Recherche

Avouer - Tous les aveux - Meilleurs aveux

Bêtises - Amour Fou - Multizaveux - Inclassable
Vantards - Ras le bol - Aïe - Trompé - Interdits

JAVOUE.com en page d'accueil - JAVOUE.com dans les favoris - Recommander ce site - PressBook - Un aveu au hasard

22354 aveux trouvés
Nous sommes sur la page 43 / 895

Papillon, 18 ans, Paris
J'avoue que je rêve d'un garçon :
- cultivé comme Bernard Pivot
- drôle comme Gad El Maleh
- sportif comme Yoann Gourcuff
- cordon bleu comme Jean de Top Chef
- doux comme Winie L'ourson
- fort comme Hercule
- romantique comme Jack de Titanic
- bad boy comme le Prince Harry
- rêvant de fonder une belle famille comme Brad Pitt
- qui sent bon comme Jude Law
- confiant comme Docteur Shepard
- dévoreur de livres comme Ali Badou
Je rêve trop ?
-> Meilleur aveu 09/04/2012 Meilleur Aveu 09/04/2012 <-
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Lolita, 18 ans, Paris
J'avoue qu'aujourd'hui, je ne comprends plus rien. Qu'est-ce-qui cloche chez moi ? Mes "copines" ne m'appellent plus, sortent sans me dire. J'ai toujours été leur bouc-émissaire, la fille du groupe qui joue le rôle de clown, qui ne sert qu'à faire rire.
La fille timide qui n'est pas sûre d'elle.

C'est peut-être le fait que je sois ( en toute modestie) plus cultivée et intelligente qui m'a écarté. Et là Hop ! Gros coup de blues ! Elles sont intégrées avec d'autres gens mais ne m'appellent pas !
Là j'ai envie d'aller au cinéma mais avec qui ? Je suis seule. J'ai besoin de me confier mais à qui ? Je suis seule. Je me lève le matin, je prends le métro, je vais en cours. Je prends le bus. Je bosse. Je mange. Je bosse. Je m'endors. Je bosse. Je reprends le métro. Sans amis, sans amour avec plein d'emmerdes !
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Boulousse, 15 ans, Paris
J'avoue t'aimer comme une folle. J'avoue rêver de toi la nuit. J'avoue penser à toi tout au long de la journée. J'avoue être complètement jalouse de ton petit ami. J'avoue avoir envie de passer ma main dans tes cheveux, caresser ton bras et t'embrasser dès que je te vois.
J'avoue rêver d'une vie à deux avec toi. J'avoue regarder tes photos facebook tout le temps.
J'avoue tenter de te dessiner sans jamais réussir à peindre ta beauté et ton sourire tels qu'ils sont.
J'avoue ne pouvoir imaginer vivre sans toi.
J'avoue te mentir quand tu me demandes si ça ne va pas et que je réponds que tout va bien. J'avoue que tu m'obsèdes. Alors oui, je t'aime Caroline !
Je t'aime, je t'aime, je t'aime !!!

Mais j'avoue aussi parfaitement savoir que tous mes rêves resteront des rêves. J'avoue être une fille... alors que tu aimes les hommes. J'avoue toujours te cacher la vérité. J'avoue... que je ne te dirais sans doute jamais ce que j'écris ici. Mais tant pis. Et j'avoue chaque soir espérer être le lendemain pour te revoir vite.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Lolly15, 29 ans, Paris
J'avoue que j'ai quitté mon vantard d'ex parce qu'il m'avait promis monts et merveilles et qu'en fait... il bandait prodigieusement mou.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Amourimpossible, 27 ans, Paris
J'avoue que je deviens dingue à t'aimer autant !
J'avoue que je pense à toi, matin, midi et soir !
J'avoue que j'ai même fait un délicieux rêve de toi cette nuit.
J'avoue que j'en ai marre de devoir me taire.
J'avoue essayer de t'envoyer des signes pour que tu comprennes.
Je t'aime Y. Tu ne t'en rends toujours pas compte ?!
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Lili la tigresse, 21 ans, Limoges
J'avoue que dans mon couple c'est le bordel.
J'avoue que c'est surtout de ma faute car je ne sais plus ce que je veux.
J'avoue que j'aimerai être libre mais j'avoue que je ne veux pas lui faire de mal.
J'avoue aussi que j'ai envie d'aller voir ailleurs mais que je ne le ferai pas tant que je serai avec lui.
J'avoue qu'un autre est beaucoup trop présent dans mes pensées et que ça n'arrange rien.
J'avoue que j'ai envie de changement mais que j'ai besoin qu'on m'aide.
J'avoue que je pense être incapable de prendre la décision de rompre.
J'avoue que pourtant la rupture semble être la seule issue.
J'avoue que si je pouvais rencontrer quelqu'un cela faciliterai la chose.

J'avoue qu'avouer fait du bien.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Une autre, 30 ans, Rennes
J'avoue, notre relation passionnée s'est intensifiée et nous avons partagé des moments délicieux à chaque fois que l'occasion se présentait.
J'avoue, l'un comme l'autre avons toujours envie de continuer à approfondir cet aspect de notre relation.
J'avoue, nous partageons aussi de plus en plus de moments privilégiés et spéciaux ensemble.
J'avoue que nous avons dormi ensemble, juste dormi, pour pouvoir se ressourcer ensemble, parce qu'à mes cotés tu t'apaises.
J'avoue, il y a 3 jours nous avons discuté après avoir un peu bu, et j'ai fini par t'avouer que ça n'était pas 100% amitié de ma part.
J'avoue que tu m'as avoué la même chose de ton coté, même si tu admets toi-même ne pas savoir comment ça se répartit dans ton cœur.
J'avoue, le lendemain je t'ai dit que je n'avais pas suffisamment bu pour ne pas savoir ce que je disais, et tu m'as répondu avec un petit sourire "mais moi non plus".

J'avoue, j'ignore si quelque chose pourra se faire durablement entre nous, comme je te l'ai dit le fait qu'on puisse être ensemble ou pas ne changera rien à l'affection ni au désir que j'ai pour toi.
J'avoue, tu m'as dit que tu avais commencé à te poser des questions sur la nature de tes sentiments le jour précis où notre amitié a été scellée pour de bon.
J'avoue, tu voulais que je te demande si quelque chose était envisageable entre nous, j'avoue tu m'as dit que vu la situation non, et que si la situation évoluait c'était à réfléchir.
J'avoue, tu es un fin stratège, je commence à te soupçonner d'avoir patiemment attendu que je me dévoile alors que tu savais déjà pertinemment ce que j'éprouvais pour toi. Je commence même à me dire que tu me parlais de cette autre fille pour me pousser à te parler.

J'avoue, tu as le don pour anticiper mes réactions, ce matin tu savais que je m'inquiétais pour toi, que j'avais de la peine, tu n'avais pas la possibilité de me parler directement comme c'est hélas souvent le cas. Je t'avais mis un message sur facebook hier, te rappelant que je suis là. Ce matin tu m'as juste répondu "je sais, frangine" - car c'est notre degré de proximité. J'étais en train de pleurer quand j'ai vu ça, j'ai vu que tu étais en ligne je t'ai juste dit que je me faisais un sang d'encre, je t'ai envoyé un sms te demandant comment ça allait, et tu m'as appelée.
Tes premiers mots furent "je sais que tu te fais un sang d'encre", les suivants ont été pour t'excuser de ne pas avoir répondu à mon sms d'hier soir - un rituel un peu magique entre nous, juste un bisou avant de dormir.
J'avoue je me suis jurée de te mentir le moins possible et de t'en cacher le moins possible alors je t'ai dit que je n'avais pas dormi et que j'avais pleuré parce que je m'inquiétais, et tu sais que c'est vrai.

J'avoue, je ne veux qu'une chose : refaire ma vie avec toi, et je sais aussi que ça ne se fera pas... mais j'aurai au moins eu le bonheur de savoir qu'il y a de l'amour entre toi et moi...
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Alivia, 21 ans, Miami
J'avoue que depuis que je suis arrivée ici j'ai eu pas mal d'occasion… Bien plus que je n'en ai jamais eu…
Probablement mon changement physique, ma façon de penser différente, ma façon d'agir différente, bien plus provocante et surtout pourquoi avoir peur ? La vie est faite pour être vivre, sans regret !
Il n'empêche qu'ils ont beau eu essayé pas un seul n'a réussi...
J'avoue que j'aime ça, ce pouvoir de mener la danse, se sentir désirée... dire non mais avoir envie de dire oui… passer au suivant…
J'avoue qu'à chaque fois que je me réveille le matin j'ai à la fois un goût de frustration car je n'arrive pas à comprendre pourquoi je dis non, pourquoi je n'arrive pas encore à me laisser aller vers un total étranger… et en même temps je revis cette soirée et je me demande si je ne vais pas trop loin, cette façon d’agir n’étant tellement pas moi. L’alcool aidant probablement mais je ne regrette jamais.
J’avoue que j’ai été soule pour la première fois à 21 ans. Mais jamais à en vomir.
J’avoue que j’en ai récupéré des numéros… qu’il suffirait d’un message pour qu’ils rappliquent…
J’avoue que néanmoins j’en ai rencontré un qui me plait bien, et j’espère qu’il deviendra ce genre d’amis particulier avec avantages…
J’avoue que j’aime ma vie ici.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Découragée, 30 ans, Montréal
J'avoue que quand je le vois, je lui en veux de faire comme si je n'existais pas. J'avoue que je fais la même chose, mais ça fait mal.

J'avoue que j'avais une belle complicité avec lui, mais tout ça c'est fini depuis qu'on a essayé de sortir ensemble.

J'avoue qu'il n'a pas été honnête: je lui avais fait part de mes sentiments envers lui, et il n'a rien fait pour les décourager. Je voulais une relation stable, lui un plan cul.

J'avoue aussi que j'ai passé une nuit avec lui, mais on n'a pas couché ensemble, seulement dormi. J'avoue, je sais, j'ai pas été maligne sur ce coup-là. Je me le suis déjà reprochée, et plus d'une fois.

J'avoue que je me suis demandée plusieurs fois si la suite aurait été différente si on avait couché ensemble ce soir-là. J'en suis arrivée à la conclusion que non : depuis le temps qu'on se connaissait, si les sentiments que j'avais envers lui n'étaient pas réciproques, ce n'est pas un plan cul qui aurait changé la donne ou alors ça aurait donné une relation basée sur le sexe, ce qui aurait été pire : je me serais accrochée encore plus et je serais tombée d'encore plus haut. Il fallait d'abord qu'il fasse le ménage dans sa tête (il sortait d'une longue relation).

J'avoue qu'on travaille dans la même compagnie ; je ne le croise pas souvent (heureusement !), et toujours au détour d'un couloir, ce qui se gère assez facilement. Le plus dur, ce sont les 5 à 7 et les repas de Noël : il est super sympathique avec tout le monde, il a une excellente réputation au boulot, mais personne ne sait comment il s'est comporté avec moi (on ne l'a dit à personne et je ne suis pas du genre à faire des coups bas, je ne veux pas qu'on me considère comme la veille fille aigrie). Paradoxalement, j'ai la 'chance' d'être la seule à mieux le connaître que tous les autres ! Mais des fois, j'ai tellement envie de lui crier 'Mais regarde-moi, bordel ! J'ai pas cessé d'exister parce qu'on ne voulait pas la même chose !'.

J'avoue aussi que je ne veux pas forcément redevenir son amie : ça voudrait dire le voir heureux et évoluer avec une autre personne que moi, alors que si les circonstances avaient été différentes, ce serait moi qui serait en couple avec lui. Je voudrais juste qu'on se reparle, comme deux personnes civilisées, pour essayer de dissiper le malaise qui s'est installé entre nous depuis 1 an et demi, mais je n'ose pas faire le premier pas parce que les dernières fois que je lui ai proposé de parler, il a préféré fuir, révélant un côté poltron que je ne lui connaissais pas.

J'avoue que c'était la première fois que je faisais autant confiance à un homme et depuis, j'essaie d'en rencontrer d'autres, mais je me demande si un jour je parviendrais à retrouver un tel degré de complicité ?

J'avoue, il me manque. Et j'avoue aussi aimer penser qu'il est mal à l'aise quand on se croise, même si ça se passe seulement dans ma tête.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Jeanne, 27 ans, Caen
J'avoue être jalouse.
J'avoue être méchante et aimer appuyer là où ça fait mal.
J'avoue rendre au centuple le mal qu'on me fait.
J'avoue aimer être la maîtresse des hommes.
J'avoue aimer le sexe comme une folle.
J'avoue rêver de faire l'amour avec une femme.
J'avoue que j'ai peur d'avoir une vie rangée.
Mais j'avoue que pour toi je veux essayer de changer, je veux me ranger avec toi, je veux faire l'amour avec une autre femme mais avec toi.
J'avoue que je veux que tu me reprennes alors que tu viens de me jeter.
J'avoue que je veux être ta femme.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Domy, 36 ans, Perpignan
J'avoue que hier soir j'ai passé la soirée avec mon collègue de travail.
J'avoue que nous avons mangé en tête-à-tête au restau et que j'avoue que je suis encore plus sous son charme.
J'avoue que je suis rentré à 2h30 du matin après cette soirée.
J'avoue que j'ai menti à mon mec pour pouvoir passer cette soirée géniale.
J'avoue que si mon collègue me l'aurait proposé j'aurai pu finir la nuit dans son lit.
J'avoue que cette semaine, il est en congé et j'avoue qu'il va me manquer.
J'avoue que je pense encore à lui.
J'avoue que j'ai pas honte de redevenir une ado amoureuse.
J'avoue que si mon mec actuel ne fait pas d'effort pour raviver la flamme de notre histoire... J'avoue que je pourrai le quitter.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Bretelle, 23 ans, Marseille
J'avoue que là, les mecs, on est chaud. Le par-dessus-le-découvert-bancaire, c'est presque rien, mais allez dire à votre banquier "mais monsieur ce sont pour des raisons psychanalytiques que je suis dans le rouge !"

Il n'est pas question de se ressaisir, je crois qu'en fait et qu'enfin je suis en train de me saisir.

Qu'est-ce qu'on passe comme temps de cette société à tourner autour de soi-même ! J'aurais voulu vivre dans une autre époque, où j'aurais été la fille d'un paysan, qu'on aurait mariée à l'âge de 18 ans après avoir batifolé dans les prés avec un petit éphèbe.

Mais non. On est là tous les deux l'éphèbe et moi et on se tourne l'un autour de l'autre pour se comprendre.

Enfin je vois de la lumière vers la connaissance de moi-même. Prenons ces larmes comme un signe heureux.

J'avoue que là, ouais, j'en ai marre. Mais ce n'est qu'une réaction vers le bonheur !
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Lou, 26 ans, Caen
Pour moi 2012 ne sera ni l'année du flouze, ni l'année de la touze. A la différence d'Alivia, 2012 sera pour moi l'année de la louse.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

June, 25 ans, Paris
J'avoue je fais souvent des bêtises avec les hommes.
J'avoue que oui j'ai eu la sale habitude de jouer avec les maris d'autres femmes.
J'ai fini par en rencontrer un homme plus très amoureux de sa chérie et on est passé à l'acte.
J'avoue que c'était géant et très agréable.
J'avoue que j'avais très envie de recommencer mais ça n'a pas été possible.
J'avoue que son frère m'a aussi trouvé à son goût et je suis passée à l'acte avec lui aussi.

J'avoue que je devrais me calmer... ça commence à faire beaucoup...
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Alivia, 21 ans, Miami
Je le savais 2012 sera mon année. Pleines de promesses, de nouveautés, de changements, de découverte. Bientôt 3 mois qu’elle a commencé et je ne veux pas qu’elle s’arrête.
Le changement, mon changement, a commencé il y a plusieurs mois quand j’ai pris cette décision de me prendre en main pour de bons et d’avancer.
Cette nouvelle vie ici, ce nouveau job, ces nouvelles personnes. Cet environnement si différent a finalement réveillé la personne que j’ai toujours été, mais que je ne pouvais être.
Être éloigné de vous est finalement et probablement ce qu’il me fallait pour m’épanouir réellement. Avoir un océan qui nous sépare, savoir qu’ici personne ne sera là pour juger car personne ne sait qui je suis. Éloignée de tous ces drames qui m’ont tant touché et heurté ces dernières années. Ne vous détrompez pas, je vous aime. Mais cela n’est pas assez parfois.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

M, 20 ans, Marseille
J'avoue qu'en ce moment ça ne va pas fort. J'avoue que ça va faire 6 mois que nous sommes en couple.
J'avoue que je l'aime, mais que sur ce coup j'ai été obligé de changer un peu la réalité des choses. J'avoue que ce minuscule mensonge, n'en est pas vraiment un. Mais j'avoue que si j'ai réussi à le faire reconsidérer la situation j'en serais que plus heureuse. Ca ne peut être que bénéfique. J'avoue que j'ai très peur, et que je n'ai pas confiance dans les médicaments et les médecins...

J'avoue que je ne veux absolument pas d'enfants, ni maintenant ni plus tard. Mais j'avoue que ça me rendrait affreusement triste si nous nous séparions à cause de ce choix de vie ou d'un déménagement pour cause de vie professionnelle. J'avoue que si en septembre il me dit qu'il doit partir, je ne voudrais absolument pas entendre la suite...

J'avoue qu'il me manque déjà, j'avoue qu'il me tape sur les nerfs des fois, et j'avoue aussi que même si je n'ai pas envie de lui quand il se retrouve en face de moi, je ne pense plus qu'à lui sauter dessus. J'avoue qu'il sait me faire l'amour. Et j'avoue que j'en suis accro.

J'avoue que les mois qui vont arriver vont être très durs à gérer.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Amaryllis, 20 ans, Toulon
J'avoue que je suis excessivement jalouse.
Je ne fouille pas dans son portable, ni dans ses mails, ni nulle part ailleurs, parce que je le respecte. Mais j'avoue que la seule idée qu'il puisse poser un simple regard sur une autre femme en la trouvant jolie me terrorise et me déprime profondément.
J'avoue que quand je fais la gueule parce qu'il a apprécié le spectacle d'une belle femme, je me sens comme une femelle castratrice. J'avoue que je ne peux pas imaginer une seule seconde qu'il me trouve plus attirante que ces parfaites créatures qui ont peuplé ses wallpapers, ses posters, ses figurines et ses pornos.

J'avoue qu'au début de notre relation je ne voyais que lui, ne pensais qu'à lui et qu'il a fait l'erreur de me parler des filles qui le faisaient fantasmer, de celles qu'il aimait regarder. J'avoue qu'à ce moment là, moi qui étais extrêmement fragile, je me suis dit que j'étais tombée sur "un mec comme les autres" et que j'ai été profondément déçue. J'avoue que si aujourd'hui, il fait tout pour être mon prince charmant, je ne peux pas m'empêcher de penser qu'il doit s'en mettre plein la vue quand je ne suis pas là. Et le plus horrible, c'est que c'est parfaitement normal et que c'est moi qui suis folle.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Bulle bleue, 25 ans, Paris
Il faut que j'avoue que je connais le secret d'une amie, et cela me pèse car je sais qu'elle trompe son conjoint, je connais ce dernier. Malheureusement je ne peux pas interférer dans leur histoire.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Chaton, 20 ans, Moulins
J'avoue que je suis de plus en plus heureuse et amoureuse de toi, chaque jour, N'Amour, depuis ce 22 décembre 2010.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Fraise, 19 ans, Lyon
J'avoue que de maitresse je suis passée à l'officielle et que jamais je n'y aurais cru mon amour.
J'avoue que tu m'as dit que j'allais très bien m'entendre avec ton frère, que tu le sentais.
J'avoue que c'était une mise en garde parce que tu nous connais tous les deux.
J'avoue que tu as vu juste, je lui plais et... il me plait.
J'avoue qu'il ne se passera rien.
J'avoue que je fantasme de temps en temps sur lui.
J'avoue je sais qu'il n'est pas insensible.
J'avoue je t'aime mais je me ferais bien un plan à trois...
J'avoue c'est vraiment dommage que je m'entende si bien avec sa femme !!!
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Moi même, 38 ans, Angers
J'avoue que derrière mon sourire se cache une profonde nostalgie.
J'avoue que je regrette ma période d'insouciance.

J'avoue que je regrette la voie que j'ai choisie délibérément mais pour de fausses convictions, j'avoue que je me suis perdue en chemin.
J'avoue que j'aimerai tellement remonter le temps et revoir ces visages qui me manquent tellement aujourd'hui.

J'avoue que je continue à sourire simplement pour donner le change mais j'avoue aussi qu'un jour je partirai sans laisser d'adresse simplement pour réaliser mon rêve fou qui se loge dans une partie de ma tête depuis 23 ans. J'avoue qu'aujourd'hui je manque de courage, d'envie et d'ambitions.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Pénélope, 28 ans, Delft - Hollande
J'avoue qu'à chaque fois avec toi, c'est comme la première fois. Et que j'adore ça, mon amour.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Pasose, 40 ans, Lausanne
J'avoue que je n'en pouvais plus d'être seul.
J'avoue que je me suis remis avec mon ex, chose que je m'étais toujours interdit jusqu'à présent.
J'avoue que ça a été génial les premières semaines.
J'avoue que depuis le train-train quotidien à repris le dessus.
J'avoue que malgré ce que l'on s'était dit, nous ne semblons pas avoir la même attente d'un couple.
J'avoue qu'elle fait des efforts mais que je me sens toujours aussi seul dans mes attentes.
J'avoue que j'ai l'impression qu'elle n'est pas prête mais qu'elle est ressortie avec moi pour m'avoir sous la main lorsque dans un, deux ou trois ans elle se sentira enfin prête.
J'avoue que je ne tiendrais pas le coup.
J'avoue que je me sens déjà solitaire dans ma tête.
J'avoue que je l'aime mais que nous ne vivons pas notre couple au même rythme.
J'avoue que l'avenir ne ressemble pas vraiment à un avenir...
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Sécretaire, 26 ans, Paris
J’avoue avoir toujours tout obtenu en usant de mes charmes.
Pour l’entretien d’embauche de mon actuel travail, j’ai dû exposer mes capacités. Puis, au travail, mon patron me demanda de nombreux service.
Je demandai alors des avantages que j’ai obtenu dont celui de participer à tous ses voyage d’affaire et d’être payée pour mes heures supplémentaires.
J’avoue aimer me sentir dominée par un homme puissant et participer à tous les jeux qu’il imagine.
J’avoue aimer être utile de cette façon.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Bretelle, 23 ans, Marseille
J'avoue que je l'aime. Oui je suis amoureuse. Pour la deuxième fois de ma vie. Et qu'il m'apportait tout ce dont je rêve pour mon avenir : folie, magie, et joie.

J'avoue que les images de notre histoire tournent dans ma tête, quand il m'a embrassé au rythme des bisous dans le film delicatessen, quand on était dans le creux l'un de l'autre au son de In the Mood for love. Quand il m'embrassait en tenant mon visage, quand on a couru dans les rues de Jérusalem comme des fous. Quand il m'a déclaré son secret à Jérusalem. Quand il m'a dit "je suis avec toi à Pétra", ce soir où nous voyions ce site légendaire à la lueur des lampions. Quand nous avons fait un kamoulox sur les toits des synagogues hyérosolimitaines. Quand il me dit que la saveur de mes baisers était merveilleuse. Quand il venait me voir juste pour me dire que je suis merveilleuse. Quand il glissa un toblerone dans ma trousse lors de mon mémoire. Lorsque nous nous sommes rencontrés.

Je veux que ça continue et je ne fais que pleurer. Je souffre.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -


< Page Précedente  Page Suivante >

Recherche
Rechercher dans : Catégorie

© 1998 - 2024 Javoue.com - tous droits réservés
- Haut de page
Développement assuré par Gilou