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Domy, 36 ans, Perpignan
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J'avoue que en ce moment tous les weekends je pense à mon collègue de boulot, un mec. J'avoue qu'il m’obsède. J'avoue que je fais des rêves érotiques le concernant. J'avoue que je ferai bien un câlin avec lui dans la salle du courrier. J'avoue qu'il n'est pas beau mais j'avoue qu'il est charmant et j'avoue que ce corps est bien foutu. J'avoue que j'aime bien quand il me regarde, j'avoue être un peu troublée par son comportement. J'avoue que j'adore ses chemises. Ahlala... J'avoue que j'ai mes hormones qui me travaillent, j'avoue qu'il me tarde de retourner au boulot.
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Element, 21 ans, France
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J'avoue que je lis souvent des aveux et que certains me blessent car elle n'est plus là. J'avoue que je n'avais jamais ressenti ça auparavant et que c'est sûrement pour ça que je pense que ça ne se reproduira pas. J'avoue que j'ai pensé qu'elle était la femme de ma vie car j'ai toujours la gorge nouée même après 2 mois de séparation. J'avoue qu'elle m'a tout de même offert les plus beaux 9 mois de toute ma vie et pour ça je la remercie... J'avoue que je suis insensible aux filles à qui je plais ou même au plan cul... J'avoue avoir peur de ne plus jamais ressentir cette vague d'amour que j'ai reçu...
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Niwawa, 21 ans, Salon
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J'avoue l'aimer, aimer son sourire, aimer qu'il me fasse rire, aimer qu'il me prenne dans ses bras. J'avoue l'aimer, tout simplement. J'avoue lui avoir pardonner son infidélité, celle qu'il m'a avoué de lui même, et l'autre, celle que j'ai découverte. J'avoue lui avoir pardonné quand il a repris son histoire avec son ex, juste parce qu'elle était mourante et qu'il se sentait responsable. J'avoue l'avoir trompé une fois, par vengeance et lui avoir avouer aussitôt, par remords. J'avoue aussi avoir fouillé son téléphone, ses mails, l'espionner car je craignais qu'il me trompe, et malgré tout ce qu'il me promettait en me fixant de ses yeux bleus, je doutais. J'avoue également lui avoir demandé d'arrêter de parler à ses ex, l'avoir supplié de rompre contact avec ces filles. J'avoue y avoir cru, quand il m'a promis de ne plus leur parler. Puis, je me suis aperçue, au bout de deux mois qu'il lui parlait encore, à son ex, qui lui envoyait des messages. J'avoue avoir découvert, il y a un mois, qu'il est aller boire un café avec Elle... J'avoue ne plus pouvoir lui accorder ma confiance. Il a beau avoir une bonne excuse, je ne supporte plus ses mensonges, mais je ne peux plus me passer de ses bras. Après un an de relation, j'avoue être perdue ... Mais ce site est un bon confessionnal, et ça fait du bien d'avouer ce qui pèse sur le cœur.
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P'tite fille, 22 ans, Paris
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J'avoue que je suis en deuxième année de droit. Pour la troisième fois. J'avoue que je triple, donc. J'ai eu des excuses on va dire. Je n'allais pas en cours, pour problème de santé. J'avoue que j'ai passé mes examens en janvier. Nous sommes en mars. Je n'ai eu qu'une note. Ils ont une semaine de retard dans la délivrance des notes. J'ai eu 8 à la seule note qu'on nous a donné. Je désespère d'avoir cette putain d'année. Cela ne correspond pas à l'investissement que j'ai fourni en ce premier semestre. Je suis dégoûtée de cette fac. Je me trouve nulle. Je vais jamais y arriver. Je veux mes notes ! J'ai encore une chance de me rattraper, si seulement j'avais le reste de ces notes !
J'avoue je prie pour que d'ici la fin de la journée je les ais. Au moins je serais fixée.
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Homme, 30 ans, Bordeaux
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J'avoue que Francine travaillait sous mes ordres, et j'avais eu l'occasion de comprendre qu'elle n'était pas farouche. Elle était célibataire, peut-être parce qu'elle n'était objectivement pas jolie. Un jour que j'avais un peu de temps, je suis passé chez elle à l'improviste. Je lui ai fait comprendre ce que je voulais : elle n'était pas contre, mais était gênée de coucher avec son chef. J'avoue que j'ai été content lorsqu'elle a changé de service. Je suis vite retourné chez elle, et elle n'a plus opposé aucun argument. J'avoue que je l'ai prise rapidement sur son lit, en lui léchant les seins. J'avoue que je suis retourné la voir à plusieurs reprises. J'avoue qu'elle faisait les fellations comme personne, car elle aimait ça ! J'avoue qu'un jour, elle a accepté un rapport alors qu'elle était indisposée, que je l'ai prise en levrette et que j'en garde un très bon souvenir. J'avoue qu'elle ne voulait pas se faire sodomiser, et c'est dommage ! J'avoue que je regrette de ne pas l'avoir davantage sollicitée, car c'était vraiment une bonne affaire au lit.
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Homme infidèle, 27 ans, Bordeaux
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J'avoue que lorsque j'ai vu Samira la première fois, je l'ai trouvée vraiment jolie. J'étais marié, mais j'avoue que j'ai craqué, et qu'on a eu des relations sexuelles. Je la prenais sur mon lieu de travail, dans une salle à manger officielle après mes heures de bureau : sur la table, sur le canapé ou en levrette par terre. J'avoue qu'elle avait un cul magnifique, cette jolie blonde. J'avoue aussi que je n'ai pas été discret, et que j'ai bien failli me faire démasquer. Mais ma femme n'a jamais rien su. Je ne sais pas ce qu'elle est devenue, mais c'était une croqueuse d'hommes. J'avoue que j'aimerais bien la revoir...
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Aquila, 18 ans, Paris
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J'avoue me poser beaucoup de questions sur la vie. J'avoue que je regrette mes 16 ans où je ne me souciais pas du temps qui passe, de mon avenir, de la question de la responsabilité, de ce que je vais faire de ma jeunesse, pour en profiter, pour ne pas regretter plus tard d'être passer à côté de quelque chose.
J'avoue avoir peur du temps qui passe, même si l'on ne cesse de me répéter que je suis très jeune. J'avoue me rendre compte que ça y est, je suis une adulte, je suis étudiante, je suis maintenant à un âge où tous les rêves sont possibles, et je ne dois pas me tromper, je dois savoir faire les bons choix. Et puis en fait j'avoue ne pas savoir ce que je veux faire plus tard, j'avoue en avoir marre des gens qui me disent de me questionner sur mon avenir, sur le style de vie que je voudrais avoir plus tard, alors que je suis complètement perdue. J'avoue avoir en réalité peur de la vie, peur d'affronter l'amour, les grandes peines et les grandes déceptions, les personnes intéressées, la vie, de découvrir la sexualité... car je sais que je grandis et mûris et que je devrais bientôt faire face au monde. J'avoue avoir une envie immense de savourer la vie, de la croquer à pleine dent, d'en profiter, de voyager, de rencontrer des gens incroyables, de parler pleins de langues et connaître différentes cultures, de me cultiver, d'apprendre chaque jour de nouvelles choses, de vivre une jeunesse intense.
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Hironnelle, 32 ans, Marseille
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J'avoue t'avoir trompé et l'avoir prémédité. J'avoue ne jamais avoir ressenti autant de plaisir avant lui. J'avoue me sentir coupable. J'avoue que s'il me demandait de partir avec lui, j'irai peut-être. Mais j'avoue que je prie pour qu'il ne me le demande pas. J'avoue que tu es l'homme de ma vie mais que quelqu'un d'autre pourrait bien l'être aussi.
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Gamine, 23 ans, Paris
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J'avoue être une gamine attardée qui fantasme sur des gens célèbres, inaccessibles. J'avoue que j'en rêve et que j'adore ça, et que la routine de la vraie vie sans ça me ferait crever d'ennui. J'avoue que mon mec en est jaloux mais que dans le fond, je m'en fous, j'aime trop ça pour m'en passer. J'avoue que je suis trop vieille pour être groupie comme une ado, mais j'avoue que je m'en fous, c'est comme ça que je suis et ça me fait du bien de rêver un peu.
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Marloune, 23 ans, Leiden
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J'avoue, mon copain et moi sommes en couple libre. J'avoue, c'était mon idée. J'aime ma liberté, et j'aime à penser que je ne suis pas une barrière à la sienne. J'avoue il est difficile de faire comprendre à son entourage ce choix. Il passe pour une raclure, je passe pour une salope. Je vous avoue que j'en ai rien à foutre. Chacun ses choix, sa vie, ses envies, ses besoins... Mais nous ne sommes pas si différents, la plupart est juste plus hypocrite. J'avoue sans honte et sans culpabilité aucune que j'apprécie d'être désirée par un autre homme, de caresser un autre sexe, d'être prise différemment. J'aime les réactions imprévisibles, l'empressement des premières fois et la découverte de nouvelles exaltations. Je trouve mon compte entre l’excitation de la nouveauté et le plaisir puissant et tendre que vous offre celui qui vous connait par coeur. En bref, j'aime le sexe sous toute ses formes, pourquoi choisirais-je... J'avoue adorer pouvoir rentrer à la maison sans mentir à l'homme que j'aime. J'avoue aussi que le fait que d'autres femmes le touchent met un peu d'adrénaline et de piquant dans notre relation. J'avoue, je n'ai jamais eu de relation aussi solide que celle-là et que j'ai l'impression que rien ne peut nous séparer. J'avoue que je ne vous comprends pas en vous lisant. Je dois être définitivement allergique à la lâcheté et au mensonge car je n'envie aucune de vos infidélités. J'avoue, les choses sont tellement plus simples et douces en assumant, si vous saviez...
J'avoue que je suis heureuse comme ça.
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Ana, 21 ans, Rennes
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J'avoue que j'ai aimé être désirée par un homme, un homme qui n'était pas mon ami. J'avoue que la brûlure de la passion ardente entre les amants m'a attirée. J'avoue que j'ai aimé savoir que des hommes, plus vieux, mariés parfois, se touchaient lorsqu'ils entendaient ma voix, qu'ils attendaient désespérément ce moment que nous passions ensemble. J'avoue que j'ai aimé pouvoir être libre sexuellement et savoir que l'on attire plus qu'une autre femme, celle qui est censée être la femme de leur vie, est quelque chose qui m'excitait incroyablement, bien que cela soit ignoble. J'avoue j'ai adoré les sucer, j'ai adoré qu'ils me prennent comme ils le voulaient, qu'en tant que jeune maîtresse, je leur sois soumise. J'avoue que parfois j'y repense, et je sens mon bas-ventre se réveiller. J'avoue que je sais ce que c'est aussi d'avoir quelqu'un dans la peau, de l'avoir tellement, que même si celui-ci est la pire des crapules, c'est dans ses bras que l'on court. J'avoue que c'est une chose que l'on ne peut expliquer, un peu comme les rêves... J'avoue que maintenant, j'ai changé et que j'en suis heureuse. Petit à petit je me reconstruis, je réapprends certaines valeurs, je trouve mon équilibre. J'avoue qu'au début, partager son existence avec quelqu'un qui n'était pas du tout comme moi, a été difficile. Mais il a su prendre le temps et m'apprendre à me protéger peu à peu, à grandir et à me détacher de tout cela. J'avoue que lorsque des anciens amants reviennent et comprennent que je ne veux plus, je n'ai pas de regrets. Je sens que c'est ce que je dois faire. J'avoue que j'ai compris ce que c'était d'être aimé et non plus uniquement désirée. L'écart est colossal. J'avoue qu'imaginer que je puisse blesser cet être que mon coeur commence à aimer, me donne envie de pleurer, que je ne me supporterai plus jamais si je lui faisais du mal. Son visage se fermerait et pour toujours j'aurai perdu la chance de construire quelque chose de positif pour moi et ma vie ... J'avoue, que je t'aime.
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Amoureuse, 18 ans, Paris
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J’avoue l’aimer comme, je n’ai jamais aimé, il est devenue ma vie et j’ai tellement peur de le perdre. Il m’a dit je t’aime pour la première fois samedi en l’écrivant sur la cuisse par le toucher après la lettre T, j’ai compris et mon cœur a explosé. Maintenant, je suis dépendante de lui et j’essaie de retrouver mon indépendance quand il n’est pas là, mais je ne suis rien capable de faire. Je sais que ce n’est pas bien, mais je m’en fous quand je suis dans ses bras je suis la plus heureuse, j’accepte donc d’être effondrée quand il n’est plus là en attente de la prochaine fois avec lui.
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Marloune, 23 ans, Leiden - Pays-Bas
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J'avoue, je n'y ai pas cru. J'avoue, je n'y croyais plus. Je pensais qu'un amour aussi puissant n'arrivait qu'une fois, je ne pensais plus en être capable, je ne t'en pensais pas capable.
Les choses ont pris du temps, j'avoue avoir songé à te virer de ma vie, j'avoue t'en voir voulu de ne pas me faire ressentir la même chose qu'avec lui, d'être si apathique face à ma douleur. Je t'ai comparé, je t'ai jugé, je t'ai laissé me faire mal pour me sentir vivante, je me suis débattue et je me suis résignée à une vie plus fade et passive consciemment. Mes émotions étaient engourdies, comme après un grand froid. Je n'attendais plus qu'elles cassent et me fassent souffrir. J'ai cru voir une lumière dans mon brouillard, mais elle était si faible que je n'y ai pas prêté tout de suite attention.
En quelque mois, cette lumière m'a réchauffé tout doucement, sans que je sache d'où ça vienne. Tes sentiments s'étaient éclairé, et tu as commencé à ressentir une chose qui t'étais inconnue. Et nous, nous étions là comme deux enfants, les yeux écarquillés d'émerveillement, qui se remettent à croire en la magie.
A partir de là, plus rien n'a pu nous arrêter, ni les épreuves, ni la distance. Nous avons commencé a faire des choses pour l'autre qu'on n'avait faites pour personne. Et notre amour n'a jamais cessé de croitre depuis des années. Qu'il est bon de vivre près de toi. Chaque moment près de toi est une vague de bonheur qui me caresse tendrement. Je t'aime. J'avoue que je ne pensais pas pouvoir t'aimer autant. J'avoue que je ne pensais pas qu'on pouvait aimer autant...
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Marloune, 23 ans, Leiden - Pays-Bas
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J'avoue que quand je t'ai rencontré, je nous ai trouvé si identique que c'en était troublant et que j'ai su qu'il se passerait quelque chose d'exceptionnel. J'avoue t'avoir aimé avec l'ardeur et l'inconscience des premières fois, j'avoue que notre histoire fut plus magnifique et passionnée que tous les romans d'amour.
J'avoue avoir cru en l'âme soeur, en l'amour indestructible, en un avenir meilleur avec toi, puis en un retour en arrière, à l'impossible... J'avoue avoir pensé pouvoir t'oublier en te quittant, mais j'avoue avoir continué de souffrir encore des années plus tard, dans les bras d'un autre. J'avoue aussi que nous étions trop jeunes et que je savais que ça se finirait inévitablement comme ça. Je garde au fond de moi toutes les couleurs que tu m'a montré, toutes ces parfums que l'on a découvert et toutes ces émotions que l'on a expérimenté, et puis ces souvenirs... Je te remercie pour tout.
J'avoue que je continuerais à éprouver de la tendresse pour toi ou le souvenir que j'ai de toi, même si j'aime un autre homme aussi profondément. J'avoue que je ne regrette rien et que je sais qu'un jour nous lèverons nos verres en riant comme deux très bons amis, ainsi va la vie.
J'avoue qu'on ne guérit jamais d'un premier amour.
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Routoutounzblitzka, 22 ans, Paris
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J'avoue que ma copine ronfle a coté et que moi je trouve pas le sommeil. J'ai l'angoisse de la feuille blanche. J'avoue que je crains depuis longtemps ce moment où je décide de m'endormir au point de le repousser chaque soir, et de ne pas dormir assez même si je m'occupe à des trucs superflus tels que avouer sur javoue.com plutôt que d'accepter un sommeil réparateur. J'avoue qu'avouer est un défi et que ceci est un entraînement. C'est marrant parce qu'on devient exigeant avec soi même, genre en essayant de faire des phrases compréhensibles alors qu'on ne connaît pas nos lecteurs. C'est un peu de la générosité mal placée je trouve. J'avoue que 2011 a été une sale année dans le monde mais aussi dans ma famille. J'avoue que ça m'a fait changer en bien. J'avoue que ce constat est inquiétant. J'avoue qu'elle vient de se retourner dans le lit et qu'elle m'a fait flipper. J'avoue que j'ai envie de garder mes rêves secrets pour que personne n'ai les mêmes et qu'on se retrouve pas à mille sur une ile paradisiaque. J'avoue que depuis que les pubs ne me font plus rêver du tout, j'ai l'impression d’être un vrai adulte. J'avoue que c’était quelque chose à franchir et que je ne suis peut-être pas spécialement en avance en la matière. J'avoue que je fais des études et que je trouve les gens trop stressés autour de moi. J'avoue que j'ai une vie quand même assez simple voire pépère et que je m'ennuie presque alors que j'ai plein de rêves. J'avoue que je vais dormir avec une sensation d'évacuation incomplète de mon aveu.
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Desiree, 41 ans, Beau bassin - Canada
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J'avoue que j'ai passé le pire anniversaire de ma vie. Mercredi, j'ai eu des problèmes au travail, jeudi j'ai rencontré celui que j'aime, et qui j'ai cru m'aimer, vendredi, même pas un bon anniversaire de sa part, ni de cadeau, ni de fleurs... en fin d’après midi, un sms terrible qui me dévastait. Il en a marre de mes problèmes... Il en a marre que j’étudie toujours, il en a marre. Moi j'ai tout accepté pendant 3 ans, tous ses fantasmes, tous ses coups de gueule, j'ai fait mienne tous ses problèmes, j'ai toujours été à ses côtés dans ses moments douloureux. Aujourd'hui, il me large comme une paire de chaussette sale... Je suis dégoûtée par ma vie, comment puis-je attirer tant de problèmes ? Est-ce que je n'ai pas droit au bonheur ? Est-ce que les autres doivent toujours passer avant moi ? Est-ce que je dois toujours me sacrifier pour les autres ? Pourquoi, pourquoi, qu'ai-je fais dans ma vie antérieure pour mériter cette vie ? J'avoue que j'ai envie d'en finir avec la vie qui ne m'a pas fait de cadeau. J'ai la tête vide, le coeur en miette et une haine terrible en moi, pour mes détracteurs. Je les hais, toutes ces personnes qui sont jalouses de moi, qui me veulent du mal. Je crie au seigneur qu'il les éloigne de moi ! J'avoue tout simplement que je me sens terriblement seule et sans support.
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Passionella, 45 ans, Paris
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J'avoue être follement amoureuse de toi. J'avoue que c'est depuis le premier jour où nos regards se sont croisés en 2002 à ton arrivée là ou je travaillais. J'avoue que je provoquais nos rencontres et que dès que je te croisais j'étais attirée. J'avoue que j'ai vite compris que je te plaisais aussi. Ni tes conquêtes, ni ma vie avec un autre n'ont réussi à me faire t'oublier. J'avoue que je n'oublierai jamais toutes les folies vécues, toutes les fois où tu m'as prise dans des lieux incongrus, les toilettes publiques ou celles du boulot, mon bureau, ah ce jour là ; où au risque que quelqu'un ne débarque je me suis retrouvée totalement offerte à toi, à moitié nue, mes fesses rebondies à ta portée, tu en devenais fou ! Ou dans le hall d'un immeuble à Barcelone où je t'avais suivie prétextant un voyage avec mon chef de service. Nous étions excités à mort, tu m'as prise alors que des personnes passaient devant la porte et que quelqu'un pouvait entrer à tout moment, ah Barcelone ! Avant hier, on s'est vu, c'était dans un restaurant Brésilien, on s'est embrassés langoureusement sans ce soucier des autres convives, J'avoue que je me sens transportée dans l'univers à ton contact, que l'on est tous les deux en apesanteur. J'avoue que tes gestes sont doux, j'avoue que j'adore te caresser des heures et des heures, explorer chaque centimètre de ton corps. J'avoue que tu me plais de la tête aux pieds, que j'adore prendre ton sexe dans ma bouche et que j'adore le manipuler à outrance... J'avoue que je suis folle de toi et que je le serai toujours pour tout le reste de ma vie. J'avoue que je t'ai laissé un message dans le futur pour que tu saches que c'est toi que je sur kiff.
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Amourimpossible, 27 ans, Paris
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J’avoue que je t’aime toujours autant, mais que c’est toujours impossible. J’avoue que nous n’échangeons que via un forum. J’avoue que tu es le seul à remarquer tout ce que je fais, et j’aimerais que ce soit pour les mêmes raisons que moi. J’avoue qu’il y a un énorme feeling, alors que l’on se connaît à peine. J’avoue qu’il faut que tu arrêtes d’être si attentionné dans tes messages car je craque de plus en plus. J’avoue commencer à me demander si tu ne ressens pas la même chose que moi. J’avoue que c’est peut-être une illusion, mais je t’aime tant Y.
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Linterimaire, 35 ans, Pontivy
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J'avoue que je suis venu m'inscrire rien que pour te voir. J'avoue que tout au long du rendez vous je n'ai pas arrêté de lorgner ton décollette généreux. J'avoue que j'ai regardé aussi tes fesses moulées dans ta petite jupe grise. J'avoue que j'ai adoré quand tu as passé tes doigts pour enlever ta culotte qui te passait dans les fesses en direction de l'imprimante. J'avoue que ta collègue a vu mes yeux sur tes fesses et qu'elle a tout compris a mon petit manège. J'avoue avoir adoré ça.
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Cahouette, 22 ans, Montpellier
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J'avoue que depuis que je t'ai rencontré il y a un peu plus d'un mois je pensais que quelque chose de cool pouvait se passer entre nous deux. J'avoue également que quand tu m'as dit que je te plaisais je n'y croyais pas. J'avoue que je t'ai avoué que c'était réciproque, mais qu'étant en couple tous les deux ce ne serait pas facile à gérer. Tu m'as dit que tu n'étais pas amoureux de ta copine et à ce moment là je t'avoue que j'ai pensé à tout plaquer pour te dire que j'avais des sentiments pour toi. Mais j'avoue que j'ai été une incapable, et j'avoue que maintenant, il a fallu que ce soit trop tard, que tu me dises qu'il ne valait mieux pas qu'on tente quelque chose, pour réaliser à quel point j'ai foiré, à quel point je tiens à toi, et à quel point j'ai des sentiments pour toi. J'avoue que je devrais plutôt t'écrire tout ça directement, mais j'avoue que je ne sais pas comment tu le prendrais ; sûrement pas très bien... J'avoue que lorsqu'on va réellement s'éloigner, tu vas me manquer, énormément, et que je ne peux rien y faire. J'avoue que je ne pense qu'à toi, T., ou E. ...
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Elan38, 59 ans, Paris
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J'avoue que j'allais chez Elle pour lui rendre ses affaires. J'avoue que nous avions prévu de parler gentiment de la rupture.
J'avoue que je n'ai pas de manque quand je ne la voie pas. Nous avons parlé un bon moment. J'avoue l'avoir prise dans mes bras au moment de partir. J'avoue qu'on est allé se coucher et que nous avons fait l'amour.
J'avoue que c'est une rupture en douceur !
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Crétine, 22 ans, Mulhouse
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J'avoue que tout comme Lili j'y ai cru... J'avoue que depuis quelques semaines je sentais le malaise qu'il y avait entre nous, mais que cet après-midi, lorsque nous avons décidé de mettre fin à notre histoire, j'ai senti mon cœur s'arrêter quelques instants. J'avoue ne pas être capable d'imaginer mon avenir dans les bras de quelqu'un d'autre. Je ne veux que toi.
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Crapule, 16 ans, Paris
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J'avoue que j'attendais un sms de sa part ou mieux encore un appel... J'étais donc sous ma douche quand j'entends mon portable sonner, je lâche le pommeau de douche et fais un mini vole plané au dessus du rebord de la baignoire. Je glisse sur le tapis de bain, me relève, attrape ma serviette et me mets à courir dans mon couloir alors que j'étais encore trempée. J'attrape mon portable, décroche et entends la voix de ma mère qui me demande si je veux la rejoindre au cinéma... J'avoue pendant 5 min je me suis prise pour Lara Croft. Qu'est ce qu'il ne faut pas faire pour un mec !
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Hybiscus, 25 ans, Nantes
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J'avoue, j’ai eu... J’ai eu quelques amants en un an. J'avoue, j’en ai eu, J'avoue, j’en avais, J’avoue, j'en avais 7… En un an, doucement mon couple, ma vie train-train à basculée dans un abîme de silence, de glace… Une apnée progressive où plus rien n’est donné à l’autre sinon le goût amer du souvenir doux… Ceux qu’on avait pas besoin de décortiquer, pour dire que oui, on était heureux… Combien de temps ça dure au final ? Le vrai bonheur ? Pour beaucoup, mes amants étaient en couple… Marié, en concubinage, en couple libre… Échappatoire, la fuite par le plaisir… ou surtout par le désir… Prisonniers de matins calmes… Où des barreaux ont pris le temps de pousser dans le champ de leur "amour éternel", "toujours, toujours, toujours, tou…" Comme disait Gainsbourg… Ils se masquaient de Gainsbarre et me prenaient comme si leurs vies en dépendaient… Et moi… la patience me pénétrait en même temps que leurs sexes, leurs doigts glissants à la recherche d’une bouffée d’air, d’un horizon où ne plus penser à demain est de mise. Aujourd’hui, l’homme avec qui je voulais vieillir est parti composer ses nuits d’insomnies auprès d’une autre. Sans doute que c’est plus facile, elle ne connaît pas encore le goût de ses cauchemars et surtout de sa douce lâcheté… Pernicieuse, qui s’enroule progressivement autour de la jambe, avant même de s’en apercevoir… Il est alors déjà trop tard… Mais je l’ai rencontré… Lui qui paraît tantôt si fragile, tantôt fort et maître de ses envies… Ses caresses sont douces… Nos moments sans heures, ni secondes… Suspension temporelle, croire, encore, croire qu’on peut aimer pour de bonnes raisons. Malgré ce que j’ai enduré… Aller le chercher, celui avec qui j’ai partagé ma vie pendant 5 ans, au petit matin chez sa maîtresse, se douter après un réveil en sursaut, se douter qu’il m’a encore menti… Comprendre… qu’ils l’ont encore fait. Mécanique, taper son code d’immeuble, trop bien connu... Découvrir son vélo dans son hall… Monter chaque marche une à une… Le souffle court, transport de ma colère et d’une nausée qui broie les entrailles… Sonner… Entendre leur corps nus s’agiter dans les draps, pris par un sursaut… Savoir… Crier… Pleurer… Et pourtant seulement un mois après, lui me fait croire qu’il peut me voir, voir qui je suis, à travers mes yeux, mes gestes, mes mimiques... Ce qui fait battre mes tempes... Pulser mon sang... Me regarder vraiment, comme on oublie de le faire de la rue jusqu’au lit conjugal… Myoperie pastiche d'un détournement du regard... Tromper la solitude, union illusoire… Pour la première fois, malgré toute mes histoires d’amour, de cul, de sex-friends et d’amants que j’ai accumulé depuis dix ans… Pour la première fois, quelqu'un me voit vraiment. J'avoue, que j'y crois toujours. J'avoue que j'y crois enfin.
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Crapule, 16 ans, Paris
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J'avoue que j'en ai complètement ras le bol de ses sautes d'humeurs, de ses réactions abusives à tout et de ses engueulades qui ne mènent à rien. Je sais qu'il ne veut plus de moi mais je joue l’égoïste et je ne veux pas le lâcher. J'aimerais juste un peu de confiance et qu'il arrête de me rendre jalouse à tout bout de champ. Un sms de temps en temps ou un appel me ferais le plus grand bien. Il dit que toute les femmes ne sont que des garces qui trompent sans vergogne, il me demande de supprimer son numéro et de le virer de ma vie du jour au lendemain, c'est comme ça que je me dis que mon premier amour a sans doute gâché toute chance de refaire confiance à un autre homme plus tard et je l'en remercie.
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