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Questcequipourraitsauverlamour, 27 ans, Lausanne
J’avoue, j’ai mal. Mal au cœur de renoncer à nous, et aux projets dont je ne voulais pas… en tout cas avant toi. Mal au ventre à l’idée de te revoir pour « discuter ». Mal à l’âme de ne pas avoir cédé…
J’avoue que j’espérais fort (presque) tout ce que tu m’as dit ce soir, et que j’étais bien plus près que tu ne le crois de rentrer avec toi. Mais je crois que cette fois, j’attendais plus. Plus que des paroles, même si ces promesses sont merveilleuses chaque fois.
J’avoue que ton attention chocolatée m’a complètement attendrie et que j’étais sur le point de craquer. Te résister est la chose la plus dure que j’ai eu à faire, car j’avoue que je t’aime malgré tout ce qui nous déchire.
J’avoue qu’avec mes grands discours, j’ai l’air de savoir où je vais, alors qu’en vérité j’ai peur de faire la plus grosse erreur de ma vie.
J’avoue, mon souhait le plus cher en ce moment est que tu reviennes vers moi pour me montrer à quel point tu m’aimes, et que cette fois tu te battes pour ce qui compte pour toi : Toi et Moi...
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Bouchon, 31 ans, Paris
J'avoue que je n'ai vraiment pas le moral en ce moment...
J'avoue avoir de nouvelles responsabilités au travail depuis la rentrée qui me font tourner en bourrique.
J'avoue que mon ex aussi me fait tourner en bourrique et je commence à perdre patience.
J'avoue avoir grand besoin de partir loin de tout ça pour faire le point mais je ne peux pas...
Heureusement que tu es là toi, mon amant, il n'y a que ta présence qui m'aide à ne pas broyer trop de noir...
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Faty, 30 ans, Aix-en-provence
J'avoue n'avoir jamais eu de petit ami ou de relation intime depuis ma naissance. J'avoue être pucelle à 30 ans. J'avoue faire des rêves érotiques toutes les nuits. J'avoue n'avoir aucune vie et être accroc au boulot. J'avoue avoir peur de finir seule et aigrie par la vie. J'avoue détester mes collègues de boulot et ne pas supporter de les voir se rouler les pouces en permanente. J'avoue détester cette mentalité française de fainéant et gréviste. J'avoue détester le genre humain. J'avoue détester ma belle-sœur hypocrite. J'avoue détester les carolines car elles ont une trop grande gueule.
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Désespérée, 49 ans, Israël
J'en ai marre d'être esclave de l'ordinateur et de négliger mon ménage.
Je voudrais retourner dans le passé ou tout était plus simple. Je voudrais une vie réelle et non virtuelle.
Mais c'est trop tard, je suis dépendante de la technologie.
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P'tite fille, 23 ans, Paris
J'avoue que les exs sont vraiment des emmerdeuses.
J'avoue qu'elles me font peur.
J'avoue que je ne me sens pas à la hauteur.
J'avoue que je me suis tellement attachée à toi que ça me fait peur... J'ai peur que tu retournes avec elle.
Tu me dis avoir coupé les ponts avec elle pour me faire plaisir, mais ça devrait venir de toi, tu devrais te rendre compte tout seul, que oui, désolé, c'est une amie mais tu ne pourras plus jamais avoir la même relation avec elle, car tu es resté deux ans de ta vie avec elle.

J'ai quoi moi à t'offrir à côté de ça ? J'ai rien, pas de voiture, pas d'appart, pas de job, j'étudie toujours... J'ai peur, parce que tu me dis que mon amour suffit, mais j'ai vu par le passé qu'en matière d'ex, l'amour que je peux porter tout le monde s'en branle..
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Girlgirl, 26 ans, Strasbourg
C'est avec grande joie que je viens avouer aujourd'hui !
J'avoue que j'ai eu le cœur brisé quand l'an dernier, mon petit-ami a passé son temps à flirter avec cette gourde qui était beaucoup plus jolie et mieux foutue que moi.
J'avoue que je me suis toujours comparée à elle. J'ai entamé un régime pour avoir un corps aussi bien que le sien.
J'avoue que je ne me sentais jamais assez bien en comparaison, même si mon copain l'a jarté de sa vie et à pleuré pour moi plus d'une fois par peur que je le quitte à cause de cette histoire.
J'avoue que je suis de bonne humeur parce que j'ai vu les photos de la gourde sur internet aujourd'hui et elle a pris du poids.
C'est ça ma jolie, engraisses-toi... Continue.
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Mirouette, 22 ans, Paris
J'avoue que je conduis très mal, à chaque fois que je prends le volant je fais une connerie.
Mon point faible ? le stationnement !
Toujours de traviole, ou bien je colle trop la voiture d'à côté .
Une fois j'ai accroché le parechoc d'une voiture et je me suis enfuie, j’espère que personne ne m'a vue...
J'aimerais tellement arrêter de faire des conneries au volant !
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Anne Laure, 27 ans, Paris
Patrice, je t'aime.
Toi non.
Ou en tout cas pas assez.
Pas comme il faudrait...
Je le sais.
J'essaye de me détacher de toi.
Mais je n'y parviens pas.
Je ne sais pas pourquoi...
Pourtant, je dois me préserver.
Notre dernière soirée ne va pas m'aider...
Tout était magique.
Je me sens si bien avec toi.
Et il y a tant de choses que j'aime en toi.
En voici une liste non exhaustive.
Danser chez toi, danser chez toi sur de la Newwave, boire avec toi, parler de trésors, rire avec toi, ton visage, faire l'amour, discuter de n'importe quoi... Tu m'émerveilles.
J'aimerai vraiment t'oublier. Ce serait tellement plus reposant...
Pourtant, il m'est difficile de t'effacer.
De toute façon, peu importe mes sentiments ou tes sentiments, notre différence d'âge ne permet pas - tragiquement - un avenir entre nous. J'avoue que tu me manques.
J'avoue que je suis amoureuse de toi. Et uniquement de toi. J'avoue que ton indifférence me fait souffrir.
J'avoue que je suis perdue.
J'avoue que je voudrais te sortir de ma tête mais rien à faire, je ne distingue que toi.
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Domi, 38 ans, Paris
Père, mère, j'avoue que je ne vous aime ni l'un ni l'autre.
Je vous respecte mais mon cœur ne vous aime pas. Idem pour toute ma famille. Toute. Vous voir est la pire des corvées.
Des personnes négatives, jalouses, qui se collent des étiquettes les uns les autres et ne supportent pas que l'un puisse avoir un tout petit peu plus que l'autre.

J'avoue que c'est pour ça que j'ai mis autant de distance géographique en prétextant une mutation alors que je suis au chômage et que je recherche activement un boulot.
J'avoue que je préfère encore ça plutôt que de vous supporter et d'avoir à me justifier quand je ne veux pas venir vous voir. Ras le bol aussi de subir l'opprobre des uns quand je vais voir les autres et vice versa !
J'avoue que j'en ai eu assez de ton mépris, papa, et de ta malveillance, maman, le tout bien dissimulé sous des tonnes de pseudo-gentillesse.

J'avoue que j'ai un compagnon et que c'est en bonne voie, que je ne compte pas vous le présenter et qu'est-ce que ça fait du bien de rompre avec un entourage aussi toxique ! J'avoue que ça n'a pas été facile mais très salutaire...
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Fame, 45 ans, Montpelliers
J'avoue avoir succombé au désir de cet homme. D'avoir, contrairement à mes principes, eu un flirt poussé avec lui dès la première rencontre, et j'avoue avoir couché avec lui dès le lendemain.
J'avoue que j'avais très "faim" après 1 an de disette sexuelle post divorce mais j'avoue que c'est son désir pour moi qui a été contagieux.
J'avoue que l'on se voit quand on le peut - c'est à dire rarement, il est loin et marié - uniquement pour le sexe et la tendresse. Il peut faire très longtemps l'amour et j'avoue que j'adore ça.
J'avoue que ma meilleure amie - qui me l'avait présenté - a fini par le savoir et que maintenant elle n'est plus du tout ma meilleure amie : jalousie, hélas.
Mais j'avoue que je ne regrette rien.
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Holydowie, 18 ans, Paris
J'avoue avoir craqué et englouti deux cordons bleus. C'est craignos un peu, non ?
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Loupgarou, 27 ans, Aix les bains
J'avoue qu'on est amis depuis plus de 10 ans.
J'avoue que je ne me suis jamais intéressée à toi jusqu'à cette soirée au bord du lac il y a 2 ans maintenant.
J'avoue que cette soirée est restée dans ma tête un moment.
J'avoue que la vie a repris son cours quand tu t'es mis avec M. et moi avec S.
J'avoue qu'il y a 2 mois pile, on a menti aux personnes qui partagent notre vie, et on a passé cette soirée tout les 2. Je suis restée avec toi jusqu'au matin, et c'était... magique
J'avoue qu'en fait tu m'attires plus que je pensais, cette nuit ne part plus de ma tête et que te revoir avec tout nos amis est frustrant car je ne peux pas t'approcher comme je voudrais.
J'avoue que la vie est mal faite parfois.
J'avoue que si je ne m'étais pas engagée avec S. et que tu n'étais pas avec M. je débarquerai chez toi pour tout te dire.
J'avoue qu'aujourd'hui, j'ai honte et je culpabilise vis à vis de S. mais que je ne peux m'empêcher de penser que ça recommenceras... et que tu ne me repousseras pas...
J'avoue que j'aimerai que tu penses la même chose...
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Skinnygirl, 31 ans, Grenoble
J'avoue que ce soir est un soir "sans".
J'avoue qu'elle me manque.
J'avoue qu'il me manque.
J'avoue avoir été déçue. Encore.
J'avoue en avoir assez d'attendre.
J'avoue me sentir incapable de me relever.
Mais j'avoue avoir envie de croire que si ce n'est pas arrangé, ça ne doit pas être la fin de l'histoire...
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Fanny.beee, 26 ans, Saguenay
J'avoue que j'en ai ras le bol,
J'avoue que je suis tannée de te voir dormir
J'avoue que j'en ai marre de te traiter comme un bébé
J'avoue que je suis tannée de te voir relaxer avec tes amis pendant que je cours comme une dinde, à bout de souffle
J'avoue que je ne sais plus quoi dire aux enfants qui me demande "Outépapaouté"
J'avoue que j'ai déjà trop attendu longtemps
J'avoue que j'en suis déjà soulagée.
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Minnie, 20 ans, Paris
J'avoue en avoir assez d'être célibataire
J'avoue ne pas me sentir "conforme" à la société, du moins à ma génération.
J'avoue que c'est grandement en partie à cause de cela que je suis seule.
J'avoue que je pense encore à lui.
J'avoue que le temps à cicatriser mes blessures mais que le souvenir de la douleur est encore présent
J'avoue que j'en ai assez de rendre service à ma famille sans aucun signe de reconnaissance
J'avoue que j'en ai marre d'être la bonne à tout faire qu'on appelle au moindre souci mais sur qui on crache au moindre faux pas.
J'avoue ne plus supporter que ma mère me rabaisse sans cesse : physique, choix, actions, caractère.
J'avoue en avoir assez de l'injustice.
J'avoue en avoir assez d'être la fille parfaite qu'on aime uniquement quand elle rend service
J'avoue considérer que j'en fais mille fois plus que les frères et sœurs, que je suis celle qui apporte le moins de soucis mais que ma mère aime le moins.
J'avoue que ses paroles me blessent au plus profond de moi.
J'avoue que ma sœur peut être une vraie tête à claques et la plus grande feignante au monde : elle restera, malgré moi, la chouchoute à sa maman.
J'avoue ne pas me sentir aimer par ma mère, voire non désirée.
J'avoue vouloir quitter le domicile familiale mais ne pas en avoir les moyens.
J'avoue être brillante, serviable et souriante en apparence mais souffrir d'un profond mal être et mal d'amour au fond.
J'avoue me sentir seule et incomprise.
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Aubergine, 20 ans, Paris
J'avoue que ça fait longtemps que j'ai envie de coucher avec toi. Toi le garçon timide, pas forcément beau, le genre de garcons qui m'attire, peu sûr de soi (peut être pour me sentir supérieure...). J'avoue que je suis en couple et que tu es son ami. J'avoue que je l'ai déjà trompé une fois pour voir ce que ça faisait. Je m'attendais à être envahie d'émotions, de remords, mais rien. La terre tourne toujours, je ne sens rien de spécial, je suis toujours avec lui et il n'en saura jamais rien, pourquoi lui briser le coeur? Si jamais tu savais mon amour... si jamais tu savais que je fantasme sur un de tes bons amis! Je ne suis pas parfaite loin de là, je n'ai aucune assurance et en voyant les autres aveux je vois que je ne suis pas la seule... je ne suis pas la seule à être lâche et à balancer ses secrets sur un site internet au lieu d'être honnête avec soi-même et de dire tout ce qu'on a à dire.
En tout cas gare à toi, L. Je n'ai pas envie de retromper mon copain, il ne mérite pas ça, mais gare à toi, le jour de mon célibat arrive et ce jour là, où que tu sois, je te trouverai et tu auras le plaisir de te faire baiser par une fille.
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Nbs, 25 ans, Toulon
J'avoue être tomber amoureuse alors que j'étais mariée
J'avoue avoir créer des histoires pour quitter mon mari et avoir la conscience tranquille
j'avoue l'avoir trompé une fois juste avant de demander le divorce.
J'avoue avoir été heureuse pendant un moment avec mon amant qui m'a aimé et soutenu
Et le tromper à son tour lorsque j'ai été loin de lui
Le plus cruel est que j'avoue avoir énormément aimé ça.
J'avoue que je suis désorientée car je sais pas si toute ma vie se résumera a tromper et prendre mon pied avec un autre homme.
J'avoue être déboussolé à l'idée de rentrer et devoir regarder mon mec dans les yeux.
J'avoue que j'aurai jamais ce courage de lui avouer en face.
J'avoue tout simplement que je me sens comme une merde même si je posséde un bon fond.
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Idgie, 39 ans, Lentilly nîmes
Je viens de me relire, j'ai arrêté les aveux au moment où a basculé ma vie
J'avouais alors une relation avec un homme qui ne venait que pour ses besoins sexuels. Relation qui a eu des conséquences désastreuses
Je me suis retrouvée enceinte, il m'a traitée de profiteuse et a bien gentiment arrêté de me voir
Lourde décision douloureuse à prendre et à vivre et qui continue de me ronger aujourd'hui, impact énorme sur mon mental qui continue de bloquer sur cet acte de lâcheté quelque part. Mais comment élever un enfant quand on se déteste soi-même, sans lui offrir un avenir rempli de rendez-vous chez le psy
A cette même période, un homme a été là pour moi, chaque jour, chaque moment de douleur et de pleurs. Je ne le connaissais pas, il m'a entendue, écoutée, soutenue, consolée. Cet homme que je n'avais pas rencontré et qui maintenant est ma moitié, mon cher et tendre amour. Quatre ans que je l'aime, trois ans que nous sommes ensemble
Une rencontre, comme celles de l'époque, via le chat, qui avait commencé sur une conversation sur la pluie et le beau temps.
Un an uniquement de messages, de confidences et de rires au téléphone avant la rencontre en chair et en os. Et ce jour là, mon corps s'est mis en accord avec mon cœur! Pour tous les deux, c'était comme une évidence entre nous, notre histoire d'amour réelle a commencé le soir-même pour se terminer par mon emménagement avec lui 4 mois plus tard.
Il m'a connu au plus sombre de ma vie d'adulte, il a entendu tout ce que je trainais de moche. On ne devait jamais se voir, je n'étais pas dans la séduction, et pourtant il a tout aimé de moi.
Encore aujourd'hui nous sommes collés du matin au soir, il me fait rire, je suis devenue zen et paisible.
Il me rend heureuse, moi qui croyais ne jamais rencontrer d'amour complice et fusionnel comme j'en rêvais adolescente. Or la complicité, l'admiration, le plaisir est là comme il y a 3 ans, même sans doute un peu plus fort.
J'ai quitté Nîmes pour lui et ne le regrette pas.
Même mes proches qui croyaient me voir célibataire à vie se sont rendus à l'évidence, nous nous sommes bien trouvés !
Seule ombre à mon bonheur pour le moment, celle de ne pas être mère. Avec cette pensée tous les jours d'avoir laissé partir un petit être humain plutôt que de l'assumer. Les larmes sont toutes proches
J'espère juste que mes proches 40 ans me permettront tout de même d'avoir cet enfant tant désiré mais qui aura, cette fois, un père qui l'attend et veut prendre soin de lui. D'une mère qui l'élèvera bien mieux qu'elle ne l'aurait fait sans amour ruminant sa colère contre un homme qui l'a littéralement rendue responsable de cet accident. Sauf que nous avons été deux à joué avec le feu, lui pour avoir refusé de mettre le préservatif, moi pour l'avoir laissé faire sans. La confiance est une erreur quand le partenaire est à demi connu, la grossesse n'étant pas le plus risqué. On oublie trop souvent qu'un préservatif protège aussi et surtout d'un virus mortel
J'avoue que cet homme a provoqué une horrible situation qui me hante encore
J'avoue tout de même lui être reconnaissante d'avoir ainsi provoqué la connaissance de mon amoureux. Cet amour qui me manquait depuis tellement longtemps. Et cet amoureux qui, contrairement aux précédents, a aimé la personne fragile plutôt que l'image fausse d'une femme forte et rassurante
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Homme46, 46 ans, Rouen
J'avoue que sexuellement, avec ma femme, ce n'est pas ça. C'est rare, et quand on le fait, c'est morne et plat. Donc j'avoue que je vais voir des escorts, et qu'elles savent me satisfaire. Ce ne sont pas toujours des beautés rares, mais elles savent y faire, et au moins, on peut changer de position.
J'avoue aussi que je fantasme sur quelques collègues de travail, même si certaines sont bien plus jeunes que moi. Elles sont jolies avec de belles formes, et j'avoue que cela ne doit pas être mal de faire l'amour avec elles. J'avoue aussi que j'aimerais bien essayer une escort d'une vingtaine d'années..
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Sonar, 25 ans, Belgique
Chère amie de 23 ans de Cassis,

Par nostalgie de mon adolescence et de ses prétendus mystères à confesser en des lieux sûrs et intimes, j'ai tapé « javoue » dans google, dans l'espoir de retrouver ce fameux site qui, jadis, permettait à nos jeunes âmes d'épancher nos ardents méfaits et brûlantes culpabilités sans que nul ne fût à même de deviner la provenance desdits aveux.

Le premier message qu'il me fût donné de lire, il n'y a même pas une heure, fut le tien, qui me paru étonnamment à propos compte tenu des confessions qui me titillaient et des expressions qu'il me tardait de faire.

Tout comme toi, j'éprouve un violent amour pour un homme, en concubinage depuis moins d'une quinzaine d'année et père de deux enfants, de vingt ans mon aîné. Je n'ai que peu de considération pour sa situation familiale – il fait ses choix, il les assume - , et j'en ai encore moins pour son âge qui, à défaut de n'être qu'une donnée numérique sur une carte d'identité, n'a d'importance que dans l'idée que nos collègues, nos comparses, se font d'inconcevable de notre union.
Pour autant, l'inaccessibilité fondamentale de nos relations est le fondement même de mes états d'âme, autant qu'elle facilite ma vie, autant qu'elle apaise mon cœur parfois - alors longuement - meurtri de son absence, de son évanescence, de son incoercibilité.

C'est une passion que j'ai pour lui depuis 3 ans, et dont les modalités, « l'envie irrépressible et incompréhensible que j'ai pour lui » comme tu dis, ne s'altèrent ni avec le temps, ni avec l'ennui, ni avec la distance qui nous sépare chaque fois un an durant, ni avec la nonchalance qui caractérise notre abandon, nos ébats comme notre raison.

Je suis moi-même engagé dans une relation amoureuse depuis 3 ans, qui a commencé juste un peu après l'avoir quitté pour la première fois pour de vrai pour mieux le retrouver un an plus tard, dans une bulle protégée hors du temps et de la réalité, parfaitement loin de mes aspirations élémentaires et de mes ambitions véritables, et dans laquelle je n'éprouve pas une once de culpabilité pour cet amour sauvage et insoumis qui m'attire irrémédiablement, m'indispose, m'oublie et disparaît dans le tourbillon des évidences réelles, des volontés assumées et des constructions établies.

Et pourtant chaque année j'ai le cœur broyé de le quitter encore une fois, lui échapper comme on se réveille d'un doux et intense rêve, la poitrine toute endolorie des délices immatériels dont on aurait du mieux s'abreuver, des tendres histoires fécondes dans lesquelles on aurait du plus longtemps se réconforter. J'ai le cœur piétiné, lapidé, immolé. J'ai les entrailles qui se retournent et j'ai beau oublier, j'ai beau oublier, son visage, son odeur !, me reviennent mille fois et m'évanouissent encore de leur splendeurs, de leurs voluptés, comme des drogues romantiques et exotiques qui font chavirer l'esprit et le corps dans des endroits secrets, les secrets des dieux violés au nom de la Beauté.

Voilà ce que je ressens vraiment. Je n'y peux rien, ça me désespère, même, et je ne lui demande rien. Je ne lui demanderai jamais rien. Une bribe de son parfum et l'écume de son regard embaumés dans un souvenir éternels, voilà tout ce que je veux posséder. Voilà tout. Je ne le voudrais pas au quotidien, je ne l'aimerais pas assez pour lui manquer, ce tournis ralentirait jusqu'à s'éteindre dans la routine, les lieux communs, les évidences. Je veux conserver ces moments enflammés et embellis, je veux éclore encore dans ces mensonges et dans ces précipices et le prix à payer est celui de la mémoire défaillante qui vivra de nouveau un an plus tard. Et c'est terrible, de l'oublier. C'est une terrible délivrance.

Chère amie de 23 ans de Cassis, vois-tu à quoi tu échappes, si tu n'as pas encore goûter à sa chaleur, à ses exhalaisons, à ses regards pétris de plaisir... dont tu ne te remettrais pas, ne voudrais pas te remettre... et ferais mieux de vivre pour mieux en mourir.
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Melle_printemps, 22 ans, Paris
J'avoue, on a parfois l'impression que le ciel nous tombe sur la tête. Depuis nos multiples "je t'aime-moi non plus", j'ai l'impression de stagner. Je suis sortie quelquefois avec quelqu'un dont au final je me fous complètement, uniquement parce que je pense à toi, à toi et toujours à toi. Du coup je l'ai quitté.

Puis tu es revenu avec ce fameux "J'ai toujours des sentiments pour toi". On a parlé très longtemps et je t'ai encore cru. Sauf qu'à chaque fois tu fais de pire en pire. Et tu es de plus en plus lâche. Je n'aime pas souhaiter du mal aux gens mais j'avoue que tu m'y as fait penser....

J'avoue, je dois aussi chercher un stage, prendre des rdv partout et j'avoue, vraiment, je ne fais rien. Je n'ai envie de rien. Par dessus ça, ma voiture a quasiment rendu l'âme donc il faut que j'en trouve une assez rapidement.

J'avoue il va falloir que je me bouge, que je trouve la force d'avancer malgré tout. J'avoue, J'ai eu cette p***** de licence que j'attendais depuis si longtemps et une acceptation en master, je ne peux pas me permettre de tout gâcher.
J'avoue j'ai beaucoup de chance mais je ne sais pas le reconnaître. Non pas que je me plains, mais je n'arrive pas à me détacher du passé, des choses que j'ai perdu.

J'avoue les choses qu'on perd qui font le plus mal sont les personnes. Les pires chez moi sont mes neveux, toi et tes enfants. J'avoue, tout ce petit monde me manque. J'ai l'impression que c'est ça qui me donnait la force de tout combattre. Y'a rien de plus beau que le sourire d'un enfant. surtout de ceux-là....

J'avoue, vivement que je revois mon psy.
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Anco, 27 ans, Strasbourg
Tu étais la perle rare que je cherchais pour m'évader de cette vie trop fade et sans sensualité, et la seule personne avec qui je peux vivre ce genre d'expérience.
Je suis passée à côté malgré tes appels flagrants pour tout le monde. J'espère juste que tu voudras bien me revoir et m'accorder une session de rattrapage.
Je brûle encore de tes regards et n'ai jamais vibré de la sorte. Tu as réveillé une passion en moi que je ne soupçonnais pas. Tu m'as réveillé. Le réveil est brutal, mais un changement va s'opérer. Mon sang coule enfin dans mes veines. Les larmes aussi d'ailleurs et toi seul pourras les arrêter.
Te quiero.
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Dégoutée, 31 ans, Quimper
J'avoue en avoir marre de ma vie de couple...
J'avoue en avoir marre de vivre avec quelqu'un qui ne m'aime plus mais n'a même pas le courage de le dire...
J'avoue en avoir marre de nos disputes qui ne mènent à rien...
J'avoue être à bout car tu refuses de reconnaître tes torts, résultat tu te mets à critiquer les gens qui sont sympa avec toi, c'est ce qu'on appelle l'art d'inverser les situations, c'est toi le coupable mais tu te démerdes pour passer pour la victime et faire passer les autres pour les bourreaux...
J'avoue être vraiment profondément blessée à la suite de notre dispute d'hier...
J'avoue que les horreurs que tu m'as dites hier je ne suis pas prête de les oublier...
J'avoue qu'elles m'ont vraiment fait mal...
J'avoue que j'envisage sérieusement de te quitter...
J'avoue que j'ai même commencé à regarder les annonces d'appartements à louer hier soir...
J'avoue que je t'aime toujours mais que si tu ne fais rien pour t'excuser ou changer les choses, je vais te fuir...
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Leeloo, 21 ans, Paris
Oui j'avoue que j'y ai cru. J'ai espéré que ce soir tu viennes et que tu oses.
Peut-être que c'est moi qui imagine des choses, peut-être que tes intentions ne sont pas celle que j'espère, peux-être que tu joues même inconsciemment avec ma gentillesse.

Je sais juste que je pensais pas que cela me ferai aussi mal. Que les larmes monteraient toute seules et que mes poumons se compresseraient.
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Ana, 25 ans, Paris
J'avoue que soir je me sens terriblement seule et pas que ce soir d'ailleurs.
Bientôt 7 mois que nous avons emménagé ensemble et voilà 5 mois que notre relation est terminé.
Pourtant nous continuons de vivre tout les deux, cette vie à deux ne me convient plus je ne t'aime plus toi je ne sais plus ce que tu penses de moi.
On s'est fait trop de mal et je sais que partir loin de toi m'en fera encore plus mais notre amour s'est éteint et je sais que je n'ai pas fini de souffrir car au fond de moi tu resteras dans mon coeur.
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