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22354 aveux trouvés
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Bib, 22 ans, Aix en provence
J'avoue que je depuis que je suis partie de chez mes parents (1 an) et par la même séparée de mon ex, je fais n'importe quoi.
Je multiplie les relations d'un soir, parfois plusieurs hommes dans la même semaine.
Dès qu'un homme me plait vraiment je deviens complètement dingue et le fais fuir parce que ce n'est plus moi la maitresse du jeu.
Je sors régulièrement, bar, boites de nuit, bois beaucoup plus que de raison et parfois même me laisse convaincre par une drogue et ne rentre que rarement seule.
La bonne nouvelle c'est que j'excelle dans mes études et que ma famille étant au courant que de ce point positif est très fière de moi...
Alors voilà, la question c'est est-ce que je suis réellement devenue une salope débauchée ou est-ce que je suis une étudiante qui s'amuse et ne devrait pas avoir honte ?
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Troisroys, 30 ans, Paris
J'avoue que je ne te supporte pas, je n'arrive pas à te le dire en face mais tu es d'un ennui mortel.
Même la moindre petite blague ne te fais pas rire et je ne sais pas comment les autres font pour te supporter, moi tu me sors par les trous de nez !
Je suis une fille très joyeuse et tu me donnes envie de me pendre... alors j'avoue la prochaine fois tu auras une excuse bidon pour pas se voir.
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Phoenix, 26 ans, Val de Marne
J'avoue que ça y est j'ai sauté le pas. Je me suis réservée des vacances dans un club.
Mais j'avoue que je m'y suis prise comme un manche.
J'avoue avoir commencé à réserver deux fois le même voyage, heureusement je suis fait rembourser.
J'avoue n'avoir pas prévu le temps de transport entre l'aéroport et l'hôtel. Et je vais me retrouver à prendre un taxi.
J'avoue que ça me fait peur de partir seule. Je stresse, mais je pense que tout ira bien, d'autre l'ont fait avant moi, je peux le faire.
J'avoue ce que j'aime en vacances, c'est d'y être.
J'avoue qu'il me tarde qu'on invente la téléportation. Pour ne plus avoir de problèmes de transport.
J'avoue que ça va faire maintenant 10 ans, que j'écris mon roman. La première partie est finie, la seconde n'en est qu'à son commencement.
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Grenouille, 21 ans, Nice
Comme toutes les petites filles, j’ai rêvé du prince charmant.
Il était là, sur son cheval blanc, une rose à la main, romantique à souhait.
Cet homme, je l’ai souhaité avec un humour décapant, qui m’aurait fait rire aux larmes. Cela fait si longtemps que je n’ai pas ri aux larmes…

J’ai cette impression de vide en moi-même, comme si j’étais une coquille vide. J’ai l’impression de ne plus rien ressentir.
Le cœur qui bat à la chamade, rougir quand je te vois, j’ai l’impression que des siècles sont passés depuis la dernière fois que j’ai ressenti ça. J’aimerai bien qu’une fois à nouveau je respire. Avoir l’impression de ne pas m’étouffer, de suffoquer dans un monde ou je ne peux pas agir. Je suis une poupée de chiffon que l’on balade un peu partout, sans que je ne puisse rien y changer. Mon destin semble tracé, et je dois m’en accommoder.

D’un autre côté, j’ai peur de tout abandonner. Toi, tu m’aimes, tu sembles me comprendre et m’accepter comme je suis. Non, en fait, tu ne comprends pas, ou tu ne veux pas. J’ai peur de t’avouer à quel point je suis différente. Non, je n’aime pas le sexe avec toi, enfin, pas toujours. Parfois, quand tu me touche, j’aimerai être ailleurs, car pour moi, c’est une obligation. Tu ne comprends pas à quel point je me suis fait souffrir. En fait, tu ne sais pas que je n’ai pas encore cicatrisé. Au fond, je ne suis qu’une petite fille immature qui profite de toi. Tu ne mérites certainement pas ça. Tu es quelqu’un de bien, et j’aimerai l’être aussi, mais je sais que je te ferai souffrir. C’est égoïste de ma part de vouloir que tu restes ? Tu es le seul à m’avoir redonné confiance en moi. Certes, tu as des défauts, mais également d’innombrables qualités. Tu mérites mieux.

Pourtant, plus je pense à toi, plus j’ai envie de rester à tes côtés. Nous avons des projets, de vivre ensemble, d’avoir des enfants, de se marier. Je ne suis pas prête à ça, et même, je ne suis pas sûre d’être un jour prête. Je suis un brin de fille cassée, laminée par tout ce que je me suis fait subir. J’aimerai te faire lire cette confession, mais j’ai peur des conséquences. Aussi, je te promets de faire de mon mieux pour te rendre heureux. Si un jour je l’ose, je te dirai tout ça en face.
Avant d’envisager une vie à deux, je veux être saine d’esprit, je veux apprendre à être heureuse avec toi. Je t’aime. Pardonne-moi.
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Nietzsche, 30 ans, Paris
Les cabinets de recrutement ne lisent pas les CV mais cherchent à se rassurer sur une commande client sans jamais rechercher un potentiel ou une originalité de parcours.
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Marie, 19 ans, Lille
J'avoue que je pensais ne plus être amoureuse de toi.
J'avoue que je pensais que tu n'étais pas du genre à te mettre en couple, à tomber amoureux. J'étais folle de toi pourtant. J'ai réussi à tourner la page.
Mais j'avoue que te voir avec elle me fait mal. Les larmes que je n'ai pas pleuré ces dernières années, elles coulent aujourd'hui. Au fond de moi, je te pensais inaccessible. J'avais cet espoir de briser cette barrière entre nous. Je t'ai toujours aimé. Je n'aime pas la personne que tu es devenu, je ne supporte pas te voir avec elle. Mais je t'aime comme il y a 3 ans et je trouverais le moyen de ne plus t'aimer.
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Louve, 17 ans, Bordeaux
J'avoue que j'en ai marre d'être seule.
J'avoue que je pense pas être un laideron, et que je sais tenir une conversation intelligente.
J'avoue que l'on me dit que "ça viendra", mais ça vient pas.
J'avoue que j'ai envie d'être amoureuse, moi aussi !
J'avoue que j'ai pas envie non plus de sortir avec n'importe qui.
J'avoue que quand je vois des filles neuneu, en couple avec des garçons biens, je comprends pas.
J'avoue finalement que je suis juste jeune, et que j'ai juste envie d'être un peu heureuse !
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Justine, 29 ans, Paris
J'avoue que je suis tombée raide dingue de mon infirmier.
J'avoue que dès que j'ai ouvert la porte, mon corps s'est inexplicablement contracté.
J'avoue que quand il m'a piqué, je n'ai pu faire autrement que de le regarder... il était si beau.
J'avoue que quand nos regards se sont croisés, il a dû sentir l'intensité de mon émoi.
J'avoue que j'ai presque regretté que tout soit allé si vite.
J'avoue que je ne cesse de penser à lui et j'avoue que j'espère au fond de moi que moi aussi je hante ses esprits.
J'avoue que je suis mariée.
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Marsupilami, 21 ans, Paris
J'avoue que mes voisins sont des vieux !
Pas un qui se balade nu, pas de couples qui baisent fenêtres ouvertes, pas un qui mate un porno...
C'est ennuyant, ça vit pas dans ce quartier.
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G, 37 ans, Quimper
Journée de m... hier... rendez-vous chez le médecin pour demander un truc pas facile quand on connaît bien personnellement sa médecin... donc lecture de revue de M... , notamment un article sur votre site, d'où ma confession de ce jour...
Par où commencer ?
Allons-y par le début, ce sera plus simple...
Je suis donc avec mon mari depuis 23 ans (faites le calcul, on était jeune...) et je l'aime comme personne ne peut aimer... mais j'aime aussi le saut en parachute, les plongeons du haut des ponts, les soirées filles... bref, les émotions fortes, toujours plus d'émotions fortes...
J'ai donc eu diverses expériences avec divers amis... et amies, depuis que je suis avec lui.
Une "expérience" a duré plusieurs années (5) et j'y ai mis fin il y a peu, après mon deuxième enfant, me disant qu'il était temps de "s'assagir"... mais un amour d'ado m'a rattrapée, moi et mes bonnes intentions... et c'est le pied depuis 8 mois maintenant.
En fait j'avoue ici parce que je ne peux le faire à personne... tout le monde me croit irréprochable, infaillible, très forte... sauf que ça me pèse et voilà... la suite au prochain épisode si j'en ai le courage... d'autant que je n'ai pas encore dit pourquoi j'étais allée chez la médecin...
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Goose, 29 ans, Strasbourg
J'avoue que je ne comprenais pas quel était l'intérêt de faire un sauna et un hammam.
J'avoue que j'ai pu découvrir les joies de cette activité avec ma famille lorsque nous sommes allés dans un hôtel de luxe pour s'offrir une après-midi de bien être.
J'avoue quand je suis rentré et que les trois dames m'ont dit d'enlever mon maillot de bain, je n'ai pas eu le temps de discuter et trop réfléchir. Ces dames étant dans leur plus simples appareil, le corps transpirant la chaleur du hammam, lovées sur des serviettes...
Je me suis exécuté, j'ain enlevé mon maillot et je les ai rejointes.
J'avoue qu'il était très difficile de percevoir la beauté et le charme de leurs rondeurs avec la fumée.
Mais je m'efforcais de deviner leur corps, et j'arrivais de temps à autre à deviner un sein...
J'avoue que c'était la première fois que je me retrouvais nu devant autant de femmes. Je n'avais jamais été dans une plage naturiste mais là c'était tout comme.
Etonnament je n'avais pas la trique... Je comprends pas car je m'imaginais tous les scénarios possibles avec ces charmantes personnes qui poussaient un soupir de temps à autre en raison de la chaleur pesante.
Je ne savais pas quoi faire, l'une d'entre elles sortit, machinalement, je la suivais. J'avoue que je pensais que j'allais m'effondrer.
Je m'approche des douches, et la dame était en train de s'y doucher, toujours nue. Je la rejoins et je me douche face à elle.
J'avoue que je n'arrivais pas à bien profiter du spectacle. Je ne sais pas pourquoi, peur que quelqu'un nous surprenne, timidité, etc.
J'avoue me rappeler seulement de ses belles fesses genereuses et bien rebondies, elle était grande, longue et elancée et ronde tout juste comme il le faut.
J'avoue que j'espérais secrètement qu'elle me demande de lui faire l'amour, qu'elle se jette sur moi.
La réalité était tout autre chose...
Je la voyais se tartiner d'une emulsion marron.
C'était l'occasion rêvée pour démarrer la conversation.
Elle se retourna et me repondit naturellement. J'avoue que c'est à ce moment là que j'ai pu observer qu'elle avait un magnifique ticket de métro.
Elle m'invita à en faire de même, je m'exécutais. J'étais dans un autre monde.
J'avoue que hélas il ne s'est rien passé car je fus obligé de rejoindre ma famille qui m'attendait... Mais j'ai été super excité par cette expérience et même si je l'ai recroisée dans les vestiaires.
J'avoue que j'ai vu plus en détail son visage : laid, gros... Digne d'une mémé. Ça m'a bien refroidi mais j'avoue que je lui aurai quand même bien fait l'amour.
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Bibou, 21 ans, Lyon
J'avoue que j'ai embrassé une autre fille en soirée, tellement saoul que son visage et son numéro de téléphone ne me seront jamais connu.

J'avoue que ta réaction était normale.

Mais putain, ce que j'avoue surtout, c'est que je t'aime encore plus !
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Lolita, 19 ans, Paris
Je suis dans une période de ma vie que je nommerais "point mort". Cela ne m'aurait pas réellement poser problèmes outre le fait que cette période de point mort dure depuis deux bonnes années.

J'avoue que j'ai l'impression d'être coupée de du monde. En préparant mes concours pour les grandes écoles, je suis constamment enfermée chez moi, à me bourrer de caféine pour pouvoir travailler. Ma vie sociale est tombé à l'eau, ma vie amoureuse n'en parlons même pas.

Je me sens seule, abandonnée de tous et je me demande à quoi ça sert la vie : faire partie de l'élite mais ne pas pouvoir profiter du bon temps. Se dire que ça paiera plus tard mais peut-être que plus tard il sera déjà trop tard. J'ai envie de tout plaquer, ne rien faire, ne plus travailler, rentrer dans mon lit, regarder une bonne série. Partir à Bali, loin de Paris, toute seule ou accompagnée. Mon corps est faible, je divague.
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Rr, 23 ans, Melun
J'avoue qu'en réalité, tous les gens de ma prétendue bande me font chier, ce sont des cons et connasses qui la vingtaine passée ne font plus que des soirées de merdes jeux de sociétés ou ne sortent plus. J'avoue que leur état d'esprit papy-mamy à faire des restos/bar de bourges de merde me gonflent.
Il est loin le temps où on déconnait juste en s'alcoolisant, en faisant des conneries... vous n'êtes plus que des merdes... et pourtant vous ne le saurez jamais. Aller vous faire en... vous et votre monde de merde.
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Bal, 40 ans, Saint-Lô
J'avoue que j'ai un amant depuis quelques années, par intermittence physiquement mais il ne quitte pas mon esprit, j'avoue que c'est bon et que j'en veux encore.
Je les aime tous les deux. Mes envies augmentent quand je les sais tous les deux avec moi.
Mais l'Amant fait la tête, il a un sale caractère, depuis deux mois, plus de nouvelle. Et pourtant... J'avoue qu'il me manque, j'avoue qu'il me fait toujours fantasmer, je revois nos moments passés ensemble, des petits riens aux chaudes étreintes.
Je relis ses messages les plus forts et je repars avec lui. Mon chéri, Mon Grand, tu peux être si bon. Je te veux encore. Reviens-moi mon chéri.
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Moucheron, 20 ans, Lyon
J'avoue que je la déteste, qu'elle est bien trop présente dans notre vie, elle accapare toute ton attention, elle est rarement intéressante, elle est bruyante et parfois vulgaire et quand j'ose m'interposer entre elle et toi, tu grognes.
J'avoue qu'elle est quand même belle avec sa haute définition.
J'avoue que si je pouvais me débarrasser de cette télévision je le ferai !
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Lo, 22 ans, Dijon
J'avoue qu'en ce moment la nostalgie me gagne, et que le temps grisâtre de ces dernières semaines n'arrange rien à mon moral.

J'avoue me rendre compte qu'à trop vouloir passer à autre chose j'ai perdu du monde en chemin, j'ai toujours été persuadée que les relations ne duraient pas longtemps, amoureuses et amicales, et la tournure des choses me le confirme.

J'avoue être jalouse de ces gens qui ont des amis dans leurs villes/villages natals, sur lesquels ils peuvent compter et qu'ils voient souvent, car pour moi plus les années passent plus je me sens seule... J'avoue que je me demande si je ne l'ai pas cherché, à vouloir devenir indépendante trop vite, mais à 18 ans en partant de la maison qui ne rêve pas de liberté, de nouveauté et d'insouciance.

J'avoue que mon bonheur c'est toi, et que je suis parfaitement heureuse avec toi, même si il m'arrive de douter sur notre compatibilité à long terme, au moins c'est un risque que je veux prendre, et que je prendrais 100 fois pour être avec toi. Nous le couple si évident pour tout le monde.
J'avoue que je jalouse quelque peu ta relation avec tes ami(e)s et que le fait de savoir que je ne m’intégrerais jamais me soûle carrément. Et non ce n'est pas une bêtise de dire ça, même en essayant vous former un cercle fermé de gens qui se connaissent depuis longtemps et qui n'ont pas besoin et ne veulent pas de nouvelles recrue dans leurs rangs, et encore moins des pièces rapportées, et c'est tellement voyant que tu devrais le comprendre aussi, mais tu fais la sourde oreille et tu me laisse me dépêtrée seule de cette situation qui ne m'apporte rien, à part des engueulades inutiles avec toi.

J’avoue que des fois j’ai l’impression d’être ton support à mauvaise période alors que les bonnes sont réservée à tes amis… J’aimerai ne pas ressentir ça, et me dire que j’ai toute la reconnaissance que je demande (et oui, ce n’est pas beau de courir après la reconnaissance mais c’est humain) mais part moment c’est loin d’être le cas. Alors je me focalise sur les bons moments, les moments de joies et je continue à être la fille optimiste que je suis, gentille et souriante et je me dis que cette vague de nostalgie va vite s’échouer sur un optimisme grandissant. Et avec l’arrivée des beaux jours (enfin si ils arrivent un jour) tout devrait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes (enfin souhaitons le).
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Alain, 38 ans, Suisse
J'avoue que Jessica me rend fou et plus en terme d'amour...
Comment peut-on laisser une personne sans nouvelles d'un coup après des mois passés ensemble ?!
J'avoue que je comprends pas.
Maintenant, j'avoue que je vais prendre la situation en main et cesser d'être gentil.
J'avoue que se faire jeter de la sorte me reste en travers de la gorge surtout si il n'y a rien eu de mauvais dans notre relation.

J'avoue que tu vas en baver et ta relation actuelle va bientôt se terminer ... de toute façon tu l'as terminée avec moi de manière pas honnête, ce n'est qu'un juste retour.
J'avoue que la seule manière qui pourrait la sauver est de me faire des excuses avec un bisou pour terminer le tout.
Doit-on vous avouer que nous les hommes on n'est pas aussi méchants que vous ? La preuve un bisou règlerai tout ...
J'avoue que ça me fait mal au coeur très mal mais il faut me comprendre il y a quelque chose je ne sais pas quoi qui me lie à elle et elle le sait très très bien car elle le ressent aussi et je me fais pas d'idées je le sais.
Quel gâchis vraiment quel gâchis...
L’humanité ne sait pas être heureux ...elle ne le cherche pas elle l'évite par peur du changement brutal. On évoluera jamais comme ça.
Malgré tout ça Jessica, j'avoue que je t'adore amoureusement ou en amitié aussi c'est toi qui décides mais je n'accepterai pas l'ignorance.
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Unemaguette..., 27 ans, Lyon
J'avoue... être dans une m***e internationale comme on dit, avec ce mémoire qui met tellement de choses en jeu pour moi.
Qu'est-ce que j'aimerais, rien qu'une fois, être confiante et ressentir au plus profond de moi que ce que je fais est bien et que ça peut marcher ! Mais j'avoue que ce sentiment m'est tellement étranger qu'il ferait carrément de moi une autre personne...
J'avoue que la voie que j'ai choisie est de celles qui viennent en aide aux autres, mais que parfois moi aussi je fais partie de "ces autres".
J'avoue être terrifiée par le paradoxe de mon existence, car chaque problème qui se règle emporte avec lui aux oubliettes une part de moi ; et j'avoue avoir peur de ne plus être celle que j'étais aux yeux de mon copain, car je ne sais où ces changements me (nous) mèneront.
j'avoue parfois me sentir bien mais la plupart du temps j'avoue que j'éprouve la lourde sensation de passer à côté de ma vie.
J'avoue aussi que j'aimerais, enfin, rencontrer juste une personne qui me ferait croire à nouveau que l'amitié sincère existe.
J'avoue m'apercevoir que je viens tous les 2 ans faire le point ici, et que j'aimerais que dans 2 ans tout ceci ne soit que lointain souvenir...
J'avoue que venir poster sur javoue.com me donne l'impression de jeter une bouteille à la mer, avec l'espoir fou qu'une Bonne Ame la ramassera et, à défaut d'exaucer mes souhaits secrets, se sentira moins seule...
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Zyz, 19 ans, Paris
J'avoue avoir beaucoup de chance, beaucoup plus que je n'en mérite vraiment. J'avoue avoir fait souffrir des garçons, plusieurs fois, en sachant écourter la relation pas trop tard mais jamais assez tôt non plus, leur laissant le temps de tomber amoureux alors que je ne ressentais rien pour eux. J'avoue n'être jamais tombée amoureuse avant celui ci, et avoir eu des théories sur le couple et l'Amour que j'ai détruit à grand coups de niaiserie en rencontrant mon homme. J'ai tellement changé, je n'avais jamais été jalouse de ces couples câlins qui étalaient leur bonheur, je ne les enviais pas, je les laissais vivre, j'étais contente pour eux mais leur situation ne me tentait vraiment pas. D'ailleurs, quand j'ai rencontré B, je jurais à la face du monde que je rentrais dans une période de coucheries, que je profiterai enfin en prévenant tout de suite qu'on n'irait pas plus loin. Et pourtant, je n'avais couché qu'une fois et c'avait été horrible.

J'avoue que quand je l'ai vu, je n'ai pas été déçue, mais je savais qu'il avait une copine, qu'ils vivaient ensemble et que même si ça n'allait pas entre eux, je ne pouvais pas faire foirer leur couple juste pour une nuit sous la tente. Alors je me retenais, je ne faisais que baver sur ses yeux, son sourire, son attitude, ses fesses... Mais je n'ai tenu qu'un jour, quand il m'a demandé que je le prenne dans les bras, et qu'il m'a embrassé, je n'ai même pas pensé une seconde à le repousser, le soir même, nous passions la nuit entière à suffoquer sous la tente et c'était une des plus belles nuits que nous ayons passé ensemble. Même là, je pensais que ça ne pouvait durer qu'une semaine, il habitait à l'autre bout de la France, il était avec cette fille, et moi, j'avais toujours pas envie de m'enfermer dans une histoire sérieuse. Mais à la fin de la semaine, quand il a dû repartir, je l'ai serré dans mes bras et je savais que je voulais le revoir. C'est quand il m'a dit par sms qu'il avait quitté sa copine que c'est devenu très clair, je n'attendais que ça, même si j'ai eu mal pour elle, je me sentais exister et pour une fois, je n'avais pas peur qu'il m'aime plus que je ne l'aime.

Et voilà. Cela fait bientôt 9 mois qu'on est ensemble, je n'aurais jamais cru que mon premier amour soit une telle réussite, aujourd'hui, il est rentré chez lui après avoir passé deux mois chez moi. Je pensais me lasser de sa présence, au contraire, je n'attends plus qu'une chose, qu'on vive ensemble, que tous les deux, qu'on ait notre bulle à nous où on n'appellera pas notre niaiserie par son nom, où on pourra juste être ceux que nous sommes...
Il me manque déjà tellement, encore deux semaines avant qu'on ne se revoit, qu'on puisse à nouveau se blottir dans les bras l'un de l'autre. J'avoue, dans mon entourage, peu de personnes comprennent qu'on puisse souffrir de ne pas se voir deux semaines, je pense que tout le bonheur que je collectionne les rend jaloux, je ne les comprends pas et ça me fait de la peine.
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Lilith, 24 ans, Marseille
J'avoue que j'en ai marre d'être asociale et moyennement bien dans ma peau.
En entendant mon amie qui vient tout juste de devenir célibataire et qui me racontait qu'elle trouvait super de pouvoir se sentir libre, je me suis sentie vraiment mal car pour moi le célibat est un poids et j'avoue que ça m'a mis un coup au niveau de mon estime de moi.
A peine célibataire elle rencontre plein d'hommes et moi, comme d'habitude, je n'attire rien ni personne.
J'avoue que j'aimerais être attirante et être aimée.
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Izzie, 22 ans, Toulouse
J'avoue qu'aujourd'hui, c'est le premier jour de mes 22 ans. J'avoue que je me suis réveillée chez un type que je connaissais à peine au lieu de me réveiller chez un type adorable qui fait tout pour me plaire.
J'avoue que je ne me reconnais plus depuis cette rupture, que je perds tout sens des réalités, que je mens, et que cette quête de destruction me semble romantique. J'avoue que je ne me suis jamais sentie aussi seule qu'aujourd'hui.
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Lefson, 23 ans, Dieppe
J'avoue, je t'ai perdu définitivement. Peut être qu'on ne mesure la valeur d'une chose que lorsqu'on la perd. Dire qu'en m'éloignant, je voulais me sentir uniquement dépendante de moi-même, libérée de toi. C'est naïf, je ne serai jamais libérée de toi, et maintenant ton souvenir sera le symbole de mon erreur cuisante.

J'avoue, je pense que même avant qu'on coupe les ponts, le mal était déjà fait et mon erreur irrécupérable. Mais je ne pensais pas que la souffrance pouvait aller encore plus loin. Tu sais, moi non plus j'ai l'impression qu'elle ne s’essoufflera jamais. Ma vie ne sera jamais l'idéal que je souhaitais. J'espère que la tienne sera meilleure encore que ce que tu espérais.

S., tu es dans mon cœur à tout jamais.
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Homme46, 46 ans, Ouest
J'avoue que je fantasme sur une de mes belles-sœurs. Ce n'est pas une grande beauté, mais elle vieillit bien, et à bientôt 50 ans, elle est toujours désirable.
Dans le même temps, sa fille de 22 ans n'est pas mal non plus.
Bon, j'avoue que c'est un peu le genre de jeune fille salope que l'on voit de nos jours, gros décolleté en avant, mais mignonne et beau cul.
J'ai pu savoir qu'elle pratiquait la sodomie, ce qui augmente mon fantasme, mais la coincer dans un coin me ferait bien plaisir. Le top serait bien sûr de me taper les deux ensemble. J'avoue que ce serait chouette.
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Olaw, 20 ans, Nice
J'avoue que Laurent me manque.
J'aurais voulu garder contact avec lui, continuer à plaisanter avec lui, écouter de la musique avec lui, le réconforter un peu, le taquiner beaucoup.
Je regrette d'avoir été méchante à l'époque. Et trop fière pour le retenir.
J'avoue que s'il me parlait à nouveau j'en serais très heureuse.
J'irais jusqu'à ramper à ses pieds s'il le fallait ! Mais ça n'arrivera pas. Et j'avoue que ça me donne envie de pleurer, parfois.
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