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Joe, 46 ans, Bordeaux
Ce soir j’avoue que j’ai envie de crier la haine que j'ai à l'encontre de 2 grosses femmes de pouvoir.
Ces 2 gros machins ont fait virer un gentil papy que j’aime beaucoup et qui ne méritait pas cette sanction. Il ne le méritait pas parce qu’il a toujours travaillé plus que tout le monde et qu’il a tout fait pour les autres sans jamais chercher à en tirer une gloire quelconque. J’avoue que je n’avais jamais autant pleuré pour une personne extérieure à ma famille.
J’avoue que quand je vois ces 2 gros boudins, j’ai envie de tirer la chasse. J’avoue qu’à cause d’elles je suis devenue méchante et je veux les empêcher de recommencer. J’avoue que depuis que je sais que ce monsieur va être opéré, je cherche un moyen rapide de le venger sans que ça me retombe dessus, mais je sais que la patience est de rigueur.
J’avoue que je commence à croire en dieu et aux foudres du ciel. Et j’avoue que je ferai comme Boris Vian.
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Soone, 27 ans, Toulouse
J'avoue, en théorie j'ai trompé, mais en pratique j'oublie ma nana quand ça arrive donc c'est pas vraiment tromper.
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Bretelle, 22 ans, Marseille
J'avoue que je viens d'essayer le français, et c'est adopté !
J'avoue que je suis fière de te connaître.
J'avoue que je voudrais te dire "je t'aime" mais je ne t'aime pas. Je sais que ça te ferait plaisir, et que c'est ce que tu attends, mais il manque quelque chose, je ne sais pas quoi.

J'avoue que n'empêche, tu es le premier avec qui je réalise que la sexualité, ce n'est pas sale, ça ne fait pas mal, mais que c'est beau, c'est un plaisir. Je suis fière de t'offrir mon corps et je suis fière que tu te sois tant plié à mes caprices. Je te remercie, énormément.

J'avoue que j'ai toujours peur de te présenter à mes proches, à ma coloc, à mes amis, à ma famille, à mes collègues, à mon directeur de recherche, car j'ai peur que tu sois prétentieux comme tu l'es toujours. J'ai peur qu'on aie une mauvaise image de moi et je sais que l'on m'associe souvent à ton arrogance. J'avoue que j'aimerai faire changer cela, que tu arrêtes de te regarder dans le miroir comme ça, que tu utilises des mots savants pour écraser ton coloc qui ne pige jamais rien, que tu ne dises plus "je sais" et que tu acceptes d'être enseigné.

J'avoue que je regrette toujours de penser tout cela de toi, mais j'ai analysé de toutes les manières possibles, j'ai même lu des trucs sur ton travail et des études psychologiques des jeux de rôle. Mais rien à faire, j'arrive au fait que c'est un constat, tu es fier comme un bar-tabac.
J'avoue que, et c'est pareil à chaque fois, que je suis tellement désolée de penser cela de toi, car tu es, parmi tous ceux que j'ai connus, celui qui me respecte le plus. Et je sens que tu as un coeur pur, et que tu ne t'énerves jamais (pourtant il y aurait beaucoup de raisons)...

J'avoue que la différence de nos attentes normatives me gonfle souvent, comme quand tu ne demandes jamais comment ça va, comment était la journée, les formalités dont mon esprit est taillé.

J'avoue que j'ai énormément de courage quand il s'agit de quelqu'un avec qui je suis, et mes seules capacités étant analytiques, je finis souvent par devenir folle à chercher les pourquoi des comment.

Et puis, j'avoue, encore une fois, tu m'as délivré de cette sexualité violente et malheureuse qui me fait tant souffrir. Tu sais m'écouter, tu sais faire passer tes désirs tout en respectant les miens, tu sais me donner de la valeur.

J'avoue que je me demande ce que je vais faire de ma peau dans quelques temps, j'avoue que c'était une idée folle de te proposer de venir me voir en Jordanie. J'ai peur que parfois, tu me demandes un enfant ou un mariage, j'avoue que je trouverai ça drôle.

J'avoue que je pense toujours que quand j'irai à l'aéroport d'Amman, pour venir te chercher, il n'y aura personne. Car j'ai toujours les fantômes du passé qui viennent me hanter, ceux qui me rappellent combien les hommes peuvent être menteurs et faux.

J'avoue que tes lèvres me manquent, et j'avoue que c'est, malgré tout le mal que je dis de toi sans que tu le saches (et quelle honte j'ai à le faire), un honneur d'être ton amoureuse.
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M, 20 ans, Marseille
J'avoue que nous sommes ensemble depuis 1 mois et 4 jours, j'avoue que je ne peux pas me passer de toi.
J'avoue que je dois chercher un stage, je pense qu’inconsciemment je refuse certaines propositions de stage parce que je ne veux pas trop m'éloigner. J'avoue que si je ne t'avais pas rencontré je serais partie en Chine pour l'échange. Mais j'avoue que maintenant je ne sais plus si je pourrais faire un tel choix.
J'avoue que tu es d'une franchise déconcertante, et je t'avouerais que parfois cela me fait peur ou même mal. Parce que nous avons tous les deux déjà beaucoup soufferts, j'avoue que j'essaie de freiner un peu les choses.

J'avoue que tu es mon premier, j'avoue que je sais que tu ne seras pas le dernier non plus. Mais j'avoue que pour l'instant sans toi, rien ne sera facile. J'avoue que je fais tout pour être une fille forte, indépendante, rigolote, et pas collante, je pense me débrouiller assez bien. Mais j'avoue que parfois quand je suis seule je craque parce qu'il est bon de savoir que l'on peut compter sur quelqu'un, que notre histoire ne va pas s’arrêter de sitôt, et que mes choix ne doivent pas avoir un rapport avec toi.
Pourtant l'endroit où je ferais ce p***** de stage sera décisif pour le futur de notre relation...

J'avoue que je suis pas sortie de l'auberge...
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Lullaby, 28 ans, Paris
J'avoue que je t'aime, on n'est sortis que 3 semaines ensemble, j'ai honte, j'ai l'impression d'être une adolescente...

Ces quelques jours à Barcelone étaient magiques, j'ai vraiment cru à la naissance d'une belle histoire... C'est toi-même qui me parlais d'amour passion, c'est toi qui me disais qu'on retournerait à Barcelone, c'est toi qui me disais que tu viendrais vivre à Paris en partie pour moi...

J'adorais nos conversations, nos délires, notre complicité, quand tu me chuchotais des mots en espagnol...

Je t'aime... Je t'aime... Tu as pas idée comme je t'aime... Et j'ai honte... 3 semaines... et Psssht !!! Tu as disparu, tu t'es envolé. J'en ai assez d'interpréter, d'attendre, d'espérer, je me taperais la tête contre les murs par moments... J'étais convaincu que tu étais mon âme soeur... Rencontrerai-je un jour autant de bonheur avec quelqu'un ? Alors qu'avant de te rencontrer je ne voulais me mettre avec personne... La vie est cruelle... Ca va faire un mois et quelques maintenant que tout ça est terminé, mais la douleur est de plus en plus violente... Je devrais t'en vouloir, je te déteste parfois...

Mais dans le fond, si je te revoyais, je n'aurais qu'une envie : que tu me serres dans tes bras.

La vie est cruelle... Et pourtant, c'est tellement banal tout ça...
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Lonelyness, 21 ans, Paris
J'avoue avoir peur de mourir vierge et de ne pas connaitre ce sentiment d'amour et de protection dans les yeux de quelqu'un.
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Nellie, 30 ans, Paris
J'avoue que je ne croyais pas en mai que j'aurais pu réussir mon régime.
J'avoue qu'aujourd'hui j'ai perdu 35 kg et que ça me change du tout au tout.
J'avoue que tout le monde me couvre de compliments et d'encouragements.
J'avoue que je ne m'aime toujours pas et que j'arrive mal à voir que je suis devenue presque jolie.
J'avoue que j'ai peur de ne pas arriver à m'aimer au final alors que je lis l'amour et la fierté dans le regard de ceux qui m'aiment.
J'avoue, avant j'étais énorme et je m'en foutais, maintenant je suis beaucoup plus mince et je me trouve horrible et grosse...
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Anne-laure, 26 ans, Paris
J'avoue, comme chaque début de semaine, je sens comme une boule dans mon ventre. Cette sensation, je la ressens lorsque je suis dans le métro, lorsque je me dirige vers chez toi pour prendre mon cours particulier. Car tu es mon prof... Et chaque semaine, j'avoue que j'ai du mal à me concentrer et tu me reproches souvent d'être stressée. Mais chéri, petit mec, tu ne vois pas que c'est toi qui me plaît !
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Juliette, 41 ans, Bordeaux
J'avoue que pour toi Y la page est tournée, mais moi, je n'ai toujours pas avalé le mal que ton équipe t'a fait ce 29 août.
J'avoue que ce sont des hypocrites et qu'ils sont contents de se partager tes restes. J'avoue que tu étais le meilleur de tous. J'avoue que tout le monde te prenait pour le chef et que ça n'a pas plu au chef ; lui qui a autant de charisme qu'une moule sur un canapé.
J'avoue que j'attends avec impatience de le voir dans 3 ans quand il aura face à lui un adversaire comme toi. J'avoue que j'irai devant sa maison pour voir sa tête de prétentieux destitué par les siens et lâché par tous ceux qui lui cirent les pompes actuellement. J'avoue que ce jour-là je tournerai définitivement cette page-là.
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Laura, 19 ans, Mulhouse
J'avoue perdre de plus en plus espoir en mon avenir plus ou moins proche.
Mon copain ne demande qu'à aller voir ailleurs. Ma famille se déchire sans raison valable. J'ai fais la bêtise de viser trop haut à propos de mes études. Aucune société digne de ce nom ne souhaite me prendre en stage à cause de mon manque d'expérience. L'Etat compte baisser le montant des allocations l'année prochaine.
Sinon, tout va bien. Hormis cette tentante idée de tout foutre en l'air d'un jour à l'autre.
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Jojo, 24 ans, Metz
J'avoue que grâce à Raslebol de Paris, je me sens moins seul dans ce monde.
Donnez à vos conjoints la même liberté que vous vous octroyez et plus d'un feront une belle grimace.
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Christianblack, 30 ans, Bruxelles
J'avoue qu'au travail je matte à mort et sans retenue !
J'avoue qu'il y a quelques mois nous avons accueilli une nouvelle collègue L.

J'avoue que je regardais cette nouvelle collègue avec insistance car elle avait le regard d'une jeune femme naïve fraichement débarquée dans le monde du travail.

J'avoue qu'elle a de quoi plaire avec ses 25 ans, un joli minois, des cheveux blonds, des yeux verts, un corps de femme féconde, des hanches larges mais pas grosse, des seins moyens, une silhouette affinée et une petite bouche comme une adolescente.

J'avoue que de nos discussions à l'heure de table étaient au départ bien courtoises et amicales et sont devenues après un court laps de temps assez tendancieuses et mêmes grivoises, malgré qu'elle se défend toujours sous la variable de "l'hypothèse=si..." .

J'avoue que je l'ai surprise à de nombreuses reprises me matant indirectement, je pense qu'elle était intrigué par la "légende" sur les hommes noirs (rires).

J'avoue que rien que pour cela je voudrais renaître encore si cela est possible en homme noire, car beaucoup de femmes fantasment sur la chose et nous (je) en sommes les heureux bénéficiaires.

J'avoue qu'aux détours de l'une de nos discussions, elle m'a avoué qu'elle essayerait bien "si" l'occasion se présentait (il ne fallait pas tant m'en dire).

J'avoue que je lui ai fait du rentre dedans afin qu'elle comprenne bien que j'étais très intéressé, elle m'avoua qu'elle était en couple et qu'ils venaient d'emménager et que cette expérience extra-conjugale, lui taraudait l'esprit.

J'avoue que je dû m'employer pour lui donner envie..., pas facile de transformer une jeune femme timide et discrète en femme mangeuse d'hommes et demandeuse de plaisir.

J'avoue que j'étais assez fier de moi le jour où elle m'envoya un email pour me demander si j'étais libre certains jours car elle avait fait beaucoup de rêves érotiques avec moi comme partenaire et que l'envie devenait pressante...

J'avoue qu'elle me surpris un matin en me croisant dans le couloir, m'entraînant directement dans un petit coin discret et me délivrant un baiser digne d'une actrice du X...

J'avoue qu'elle me déclara ce matin-là qu'elle avait très très envie et qu'elle voulait que je la prenne dans le bâtiment... J'avoue que l'idée me plaisait bien, mais que notre département étant un lieu de passage important, cela aurait été malvenue de nous faire griller à deux en se tapant une partie de jambes en l'air. Je lui proposais un petit hôtel discret sur l'heure de table.

J'avoue que ces deux heures passées avec miss L. furent tout bonnement jouissives, cette jeune femme avait une faim de loup, de sexe devrais-je dire, durant 2h j'abusais d'elle sans qu'elle ne manifeste aucune réticence, ni tabou.

J'avoue que quand nous arrivâmes dans la chambre de cette hôtel et qu'elle me jeta littéralement sur le lit sans même me laisser le temps d'ôter un vêtement, qu'elle m'ouvrit le pantalon et me complimenta sur mon sexe avant de l'engloutir, je crus que j'avais en face de moi une nymphomane refoulée (et mon sentiment se confirma tout au long de notre joute sexuelle).

J'avoue que j'étais aussi étonné de voir qu'elle aimait qu'on la traite de tous les noms et qu'on la prenne comme une "salope" sans retenue, ni ménagement.

J'avoue que j'ai adoré abuser de son petit abricot comme de son anus sans modération.

J'avoue qu'on sua durant ce moment langoureux, qu'on cria de plaisir et nos corps emboîtés si parfaitement ne laissaient pas de place à la patience, tout était excès et luxure.

J'avoue que j'abusais de son corps à ma guise, que je lui fis ressentir tout mon être en elle, et qu'elle me cria plusieurs fois de ne pas m'arrêter.

J'avoue que de retour au travail, cette après-midi là, je n'ai plus su me concentrer et j'étais vidé (dans tous les sens du terme).

J'avoue que maintenant miss L. et moi sommes des "intimes", qu'elle a un toujours depuis ce jour un grand sourire quand on se voit, nos collègues ne comprennent pas, faut croire qu'ils sont peu imaginatifs.

J'avoue que parfois en fin de journée quand les effectifs sont nettement moins nombreux dans les locaux, miss L. et moi nous nous retrouvons dans les toilettes ou dans une salle de réunion pour que l'on se fasse plaisir et chacune de ses fellations est un pur moment de plaisir où son regard sadique m'enjoint à la prendre à nouveau sans ménagement.

J'avoue que j'adore mon job et mes collègues.
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Caroline, 24 ans, Paris
Paris, métro ligne 1 Franklin Roosevelt, samedi 5 novembre 2011.
J'avoue avoir eu un coup de cœur pour toi. Je monte dans le métro direction La Défense. J'étais avec 2 amies. Quand le train a démarré, j'ai failli tomber sur toi ! Je t'ai lancé un grand sourire et tu me l'as rendu. J'ai, malheureusement, dû te tourner le dos. Une amie m'a dit que tu continuais à me regarder et sourire. Je suis descendue à Charles de Gaulle Étoile. Je suis brune et je portais un manteau gris. J'avoue que j'aimerais vraiment te revoir !
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Unemaguette..., 25 ans, Lyon
J'avoue en avoir gros sur le cœur, et n'avoir personne à qui parler pour me soulager, rire ou juste en discuter.
J'avoue qu'il y a mon chéri, mais que j'essaye de lui en épargner une partie parce que j'ai terriblement peur de le faire fuir, tellement le fond de mon âme peut être triste.
J’avoue qu’en ce moment je devrais être avec des collègues à une fête mais que j’ai renoncé parce que je me sentais de trop, comme d’habitude quand on me propose quelque chose.
J'avoue parfois (souvent) me sentir n'appartenir à rien en ce monde, ne trouver de place nulle part, et me demander vraiment à quoi je peux bien servir. J'avoue que cette souffrance est une vieille compagne et que ça me rend triste.
J'avoue me sentir très nulle de ressentir tout ça, et j’avoue me dire souvent que je suis sûrement la fille la moins douée de l’Univers parce que je n’arrive pas à trouver le bouton « pause » de mon cerveau…
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Lilou, 18 ans, Paris
Depuis que j'ai emménagé à Paris, depuis que j'ai rejoint cette grande école, je n'avais pas encore réellement pleuré.
J'avoue que j'ai souvent été triste mais que les larmes ne coulaient jamais. J'avoue qu'hier, j'étais tellement en manque d'amour, que je me suis mise à regarder des séries et des films à l'eau de rose : j'avoue que je me suis sentie assez ridicule lorsque les larmes ont commencé à couler et petit à petit se sont transformées en étouffants sanglots quand je regardais le garçon embrassant fougueusement la fille ou lorsqu'il prenait soin d'elle.

J'avoue que ça peut être puérile et immature de ma part mais c'est toujours beau de rêver. Surtout qu'en ce moment j'ai la terrible impression que ma vie ne se résume à pas grand chose. Entre les cours, le métro, les courses et les sorties je me sens complètement inutile. J'ai l'impression que personne ne s'intéresse à moi. Pourtant je sais au plus profond de moi que je suis une fille spéciale, j'ai l'impression de renfermer quelque chose : j'ai beaucoup d'amour à donner mais il faut juste que le bon garçon le découvre.

J'avoue que je ne sais pas où se cache ce garçon. Mais je sais que probablement un jour il viendra et me découvrira. J'ai l'air timide, je l'avoue. Parfois ma gêne me fait dire des bêtises et mon comportement devient même enfantin. J'avoue que parfois ça me gêne. J'avoue que quand un garçon me regarde, je deviens mal à l'aise. Quand ils me font des avances, je ne sais pas quoi dire et je sors de terribles bêtises.
J'avoue que cette situation doit cesser, que je dois avoir plus d'assurance. J'avoue que je l'attends ce garçon. J'avoue ne pas être entreprenante, j'avoue que je ne pourrais pas faire des avances ou montrer à un garçon qu'il me plaît... J'avoue que ça doit être à cause de ça que je suis encore seule depuis ces 18 années.
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Chocolat, 30 ans, Lyon
J'avoue, lorsque j'ai trompé mon mari avec toi je ne pensais pas que ça durerait si longtemps. J'avoue tu m'as donné la force nécessaire pour le quitter en douceur.
J'avoue tu m'as permis de libérer mon corps, de comprendre ses envies auxquelles tu réponds si bien.
J'avoue j'adore faire l'amour avec toi.
J'avoue tu as une femme et tu hésites entre nous deux.
J'avoue je ne t'aime que parce que tu représentes le fruit défendu.
J'avoue que contrairement à ce que je te dis, je ne supporterais pas de faire ma vie avec toi.

J'avoue on a 18 ans d'écart. Tu en as profité au début puis tu es tombé amoureux, j'ai cru tomber amoureuse de toi au début mais maintenant je sais que c'est de l'attrait charnel, un bon moment mais... pas plus !

J'avoue tu m'as aidé à franchir un cap mouvementé mais capital cette année et que rien que pour ça, je t'aime.

J'avoue te voir torturé entre ta femme et moi m'amuse et je trouve que c'est un juste retour des choses toi qui a tant fait souffrir les autres juste pour passer un bon moment.

J'avoue, tout ce que je te dis, tous mes mots d'amour c'est simplement pour faire l'amour avec toi... et c'est tout.
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Anonyme, 18 ans, Belgique
J'avoue être dégouté. Après un parcours scolaire désastreux qui a abouti à un échec, je finis par trouver ma voie. Je retourne ciel et terre pour trouver un stage. Une fois dégoté j'accepte tout ce qu'on me demande, même les tâches les plus ingrates et m'y investis comme jamais.
Des félicitations, des remerciements ? A peine, on m'a juste prié de partir. En plus je n'ai même pas droit au chômage. De quoi être écoeuré par le monde du travail... et ça dès le début.
J'avoue que depuis je trompe l'ennui dans la fumée de mon joint avec ces pseudo-amis juste intéressés par ce que l'on possède et pas par ce que l'on pourrait apporter. J'avoue que voilà, j'aimerais bien voir autre chose, ailleurs...
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Lali89, 22 ans, Laval
J'avoue je n'en peux plus d'être seule.
J'avoue qu'à 22 ans je n'ai toujours eu de petit ami.
J'avoue que ça me gonfle d'être toujours la bonne copine.
J'avoue qu'en même temps je comprend en voyant ma tête.
J'avoue qu'on m'a toujours dit que le physique ça ne comptait pas mais bon je pense que quand même ça ne doit pas m'aider.
J'avoue que je rêve au prince charmant ce qui est totalement débile.
J'avoue que je suis en grand manque de câlins.
J'avoue j'aimerais bien changer pour que ça change mais je ne sais pas quoi changer.
J'avoue que j'en pleures le nuit et que personne ne le sais vu que devant tout le monde je fais la je m'en-foutiste.
J'avoue, vivement que ça change.
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Laaaaure, 25 ans, Paris
J'avoue que lorsque tu es en face de moi, j'ai du mal à cacher ce que j'éprouve. C'est aussi gros qu'une 4x3. J'avoue que tu m’impressionnes, tu as du charisme et tu le sais.
J'avoue que tu es un tout petit peu plus jeune que moi, et je sais que tu n'es pas vraiment un garçon sérieux.
J'avoue que j'ai du mal à m'arrêter de m'imaginer que je t'embrasse et que tu me prennes dans tes bras. J'avoue que tu me plaîs et ça, ce n'était pas du tout prévu. Je vois bien que je ne te laisse pas indifférent, mais je vois aussi que tu t'amuses un petit peu de moi. J'avoue qu'on a une relation un petit peu étrange.
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Sagamore, 42 ans, Saint Malo
J'avoue être mariée, avoir deux enfants, mener une vie sociale à 100 à l'heure, tout gérer comme wonder woman et pourtant... La nuit, lorsque le monde est endormi, j'allume mon ordi, je fouille sous mon lit, je cherche un bon film... porno amateur avec si possible des partouzes et je me masturbe avec de jolis joujous vibrants.
Je suis seule avec mes fantasmes et mes orgasmes et que c'est bon !
Et bien sûr, c'est au cousin de mon mari que je pense...
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Diosis, 19 ans, Paris
Maman, Papa, mon frère,
J'avoue que je vous aime comme la prunelle de mes yeux et même plus.

Je n'ai pas été une fille exemplaire pendant l'adolescence et je vous en ai fais voir des vertes et des pas mûres. J'ai dû vous blesser plus d'une fois et je crois que je ne pourrais jamais me le pardonner.
Je n'ai pas non plus été une sœur très sympathique et j'ai souvent profité de mon statut de cadette pour faire passer mes bêtises plus facilement que les tiennes. Aujourd'hui nous ne sommes pas très proche mais je vois qu'avec le temps ça évolue et ça me fait vraiment plaisir.

Il y a environ un an j'ai réussi à complètement accepté ma bisexualité et j'ai réussi à vous en faire part. Et vous m'avez comprise, une fois de plus.
Dans cet aveu, je vous dis donc, merci. Merci de m'avoir supporté pendant cette horrible période qu'à été mon adolescence. Merci de m'avoir écouté et soutenu. Merci de ne pas m'avoir rejeté comme beaucoup de parents et de frères et sœurs le font. Merci pour vos sourires et même pour ces moment taquins que nous vivons ensemble. Merci de me rendre heureuse.

J'avoue que je vous aime plus que tout et que ma vie aurait été un désastre si ma famille n'avait pas été celle que j'ai aujourd'hui.

Je vous aime.
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Helios, 22 ans, Paris
J'avoue que je ne comprend pas les êtres humains.
J'avoue que je me demande si je ne viens pas d'une autre planète.
J'avoue que je ne comprend pas comment on peut aimer l'alcool ou le café.
J'avoue que je ne comprend pas les gens qui regardent la télé à longueur de journée.
J'avoue que je ne comprend pas les gens qui s'énervent et qui ne peuvent pas se contrôler.
J'avoue que je ne comprend pas les gens qui veulent se "laisser vivre".
J'avoue que je ne comprend pas ce qu'est "brûler de désir" pour une autre personne, et encore moins comment des gens peuvent tromper leur conjoint.
J'avoue que je ne comprend pas comment les gens peuvent commencer à fumer ou à se droguer.
J'avoue que j'ai eu des moments difficiles dans ma vie mais tout ce que je faisais c'était d'attendre que le ciel se lève et que mes larmes sèchent d'elles-mêmes.
J'avoue que je ne comprend pas l'intérêt de la célébrité, d'être adulé pour ce que l'on n'est pas.
J'avoue que je ne comprend pas l'importance de la classe sociale dans le monde, ni de la valeur de l'argent.

J'avoue que ce que je dis peut sembler prétentieux, mais c'est simplement la confession d'un homme à qui la logique du monde échappe.
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Zougoulou, 25 ans, Lille
J'avoue notre histoire fut brève et éphémère. Quelques semaines à peine il y a une année de cela.
J'avoue, je pensais que je finirais par t'oublier mais malgré le temps qui passe, pas un jour ne s'écoule sans que ton prénom me revienne en tête. Tu m'as fais tellement mal pourtant, moi qui suis la première à dire qu'aucun homme ne mérite qu'on se prenne la tête pour lui.
Mais chaque soir, dans la solitude de la nuit, je repense à toi, à ton sourire, à tes bras et je me rends compte que tu me manques.
Oui, malgré mon semblant d'indifférence et mon silence je ne t'ai pas oublié... Peut-être qu'un jour en passant par là, tu te reconnaitras et sans aucun doute je nierai être l'auteur de cet aveu, mais parce que ça fait du bien de le dire ici : Je t'aime toujours mi amor...
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Zéphir, 43 ans, Bordeaux
J'avoue que je n'ai pas envie de reprendre le travail demain. J'avoue être comme Zoé Shépard, entourée de nantis et gens intouchables qui peuvent se permettre de la ramener parce qu'ils ont un statut d'intouchables.
J'avoue travailler 40 heures par semaine au lieu de 35 mais je n'y arriverais pas autrement. J'avoue que ma chef est payée grassement pour faire des heures sup et qu'elle reste chez elle ou nous fait croire qu'elle est en rendez-vous à l'extérieur, ou qu'elle est malade, d'ailleurs elle est tout le temps malade. J'avoue que je ne veux pas lui ressembler, d'abord parce qu'elle est moche et en plus sournoise. J'avoue que je sais qu'elle a menti au patron et qu'il l'a augmentée en toute légalité et ça les arrangeait bien en définitive, tout ça me donne parfois la nausée.
J'avoue que ce patron est un vieux qui se croit beau, alors que les sourires lui sont adressés parce qu'il est le patron, et en plus il n'y voit que du feu.
J'avoue que le soir je rêve que je suis riche et je suis Don Diego de la Vega.
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Raslebol, 24 ans, Paris
J'avoue, Gentille Bénévole, je te trouve égocentrique.

Tu es fière de tromper ton copain ? Fière de penser à "toi", à ta petite personne d'abord ?

Tu pourras être fière de toi le jour où tu assumeras ta non fidélité ! Trouve toi quelqu'un qui partage ta vision du couple au lieu de te foutre royalement de la gueule d'un garçon.

Vous, les gens qui trompez, vous me répugnez.

Je n'ai rien contre les gens qui sont libertins, mais dans ce cas il faut l'assumer et faire en sorte que son conjoint partage ce trip !

Sinon, ce n'est ni plus ni moins qu'un manque de respect dégueulasse.
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