y repense chaque fois que je passe devant ce bureau de tabac. Et chaque fois je fais le calcul pour savoir si j'aurais assez pour m'acheter un paquet.
J'avoue que ça a beaucoup augmenté depuis 4 ans... ça me freine un peu.
J'avoue que je pensais que dans mon taf, au moins, tout allait bien. Je viens même d'avoir une promotion.... mais à force de tenter de faire tout pour tout le monde et du mieux possible, c'est moi que je vais détruire... Ils ont déjà essayé de me saborder deux fois, mais j'avais réussi à prouver que j'étais forte.
Mais je ne le suis pas tant que ça ! La troisième fois risque d'être la dernière !
J'avoue que même dans cet aspect de ma vie je suis d'une couardise absolue : pas fichue d'envoyer un petit mail à un DRH de ma connaissance, avec CV et lettre de motivation...

J'en ai ras le bol de tout, de tout le monde, de toute ma vie mais surtout, j'en ai ras le bol d'être comme je suis.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Yeux grand ouverts, 33 ans, Paris
J’avoue qu’après 9 ans de « fréquentation », 6 ans de mariage et 2 enfants depuis mon dernier aveu, je suis toujours aussi amoureux de ma femme. Intelligente, sensible, drôle, fine et pleine d’humour… Pas folle de sexe, enfin pas assez à mon goût, mais je survis, grâce, en général, à un contrôle quasi-total de ma libido et de mes instincts bestiaux. Rentrant un peu tard d’une soirée entre potes, digne, je me couche auprès d’elle et me force à penser à autre chose que ses fesses rebondies que ma main caresse doucement, sans arrière-pensée aucune. Sentant malgré tout l’émotion me gagner, je me prends à imaginer que la journée pourrait décidément bien se terminer. C’était sans compter le pet long et puissant qu’elle lâcha dans son sommeil, et dans ma main… Bouche bée, toute émotion retombée, je me suis forcé à penser à l’avenir d’un monde…
-> Meilleur aveu 09/04/2012 Meilleur Aveu 09/04/2012 <-
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Skibar, 22 ans, Lyon
J'avoue ne pas comprendre pourquoi toutes mes histoires se passent de la même façon.
J'avoue que les filles au début de la relation se disent folles amoureuses de moi, disent vouloir construire quelque chose de solide...
J'avoue que dès que je commence à m'investir et à avouer mon amour, elles se désintéressent de moi et s'en vont. A croire que seule la conquête les intéresse...
J'avoue que cette fois je croyais dur comme fer que les choses seraient différentes...
J'avoue que je vais devoir faire un travail d'introspection afin de comprendre les raisons de ce schéma amoureux...
J'avoue je suis lasse et découragée.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Cryptorchid, 18 ans, Marseille
J'avoue avoir fait l'erreur de commencer un plan cul avec un gars qui me rend dingue, qui me plait atrocement. J'avoue que j'en souffre, parce que je sais qu'il n'y aura rien de plus. Les deux fois où nous avons couché ensemble, chaque matin était un supplice, pas de tendresse, pas de regard, rien. J'ai dû partir en te faisant la bise avec froideur. Je suis rentré chez moi en pleurant. Je ne suis pas faite pour ce genre de relation, mais je ne peux pas lui résister.
J'avoue penser à lui un peu trop souvent, j'attends de ses nouvelles, peut être qu'il ne m'en donnera pas. je ne sais pas.
J'avoue avoir fini mon bac, j'avoue n'avoir quasiment pas réviser, j'avoue m'être planté, j'avoue n'avoir pas envie de travailler, j'avoue être une putain de faignante alors que je dis le contraire. J'avoue que je me sens seule, j'avoue que j'ai un pincement au coeur quand je le vois connecté sur facebook et qu'il ne vient pas me parler. Comme en ce moment même. Il faudrait que j’arrête tout. Il faudra que je devienne moins sensible mais ces deux nuits étaient si merveilleuse... je ne sais plus quoi faire de ma vie.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Marie, 17 ans, Paris
J'avoue que je suis triste.
J'avoue que je me sens tellement seule.
J'avoue que je ne sors pas le soir, que je ne fais pas la fête comme je le devrais.
J'avoue que je suis entourée de monde mais que je n'ai personne.
J'avoue que j'ai besoin de quelqu'un : un ami , un amour... quelqu'un à qui je pourrais me confier car j'ai tellement de chagrin en moi.
J'avoue qu'elles ne m'appellent pas.
J'avoue qu'elles me jugent différente. J'avoue que leurs paroles me blessent mais qu'elles ne le voient pas.
J'avoue qu'elles sont tellement conformistes, tellement coincées...
J'avoue que parfois je ne me sens pas à ma place.
J'avoue que je vais mal.
J'avoue que mon coup de coeur aime ma copine.
J'avoue que j'ai mal et que j'attends patiemment que la tempête passe...
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Saucisson, 20 ans, Versailles
J'avoue que j'ai un énorme sexe et que ça m'aide à me sentir mieux, souvent supérieur au commun des mortels.
J'avoue que c'est une stratégie qui me plait et j'avoue que ça fait plaisir aux filles.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Mimi, 18 ans, Belgique
J'avoue que j'ai peur... Dans moins de deux mois, je rentre à l'université et j'ai peur de ne pas me faire d'amis. Tout le monde pense que je suis quelqu'un de très sociable et qui n'est pas timide. Or, je suis timide. J'ai aussi peur de perdre une amie. Nous n’étudierons pas dans la même ville mais nous avons prévu tellement de truc...
J'ai peur de ne pas m'en sortir loin de mes parents. Je n'ai pas honte de dire que je ne sais pas cuisiner ni que je déteste être seule.
J'avoue que rien que de penser à la prochaine rentrée, j'ai envie de pleurer...
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Nellie, 29 ans, Bezons
J'avoue que mes voisins m'en font voir de toutes les couleurs.
J'avoue qu'étant dans un ensemble pavillonnaire où nous sommes tous mitoyens, j'ai appris à prendre sur moi.
J'avoue que j'ai même résisté en voyant les gamines (de la maison qui colle la notre à gauche) dessiner à la craie sur la partie commune (qui va jusqu'au bout de l'ensemble).
J'avoue que mon mari vient de rentrer d'une semaine d'hospitalisation en urgence et que ça m'a énormément éprouvée.
J'avoue que ce soir, j'ai commencé à me poser des questions car il y avait beaucoup de bruits et d'éclats de voix provenant de la maison d'à coté.
J'avoue que j'ai pensé en premier à mon mari qui tentait de dormir, sorti la veille de l'hosto.
J'avoue que je suis sortie de mes gonds quand les voisins ont commencé à mettre de la musique pourrie (genre musique de beauf) à fond.
J'avoue que j'ai craqué, j'ai pris mon balai lave-pont (brosse dure), du détergent et mon seau rempli d'eau, et que je suis allée nettoyer les "dessins" qui étaient devant notre porte.
J'avoue que si la voisine était venue en début de soirée me prévenir qu'il y aurait du bruit, j'aurais sans doute été plus clémente.
J'avoue que le fait d'apprendre à minuit, de sa bouche car Mme sortait sa poubelle, qu'elle fêtait son anniversaire et qu'il fallait les excuser pour le bruit, ça m'a vraiment fait disjoncter.

J'avoue que mes deux devises sont "à con, con et demi" et "ne frappe jamais la première mais rend coup pour coup et frappe aussi fort que tu peux".
J'avoue ce soir j'ai fait un mix des deux.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Elite'Girl, 23 ans, Paris
J'avoue que ces derniers temps il m'arrive très souvent de rentrer dans une parfumerie juste pour vaporiser ton odeur sur une petite mouillette, la respirer à plein nez, et la glisser précieusement dans mon portefeuille, comme un trésor.

J'avoue que c'est assez pitoyable, je dirais même plus, que c'est absolument masochiste, mais que veux-tu, je suis amoureuse de toi depuis bientôt deux ans.
J'avoue que je n'aurais jamais dû coucher avec toi il y a quelques mois de cela, même si c'était ce dont je rêvais, car au final ça n'a fait que me rendre encore plus accro à toi.

J'avoue que comme nous sommes "amis" sur les réseaux sociaux, je suis obligée de voir les photos que tu mets en ligne avec celle dont tu es amoureux. J'avoue que ça me fend le coeur... mais j'avoue que je consulte ta page plus que de raisons.
J'avoue que je crève d'envie que l'on se retrouve, seuls.
J'avoue que je ne veux plus respirer ton odeur sur une mouillette mais juste pouvoir la retrouver en glissant mon nez dans ton cou, tout en me lovant au creux de ton épaule, comme j'en avais l'habitude.
J'avoue que cet aveu est une déclaration d'Amour : Olivier, Je t'aime.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Nana, 16 ans, Aquitaine
J'avoue que je ne sais plus où j'en suis.
J'avoue que mes illusions sur certaines personnes m'ont fait du mal. Je croyais pouvoir compter sur ce que j'appelai des amis. Mais en fait on se rend vite compte que les vrais amis ce comptent sur les doigts d'une seule main.
J'avoue que je regarde parfois dans le passé en me disant qu'avant tout était beau. Mais en fait, tout ne dépend que de nous même.
J'avoue que je me sens seule. Et ce soir plus seule que jamais.
J'avoue que je vais devoir faire du tri dans mes pensées, dans mes amis, dans ma vie.
J'avoue que je suis mal.
J'avoue que j'aurai besoin d'un(e) ami(e) qui me comprenne. Ou juste quelqu'un qui prendrait de mes nouvelles.
J'avoue que j'ai du mal.
J'avoue que je voudrai être aussi heureuse qu'avant car cela me manque.
J'avoue que j'ai essayé mais que je n'y arrive pas.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Whatthehell, 23 ans, Montpellier
J'avoue que ça fera bientôt 3 ans que nous sommes en couple, et que mon amour pour toi me rends dingue.
J'avoue que je suis fatiguée de tout faire pour te rendre heureuse, et que les mots ne changeront rien... j'avoue que j'ai tellement peur de te voir partir, que j'aimerai trouver quelqu'un de mieux... juste pour ne plus me sentir seule.
J'avoue que me réveiller tout les matins à tes cotés est un vrai bonheur mais que je suis fatiguée de toujours t'attendre, pour n'importe quelle raison. Tu sais je suis paumée, mais c'est tellement bon de se confesser.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

JoanJett, 17 ans, Lyon
J'avoue que durant mes années de lycée j'ai été une véritable peste. Mon occupation préférée était de dire du mal des autres pour en faire rire d'autre. Je ne jugeai les gens selon ce que j'entendais d'eux, sur les rumeurs non fondées, en fonction de si mes amis les aimaient ou non. Mais stop ça suffit. J'ai une sale réputation à présent. Non pas que je m'interesse à ce que pensent les autres mais j'en ai marre d'avoir un comportement aussi naze. Je m'excuse auprès de toutes les personnes que j'ai pu blessé.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

LTC, 20 ans, Paris
J'avoue, je t'aime à la folie.

Mais...

J'avoue que tu me rend dingue parfois, à me faire me sentir nulle, idiote, maladroite.
J'avoue que je t'en veux de ne pas penser à m'encourager quand j'ai quelque chose d'important à faire.
J'avoue que je t'en veux de ne plus me toucher depuis des mois.
J'avoue que je t'en veux de ne pas penser à me dire merci pour tout ce que je fais pour toi.
J'avoue que je t'en veux de ne jamais m'offrir de cadeaux, ni à mon anniversaire, ni à Noël, et encore moins en dehors.
J'avoue que je t'en veux de ne jamais me faire compliments, que je t'en veux de n'avoir aucun tact et de me blesser si souvent.
J'avoue que je t'en veux d'être si sûr de toi et si arrogant, et de sans même t'en rendre compte prendre le dessus sur moi, qui suis si réservée et malléable.
J'avoue détester que tu te moques de moi si souvent.
J'avoue que si tout ce que tu me reproches est fondé, ce n'est pas si grave et je t'en veux de ne jamais prendre en compte tout ce que je fais de bien.
J'avoue être absolument certaine que tu ne te rends pas compte de tout ça et que ce n'est pas intentionnel.

J'avoue que j'en veux à moi-même d'avoir été trop conciliante et serviable et de t'avoir habitué à ma docilité depuis des années.
J'avoue que je m'en veux de t'aimer si fort que j'ai fait le vide autour de moi.
J'avoue que je m'en veux de me rendre compte que si je vais mal, je n'ai plus d'amis à qui parler.
J'avoue que je ne sais pas comment sortir de ce cercle vicieux sans te perdre.
J'avoue que j'ai des dizaines de reproches à te faire, mais que je n'ai jamais osé te le dire, pour ne pas passer pour la énième petite copine chiante et raleuse, mais pour la copine tolérante et compréhensive en toutes circonstances.
J'avoue que je garde tout pour moi, que je souris même quand tu m'as fait si mal que j'en ai les larmes aux yeux.
J'avoue que je suis devenue championne pour aller pleurer discrètement dans la cuisine.
J'avoue que je sais que je ne changerais pas et toi non plus.

Mais j'avoue aussi que quand tout se passe bien, et qu'on passe des bons moments, ce qui n'est pas si rare que ça, je suis si heureuse que ma poitrine me fait mal. Et que tout ce bonheur me permet de tenir et d'oublier la dernière série de chagrins, de vexations, de blessures... jusqu'à ce que ça recommence.

J'avoue que je pense sincèrement que si tu me tapais dessus, je raisonnerai exactement pareil, et te passerai tout sans broncher.
J'avoue être soulagée de savoir que ça n'arrivera jamais, même s'il y a bien d'autres choses que les coups qui peuvent blesser.

J'avoue que je sais que si on se séparait, je serais bien plus malheureuse, et c'est pour ça que je reste.

J'avoue que vraiment, je t'aime à la folie.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Lolita, 23 ans, Paris
J'avoue que j'adore faire des fellations.
Oui, j'avoue, j'adore sucer les mecs.
J'avoue ne pas comprendre les filles que ça répugne, sauf en cas d'hygiène douteuse, nous sommes bien d'accord.
J'avoue prendre terriblement mon pied à sentir un mec se raidir dans ma bouche.
J'avoue que parfois j'ai l'impression d'avoir un gros pouvoir sur eux quand je vois leur tête et que j'entends leurs gémissements sous mes coups de langue.
J'avoue que j'ai adoré te faire des gâteries O... et que j'espère que tu ne vas pas m'oublier et vite me revenir histoire qu'on puisse remettre ça.
J'avoue d'ailleurs que je ne te donnerai pas de nouvelles, je sais que tu es en couple et le respecte... mais si on se revoit seuls, aie, aie, aie !
J'avoue que j'adore le sexe, que je me touche énormément et qui sait, peut-être qu'un jour j'essaierai même avec une fille.
J'avoue adorer la sensation d'être remplie par le sexe d'un homme.
J'avoue avoir déjà sucé un de mes patrons... et c'était bon.
J'avoue que toutes les filles devraient essayer le pommeau de douche entres les cuisses, c'est juste merveilleux... et j'avoue que je l'ai découvert très jeune.
J'avoue qu'il m'arrive d'être parfois un peu allumeuse mais j'avoue bien aimer susciter le désir.
J'avoue savoir que j'ai une jolie bouche, et j'en profite.
J'avoue que parfois je me dis que je suis tordue de raisonner comme ça... et en même temps, le sexe c'est tellement bon !
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

June, 25 ans, Paris
J'avoue que j'ai eu un rendez-vous avec un homme.
J'avoue que c'était un vieux fantasme de la faculté.
J'avoue que j'étais folle quand je le voyais en cours.
J'avoue que j'ai accepté de le voir pour ça. J'avoue que maintenant il est marié.
J'avoue que ce n'est pas mon problème.
J'avoue qu'il est toujours aussi charmant.
J'avoue que je me suis souvenue de pourquoi il me plaisait.
J'avoue que j'adore ses lèvres.
J'avoue enfin que je n'ai aucun remords.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Selena, 25 ans, Roma
J'avoue que je viens de passer 24h plus que parfaites !
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Roxy, 23 ans, Fabrègues
J'avoue que j'ai envie de tout envoyer valser.
J'avoue que j'ai envie de faire mes valises et me casser très très loin.

J'avoue que mon entreprise fait de l'argent sur le dos des stagiaires. J'avoue que bac+5 pour gagner 1400€ avec plus 50heures/semaine me gonflent.

J'avoue qui si je pouvais, je donnerai un bon coup de pied au cul des dirigeants.

J'avoue souffrir de discrimination, car dans mon corps de métiers, les hommes sont bien mieux respectés et payés.

J'avoue que j'attends la réunion de lundi avec impatience car si mes arguments de sont pas entendus je me casse fin juillet.

J'avoue que j'ai très envie de les mettre dans la merde.
J'avoue que j'aimerai qu'ils s'en mordent les doigts.

J'avoue qu'a cause du se boulot ma vie sentimentale n'est plus au top de sa forme.

J'avoue que j'ai juste envie de les briser, de retrouver mon amour et qu'on se barre bien loin des profits de merde sur notre dos.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Olivier, 35 ans, Calais
J'avoue que je m'ennuie sérieusement avec ma femme au lit. J'avoue qu'elle n'est vraiment pas innovante. J'avoue qu'elle refuse systématiquement la fellation ou quelque autre position que le missionnaire ou la levrette. C'est franchement désespérant.
J'avoue que j'ai connu bien mieux et ça me manque de plus en plus.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Colombine, 25 ans, Paris
J'avoue que je n'arrête pas de penser à toi.
J'avoue qu'il m'arrive aussi parfois de me dire qu'il serait temps que je me fasse une raison. Et c'est encore plus douloureux.
J'avoue que je me dis que les choses auraient été plus simples si je ne t'avais jamais rencontré.
J'avoue que j'ai craqué face à tes sourires énigmatiques et à ton regard qui essayait de capter le mien.
J'avoue que j'ai vite compris que tu étais un homme à femmes, par ton métier, et par goût aussi et surtout, je dois le reconnaitre.
J'avoue que tu as tendance à complimenter à tour de bras et que tu as toujours les yeux qui trainent à la recherche d'une belle fille, d'un beau specimen de papillon à mettre sous verre.
J'avoue avoir pensé être plus maline que les autres, m'être dit que j'allais prendre mon temps... d'autant plus que "je ne l'avais jamais fait". Et oui, méfiez-vous des filles qu'on dit allumeuses, elles cachent parfois de drôles de secrets.

J'avoue qu'effectivement on a pris notre temps, qu'au début c'était toi qui me courait après et puis petit à petit, quand tu as senti que la résistance faiblissait, tu as commencé à t'éloigner, à te faire plus distant, limite moqueur me rendant encore plus dépendante.
J'avoue que la première fois que nous avons échangé un baiser j'ai adoré. Je frissonnais, en partie à cause du froid mais aussi et surtout parce que je crois que j'étais en train de tomber amoureuse. Et qu'au fond de moi j'avais décidé que tu serais le premier.
J'avoue qu'on s'est ensuite beaucoup cherchés même si de ton côté tu continuais à faire ton Don Juan et j'en savais tout. Parce que je me renseignais. Et parce que tu ne t'en cachais pas aussi. J'affectais le détachement mais au fond de moi, j'avais la nausée.

Je suis partie pendant quelques mois à l'étranger, je te l'ai annoncé un soir, j'avais un peu bu, j'étais triste, tu avais tes groupies habituelles. Tu avais l'air de t'en foutre. Tu m'as dit que de toute façon je revenais. Je t'ai embrassé, limite en insistant. Je faisais pitié.
J'avoue que tu m'as atrocement manqué pendant ces sept mois. Aucune nouvelle si ce n'est une bise passée au téléphone alors que j'appelais un ami avec qui tu étais par hasard.

J'avoue que j'ai fini par rentrer. Un soir on s'est croisés. J'avais le coeur qui battait la chamade mais je ne voulais rien en montrer. J'étais distante. Tu faisais ton tactile et je te regardais d'un oeil amusé. Tu m'as confié tes histoires et tu m'as dis que tu avais rencontré une fille qui t'avait finalement quitté et que ça t'avait démoli. Pincement au coeur de mon côté mais je voulais profiter de ma soirée. Tu as fini par littéralement te jeter sur moi. On s'est embrassés longuement... ton odeur, tes mains, j'étais ailleurs... mais je suis rentrée sagement de mon côté. Je ne savais plus trop où j'en étais.

On se reperd de vue et puis un soir j'atterris chez toi par le biais d'amis communs. Tu me demandes avec combien de mecs je suis sorti pendant tout le temps où j'étais loin. Et puis tu me reparles encore de cette fille.
J'avoue que j'aurais dû alors prendre mes jambes à mon cou. En tout cas c'était ce que la raison m'ordonnait. Mais vous connaissez tous le dicton, le coeur a ses raisons que la raison ignore: ce soir-là j'ai fini dans ton lit. Et c'était ma première fois.
J'avoue que c'est toi qui m'a rappelée, on a remis ça et c'était parfait.
J'avoue que pour la troisième, c'est moi qui suis venu vers toi. Mais il n'y a jamais eu de troisième. Tu m'as dit que tu ne pouvais pas, que tu étais avec quelqu'un, plus précisément celle que tu avais traité de tous les noms quelques semaine avant. Le monde s'est effondré autour de moi, je suis rentrée complètement sonnée, humiliée, et avec ma dignité en morceau. Alcool et médicaments, je n'ai pas décollé de mon lit pendant trois jours.

J'avoue que je t'ai revue avec elle. Un très beau spécimen de papillon effectivement. Un beau couple d'amoureux qui s'embrassait... et dont l'homme me jetait parfois des regards par dessus l'épaule de sa bien-aimée, auxquels je répondais par le visage le plus glacial que je puisse afficher.
J'avoue qu'il t'arrivait parfois quand tu te retrouvais sans elle en soirée de venir discuter avec moi et d'avoir ce même regard que tu avais les premiers temps où nous nous sommes rencontrés.

J'avoue que je t'ai annoncé que je partais m'installer définitivement sur la capitale pour mon travail. J'avoue que même si c'était en grande partie dû à une opportunité professionnelle, tu n'as pas été étranger à la prise de cette décision. J'avoue avoir pensé au fameux dicton "Loin des yeux, loin du coeur".
J'avoue que ce dicton est une foutaise.
J'avoue que je crève de te revoir.

J'avoue que la dernière fois où on s'est vus, tu étais seul, tu avais les mains plus que baladeuses et tu m'as dit que tu avais envie de moi mais qu'il ne fallait pas. J'avoue qu'en partant au lieu de nous faire une bise, on s'est effleurés les lèvres.
J'avoue que je n'arrive pas à t'oublier. J'avoue que parfois je pense à ce qui pourrait se passer si l'on se revoyait, et j'avoue que c'est en partie à cause de cela que j'ai pris la décision de me reprendre en main et de dire adieu à mes vieux complexes.
J'avoue que j'aimerais que tu reviennes vers moi.
J'avoue qu'ici j'apprends à me reconstruire et à être heureuse... mais que pour le moment je ne suis pas une très bonne élève.
J'avoue que j'aimerais que tu ne m'oublies pas.
J'avoue qu'un jour j'aimerais que tu me dises: "Je t'aime."
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Unenouvellevie, 23 ans, Paris
J'avoue que j'en ai un peu marre de ma vie depuis 1 an, mais rassurez-vous je ne suis pas suicidaire.
J'avoue que la seule chose dont je suis fière actuellement, c'est d'avoir un compagnon merveilleux, qui m'aime me soutien au quotidien, me fait rire et que j'aime très fort.

J'avoue depuis 1 an nous sommes en location dans un appartement que je ne supporte plus du fait de sa laideur et de son quartier bruyant.
J'avoue que depuis 1 an j'ai pris au moins 6 kilos et que j'ai honte de mon corps.
J'avoue que les fringues que je porte sont pourries car je me sens grosse et je n'ose pas m'habiller correctement à cause de ça.
J'avoue que j'ai une coupe de cheveux de merde à cause de la coiffeuse qui m'a raté il y a 1 mois.
J'avoue que j'ai encore des boutons d'acné alors que j'ai 23ans...
J'avoue que je me trouve moche.
J'avoue que depuis 1an j'ai arrêté mes études à la fac pour préparer un concours trop difficile et en plus sans prépa.
J'avoue que j'ai une vie de merde...

Mais j'avoue que dans 5-6 mois ça va changer.
J'avoue que je me suis mise au régime.
J'avoue que je retournerai chez le coiffeur dans quelques semaines.
J'avoue que je vais me racheter des vêtements après avoir maigri.
J'avoue que ce weekend on va déménager dans un autre appartement.
J'avoue qu'en septembre je rentre dans une nouvelle école.
J'avoue et j'espère que mes boutons d'acné auront disparus.
J'avoue que c'est une nouvelle vie qui va commencer.
J'avoue que j'ai hâte !
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

TheSister, 24 ans, Roazhon
J'avoue qu'il y a des jours, des semaines, des mois pendant lesquels je manque d'amour.
J'avoue que ce soir, je vais oublier ma peine dans les bras de deux magnifiques garçons.
La vie est dure...
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Filamie, 25 ans, Bordeaux
J'avoue que la première fois que nous nous sommes vus mon compte était déjà fait.
J'avoue que les huit mois de correspondance qui ont précédé m'ont fait chavirer.
J'avoue avoir été incapable de te le montrer.
J'avoue m'être fourvoyée en passant pour une personne détachée.
J'avoue t'avoir aimé en secret bien plus que ce que je disais.
J'avoue toutes ces larmes qui ont coulé n'étaient que vérité.
J'avoue que c'était la première fois que mon coeur saignait.
J'avoue y repenser chaque fois qu'un autre espère te remplacer.
J'avoue que trois ans après mon coeur est toujours brisé.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Moi7185, 22 ans, Paris
J'avoue que j'en ai marre des pub qu'il y a entre les films érotiques tard le soir.
J'avoue qu'en voyant ces pubs on a l'impression que les films érotiques sont réservés exclusivement au genre masculin.
J'avoue j'ai envie de dire mais non nous aussi les filles ont peut se faire plaisir devant ces films zut.
J'avoue j'aime me faire plaisir devant ce genre de films.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -


< Page Précedente  Page Suivante >

Recherche
Rechercher dans : Catégorie

© 1998 - 2024 Javoue.com - tous droits réservés
- Haut de page
Développement assuré par Gilou