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Moi7185, 22 ans, Paris
J'avoue qu'être demandeur d'emploi me saoule.
J'avoue qu'en même temps j'ai du mal à faire des recherches car je ne me sens pas prête à rentrer dans le monde du travail.
J'avoue que j'ai eu un entretien qui s'est plutôt bien passé et que malheureusement c'est une mutation qui a été prise.
J'avoue que j'en ai un autre le semaine prochaine et que j'ai peur, peur d'être prise et de décevoir après.
J'avoue que côté amour ce n'est pas glorieux non plus.
J'avoue que je m'imagine des choses qui sont totalement fausses mais que je veux y croire quand même.
J'avoue que ne pas encore avoir eu d'amoureux me pose question. Est-ce moi ou eux ? En même temps vu ma tête ça doit être moi !
J'avoue que j'aimerais partir, voyager aller à la rencontre des gens mais que je n'ai pas de sous pour le faire. J'avoue que je rêve de le faire avec un homme qui sera amoureux de moi et dont je serais amoureuse.
J'avoue que des fois je me demande vraiment pourquoi je suis faite et que je n'ai aucunement confiance en moi ce qui me bloque dans tout ce que j'entreprends.
J'avoue que j'aimerais avoir des réponses à toutes mes questions.
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Marie, 18 ans, Paris
Je vais avouer des tas de choses. Vu que je ne peux le dire à personne je vais le faire ici face à des personnes inconnues qui ne me jugeront pas.
En toute modestie, je suis une fille jolie, drôle et intelligente.
Je suis généreuse, chaleureuse, toujours à l'écoute des autres bien que personne ne le soit pour moi. Mes parents me disent que je suis une fille extraordinaire.
Contrairement à mes amies, à mes copines, je n'ai pas pour but de me balader en exhibant mon dernier sac Chanel ou Louis Vuitton. Je ne pose pas sur facebook avec des tonnes de maquillage. Je ne sors pas avec des gars pour leur argent. Je suis une fille bien. Certes j'ai des tas de défauts mais je suis une fille qui mérite de trouver l'amour. Je suis tellement attentionnée envers les gens.

Mais je vis dans un milieu où les filles défilent avec leurs sacs griffés, avec leur panoplie de bijoux. Un monde où les gens vont en croisière pendant les vacances de décembre, un monde où seuls deux choses comptent : beauté et richesse. Et moi j'ai du mal à trouver ma place !
Quand je les vois s'amuser, s'aimer je suis un peu jalouse. Parce que moi aussi j'aimerais que quelqu'un m'aime. Je ne veux plus avoir de blocage lorsqu'un garçon me parle ou me touche. Je veux être moins timide, enlever cette réputation de fille sage mignonne. Je veux que les garçons me regardent comme une jeune femme.
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Oneandonly, 26 ans, Paris
J'avoue que tu me manques, je pensais que non, mais finalement si, tu me manques.
J'avoue penser depuis le début que tu es ma destiné, je ne sais pas pourquoi mais je le sens, c'est toi, c'est comme ça.
Pourtant les évènements me demandent de te tourner le dos et de courir le plus loin possible de toi, ce que j'ai fait.
J'avoue faire confiance aux forces autour de nous pour la suite de l'histoire.
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L, 21 ans, Mulhouse
J'avoue que je ne sais plus si tu m'aimes encore ou non et j'avoue que ça me fait peur.
J'avoue que je réagis un peu trop excessivement au lapin que tu m'a posé mais tu ne sais pas à quel point tu m'as blessé.
J'avoue que de t'entendre dire que tu préférais voir tes amis et que de toute façon on s’était vus tout le temps pendant 4 mois alors il fallait faire une pause, ça m'a fait l'effet d'une gifle.
J'avoue que passer tout notre temps ensemble m'étouffe aussi mais je pends sur moi.
J'avoue que j'en ai marre de ce stage où je m'ennuie et où tout bas de l'aile entre nous.
J'avoue qu'on savait tous les deux que ce serait dur et j'avoue que je pensais que si on survivait à ça on survivrait à tout, et là je t'avoue que je ne sais pas trop si on survit ou non.
J'avoue que je t'aime comme au premier jour mais que tout à changé.
J'avoue que ça me soule de me dire que tu m'es essentiel alors que je ne te le suis pas.
Je t'avoue malgré tout que je sais que tu m'aime et je sais que tu ne voulais pas me blesser (enfin je l'espère).
J’espère que la fin du stage marquera aussi la fin de cette période de questionnement, et que nous serons heureux après.
Je t'avoue que j'attends toujours que tu me demande de me fiancer avec toi !
Je t'avoue que ma vie ne serait pas pareil sans toi, mieux ou pas je m'en fous, et que malgré les disputes je ne changerais ça pour rien au monde.
J'avoue que je t'aime mon cochon méchant et que vivement que tout reviennes à la normale.
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V., 37 ans, Genève
J’avoue qu’il y a quelques années j’ai eu une aventure avec une collègue (mariée, comme moi). En réalité, ça a été le moment le plus difficile de ma vie. J’ai flirté avec cette collègue, sans intention plus poussée. On s’entendait bien, on rigolait bien. Puis un soir, elle me fait part de ses sentiments pour moi. Sans pourtant avoir rien calculé, je lui dis que j’éprouve les mêmes sentiments. C’est très étrange, car une fois l’avoir entendue me déclarer son « amour » c’était foutu. Je ne pouvais me défaire de cette relation. J’ai compris plus tard à quel point j’avais un besoin immense de ce regard qu’elle posait sur moi. Et sans doute avait-elle un besoin que cette relation comblait.

Mais ce n’était pas de l’amour. Et s’il y avait bien du désir, je ne pense pas que c’était ce qui nous poussait l’un vers l’autre. Non, c’est ce manque terrible que je porte en moi et que cette liaison me donnait l’illusion de combler qui me rendait complètement dépendant à cette liaison.

Mais j’avais conscience que cela ne menait strictement à rien. Alors j’ai résisté … tout en succombant. J’ai refusé, puis je l’ai embrassé. J’ai voulu tout arrêter, puis je l’ai reprise dans mes bras. Et finalement nous avons fait l’amour. Sauvagement, avec quelque chose de triste, de désespéré. Une seule fois.

Finalement, dans des circonstances horribles, sous la menace, j’ai fini par quitter mon job et cette relation. Je me suis retrouvé face à moi-même, à cette souffrance qui m’avait rendu si dépendant à elle, à nous. L’ivresse m’avait quitté et je restais avec ma culpabilité, ma souffrance et une estime de moi plus détruite que jamais.

Aujourd’hui, je comprends mieux ce qui s’est passé. Je ne pense plus en termes de faute, de culpabilité, de qui est le salaud. Je pense en termes de responsabilité et de futur. J’essaie de vivre avec cette souffrance qui m’a amené là.

J’avoue que ça va mieux, que je vois clair en ce qui concerne ma responsabilité et la sienne. Que contrairement à ce que veulent croire les bien-pensants, ceux qui se croient les détenteurs de la morale vraie et qui se sont fait un plaisir de m’accuser, il n’est pas de bourreau et de victime. Il n’y a que de la souffrance.

J’avoue qu’à ceux qui vivent cette souffrance d’être « un salaud », je n’aurai qu’un conseil : ne cherchez d’explication, de solution, de chemin qu’en vous-même. N’accusez rien ni personne : demandez vous où vous en êtes, pourquoi, et comment sortir du bourbier.
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Capucine, 16 ans, Paris
J'avoue que j'ai une petite envie d'étrangler toute les personnes de sexes féminin qui s'approcheraient de lui.
J'avoue qu'il ne me remarque pas.
J'avoue que j'ai l'impression qu'il fais tout pour me rendre jalouse.
J'avoue que je ne peux malheureusement pas changer mes sentiments pour lui.
J'avoue qu'il joue avec moi mais que je déteste ce jeu.
J'avoue que je m'en fiche et que je continuerais à le coller.
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Irène, 30 ans, Paris
J'avoue que l'année 2012 n'a pas l'air de trop changer par rapport à 2011.
J'avoue que ma désorganisation est toujours reine dans mon quotidien.
Je perds du temps devant la télé, j'oublie mon café, je l'avale froid en deux gorgées, je me coltine toujours la ligne 13 de bon matin avec le pogo habituel.
J'avoue que je rouspète toujours auprès des invalides qui ne savent pas serrer leur droite dans les tapis roulants et escalators.
Maintenant que j'ai bu du café, j'ai tout le temps envie d'aller pisser et que je n'arrive pas à travailler.
J'avoue que ça fait du bien d'avouer !
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Noiram, 29 ans, Grenoble
J'avoue j'aime le sexe avec toi.
J'avoue que nous prenons du bon temps.
J'avoue que j'aimerais être la seule.
J'avoue que tes "je t'aime" me manquent et que le sexe, c'est bien, mais ton amour, c'est mieux !!!
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Tête de chips, 42 ans, Paris
J'avoue que je ne pensais pas en te rencontrant que tu allais m'attraper dans tes filets.
Je pensais être vacciné de tous ces rêves et chimères.
Et me voilà coincé entre toi et mes désirs de liberté.
Je me vois de nouveau avec un avenir familial, des enfants, une bombasse à mes côtés.

J'avoue c'est une guerre nucléaire dans ma tête.
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Nahty, 19 ans, Genève
J'avoue que je t'aimais comme une dingue.
J'avoue que je t'avais dans la peau, que je ne me sentais bien qu'avec toi.
J'avoue que j'aurai eu envie, parfois, de t'enfermer pour ne te garder qu'avec toi.
J'avoue que tu m'as fait mal. Horriblement. Incroyablement mal, en me quittant.
J'avoue que la douleur a été dix fois pire, en t'entendant dire que tu en aimais une autre.
J'avoue que la douleur a été encore pire... en apprenant qu'il s'agissait d'une amie.
J'avoue qu'aujourd'hui, j'espère de toute mes forces que ça ne marchera pas, même si ça doit te faire horriblement mal.
J'avoue que j'ai envie que tu souffres. Autant que j'ai souffert moi.

J'avoue, surtout, que je veux t'oublier maintenant. Et que j'en suis incapable.
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Looping, 54 ans, Vern d'Anjou
J'avoue que je suis boulanger.
J'avoue que j'ai fait l'amour à ma patronne sur des sacs de farine.
J'avoue que c'était très bon.
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Hybiscus, 25 ans, Nantes
J'avoue que c'est le monde à l'envers, mes trois amants m'ont souhaité un bon réveillon et une bonne année... et pas de nouvelles de mon copain.
J'avoue que je me demande sérieusement, si 2012 ne sera pas l'année d'un grand changement pour moi.
J'avoue que j'ai presque envie qu'il soit allé voir ailleurs, hier soir...
Peut-être qu'il se sentirait mieux avec elle,
et peut-être que je me sentirais mieux sans lui.
Mais pourtant,
j'avoue que je l'aime.
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Agathe_the_blues, 40 ans, Paris
J'avoue que j'ai peur de cette nouvelle qui commence car j'étais bien en 2011.
J'avais un boulot, un copain, des ami(e)s.
Mon copain m'a largué, je me suis disputée avec plusieurs de mes ami(e)s, et dans un mois je me retrouve chômeuse.
2012 année du blues ? Pour moi oui, c'est certain.
J'avoue que j'en ai marre et que j'ai peur.
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Mikika, 31 ans, Asnières
J'avoue, mon mari et moi, nous nous disputons pour des conneries de rien du tout et ensuite ça part en crise sévère... Au point où ça devient invivable au quotidien. Dans ces moments je me dis je le laisse tomber définitivement, je sais plus quoi faire...
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Elea, 24 ans, Strasbourg
J'avoue que je ne comprends pas le raisonnement humain qui pousse à faire, dire des choses sans les penser.
J'ai aimé, entièrement, indéfiniment, avec une détermination comme jamais. J'ai donné des choses que je gardais pour moi jusqu'à présent, j'ai offert cette constance qui me faisait dire que les choses étaient belles, des sourires, parfois forcés, mais toujours dans le but de donner le plus beau de mon être.
J'ai observé, étudié, crié, jouis, chanté, dansé, rassuré, réconforté, aimé. J'avoue qu'ils m'ont toujours tout renvoyé en pleine gueule, et maintenant, comme par protection, je ne ressens plus rien pour les personnes autour de moi.
Juste des mots décousus et de la musique, des nuits à regarder cette putain de lune qui me colle à la peau, à conter la vie à des protagonistes imaginaires, à scruter le prochain événement qui me maintiendra réellement en vie, et j'avoue que quelque part ces choses dans lesquelles je me réfugie sont sûres, et elles me le rendent bien, m'offrant beaucoup plus que tout ce qu'ils m'ont donnés jusqu'à présent.
Je n'attendrai plus derrière la fenêtre, à observer les voitures, les passants, à essayer de percevoir un murmure derrière la porte d'entrée. Je sais que ça arrivera, forcément, à un moment donné, et ce jour là sera certainement parfait. Mais j'avoue que pour l'instant, malgré la monotonie, je tente de trouver un équilibre dans la contradiction des petits matins, à force, je finirai par me persuader de la chaleur des draps et de l'espoir offert à la place éperdument vide à côté de moi.
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Shang, 22 ans, Toulouse
J'avoue que quand j'entendais "l'amour arrive quand on s'y attends le moins", j'étais assez sceptique.
J'avoue que quand je t'ai rencontré, pas une seconde je n'ai imaginé que tu deviendrais si spécial à mes yeux.
J'avoue que je ne te l'ai pas vraiment dit, et que je ne le ferai jamais.
J'avoue que j'étais contre l'idée qu'une femme puisse s'éprendre d'un homme marié, père de famille. Complètement contre.
Et pourtant, j'avoue que malgré moi j'ai espéré te plaire. Malgré moi je t'ai aimé.
J'avoue que j'ai peut-être interprété certains de tes gestes, certaines de tes paroles.
Mais j'avoue que d'autres étaient explicites.
J'avoue qu'à certains moments, il me semble qu'on a été heureux. Pour de vrai.
J'avoue que j'ai imaginé celle qui partageait ta vie en grande déesse, si éblouissante que tu ne te résoudrais jamais à la quitter.
J'avoue que je le savais depuis le départ.
J'avoue que je t'en ai vraiment voulu d'avoir laissé grandir cet espoir. Je t'en ai voulu d'avoir été si attirant. Je t'en ai voulu de m'avoir finalement donné cette impression de ne pas être aimable.
Et j'avoue que je me suis reproché de ne pas avoir été assez forte pour m'épargner cette tristesse.
Mais une fois celle-ci passée, j'avoue que ça fait du bien d'aimer.
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Moi, 16 ans, Paris
J'avoue que j'adore couper du scotch avec lui.
J'avoue que je l'ai fais rien que pour être avec lui.
J'avoue que je sais qu'il se reconnaitra.
J'avoue que je trouve que c'est bien qu'il le sache !
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Parait-il..., 19 ans, Paris
2012. J'avoue que l'heure est au bilan... J'avoue que 2011 aura était l'année la plus intense de ma vie, je suis tombée amoureuse, j'ai connu la véritable déception, le véritable sens de l'amitié, je me suis vu mûrir de jour en jour, je me suis surprise à penser au futur, ce qui ne m'étais jamais arrivé... Je pense avoir fais un grand pas dans ma vie. Et même si cette année ne fut pas toute rose, j'avoue que je ne l'oublierais jamais.

J'avoue aussi que souhaite à tous les lecteurs de Javoue.com mes meilleurs vœux pour cette nouvelle année 2012.
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Alice, 21 ans, Toulouse
Maman,
J'avoue que je ne voulais pas te choquer, ou te mettre mal à l'aise, ou n'importe quoi de négatif en rentrant en uniforme. Enfin, si, mais non. Je fais ce que j'aime, et je suis fière de mon béret rouge.
J'avoue que je voulais juste te montrer à quel point je me sentais bien dans mon treillis, à quel point ce que je fais me plaît, à quel point je suis heureuse en faisant ça.
J'avoue que je voulais juste que tu sois fière de moi, et que tu veuilles prendre une photo avec ta grande fille en uniforme, comme tout le monde dans ma section.
J'avoue que je suis un peu jalouse de mes camarades dont les mamans admirent les treillis encore craquants de nouveauté et des photos prises devant le mur de la cuisine.
J'avoue que tu m'as déçue.
J'avoue que je t'en veux, et que désormais, je rentrerai chaque fois en uniforme, béret sur la tête, rien que pour t'emmerder.
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Pandoq, 24 ans, Nanterre
J'avoue que quand on prend le bus un peu trop souvent, comme moi !
On se rend compte rapidement que les gens sont sales, irrespectueux et ont des goûts de chiottes !
Oui j'avoue qu'il suffit d'écouter les différentes sonneries de téléphone que certains osent utiliser ! Quelle honte !
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Une autre, 30 ans, Rennes
J'avoue ça s'est succédé à toute allure.
J'avoue qu'on a continué à échanger par sms et que ça devenait chaud. J'avoue qu'il a commencé à être question de réel et que c'était pas du délicat...
J'avoue que le soir du réveillon tu as été bluffé de découvrir que je portais un porte jarretelles et des bas.
J'avoue qu'à un moment on a échangé par message, je te disais que je ne voulais pas la charité, tu m'as répondu d'attendre qu'on soit seuls et que je verrais que c'était pas de la charité.
J'avoue que j'étais allongée sur le lit à coté de ta "nana" (ton plan cul devrais je dire) et que tu es venu me parler et que tes mains se sont promenées et que j'ai adoré.
J'avoue que plus tard à table je t'ai fait du pied et que ça t'a fait tripper et moi aussi.
J'avoue que quand elle s'est endormie pour de bon et mon mari faisant de même dans le salon on s'est retrouvés seuls, à papoter, comme deux cons et que ça a dérapé très vite.
J'avoue que tu m'as entrainée dans la salle de bains en me prenant par la main et que c'était le geste le plus érotique que j'ai vu !
J'avoue qu'on s'est enfermés dans la salle de bains et que je t'ai embrassé, tu as défait ton pantalon et tu as posé ta main sur mon épaule, j'avoue que tu n'as pas eu à insister pour que je me mette à genoux et que je te prenne dans ma bouche.
J'avoue que je suis fière que mes talents t'aient plu car tu as joui rapidement toi qui est plutôt endurant en temps ordinaire.
J'avoue que j'ai adoré et que toi aussi et qu'on en a reparlé.
J'avoue que ce soir par sms on a évoqué ce qu'on voulait l'un de l'autre, ce qu'on attendait ou pas, ce qu'on cherchait.
J'avoue qu'on est officiellement amants désormais, et que notre mot d'ordre c'est carpe diem. J'avoue on est aussi obsédés l'un que l'autre et on a plein de fantasmes en commun et que ça sera un grand kiff.

J'avoue tu as avoué que si on avait été célibataires tous les deux tu aurais envisagé qu'il se passe autre chose.
J'avoue que cet aveu là m'a bouleversée...
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N., 20 ans, Paris
J'avoue que lors de ce week-end il y a quelques semaines, j'aurais aimé qu'il se passe quelque chose avec toi Thomas.

J'avoue que pendant ce week-end de formations pour jeunes, pendant la soirée du samedi, alors que l'on s'est trouvé devant ce panneau de noms, j'ai fondu pour toi.

Ce soir là, j'aurais du t'entrainer dans un coin, te plaquer contre un mur pour t'embrasser langoureusement et te faire perdre la tête !

J'avoue que j'étais juste fatiguée et que je ne me souviens pas très bien de mes paroles ou réactions. Et que comme d'habitude j'ai eu sans doute des gestes de rejets, par peur.

J'avoue avoir succombé à tes yeux et à ton sourire alors que tu portais ce costume noir qui te rendait si sexy...

J'avoue que j'aurais bien aimé qu'il y ait une suite, ou même déjà un début...

J'avoue t'avoir ajouté sur Facebook et t'avoir envoyé un message mais que je n'ai pas eu le retour escompté.

J'avoue penser que je ne t'ai pas tapé dans l'oeil, et que je me fais beaucoup de films !

J'avoue, Thomas, que je pense encore à toi. Surtout à ce qui aurait pu passer ce soir là si j'avais été un peu plus aventureuse... J'avoue que si il pouvait y avoir un peu plus, cela me plairait !
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A.c, 21 ans, Genève
J'avoue que j'en ai toujours eu rien à battre de mes relations amoureuses.
Quand ça va bien, je m'emmerde, alors je prends le large.
J'avoue que j'aime faire des crasses aux gens qui m'aiment d'amour, juste pour voir jusqu'à quel point ils veulent rester dans ma vie. Plus ils restent, et plus j'essaye de les faire fuir.
Paradoxalement, j'avoue que je suis une manipulatrice.
J'avoue que je m'en fout de qui que ce soit, l'important c'est juste qu'on m'aime bien, qu'on m'idole, qu'on me voit comme une fille raisonnable, une fille sage. J'avoue que j'ai déjà dit " je t'aime " sans le penser, vendu rêve indirectement sans vouloir de réel lendemain.
J'avoue que dans une autre vie, je serais polygame. Tant de coeur (corps?) à découvrir.
J'avoue que le sexe ne m'intéresse pas, que ça passe au second plan.
J'avoue tirer mon plaisir du malheur des autres. Quand ils ont besoin de moi, besoin de mon affection.
J'avoue avoir souvent traversé la route sans regarder " à droite / à gauche ". J'avoue que je n'ai jamais imaginé ma vie avec un quelqu'un qui avait le même visage plus d'un jour.
J'avoue que je ne cherche pas à rendre heureux/s mes relations amoureuses, juste à les rendre accro à moi.
J'avoue que j'arrive à me regarder encore dans un miroir.
J'avoue que j'ai déjà fait semblant de pleurer devant une personne que je venais de quitter, alors que je m'en foutais.
J'avoue avoir essayé de conserver l'amour de mes exs simplement pour être aimé. J'avoue que sous mon comportement gentil, tolérant, sensible, compréhensif, je suis capable de grosses saloperies. J'avoue que j'en ai rien à foutre.
J'avoue que faire du mal aux autres me fait du bien. Pourtant je n'ai rien de réellement méchant en moi, juste le besoin de me sentir puissante.
J'avoue que cette fois-ci, tout est différent, je l'aime, vraiment...
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Sophie, 20 ans, Paris
J'avoue que depuis cet été je suis amoureuse de toi et que je rêve à chaque instant te croiser dans la rue, recevoir un appel ou une connerie dans le genre, pour qu'enfin tu m'avoues ce que je soupçonne déjà mais que tu n'oses me dire.
J'avoue que j'adore tes yeux bleus, tes grandes épaules et tes mains qui me tiennent par la taille.
J'avoue que je fais exprès de passer devant ta fac, et côtoyer nos amis en commun histoire de savoir si tu es toujours libre. J'avoue que j'ai déjà refait à pied le parcours qu'on avait fait tout les deux mains dans la main dans les rues de Paris.
J'avoue que depuis cet été, j'entends ton nom partout, même quand je m'y attends le moins, ce qui à le don de me rendre folle.
J'avoue que j'ai essayé de t'oublier avec un autre.
J'avoue que tu me hantes et que cela doit prendre fin...
J'avoue que je t'aime et que le soir du nouvel an je compte te l'avouer et attendre enfin une réponse ou t'oublier.
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Pénélope, 30 ans, Grenoble
Mariée, avec enfants, je louche sur un autre homme, qui m'a dit 2 phrases simples, qui m'ont touchées profondément et me font fantasmer sur lui, je le vois partout, je le rêve, je le pense, je veux le croiser, je le reverrais c'est sûr, je n'attends que cela, je prépare une discussion, dois-je remettre tout en cause ?
Forcément, je doute, je n'aime plus l'ambiance à la maison, je souffre, en silence, je me tais, rien ne change jamais de toute façon, je subis, je n'en peux plus, je n'aime plus ces gens, ces abrutis de sa famille. Mon coeur bat la chamade, palpite comme il ne l'a plus fait depuis si longtemps. Je mesure toutes les conséquences. Je ne lui apporterais pas ce dont il mérite, juste quelques entrevues, grâce à quelques mensonges, une vie cachée, pour ne pas être confondue.
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