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Babey-babey, 26 ans, Paris
J'avoue que même après tout ce temps, je suis encore folle amoureuse de toi. Personne ne le sait clairement, tu ne devais pas être mon amant.
J'avoue que tu me manques terriblement et j'avoue que ça me bouffe d'avoir laissé ma place à une autre et tout ça c'est de ma faute.
Mais j'avoue qu'il y a 3 ans, j étais plus jeune et pas prête pour toi, pour ton histoire, tes bagages.
J'avoue que j'en ai encore ce nœud au ventre au moment de notre au revoir.
J'avoue que j'aurais aimé te rencontrer aujourd'hui, j'ai le recul nécessaire pour pouvoir t'aimer et que tu m'aimes sans avoir peur baby.
J'avoue que j'espère qu'un jour tu réapparaîtra dans ma vie. J'avoue que c'est méchant pour ta copine car ça voudrait dire qu'elle ne le serait plus... Mais j'avoue que j'm'en fou de cette fille qui, elle, dort dans tes bras à cette heure-ci.
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Lola, 36 ans, Bordeaux
J'avoue j'ai une copine/collègue de travail C. avec qui je partage des secrets. J'avoue qu'elle est super belle mais super déjantée.
J'avoue qu'elle a tous les hommes à ses pieds excepté celui qu'elle aime et il la fait marcher sur la tête et sur les mains.

J'avoue que le jeu préféré de C. est de séduire les hommes en couple.
J'avoue qu'un de mes collègues est amoureux d'elle. J'avoue qu'il essaie de me le dire mais je fais semblant de ne pas comprendre, car il est en couple et dans ma tête ça ne colle pas du tout.
J'avoue que je les hais tous les 2 de m'utiliser, notamment quand ils m'invitent au resto pour leur servir de parapluie.
J'avoue que je n'ai pas envie de jouer les mères la morale mais j'aimerais qu'ils n'aient pas d'aventure.
Car si c'était le cas, la copine officielle de mon collègue va souffrir. J'avoue j'ai déjà été témoin d'un drame et ce genre de configuration s'y prête.
Mais j'avoue que je suis en vacances et que je ne réponds pas au téléphone; surtout quand ce sont ces collègues de travail qui m'appellent.
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Sevivine97, 29 ans, Nantes
Aujourd'hui, large discussion des effets de la nourriture distribuée dans un fast food connu sur la santé, avec ma mère.
N'y va pas, me lance-t-elle.
Non non, je n'ai même pas faim. Et une fois partie, me voilà dans le fast food ; une heure de queue, des frites froides, presqu'arrivée à la maison j'écrase un crapaud avec ma voiture et dans un geste de dégout je renverse ma boisson dans la voiture. Ce soir, j'ai mal au ventre, et je sens l'appel du trône. Ca c'est pas cool !
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JMM, 21 ans, Londres
J'avoue que j'en ai ras le bol des jeux olympiques.
Les rues sont bouchonnées, il y a trop de monde, on étouffe !
J'avoue que j'en ai rien à faire de cette compétition aux enjeux de frics et où le dopage est plus que flagrant.
J'avoue qu'il est inacceptable que le président du CIO n'ait pas fait son discours en français comme l'exige le principe des jeux.
J'avoue que je m'en cogne que tel pays a remporté une médaille.
Ras le bol des jeux olymfric.
J'avoue que le vrai sport, l'esprit sportif où l'essentiel était de participer, a disparu.
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Izzie, 21 ans, Toulouse
J'avoue qu'on est sacrément complices toi et moi et que je ne pensais pas que tu t'intéresserais à moi.
J'avoue que je te pensais être l'un de ces tombeurs, que je n'allais pas revoir le lendemain. Mais j'avoue que je m'étais trompée.

J'avoue avoir été étonnée que tu m'intègres aussi facilement dans tes différents groupes d'amis. J'avoue qu'on a les mêmes délires un peu crades tous les deux, qu'on rigole des mêmes choses et surtout beaucoup de nous. Mais aussi de l'infidélité, de l'échec, du sexe sale... avec toi, je ris constamment même des thèmes les plus noirs. J'avoue qu'on prend plaisir à se taquiner, à se dire des choses faussement méchantes mais c'est ce qui fait partie de notre complicité.

J'avoue qu'il y a aussi un violent désir charnel entre nous, que tu es le seul à m'avoir fait atteindre l'orgasme et le seul qui m'a fait ressentir ce besoin quasi étouffant, presque douloureux de t'avoir près de moi. Et au-delà de ça, je sens aussi beaucoup d'attentions de ta part.

Je crois qu'aucun de mes copains n'a eu autant de pensées pour moi. J'avoue que le coup des viennoiseries au réveil, le jour de mon anniversaire avec son collier mignon mais pas kitch, a fait son effet. Mais j'avoue qu'il y a pleins d'autres instants comme ça où je me dis que tu es l'homme parfait.

J'avoue que tu es sacrément sexy, même si tu ne le sais pas, drôle et surtout généreux. Mais j'avoue que notre humour piquant et notre relation de couple indépendant, cool et sans fioriture, ne m'aide pas à te dire que je tiens à toi plus que de raison.

J'avoue que lorsque j'ai reçu ces messages de toi en pleine nuit, alors qu'on ne s'était pas vus pendant trois semaines et qu'il n'est pas prévu qu'on se voit avant septembre, j'ai eu le coeur qui battait fort : "Je crois que je suis raide dingue de toi et tu me manques furieusement."

J'avoue que ça ne te ressemblait pas, mais qu'à cet instant j'étais la plus heureuse des femmes et que j'ai souris bêtement pendant trois minutes mais que comme d'habitude, j'ai répondu un truc à la con par peur de t'en dire trop. "Drague d'autres filles :)" Et que ta réponse m'a surprise mais ô combien fait plaisir "T'es nulle... je suis en boite là et il n'y en a aucune qui t'arrive à la cheville... voilà ! Je t'aime et j'ai pas été foutu de te le dire jusque là. Donc si tu avais été tenté par quelqu'un d'autre, dis-le moi maintenant...".

J'avoue que je ne savais pas quoi répondre à part que tu me manquais. Mais je ne suis pas sûre que c'est ce que tu attendais et ce que j'attendais non plus. J'avoue surtout que je suis juste une handicapée des sentiments qui n'a pas été fichue de te rassurer et de te crier ce que j'avais sur le cœur depuis longtemps. J'avoue que je t'aime aussi et que tu es la meilleure chose qui me soit arrivée jusqu'à présent.
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Ohèvhayim, 30 ans, Paris
J'avoue que ces trois mois ont été inattendus.
Trois mois magiques passés à tes côtés...
J'avoue que notre relation n'était pas légitime, tu avais quelqu'un de ton côté, tu me l'avais dit et c'est pour cela que je pensais que rien ne se passerai.
Or, ce soir-là, tu m'a charmé, tu m'a envouté, je suis tombé amoureux de toi.
J'avoue que nous avons passés des moments inoubliables, des moments tendres où j'ai découvert un amour de femme en toi.
J'avoue que j'ai pensé que tu étais la femme de ma vie.
J'avoue que tu sais être adorable mais que tu sais être capricieuse et ne sais pas apprécier des belles choses qui nous entourent. J'avoue ne pas te comprendre...
J'avoue qu'on ne se voit plus et que je suis très étonné de voir comment tu as pu passer de la femme amoureuse à la femme insensible qui me laisse tomber comme une serpillère.
J'avoue que je t'aime encore et j'ai du mal à t'oublier A.
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Melle_printemps, 21 ans, Paris
J'avoue que je ne sais plus comment agir. Avec toi, avec les autres. Je dis à tout le monde que ça va, mais dès que je suis seule, je ne fais que pleurer. J'avoue que personne ne m'a jamais manqué à ce point là, j'avoue que je n'ai jamais aimé personne comme ça.

J'avoue que je ne comprends pas pourquoi je n'arrive pas à te parler malgré tout ce que j'aimerais te dire. Tu penses que "c'est mieux comme ça" mais j'avoue que je n'arrive pas à m'y faire... J'ai tout le temps envie de te câliner dès que je te vois, c'est tellement difficile de ne pas le faire !

J'avoue que même si je le voulais, je ne peux pas me passer de toi, de nos discussions, de nos câlins...
Le peu de personnes avec qui j'ai voulu en parler m'ont dit "ça passera blablabla..."
Mais j'avoue que je ne vois pas très bien où la vie peut me mener sans toi. C'est con je sais, mais je t'aime et je n'y peux rien. Tu me manques tellement...
Quoiqu'il arrive, je pense que jamais plus je ne vivrais quelque chose comme ça (Je ne suis pas fataliste, juste réaliste, quand on casse un objet et qu'on essaie de le réparer, il ne retrouve pas exactement son aspect de départ, on voit les marques...).

J'avoue que je fais ma vie en essayant de ne pas penser à ce qui pourrait arriver, je ne m'attends plus à ce que tu reviennes...
Mais j'ai tant besoin de toi, j'avoue que j'aimerais qu'on reste très proches...

J'avoue que je suis complètement perdue mais tant qu'on sera là l'un pour l'autre, ensemble ou pas, je m'en fous complètement.
J'avoue que même si ne plus être avec toi me rend malheureuse, je suis vraiment contente de te connaitre, d'avoir la chance d'être là pour toi, et j'espère pour longtemps.
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Rick2012, 29 ans, Paris
J'avoue que je n'aurais pas dû lui écrire, ok. Je ne pensais plus à elle et... bon bref.
Mais ce que vous pouvez être chiantes ! Des dizaines de messages, on se voit deux fois, et rien !
"Je ne sais pas ce que je veux". Mais bon sang, c'est pas compliqué !
Alors quand on la joue, charmant ça va pas. Quand on la joue fonceur, ça va pas. Quand on essaie d'être proche, ça va pas. Quand on essaie d'être distant, ça va pas.
Et moi je fais quoi maintenant ? Partagé entre le respect que j'ai pour elle et mon envie de forcer les choses pour l'obliger à se lancer et prendre des risques ? Ce que vous pouvez être compliquées... Si au moins elle pouvait sortir de ma tête... Bordel !
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Alain, 37 ans, Suisse
J'avoue qu'actuellement je m'enfous que tu sois mariée et que tu portes l'enfant de ton mari. Je m'en tape !
J'avoue que je t'aime encore malgré ce que tu m'as dit et que je sais que tu ne penses pas car je te connais trop bien que tu le veuilles ou non. Je t'ai dans la peau, chaque jour, chaque heure, chaque minute, je pense à toi, sans déconner.
J'avoue essayer de ne plus penser à toi mais je n'y arrive pas. J'avoue que je viens la nuit me garer tout près de chez toi et je dors dans ma voiture histoire d'être près de toi. Je sais j'avoue que c'est débile mais c'est mon cœur qui te réclame à chacun de mes souffles et c'est même devenu insupportable ! Je vais en mourir si ça continue trop longtemps. Je te désire et je te donnerai une vie des plus heureuses. Je n'ai d'yeux que pour toi ! Aucune autre ne m'intéresse et ne m'intéressera. Il suffit que tu prennes ton courage et ton coeur et que tu fasses un grand pas.
Tu es quelqu'un de magnifique, belle et intelligente et douce et irrésistible à mes yeux.
J'avoue que je suis fou de toi et que je serai fou sans toi ! Mon amour est vraiment sincère, je t'en supplie n'attend plus ! Jessica, je t'aime... très fort.
J'avoue que je ne me cacherai plus et que si il le faut j'enverrai les photos de nous à ton mari. Il ne te mérite pas. Je te rendrai heureuse pour le restant de mes jours, je ferai de notre vie un paradis sur terre.
J'avoue que je le ferai car sans toi c'est l'enfer.
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Treize, 26 ans, Paris
J'avoue que j'ai une vie complexe et très dur depuis ces six derniers mois. J'avoue que lorsque je t'ai vu débarquer dans celle-ci, droit dans tes bottes, sincère, me conseillant, m'orientant sur mes choix ; je n'ai rien fait d'autre que de me laisser porter par toi et par la suite des événements.

J'avoue que tu ne me plaisais pas tant que ça au début, mais que je me suis très vite attachée à toi. Dès lors, j'avoue que je t'ai rapidement considéré comme un rayon de soleil et une bouffée d'oxygène, dans ma vie que je considérais comme un enfer. J'avoue que tu étais mon repère, ma stabilité et que je t'en ai trop demandé, trop vite...

Et que tu ne me donnais pas assez, trop lentement... J'avoue que nos moments me permettait d'oublier le tunnel que je suis en train de traverser. J'avoue que j'adorais dormir, baiser, t'embrasser, lire, regarder des films, discuter, rigoler, faire la fête en ta compagnie.

J'avoue que lorsque tu m'as annoncé que tu étais finalement amoureux d'une autre, ça m'a assommé et que j'ai du mal à rebondir depuis. J'avoue qu'en plus de me sentir abandonnée, j'ai l'impression que je n'ai plus de repère.

J'avoue que j'ai rarement aussi mal encaissé une rupture. J'avoue que ça n'a duré que deux mois. J'avoue que c'est d'autant plus stupide, que je devrais m'en remettre rapidement normalement...

J'avoue que je t'ai dit des choses odieuses, que je ne pense pas parce que je souffrais terriblement... J'avoue que j'avais besoin d'être méchante mais qu'au fond je t'aime encore... J'avoue que je sais que ce n'est plus possible entre nous et que j'en souffre. J'avoue t'avoir perdu après m'être accroché à toi dans un moment de ma vie où tout allait mal. J'avoue que je t'ai pris pour mon sauveteur, une sorte de prince charmant des temps modernes et que tu n'as pas suivi... 
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Seraphin, 40 ans, Rennes
J'avoue que je ne croyais pas au "coup de foudre". Enfin pour les autres peut être mais pas à moi. J'avoue que j'avais enclenché le mode "Ours Mal Léché", j'avoue qu'elle a transpercés mes "défenses" en trois mots.
J'avoue que je ne suis pas libre et qu'elle non plus.
J'avoue qu'elle ma conquis en un regard.
J'avoue que je ne pense à elle tous les jours, depuis ces 3 jours de formation.
J'avoue que mon cœur bat plus vite depuis dès que je pense à elle.
J'avoue que je ne connais pas ses sentiments, et que je ne veux pas lui parler des miens.
J'avoue que je suis un peu perdu.
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Ptitemetaleuz, 25 ans, Paris
J’avoue que ça n’a beau faire que 6 mois qu’on se voit, ça fait bien 2 ans que je te désire...
J’avoue que j’ai menti à mon ex en lui disant qu’on était que des amies et qu’il ne se passerait jamais rien.
J’avoue que j’ai beaucoup de mal à m’empêcher de te toucher quand on est toutes les deux.
Je ne suis pas jalouse de ta copine actuelle, je ne suis pas insensible aux autres filles, mais j’avoue que je ne pense qu’à toi quand je suis dans les bras d’une autre.
J’avoue que je suis tombée amoureuse de toi avant même de connaître ton prénom.
J’avoue que j’ai peur de t’avoir tout avoué la semaine dernière et que je regrette de n’avoir aucun souvenir de ce qu’on s’est dit après avoir pris une murge monumentale.
J’avoue que je suis amoureuse d’une de mes amies, et que tout le monde s’en doute sauf elle.
Mais enfin, j’avoue que mon plus gros problème en ce moment, c’est ce p***in de réseau orange qui déconne alors que j’attends un texto de sa part !!!
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Jonhatan, 35 ans, Montauban
J'avoue que si tu continue à me casser les pieds et à me rendre la vie impossible, je vais finir par aller voir ailleurs pour avoir de la tendress ! Si je reste avec toi à l'heure actuelle c'est pour notre fille.
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Roudoudou, 37 ans, Libourne
J'avoue en avoir plus que marre de lire vos aveux d'infidélités.
J'avoue ne pas comprendre comment vous faites après ça, pour regarder dans les yeux votre compagnon officiel.
J'avoue que vos aveux me dégoutent et d'ailleurs, que vous aussi, vous me
dégoutez.
J'avoue que j'aimerai bien voir à quoi vous ressemblez, mais j'avoue aussi être certain que vous êtes moches à l'intérieur.
J'avoue que je pourrai simplement arrêter de vous lire, mais que lorsque je commence un aveu, j'ai envie d'aller au bout.
J'avoue ne pas comprendre comment vous faites pour mener une double vie, et oser vous regarder dans la glace sans ressentir du dégout.
J'avoue penser que vous êtes des personnes misérables et qu'à mon humble avis vous ne méritez pas pour l'instant d'être aimé.
J'avoue comprendre que vous vivez en couple mais que vous n'en voulez pas les contraintes. Dans ce cas, ayez le courage de partir et menez une vie faites de rencontres multiples.
J'avoue détester l'idée de vivre dans le mensonge, comme vous le faites souvent sans scrupule.
J'avoue penser que vous ne valez pas grand chose, et que si toutefois vous connaissez le mot "respect", il ne doit pas beaucoup vous inspirer.
J'avoue espérer que votre conjoint(e) fait la même chose que vous. Ainsi, il(elle) est à votre niveau et vous vous méritez.
J'avoue ne pas croire en dieu, mais que quand on s'engage dans une relation sérieuse, on se doit d'être loyal et honnête.
J'avoue que je suis marié, mais que je n'ai pas la certitude que ma femme et moi resterons fidèles. Mais j'ai envie d'y croire, contrairement à vous.
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Klimera, 21 ans, Strasbourg
J'avoue que l'on s'est mis ensemble l'hiver dernier mais que ça n'a pas duré à cause de nos différences de mode de vie.

J'avoue que l'on s'est revu il y a quelques semaines pour en conclure que ça ne marchera jamais entre nous.

J'avoue que l'on s'est revu ces derniers jours, que l'attirance physique était toujours là et qu'on a pas su résister à l'appel du corps. J'ai adoré ces moments et toutes ces découvertes à deux.

J'avoue que je ne sais pas trop où j'en suis. J'avoue que je veux te revoir R. Mais je ne sais pas si c'est toi ou ton corps qui me manque le plus...
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Matttttttttttt, 21 ans, Grenoble
J'avoue que j'ai changé.
J'avoue ne plus être le même.
J'avoue avoir perdu mes rêves et tout mes espoirs concernant ma vie.
J'avoue que c'est sûrement à cause de mes parents et de mon éducation.
J'avoue qu'au fond ce n'est pas de leur faute, après tout ils n'avaient pas le choix, et ils n'ont pu me le donner non plus.
J'avoue avoir oubliée ce que je voulais faire quand j'étais petit.
J'avoue avoir perdu ce que j'aimais le plus en moi.
J'avoue être devenue comme tout le monde.
J'avoue ne plus comprendre le mal être des gens, le même mal être que j'ai ressenti pendant beaucoup de temps.

Quand j'étais jeune je voulais partir dans l'espace, voyager le plus loin possible. C'est vrai que l'on m'a vite dit que ce ne serait jamais possible. J'avoue n'en avoir pas trop souffert. A cette époque j'avais un nouveau rêve chaque matins.
J'avoue aussi ne pas être si vieux que ça, et beaucoup d'entre vous me diront que ma vie n'a pas encore commencée et que je peux encore en faire ce que je veux.

J'avoue que je pense que vous avez tort. Je suis née en 1990, les années Pokémon et l'arrivé des jeux vidéos dans tous les salons. Je suis de la génération qui ne veux pas vieillir. Sûrement comme toutes les générations.

J'avoue que je donnerai n'importe quoi pour avoir 12 ans de nouveau, même si à cette époque les plus grands s'amusaient parfois à me maltraiter. J'avoue qu'au final ce n'était rien, c'est juste que j'étais un peu trop susceptible. C'est vrai que ça me manque beaucoup toutes ces journées durant lesquelles je ne pensais qu'à jouer. Ces journées où je n'avais qu'à jouer. J'avoue quand ce temps là j'avais encore l'illusion de pouvoir faire ce que je voulais de ma vie.

J'avoue que mes parents ne sont pas très « intelligents » ou plutôt « instruits ». J'avoue que c'est quand même des gens qui ont plus de valeurs que la plupart des personnes vivant sur Terre.

J'avoue que mon père a un problème avec l'alcool. J'avoue que je l'ai tellement vu dans un état second que maintenant quand il est sobre je lui demande s'il va bien. J'avoue que je l'ai toujours connu alcoolique et que donc au final je ne sais pas ce que c'est qu'un vrai père, du coup ça ne me manque pas trop. Dans ma tête tout les pères étaient comme ça et puis c'est tout. J'avoue que ma mère a beaucoup souffert à cause de mon père. J'avoue que quand ils s'engueulaient, on les entendait, mon frère et moi, et qu'on arrêtait de faire du bruit pour mieux entendre ce qu'ils se disaient. J'avoue qu'ils se disaient toujours la même chose. Que mon père avait encore dépensé trop d'argent dans la boisson et que ma mère aurait encore du mal à finir le mois.

J'avoue que de temps en temps quand je n'avais pas dix ans, ma mère me demandait des petites choses comme passer le balai ou mettre la table. J'avoue que des fois elle me donnait 50 centimes de francs, voire même 1 francs. J'avoue que je mettais tout ça dans une boite sur l'étagère de ma chambre. J'avoue que mon père est venu me voler mes quelques sous pour aller s'acheter à boire. J'avoue que ma mère l'a su et qu'ils se sont encore engueulés. J'avoue qu'après je cachais mes sous et que lorsque mon père les trouvait et m'en prenait je ne disais plus rien. J'avoue que je ne dois rien à mon père, que au final il n'a jamais rien fait pour moi. J'avoue que ça ne me manque pas car je ne sais pas ce qu'un père est censé faire.

J'avoue qu'en ce temps-là ce n'était pas grave car je ne pensais qu'à m'amuser sur le dernier jeux vidéo qu'on venait d'acheter mon frère et moi. J'avoue que quand on eut 12 ou 13 ans ma mère a commencé à nous donner de l'argent de poche, 100 francs, puis 15 euros. J'avoue qu'un jeux sur PS2 coûtait environ 60 euros, et que mon frère et moi on ne pouvait s'en acheter que tous les deux mois, mais qu'on passait un temps fou dessus. Avec le recul je pense que c'était parce qu'on était tout les deux. J'avoue que c'est sûrement pour ça que je ne joue plus. C'était plus marrant à deux.

J'avoue que j'ai eu des facilitées à l'école, que j'ai atteint la terminale et eu mon bac sans trop avoir à travailler.

J'avoue que après le bac j'ai choisi la même chose que mon frère mais pas au même endroit. J'avoue que ce n'était que pour sortir de son ombre. J'avoue que je me suis bien amusé et que je n'ai rien fait, que j'ai redoublé et qu'après ça j'ai dû énormément taffer. J'avoue que je l'ai mal vécu. J'avoue qu'au final la prépa c'était très dur, mais que l'internat en prépa est l'endroit où je me suis sentie le mieux de toute ma vie.

J'avoue qu'a la fin de mes trois années de prepa je me disais que l'année qui allait venir était totalement nulle car l'année qui venait de s'écouler était tellement bien.
J'avoue que je me suis dit ça trois ans de suite en me trompant à chaque fois.

J'avoue que ça fait un an que j'ai quitté la prépa, et que cette année n'était pas aussi bien que ce que j'attendais. Je me suis rendu compte que je n'étais plus un enfant et que j'allais sûrement faire un taff que je hais pendant les 50 prochaines de ma vie.

J'avoue que si mes parents avaient eut de l'argent, que si ils ne m'avaient pas répété tant de fois que seul un diplôme me permettrait d'avoir de l'argent, et que des carrières « artistiques » (cinéma, dessin, écriture,...) ne rapportaient rien, j'aurai sûrement choisit autre chose après le bac.

J'avoue que je me suis enfermé dans des cours idiots et théoriques qui n'ont de cesse de tuer mes rêves à petit feu. J'avoue que ce n'est pas ce que je veux faire mais que je vais quand même le faire juste pour de l'argent, juste pour ne pas connaître la même vie que mes parents.

J'avoue que je n'en ai pas envie mais que je n'ai pas le choix. Au final, dans la vie, pour faire ce que l'on a envie de faire, il faut les moyens. Et ces moyens je ne les ai pas. Et c'est pour donner ces moyens à mes enfants que je vais faire de ma vie quelque chose qui n'est pas moi.

J'avoue qu'à cause de ça j'ai déjà beaucoup perdu de ce que j'étais.
Et j'avoue aussi que ce n'est pas fini.
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Izzie, 21 ans, Toulouse
J'avoue que mon CV est bien vide comparé à ceux de mes camarades de promo qui ont pris l'initiative de se dégoter un stage d'été, ces vacances.
Et j'avoue que ça me fait un peu flipper ! Je suis censée valider mon diplôme dans deux ans, et je me demande bien quel employeur va vouloir de mes services avec mon stage de 3ème pour seule "expérience professionnelle".

A l'heure actuelle, je me disais que l'intérim pouvait être une bonne alternative, même si ce n'est pas un stage professionnel, histoire de s'occuper, de se faire un peu d'argent (ce qui n'est jamais de trop en tant qu'étudiant), et de remplir un peu ce CV... Je suis quelqu'un de volontaire et bosseur, mais j'avoue que je ne me sens jamais à la hauteur des offres d'emploi en intérim que je vois sur le net.

Même des jobs d'été non qualifiés alors que je suis en école d'ingé ! Pourquoi faut-il une expérience d'un an minimum pour une mission d'intérim dans la vente ? Et puis, il a l'air tellement difficile pour des jeunes de trouver du boulot sans piston... Arf, j'avoue, je me cherche des excuses, j'aurais dû demander à tous les labos de Toulouse s'ils ne cherchaient pas un stagiaire trois mois avant, et je l'aurais eu, mon stage... comme tout le monde !
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Troisneuf, 27 ans, Besancon
J'avoue, elle est comme un poison pour moi. Elle me fait crever à petit feu et je la déteste pour ça. J'avoue que j'ai l'impression de vendre mon âme au diable.

J'avoue qu'on me dit qu'il vaudrait mieux que j'arrête la, que ca ne mène à rien. J'avoue que je suis d'accord avec ces gens là.

Mais ensuite je la vois et j'oublie mes idéaux et les conseils des autres. Ben oui mais vous la verriez, vous pourriez comprendre. C'est quand même elle mon rayon de soleil !
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Alain, 37 ans, Suisse
Te rappelles-tu sur ce petit sentier près de chez toi on s'est naturellement donné la main comme si nous étions ensemble car nous sommes fait l'un pour l'autre accepte-le !
J'avoue qu'il est impossible de me tromper à ce sujet et de faire comme si rien ne s'était passé. Tu joues très mal la comédie.
Au lieu que j'avoue tout sur ce site et en priant pour qu'un jour tu me lises ici ma chère Jessi..
Alors avoue-le à toi même d'abord au lieu de jouer à je te vois plus pour garder tes distances !
Cet aveu est pour toi pour que tu te l'avoues à toi-même et pour empêcher que deux êtres qui s'aiment énormément passent à côté de leur vie. Écris-moi je te dirai rien mon amour de toujours.
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Caramel, 20 ans, Luxembourg
J'avoue aimer passer du temps avec toi.
J'avoue que tes câlins, tes caresses, tes bisou, sont pour moi, magnifiques.
J'avoue aimer me retrouver dans un lit avec toi.
J'avoue aimer quand ça va plus loin.
J'avoue aimer t'entendre gémir lorsque nos corps s'entre-lassent.
J'avoue que le meilleur moment c'est lors de ton orgasme, ton corps ce crispe, ton cri s'assourdit puis, tout entière tu te met à trembler, je ne peux que jouir à mon tour.
J'avoue que tu es parfaite pour moi.
Et tu te reconnaîtras...
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Almaze, 19 ans, Marseille
J'avoue que je pense à ce garçon. Ce même garçon qui a fait fondre une amie il y a plus de 3 mois. Et même si c'est de l'histoire ancienne à ses yeux, qu'elle le déteste presque, je culpabilise alors que je lui ai juré qu'il ne me plaisait pas. Celui qui est devenu pour moi un bon copain.
J'avoue essayer de m'en convaincre. Tout le monde le remarque on se ressemble beaucoup lui et moi.
J'avoue penser à lui le soir parfois, j'avoue vouloir l'embrasser ne serait-ce qu'une fois, être la femme séductrice dans toute sa splendeur, féline même, afin de le faire succomber, juste une nuit sans forcément coucher... Ce serait religieusement impossible. J'avoue avoir envie qu'il me serre contre lui, une nuit ou une journée histoire d'assouvir ce désir.
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Anastasiette, 35 ans, Annecy
J'avoue que la bonne femme des impôts d'Annecy que j'ai eue au téléphone est une vraie sans-cœur et sans pitié.
A manquer de respect comme elle l'a fait, elle ne l'emportera pas au paradis.
Madame, vous êtes une vraie connasse mal baisée.
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Maaal, 18 ans, Paris
J'avoue que ce site est devenu mon meilleur ami et confident depuis que j'ai perdue toutes mes "amies".
Je suis devenue la pauvre conne de service. On ne m'appelle plus ou si on m'appelle à minuit quand la soirée est déjà finie.
Voilà à quoi je sers. Je ne sers à rien. Personne ne s'intéresse à moi. Je suis un pauvre pot de fleurs qui se fanent jour après jour.
J'ai besoin que quelqu'un vienne m'arroser. J'ai tellement de parfum, de gaieté à donner.
J'avoue que cette métaphore filée avec le pot de fleurs n'est pas mal du tout. J'rigole.
Voilà où j'en suis. Je suis malheureuse. Pourtant je suis une fille géniale. Je les déteste. Un jour ce sera moi au sommet et elles en bas.
Elles me rejettent, me mettent au second plan. C'est quoi l'amitié ? J'ai envie de crier, crier fort, très fort et de donner un bon coup de poing !
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Gds, 41 ans, Suisse
J'avoue qu'il y a quelques semaines ma copine a préféré me "laisser vivre ma vie".
J'avoue que ma vie j'aurais voulu la vivre à ses cotés.
J'avoue qu'elle ne me l'a même pas demandé.
J'avoue que lorsque j'en parle autour de moi les gens m'écoutent par politesse, sans implication, sans âme en espérant que le sujet se tarisse. Les mots glissent sur eux sans accrocher un quelconque intérêt. Au mieux ils incitent à la raillerie.
J'avoue avoir remarqué depuis longtemps déjà que les gens qui nous entourent n'ont pas envie d'entendre nos problèmes, ils ont les leurs.

J'avoue m'être renfermé et ne plus parler de ce que je ressens, d'être faux pour que les gens puissent simplement converser sur des banalités quotidiennes, ces banalités qui assurent la cohésion sociale et qui ne froissent personne.

Ces banalités qui font que l'on s'intègre sans déranger.
J'avoue que dans ces conditions, être triste ou joyeux ne change rien. Marc Lévy a dit "les émotions sont faites pour être partagées" et je m'en rends compte maintenant plus que jamais.
J'avoue que sans partage des émotions, que l'on soit entouré ou non, que l'on soit joyeux ou triste, on est seul, terriblement seul.
J'avoue que Victor Hugo avait raison lorsqu'il disait "L'enfer est tout entier dans ce mot : solitude".
J'avoue que je me renferme de jour en jour.
J'avoue que j'ai souvent entendu les femmes se plaindre du manque de communication des hommes.
J'avoue que je n'avais jamais autant communiqué durant une relation.
J'avoue que pour cela j'ai dû faire de gros efforts.
J'avoue que cela n'a servi à rien, si ce n'est à me rendre émotionnellement plus vulnérable.
J'avoue que pour les autres je ne sais pas, mais pour moi, une telle déchirure va inexorablement limiter ma communication à l'avenir.
J'avoue que je me demande pour combien d'hommes la souffrance a été un frein à la communication ?
J'avoue que je l'ai dans la peau et que je vais encore souffrir longtemps… mais maintenant je comprends Jean Rostand "Être adulte, c'est être seul".
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Une autre, 30 ans, Rennes
J'avoue, notre relation continue toujours à tourner comme aux premiers jours, toujours aussi sensuelle et forte.
J'avoue nous avons fait un plan à 3 il y a 15 jours, même si c'était moins fun que prévu car vous vous jaugiez avec "l'autre" et que ce crétin normalement très grande gueule a fait son timide.

J'avoue, c'est fusionnel entre nous, et nous avons à nouveau batifolé dans les bois, je garde même un souvenir merveilleux d'une escapade nocturne en ville, à batifoler derrière une haie où personne ne pouvait nous voir.

J'avoue, notre amour fraternel n'a cessé de grandir, de se déployer, de s'ancrer dans nos cœurs et c'est à la fois merveilleux et douloureux.
J'avoue, j'ai vécu 1 mois H24 avec toi et malgré les coups durs nous en sommes sortis plus forts, plus proches, plus frère et sœur que jamais.

J'avoue, tu sais que je suis amoureuse de toi, tu sais que tu seras toujours dans mon cœur, tu sais que je ne peux pas me passer de toi, tu m'as écrit noir sur blanc que tu ne voulais plus me sortir de ta vie, tu m'as aussi répondu de vive voix "moi aussi" quand je t'ai dit "je t'aime fort".

J'avoue, ce mois passé avec toi a gravé quelque chose d'indélébile dans nos deux cœurs, un point de jonction unique entre toi et moi, une chose que personne ne pourra jamais nous enlever.

J'avoue, il y a cet homme vers lequel tu me pousses, pour qui je vibre gentiment parce qu'il est adorable, mais c'est encore trop tôt, chaque fibre de mon cœur et de mon corps ne tremble que pour toi, pour tout ce que tu m'apportes, pour la confiance que nous avons l'un envers l'autre.
J'avoue, tu as mis de moins en moins de barrières et du coup nous nous sommes écorchés, tu m'as dit quand je te le faisais remarquer "on accepte tout de l'autre". On accepte l'autre comme il est, on se comprend enfin, et tu as enfin accepté de te reposer sur moi - tout comme moi j'ai appris à te connaitre et à percevoir les moments de solitude dont tu avais besoin. Le maitre mot entre toi et moi c'est confiance.
J'avoue, je t'aime, je ne peux qu'apprendre à avancer un jour après l'autre, en essayant de garder à l'esprit que nous nous serions sans doute déchirés si nous avions été réellement ensemble, et que nous sommes plus proches ainsi que nous ne l'aurions jamais été...

J'avoue me poser une question... Être si bien quand on est tous les deux, se deviner, savoir se déchiffrer, jouir en même temps quasiment à chaque fois, savoir dormir ensemble sans batifoler, savoir se créer une bulle où nous n'existons que tous deux et dans laquelle nous baissons la garde... tout ça, est-ce que ça ne serait pas de l'amour, pur et simple, de ceux dont on rêve toute sa vie ?
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