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Tyty29, 29 ans, Paris
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J'avoue qu'on était sur la place du palais-royal à regarder ces danseurs de tango. Tu étais avec ta soeur et ton amie puis tu t'es exclamée : « moi aussi, je veux danser ». J'avoue qu'à ce moment on s'est regardés et on s'est souri. Je t'ai dit de la main que tu pouvais entrer sur scène mais tu avais l'air hésitante. Le fait que tes compagnons soient absorbés sur leur téléphone pour chercher leur chemin n'a pas aidé car elles étaient déjà en train de partir. J'avoue qu'il y a eu une belle complicité dans nos regards qui s'est confirmée quand tu les as suivies tout en continuant à me lancer des regards par dessus ton épaule, et ce même à travers la foule... J'avoue que je fais le malin mais je ne sais pas du tout danser. J'avoue que je suis tellement nul mais que si tu veux bien me montrer j'aimerai essayer. J'avoue, voudrais-tu m'accorder une première initiation à la danse belle inconnue ?
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Parea, 27 ans, Montréal
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J'avoue que les réfrigérateurs des autres m'ont toujours horrifié. J'ai ce souvenir très bizarre et cette sensation qui me revient aussitôt où je vois ces steak hachés et ces jus posés ça et là, sans couvercles dans leurs frigos. J'avoue prendre avec précaution chaque brique de crème fraîche et inspecter la date de péremption. J'avoue, c'est toujours un bordel sans nom et de surcroît, rien n'est à la bonne place.
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Amy Leen, 27 ans, Paris
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J'avoue que la vie d'expat en France n'est pas très facile. Parmi le lot d'erreurs embarrassantes qu'il m'arrive de faire, il y a les fautes grammaticales. J'avoue que l'autre jour au travail, j'ai enfin compris l'intérêt de ne pas me tromper sur les accords de genres des mots en français. C'était le premier jour dans une très grande entreprise de luxe et je voulais demander une souris pour mon ordinateur. J'avoue que je suis allée voir ma boss et je lui ai demandé "un souris". J'avoue qu'elle est restée bloquée, sans parler pensant que je lui avait demandé "un sourire". J'avoue que je me suis jamais sentie aussi embarrassée pendant 30 secondes car je suis passée pour une harceleuse auprès de ma patronne qui pensait que je lui demandait de sourire... J'avoue que les genres ne sont pas faciles et ça me fatigue de me tromper à chaque fois mais il faut que je pratique plus.
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Sandy, 28 ans, Dijon
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J'avoue, chaque soir, quand je ferme les yeux, même dans les bras de l'époux, c'est vers toi que mes pensées s'envolent. J'avoue que je nous vois enlacés tendrement sur ton canapé. J'avoue que je l'aime et que je t'aime aussi. Je sais que vous n'y comprendriez rien ni l'un ni l'autre. Je sais que je ne veux perdre aucun de vous. J'avoue que j'ai envie, putain tellement envie !, De savoir comment tu embrasses et caresses. J'avoue que ça fait une putain de décennie que je pense à toi. Et que rien ne bouge. Parfois tu m'envoies des messages ou des photos de plus en plus tendancieux voire osés mais dès que je me rapproche tu files comme une anguille. Je ne te comprends pas. Ou peut être que si. Mais je ne veux pas admettre que tes raisons soient valables. La loyauté... C'est beau et chevaleresque... Mais tellement désuet. Et frustrant surtout.
J'avoue que ce jour là, seuls dans ton appart... Je me suis fait violence comme jamais pour ne rien tenter. Par respect pour toi, parce que je sais que tu préfères nier tes envies et tes sentiments. Mais je les vois sur ton visage. Je les entends dans ta voix. Et je les ai vu transparaître ce jour là. Je savais que j'aurais pu essayer mais je ne voulais pas que tu me repousses comme il y a 10 ans... Je ne l'aurais pas supporté, pas en ce moment.
J'avoue... Tu voudrais mais tu ne veux pas. Ça commence à me gonfler... Mais pourtant je continue chaque soir à penser à toi.
Malgré cette éternelle alternance de chaud et froid, je continues à avoir envie de toi. Ça m'énerve pourtant. En ce moment tu es dans le froid, tu ne m'écris presque plus. Et je suis un peu fâchée de ton attitude si changeante. Alors chaque jour je lutte pour ne rien T'écrire, pour ne pas être celle qui fait le premier pas encore... Mais... J'avoue... Tu me manques de ouf.
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Ololot, 38 ans, Québec
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J'avoue, je me suis pogné un petit drone. Je l’ai testé. Je l’ai pété. Je l’ai réparé. Je l’ai ré-essayé. Tout était fantastique.
Il a volé, volé haut. Pis je l’ai perdu. J'avoue.
Un 20 minutes magique. Une excellente dépense.
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Taaliyah, 20 ans, Montpellier
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Cela fais plus d’un an que je ne suis plus avec mon ex Nathan... Il s’est mis en couple avec une amie que l’on avais en commun, depuis je ne me suis pas remise je l’aime toujours et je me voile la face. J’arrive pas a m’en défaire. Cependant j’ai rencontré une personne entre temps, mais peu à peu s’est créee une dépendance affective. Je me sens mal je ne sais plus quoi faire.
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Accro, 28 ans, Paris
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J'avoue que je prends mon pied uniquement quand le sexe est sale et que le langage est fleuri. J'avoue adorer me sentir soumise et contrôlée. J'avoue fantasmer sur mes collègues de travail, même plusieurs années après. Hicham, tu ne liras jamais cet aveu, mais sache que je m'imagine dans ton lit chaque nuit.
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Mauricienne, 27 ans, Paris
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J'avoue que j'ai trompé mon copain lors d'un séjour à l'étranger il y a plusieurs années. J'avoue qu'il m'avait délaissé depuis plusieurs mois et que je ne me sens pas coupable. J'avoue qu'il n'en sait toujours rien et que je ne compte jamais lui dire. J'avoue que mon amant, bien que peu expérimenté, avait des doigts de fée et savait s'y prendre et me prendre. J'avoue qu'il m'a fait jouir avec sa langue comme jamais et que j'y repense souvent encore aujourd'hui.
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Lisa, 38 ans, Paris
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J'avoue que je suis profondément triste. Triste et en colère contre tout. Je me sens seule et incomprise. Parfois j'ai l'impression d'avoir perdu mon temps, d'avoir gâché ma vie. J'aimerais parfois pouvoir remonter le temps et ressentir à nouveau la joie de vivre. Retrouver ce sourire. Je ne sais même pas comment j'ai pu le perdre d'ailleurs.
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L., 23 ans, Mons
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J'ai l'impression que rien ne va dans ma vie en ce moment. Je suis en très grande partie au chômage à cause du covid. Suite à ça (mais pas que), tout mes proches veulent que je trouve un travail ailleurs. Mes recherches n'étant pas très fructueuses, mon copain (et d'autres proches je pense également) doute que je cherche réellement un autre job... Cela me décourage parfois dans mes recherches et me fait sentir mal à l'aise, car c'est vrai que je pourrais postuler plus mais je ne le fais pas. Pendant tout ce temps libre, je culpabilise de ne pas travailler ou de vouloir faire des choses qui me font envie. Ca me donne aussi beaucoup trop de temps pour réfléchir. Réfléchir à des choses qui me font douter. Est-ce que c'est normal que mon copain et moi n'avons pas beaucoup de conversation ? Pourquoi on ne s'appelle pas quand on n'est pas ensemble pendant plusieurs jours ? J'ai l'impression qu'on n'a pas grand chose à se dire. Est-ce que c'est normal que j'aille beaucoup plus souvent chez lui que l'inverse ? Est-ce que c'est une bonne idée d'acheter une maison ensemble directement ? Est-ce que notre relation fonctionnera quand on habitera ensemble ? Est-ce que je serai heureuse, est-ce qu'il me laissera faire des choses qui me font envie (partir en vacances, faire des activités, sortir...) ? Est-il seulement attentionné quand il veut faire l'amour ? Y a-t-il quelqu'un à qui je peux/veux me confier ? J'ai donc beaucoup de craintes en ce moment, et je me rends compte qu'une grande partie de mes craintes concerne mon copain ... Je l'aime, je ne veux pas le quitter mais j'ai l'impression qu'on est tellement différents. Peut-on vivre ensemble en étant si différents, en ayant des centres d'intérêts si éloignés ? Puis-je vivre en me posant tant de questions ?
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Nachila, 22 ans, Lyon
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J'avoue qu'il y a des jours où j'en ai marre de toutes ces obligations du quotidien. Aller en cours pour un diplôme qui n'a plus aucun sens, pour prolonger la souffrance dans des études supérieures qui ne me mèneront à rien, ah si perdre mon temps à me casser la tête, m'abîmer les yeux à lire des niaiseries. J'avoue qu'il y a des jours où j'ai même plus l'envie d'écouter ma playliste et mes chansons favorites, comme un ras-le-bol de tout ! Rien à foutre de vos réseaux sociaux, de vos faceboucs à la con, de vos snap débiles, de votre twitter ramassis de haine, de vos selfies puérils sur instagram. Pas que ça à foutre que de rester la journée devant mon pc pour écouter une chargée de TD lire ses foutues notes, qui nous demande d'allumer la webcam pour vérifier qu'on est bien en train de l'écouter. J'avoue que je m'en fous de toutes vos revendications, de vos faux combats, de vos illusions vaines, de vos personnalités égo centrées, jalouses, méchantes et mauvaises. J'ai juste envie qu'on me foute la paix, laissez-moi respirer.
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Laura97, 23 ans, Latour Bas Elne
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J'avoue que depuis que j'ai eu mon diplôme et fais quelques expériences professionnelles autour de cela, je cherche du travail mais je reçois beaucoup de refus ou aucune réponse. Je ne sais plus quoi faire et à cause du fait que je ne trouve pas travail, on me critique sans arrêt.
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Pomme BB, 33 ans, Paris
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J'avoue que je me suis sentie grande le jour où je suis entrée à la fac. J'avoue que je me suis sentie adulte le jour où j'ai reçu ma première vraie fiche de paie. J'avoue que je me suis sentie MILF la première fois qu'on m'a appelée madame. J'avoue, je me suis sentie réellement trentenaire quand j'ai du commencer à porter des lunettes. Mais putain j'avoue que je me suis jamais sentie aussi vieille que quand un mec de 20 ans m'a dit que mon ordi acheté en 2013 était "Trop vintage" pour le réparer.
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Pasdenom, 18 ans, Lyon
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J'ai pas d'amie, j'ai aucune vie sociale chaque jours je me lève j'ai 0 notification j'ai l'impression d'être un fantôme et d'avoir aucune importance; j'en rigole j'en fais des blagues à ma sœur 'j'ai pas d'amis hahaha trop drôle" alors qu'en vrai je m'y fais pas. Même avec mes cousines je n'arrive pas à rester en contact ! Le problème viendrais de moi ?
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Zaza, 35 ans, Saguenay
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Les hommes de mon coin de pays ne me plaisent pas. Je les trouve polissons et étroits d’esprit, et c’est sans mentionner le look en vogue par ici, celui de bûcheron-gueule-de-bois qui n’attache pas ses bottes, les checeux sales et qui fume clope sur clope. Enfin. Bref à mon âge les meilleurs sont déjà pris depuis longtemps, et je n’ai plus exactement ce qu’il faut pour rivaliser avec les jeunes femmes de 20 ans. Bref, je n’ai jamais eu assez confiance en moi pour mettre le grappin sur un homme bien et savoir le garder... en effet mes quelques relations n’ont duré que 6 mois et moins. Bref le célibat m’a emmené à voyager autour du monde, et c’est lors d’un voyage en Thaïlande que j’ai rencontré ce type, un Néerlandais assez mignon et plus gentil avec moi que n’importe quel homme que j’aie pu rencontrer avant. C’était en 2014. J’ai repris contact avec lui récemment, et après la COVID-19, quand ce sera possible, je veux aller le voir et essayer de comprendre ce qu’est l’amour. J'avoue, en ces temps solitaires je me donne le droit de rêver.
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Kerlane, 31 ans, Paris
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Dois-je avouer mes péchés de ces quatre dernières années ? Oui, quatre longues années sans confesser... C'est con, fessées. Rien n'est impossible finalement. Séparée de l'homme avec qui j'avais acheté une belle et grande maison, puis séparée de celui avec qui je l'ai trompé. J'ai décidé de prendre du temps pour moi et de revoir ma philosophie de vie. Ah ! Cette philosophie... Celle où je donnais des conseils il y a quelques années, ici "si vous voulez tromper, quittez, ça sera mieux". Bla bla bla.
Parce qu'au final, qui est devenue maîtresse, amante ? Qui a décidé de ne fréquenter que des hommes déjà pris, pour ne prendre aucun risque d'attachement ? Ah! Les conseils...
Guillaume, tu as compté plus que les autres. Quand tu as quitté ta copine, après des mois d'adultère avec moi, j'ai pris la fuite, avec un autre. J'ai pris peur, peut-être. Qu'aurais-je pu attendre d'un homme infidèle ?
Et pourtant, il a suffit que nos chemins se recroisent un an après, pour succomber de nouveau au plaisir de ta chair...
Des remords ? Aucun. Des regrets ? Encore moins. Tu t'es remis avec elle, après ma fuite. Que pourrais-je attendre d'un homme qui se contente d'être avec quelqu'un de peur d'être seul ? Rien. Tu n'es pas assez fort pour moi. J'aurai aimé que ça marche nous deux, mais tu n'es pas celui que j'aurai voulu. Je continuerai à prendre de toi le meilleur. Les orgasmes.
Mon homme comble parfaitement le reste.
J'avoue, Alexis, tu as bien fait de ne plus m'attendre. Ce n'était que des prétextes. En réalité, ce qui me plaisait chez toi, c'était de voir comme je te plaisais. Tu ne m'intéresses pas. Ne quitte pas ta copine pour moi, tu le regretterai.
Ludo, tu es le pire coup de ma vie. Je fantasmais pourtant sur toi depuis des années. Quelle déception !
Gui, c'était cool entre nous. Enfantin, sans avenir, mais tu m'as redonné foi en l'amour. Merci.
J'avoue, j'aime la personne que je suis devenue, même si la moi d'il y a dix ans aurait détesté. Je ne suis pas parfaite, mais je fais de mon mieux.
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Olive, 25 ans, Dijon
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Voilà, j'ai 25 ans, je suis mariée et j'aimerai parler de mes relations amoureuses.
J'avoue que j'ai rencontré mon mari sur internet il y a 5 ans, je me suis sentie très rapidement en confiance avec lui et éperdument amoureuse, qu'à chaque fois qu'on devait se quitter, j'avais l'impression de perdre une partie de moi, et ça me rendait malheureuse. Mais à cette époque, nous ne faisions pas nos études dans la même ville et c'était compliqué d'être ensemble. J'ai gardé une bonne relation avec mon ex, et ils nous arrivait de nous parler de temps en temps et de nous taquiner par message. Avec mon mari nous nous sommes installés ensemble il y a 2 ans, nous n'étions pas encore marié. Son travail l'obligeait à partir la semaine et je me retrouvais donc seule, et le weekend il jouait souvent aux jeux vidéos pour se détendre et quelques fois ça m'énervait énormément. À ce moment là, j'ai commencé à aller chez mon ex, pas souvent une fois tous les deux mois, on passait la nuit ensemble, juste à regarder un film et à dormir, rien de bien méchant, je me sentais pas coupable parce que ça me faisait du bien d'être avec quelqu'un qui était là.
J'avoue que les sentiments sont revenus (pour moi en tout cas) et un jour, on n'a fait plus que dormir. Mais là encore, je ne me suis pas sentie coupable, même si j'avais trompé l'homme que j'allais épouser et que j'aime malgré tout. Je me suis donc mariée et j'ai aussi continué à voir mon ex.
J'aimais passer du temps avec lui et j'aime aussi mon mari. J'ai des fois eu envie de tout lui avouer mais j'ai pas envie de lui faire de la peine ou qu'il décide de me quitter alors que je l'aime tant pourtant. Mon ex a décidé qu'il fallait qu'on arrête de se voir parce que c'était mal et depuis je me dis que c'est une bonne chose, que j'aurai dû prendre cette décision avant mais je me sens malheureuse. Parce qu'en réalité je les aime tous les deux et ça me rend triste et déprimée de ne pas les avoir tous les deux. Merci d'avoir pris la peine de lire mon aveu, ça m'a fait du bien de pouvoir me confier.
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Menteur, 22 ans, Toulouse
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J'avoue que depuis que je suis petit, j'ai tendance à mentir régulièrement à pas mal de personnes. Pour me valoriser, pour montrer une facette de moi que j'aimerai avoir (alors que nan). J'essaye de le faire de moins en moins mais j'avoue que je le fais parfois sans m'en rendre compte, comme une habitude et ça me pose beaucoup de problèmes. J'en suis arrivé à un stade où parfois, j'ai moi-même du mal à distinguer mes mensonges de la réalité et je me retrouve acculé.
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Varon, 22 ans, Paris
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J'avoue que j'ai tendance à être excessif dans ma prise de décision quand il s'agit de mes relations avec les gens. Quand je me dévoile à une personne (partage de crainte, d'envie) et que cette dernière me déçois, j'ai tendance à l'éjecter de ma vie sans aucun retour possible. Cela ne s'arrête pas qu'à mes amis, récemment, après plus de deux ans de silence radio avec mon père, j'ai décidé de lui envoyer un message lui expliquant clairement ce que je lui reprochais et que je ne voulais plus qu'il intervienne dans ma vie. Je n'ai aucun regret sur cette décision, mais forcer de constater que c'est loin d'être la première fois que ça m'arrive. Mon meilleur ami depuis que j'étais enfant, des amis très proches de lycée, de bons amis en études supérieures... Je pense que je dois être beaucoup trop exigent avec mes proches et j'ai peur qu'avec ce trop plein d'exigence, je finisse par me retrouver tout seul...
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World, 25 ans, Paris
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J’avoue, je pense encore à toi. J’avoue, je suis qu’une idiote. J’ai besoin de parler à quelqu’un mais personne ne peut entendre ce que j’ai à dire et avoir un avis objectif. Personne ne comprendrait. J’avoue, il est bientôt 5h du matin et je pense à toi. À toi qui est connecté. J’avoue, je suis triste et blessée qu’on ne se souhaite plus joyeux noël ou bon anniversaire. J’avoue, tes conversations me manquent. Ta gentillesse, ta compréhension, ton humour... Tu me manques. Je tiens à toi. Ou peut-être bien que je tiens au souvenir que j’ai de toi. On ne se connaît plus toi et moi. On ne s’est pas parlé depuis si longtemps, on ne se connaît plus vraiment.
J’avoue. Je crois que je m’en souviendrais toute ma vie. Et j’avoue que je m’en voudrais toute ma vie d’avoir laissé ma chance.
J’avoue que je pense à toi régulièrement. J’avoue me détester pour avoir effacer nos messages, moi qui suis si attachés à ça. J’avoue, tu me manques putain. Et j’ai pas le courage de te reparler. Je voudrais pas que tu penses que c’est de la manipulation. Je voudrais pas retomber amoureuse de toi...
Je suis pas dans la merde... je n’ai pas de nouvelles mais je me fais des films, je veux te parler mais je suis qu’une flippette. Et je suis égoïste.
J’avoue il est maintenant 5h pile du matin. Si un bouton OFF existait pour arrêter de penser. Je l’aurai utilisé depuis le début. Dès que je t’ai rencontré. Tu m’a foutu le cerveau en l’air sans même le savoir. T’as changé ma vie d’une manière tellement différente que toutes les autres personnes que j’ai rencontré. Je ne pourrais jamais t’oublier, toi, ta rencontre, nos conversations.
J’avoue, ça fait du bien de l’écrire et de l’envoyer anonymement. J’avoue que je préférerais te l’envoyer sur un coup de tête, « comme ça c’est fait ». J’avoue que c’est une très mauvaise idée x). Bonne nuit.
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Harling, 20 ans, Nantes
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J'avoue que mon copain passe me voir deux fois par semaines malgré le confinement, ce qui me fait énormément plaisir et nous fait du bien à tous les deux. Mais depuis une semaine j'ai cette impression qu'il y a quelque que chose qui va pas. Je sais pas d'où ça vient. Et le soir depuis une semaine, il ne me répond plus d'un coup,et j'ai l'impression qu'il est un peu plus distant, enfin qu'il y a un truc. J'ai aussi cette sensation quand on se voit alors qu'il est comme d'habitude. J'ai essayé d'enlever cette sensation. Je lui en ai parlé et il m'a rassuré en me disant que le soir il était fatigué à cause du boulot, que c'est normal que je m'inquiète et que en aucun cas ça le dérange qu'on se parle le soir. Je peux pas m'empêcher d'avoir peur qu'il parte. Je sais pas si c'est amplifié par le confinement et mon imagination, ou si il y a vraiment quelque chose. Vous en pensez quoi ?
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Vlad, 42 ans, Nantes
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J'avoue que je suis marié mais que depuis 2,5 ans nous ne faisons rien, nous sommes tout juste des amis, des colocataires. J'avoue que j'ai rencontré une femme sur un forum sans arrière pensée. J'avoue qu'au fil des discussions on s'est attaché l'un à l'autre. J'avoue que maintenant on est amoureux l'un de l'autre. J'avoue qu'on s'est vu quelques fois, la première fois il y a qu'un échange de baisers. J'avoue avoir adoré garder ton odeur sur moi. J'avoue qu'on s'est revu après et qu'on fait des câlins pas sage comme tu dis, j'ai adoré bien plus que je ne l'aurais cru. J'avoue que je veux passer ma vie avec toi, que tu es la femme de ma vie. J'avoue que je vais devoir divorcer et que je vais faire cette annonce dans les prochaines semaines.
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Joey, 37 ans, Castres
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J'avoue être en couple depuis 3 ans et l'aimer très fort. Mais j'avoue ne plus le supporter. Son addiction à l'alcool et son comportement qui s'ensuit. J'avoue être malheureuse, je ne le comprends pas et il ne me comprend pas non plus. Il ne vit que pour l'alcool et ses copains et moi je donne tout ce que j'ai. Je suis fatiguée de tout ça, de lui et de la vie... J'avoue que je n'en peux plus et que je suis à bout, quel égoïste.
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Swag, 39 ans, Biarritz
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J'avoue, on a couché ensemble... C'était juste comme je me l'étais imaginé depuis plus de 3 ans que j'y pensais.
J'avoue, je savais qu'on allait prendre un pied d'enfer parce qu'on s'était juste embrassé, deux fois, à plusieurs années d'intervalle. Je suis en couple et mariée pourtant et je l'aime. Toi t'es célib mais t'as eu des histoires, ta dernière en date est foireuse, elle est en couple aussi. Elle depuis 7 ans, moi depuis presque 10 ans.
J'avoue qu'avec toi, je ne sais pas pourquoi mais tu m'a toujours attiré de folie, on est passés à côté d'une histoire, même si tu es plus jeune et que t'as pas les mêmes visions des choses que moi.. Je savais que sexuellement ça matcherait et je me suis pas trompée. C'était pas romantique pourtant...
Pas même un lit mais dans un bureau, le tien, sur une chaise pas très confortable ! Tu m'as fais jouir comme jamais, tu m'as fais des choses qu'on ne m'a plus faites depuis longtemps, je me suis sentie exister et ça m'a fait du bien.
J'avoue que tu m'as retournée le cerveau et le cœur et le pire, c'est que je ne culpabilise pas du tout ! Pire je ne pense qu'à la prochaine fois, si elle a lieu car avec nos emplois du temps et nos vies de tous les jours c'est bien compliqué. Je t'ai proposé un hôtel un après midi, tu n'as pas dis non, tu as même cherché comme moi sur le net ! C'est bien que ça te séduis. Je veux que tu ai à nouveau envie de moi, que tu oses m'envoyer le même message que la première fois... Tu m'as ensorcelé, putain...
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Z35, 31 ans, Rennes
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J'avoue que j'en peux plus de mon travail et je me suis tellement plains auprès de tout le monde depuis des mois que que ça y est : je suis la relou qui parle tout le temps de son travail et en mal. Du coup, je n'ose plus me confier. Ce soir, je viens de me retrouver bloquée à l'instant à pas savoir vers qui me tourner pour me plaindre, pas me confier mais me plaindre ! De tous ces clients relous et neuneus qui ne comprennent rien et que j'ai envie de buter sur place tout en gardant un beau sourire de façade, je vois la psy lundi mais c'est trop loin, besoin de me défouler ici maintenant tout de suite.
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