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Bananette, 28 ans, Boulogne
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J'avoue que je pense à lui. A ce qu'on aurait pu faire... On était prêt mais on a été arrêté. J'avoue être déçue et frustrée... Je pense que c'est un bon coup, rien que ce qu'il m'a dit m'a fait saliver... J'avoue que je reste en contact avec mais que j'aimerais plus... Mais j'ai promis à une amie que je ne le ferais pas et elle passe avant. J'aimerais goûter ses lèvres juste une fois comme ça je ne vivrais pas dans le regret. J'avoue que je suis en couple mais que ce n'est plus l'extase entre nous... J'avoue que je l'ai déjà trompé et que je peux recommencer à tout moment. Si j'avais le feu vert de mon amie je l'aurai fait depuis bien longtemps. En fait, il suffit de savoir si lui ou son ex à lui s'aiment toujours et veulent recommencer leur histoire. Si vraiment c'est fini entre eux, là j'aurai le droit... J'avoue que parler sexe avec lui me manque énormément... J'avoue que nos échanges sont de moins en moins nombreux et que ça m'embête...
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Leeloo19, 22 ans, Paris
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J'avoue être une lesbienne qui ressent, depuis quelque mois, des choses pour un homme qui est un ami depuis 4 ans. J'avoue avoir couché avec lui alors que c'est l'ex de ma meilleure amie, alors que cela ne faisait même pas un mois qu'elle l'avais quitté. A savoir qu'elle l'a quitté pour une femme.
J'avoue qu'il y a 3 ans j'ai couché avec ma meilleure amie.
J'avoue que cet homme et moi avons le même meilleur ami. Et que ce meilleur ami et dingue de moi depuis 4 ans, que je lui ai déjà brisé le cœur deux fois : à mon coming-out et quand je me suis mise avec mon ex.
J'avoue qu'après m'avoir traité de tout les noms ma meilleure amie a réussi à me pardonner. J'avoue aussi qu'elle a trompé sa copine avec mon ex, avec qui elle sort actuellement.
J'avoue que je vais briser de nouveau le cœur de mon meilleur ami quand il découvrira que depuis 2 jours (et 2 mois de bataille pour l'avoir) je sors avec son meilleur ami.
J'avoue que je briserais son cœur mille fois pour être avec cet homme, car tout simplement je l'aime. Et qu'il a décidé "d"ouvrir la boite" et de prendre le risque de perdre son meilleur ami pour moi.
J'avoue que la situation est plus que glauque mais je m'en fou, je sors avec lui, et quand on ressent quelque chose d'aussi fort, qu'elle qu'en soit la mise, ça vaut le coup.
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Sco, 30 ans, Fresnes
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J'avoue qu'il me rend dingue et qu'il m'est impossible de l'éviter. J'avoue qu'il est marié, et que je ne peux m'empêcher de le regarder. J'avoue que j'aimerai bien pouvoir passer à l'action et je m'en empêche. J'avoue que ça me fait totalement chier qu'il travaille dans cette entreprise, ça m'aurait évité bien des tracas.
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Perdrana, 23 ans, Saint-Louis
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Me sentir mal dans ma peau et ne pas avoir confiance en moi. J'avoue m'enfoncer de jours en jours dans le désespoir ; le mal-être. Je suis déçue de mes résultats scolaires car je sais être capable de beaucoup plus, mais je suis tellement paresseuse que je n'y arrive pas. Je me sens désespérée de jour en jour. Je me sens mal tout le temps et j'essaye de faire bonne figure avec les autres.
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Nyou, 22 ans, Paris
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Est-ce qu'on peut tomber amoureux de quelqu'un qui vit à des milliers de kilomètres de chez nous ? Si c'est possible alors c'est malheureusement en train de m'arriver.
J'ai récemment rompu avec mon ex, suite à un gros ras le bol généralisé. Puis j'ai "rencontré" un garçon, rien ne prédisait quoi que ce soit la première fois que nous nous sommes parlés. Et les journées passants, les semaines... Je me suis rendue compte qu'il occupait beaucoup plus de place dans mon esprit que je ne l'aurais jamais imaginé. Le problème ? Je vis à Paris, il vit à New York. Aujourd'hui il m'obsède, je pense à lui constamment, quand je vois qu'il ne répond pas à mes messages j'angoisse. J'ai failli le perdre une fois, je m'en suis rendue malade. Je ne me reconnais pas, je ne suis pas le genre de fille à tomber virtuellement amoureuse. Je ne sais plus quoi faire, ni penser.
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Kouki, 22 ans, Grenoble
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J'avoue que je l'ai aimé jusqu'à haïr l'amour... J'avoue que je l'aime toujours. Ses comportements sont responsables de notre rupture. Il est insouciant, fêtard immature et n'a aucun sens de la famille. J'avoue que je reste attachée à lui malgré tout. J'avoue que j'ai été vexée quand il a repris le lendemain avec son ex moins belle et pas très brillante. J'avoue que je ne me remettrais plus jamais avec lui, mais j'aurais toujours une pensée pour lui parce que c'est avec lui que j'ai tout découvert. J'avoue après la lecture de ce que j'ai écrit, retrouver un récit très commun aux histoires de coeurs.
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Chou, 21 ans, Avignon
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J'avoue que j'en ai marre de toi. Tu es tellement égocentrique... Personne ne le voit, tout le monde t'apprécie, et moi la première. Mais tu ne penses qu'à toi. Tout le temps. Et je marche. Je te déteste mais tu es tout ce qu'il me reste. Alors je t'aime quand même mais par moments je voudrais que tu t'en prennes plein la gueule, à défaut de penser à moi.
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Brazza, 32 ans, Paris
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J'avoue que mon faible pour les serveuses finira par avoir ma peau...
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Petit_coeur, 18 ans, Grenoble
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J'avoue que l'on s'est égaré, qu'il y a eu du flirt durant cet été. Nous avons 10 années qui nous séparent et pourtant je ne ressent pas cette différence quand on se parle, quand on s'embrasse ou bien quand tu me fais l'amour. J'avoue que je n'y croyais plus, que ce qui était à la base une aventure s'est transformé en idylle. Que moi qui n'avais plus la force d'avoir le moindre sentiment, t'ai aimé, maladroitement. Je t'avoue que cela ne sera pas facile tous les jours, que les gens feront tout pour nous séparer. Je t'avoue que je suis un peu folle et que je soupçonne que c'est ce qui te plait chez moi. Mais envers et contre tout, je t'avoue que je suis éperdument amoureuse de toi et que si la vie veux bien nous laisser une chance je ferais tout pour que soyons heureux ensemble.
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Quetzalcoatl, 25 ans, Orléans
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J'avoue que je l'aime, que je l'aime plus que tout, et que la patience dont je fais en ce moment preuve me fait l'effet de multiples lames de rasoir dans l'estomac. J'avoue que j'ai peur, peur de la perdre, peur de la voir s'envoler parce que notre relation lui semblerait soudain dénuée de sens. J'ai peur de me réveiller un jour en me disant que je ne la verrai plus sourire, que mes mains ne pourront plus jouer avec les siennes, que nos regards, vides de plaisir, n'auront pas vaincu le temps. En ce moment j'ai peur C ; et il n'y a que ces belles journées passées ensemble qui alimentent mon espoir de te retrouver telle que tu étais quand je t'ai laissée : belle et souriante.
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Perdue, 21 ans, Rennes
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J'avoue que ce garçon me rend dingue. J'avoue, je sais qu'il a une copine et qu'elle me déteste. Et j'avoue qu'elle a raison de se méfier de moi. J'avoue que nous passons toutes nos journées ensemble et que dès qu'il s'absente, il me manque. J'avoue avoir souvent espéré qu'il m'embrasse le soir avant d'aller dormir mais il n'en fait rien. J'avoue que parfois je le trouve un peu bizarre et je le soupçonne de ressentir un petit quelque-chose pour moi. J'avoue que ça me rend malade de savoir que l'an prochain il partira. J'avoue que je l'aime comme je n'ai jamais aimé qui que ce soit et qu'il finira par me tuer.
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Amnesia, 21 ans, Poitiers
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J'avoue. Après avoir lu un encart à propos de ce site dans un magazine il y déjà plusieurs années, je me suis mise à le consulter régulièrement. J'avoue énormément apprécier cet espace de liberté en ligne, d'être anonyme et de pouvoir, enfin, dire ce que l'on a sur le coeur. D'être sans peur. De pouvoir enfin se libérer des secrets, des toutes ces petites manies inavouables à nos proches, de ces moments que l'on ne peut ou ne veut pas partager en face. Alors aujourd'hui, j'avoue.
Il y a plus 4 ans, j'ai rencontré J. Nous sommes tombés amoureux en 5 jours, le temps de mon passage en Irlande du Nord. Un mois et demi plus tard et des centaines de mots échangés en ligne, tu es venu me voir chez moi. Cette connexion que nous avions ressenti était toujours aussi forte, aussi intense. J'avais à peine 17 ans, et toi à peine 20. J'habitais en France, toi en Irlande du Nord. Peu importait la relation à distance, nous étions amoureux, et nous voulions prouver au monde entier que nous étions fait l'un pour l'autre, que l'amour triomphait de tous les obstacles.
Cette histoire n'a pas de fin heureuse, ni malheureuse non plus. Juste la vie, qui est passée par là. Je remercie le ciel de m'avoir fait connaitre l'amour, le vrai, la passion, la routine, la tendresse, le déchirement de l'éloignement. Je remercie le ciel de m'avoir permis de rencontrer une personne aussi merveilleuse que toi.
Nous étions tellement différents : un milieu similaire, mais des familles ô combien différentes, un rapport à nos frères et soeurs qui n'avaient rien à voir, des aspirations et des envies qui ne se ressemblaient absolument pas. Et pourtant, tant de points communs. Tant de passions partagées, de moments de bonheurs au coté l'un de l'autre.
Seulement, 4 ans de relations à distance, à ne se voir que pendant les vacances, une semaine par ci par là, 2 mois l'été, et encore… L'impression de vivre une vie de célibataire même si l'on se parlait chaque jour, le vide créé par ton absence… La distance nous appris à être humble. Mais attendre encore plusieurs années que nous finissions chacun nos études avant de pouvoir, enfin, se rejoindre, n'était plus envisageable. Nous nous étions détachés l'un de l'autre. L'affection, la tendresse étaient toujours de la partie, mais l'étincelle qui brillait si haut au départ était morte. Les sentiments amoureux avaient disparus pour laisser place à une profonde et sincère amitié. Seulement l'amitié.
La rupture n'a pas été douloureuse. J'ai pris l'initiative, et tu as convenu que c'était la meilleure des solutions. Nous restons amis, en se donnant des nouvelles régulièrement.
Tu as retrouvé l'amour. J'en suis heureuse, profondément. car pour moi l'amour c'est vouloir, à tout prix, que l'autre personne soit heureuse. C'est donner, car l'amour n'est pas envieux, l'amour n'est pas égoïste.
Tout cela, je l'ai appris grâce à toi.
Mon seul regret, ce de n'avoir pas pu prouver au monde que notre amour vaincrait tous les obstacles. Je sais que c'est ton unique regret aussi.
J'avoue, j'ai aimé. Et j'espère aimer de nouveau. Car comme a dit Alfred de Musset, "On est souvent trompés en amour, souvent blessé et souvent malheureux ; mais on aime, et quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière et on se dit : j'ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois ; mais j'ai aimé. C'est moi qui ai vécu, et non pas un être factice créé par mon orgueil et mon ennui."
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Questcequipourraitsauverlamour, 28 ans, Lausanne
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J'avoue que cette fois-ci c'est la bonne. Ca ne peut pas marcher entre nous. J'avoue que me faire passer après ta famille est la blessure la plus cruelle que tu pouvais m'infliger. J'avoue que j'aurais pu te pardonner n'importe quoi d'autre, mais ça c'est au-dessus de mes forces.
J'avoue que le pire, c'est quand tu me dis que c'est moi qui te force à choisir, alors que tu te mets toi-même dans cette position. J'avoue que même si toi tu n'en avais pas encore conscience, je savais que ton choix était fait depuis longtemps, mais je ne voulais pas me l'avouer, j'ai refusé que ce soit vrai.
J'avoue que je me sens complètement perdue et paniquée, et que mon cœur se déchire un peu plus chaque jour qui passe. J’avoue que j’ai failli t’embrasser plusieurs fois, par réflexe, et que c’est dur de se retenir pour ne rester qu’ « amis ». J’avoue aussi que chaque fois que tu me demandes si on ne fait pas une bêtise, je suis au bord de te répondre que si. Mais il faut que je tienne, car ça ne peut pas marcher…
J’avoue que je me dis que si je ne suis pas ce qui compte le plus pour toi, je pense que je ne serais jamais ce qui compte le plus pour personne d’autre. Et j’avoue que cette pensée contamine comme un poison mon envie de rester…
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Esba, 42 ans, Annecy
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J'avoue que je prends un malin plaisir à te pourrir la vie depuis que je t'ai chopé à me tromper. J'avoue que j'ai beaucoup de plaisir à te voir ramer pour tenter de me reconquérir. J'avoue que tu peux crever la gueule ouverte pour que je te reprenne et que je suis bien heureuse que ta pouffiasse t'ai préféré à son mari. J'avoue que je n'ai que du mépris pour le pauvre type que tu es.
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Hibou, 23 ans, Loiret
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J'avoue avoir flashé sur toi dès notre première rencontre. J'avoue le moment le plus intense et le plus incroyable de ma vie a été quand on s'est embrassé trois ans plus tard lors de ce week-end. Je sais que je te rendrais heureuse et que tu me rendras heureux mais je sais aussi que je ne t'aurai jamais. J'avoue tout faire pour que l'on reste ami car j'ai besoin de toi. J'avoue que tu es la première personne que j'aime dans ma vie. J'avoue souffrir de cette certitude que nous ne serons jamais ensemble.
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Pas moi, 32 ans, Paris
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J'avoue Zed ton aveu m'a fait sourire mais pas que. J'avoue, on partage le coté voyeuriste / exhib semble t il, j'avoue que si tu montais sur Paris ça pourrait être marrant. J'avoue, si Daniel veut nous mettre en contact je ne dirai pas non...
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Uneautre, 32 ans, Rennes
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J'avoue ça fait longtemps que je ne me suis pas confessée au Pacha... Il y a 2 ans notre relation naissait, indécente, à fleur de peau, à fleur de coeur aussi parfois. Aujourd'hui, tu es en instance de divorce et je prends le même chemin. J'avoue ça me déchire le coeur de savoir qu'elle a encore autant d'emprise sur toi. J'avoue j'ai effacé tes comptes sur les sites de rencontres et sans aucun scrupule. J'avoue j'ai intercepté le mail d'injures que mon mari, persuadé d'avoir découvert le pot aux roses, t'avait adressé - car je ne voulais pas qu'il te fasse du mal. J'avoue je fais tout ce qui est en mon pouvoir pour te séduire, pour que ça soit de plus en plus ton coeur qui réponde et moins souvent ta queue.
J'avoue je prends beaucoup sur moi, je souffre de cette situation, mais j'avoue je t'aime comme une damnée, comme jamais on ne devrait aimer, je suis prête à tous les sacrifices pour toi.
J'avoue, j'aimerais que tu tournes la page de ta vie avec elle vu tout le mal qu'elle t'a fait et qu'elle te fait, j'aimerais que tu te concentres sur ton gamin et sur ton travail parce que c'est ça qui te fait vibrer.
J'avoue, monter ma boite avec toi c'est un challenge et c'est aussi un levier pour t'attirer un peu plus dans mes filets...
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Virginlil, 20 ans, Paris
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"Tous les garçons et les filles de mon âge se promènent dans la rue deux par deux, tous les garçons et les filles de mon âge savent bien ce que c'est qu'être heureux (...) oui mais moi je vais seule par les rues l'âme en peine, oui mais moi je vais seule car personne ne m'aime."
J'avoue que la chanson de Jane Birkin est mon hymne à l'amour et l'hymne de ma vie. A 20 ans, je n'ai vécu aucune histoire d'amour. Je n'ai embrassé qu'un seul garçon, en boîte de nuit, sous l'effet de l'alcool.
J'avoue ne pas comprendre ce qui cloche chez moi puisque je suis plutôt jolie, typée, je suis pas trop mal foutue, je suis intelligente, je fais de bonnes études, je suis drôle mais très timide. J'avoue que cette timidité, cette carapace que j'ai, doit sûrement faire peur aux garçons. J'avoue ne plus en pouvoir d'être célibataire. Quand mon tour arrivera ? Pourquoi je n'ai personne ?
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Overdose, 21 ans, Paris
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J'avoue, j'habite chez mon oncle et ma tante qui me logent pour mes études. Depuis que je suis avec mon copain, je découche régulièrement mais je préviens toujours. Hier soir, nous avions trop bu et j'ai appelé ma tante bourrée pour lui dire que je ne rentrerai pas. J'avoue qu'il était trop tard pour prévenir, et j'avoue que je me suis faite pourrir au téléphone. J'avoue que je n'ose plus rentrer, et j'avoue que j'en ai assez du manque d'indépendance, même si je leur suis reconnaissante.
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Clémentine, 23 ans, Strasbourg
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J'avoue, j'ai mis les pieds dans ce nouvel environnement un peu réticente, comme à chaque nouvelle porte qui s'ouvre, j'analyse ce qui m'arrive en me soumettant le pire, histoire d'entamer la chose avec entrain. Je me souviens de mes premiers sentiments pour ce travail, je détestais ce que j'y faisais, les gens autour de moi, cette ambiance de 'démerde toi' et cette façon étrange de manquer à tel point d'organisation. Ironie du sort pour une association privée de ce type. Bref. Tu n'étais personne. Un sourire ou même une ombre ? A vrai dire je ne sais même pas si l'on se croisait souvent. Alors comment, comment ai-je pu en arriver là ? Comment cette même personne, ce même coeur en toi, pouvait ne pas m'adresser la parole de la journée, sans même que j'y prête attention, tomber malade, et ne pas le remarquer, et des semaines plus tard, être le centre de mes pensées ?
J'avoue, je ne sais pas qui tu es. Tu n'es peut-être qu'un être créé de toutes pièces par mon imagination. Je n'ai qu'un tiroir de moments désormais classés aux archives dans mon esprit. On s'est souvent accroché, gentillement, mais tes "Qu'est-ce que ça peut bien te foutre ?", tes deux mains autour de mon cou, "Sache que tu n'avais qu'un mot à dire pour que je bondisse tel un loup sur sa proie", toutes ces fois où tu manifestais une once de susceptibilité et de rancune... C'était quoi... cette bestialité, c'était quoi... A quoi ça sert ? A quoi ça sert, si ta gonzesse partage le même étage qui plus est... Dis moi seulement... A quoi ça sert... Je venais travailler en sautillant.. C'était même moi qui réveillait mon réveil. J'avoue, postuler pour cet autre job était peut-être ce qu'il me restait de mieux à faire. Je me croyais sorti d'affaire. Sorti de mon champ de vision, sorti de mon esprit. Bon sang, j'étais loin de m'imaginer que le commerce est un terrain d'ennui qui me laisse grandement le temps de penser et repenser à toi... Partir sans préavis, c'était pour moi comme me retrouver à l'étranger sans pouvoir dire au revoir à ma famille. Inconcevable. Et douloureusement. Pourtant, je n'ai pas changé de ville. Et c'est peut-être encore bien pire...
Combien de fois j'ai eu l'envie de m'arranger pour te croiser.. Combien de fois je me suis dis que mes envies sont vaines et qu'il est meilleur pour ma santé mentale de capituler. Capituler à l'idée de t'avoir un jour. Capituler à l'idée de vouloir te voir. T'avoir. Capituler à la simple idée de toi.
"Tu m'as manqué", m'as-tu dis la dernière fois en me serrant dans tes bras... Tu es l'une des pires souffrances qu'il m’ait été donné de rencontrer jusqu'à ce jour.
Tu as ta vie, ton foyer, tes biens, une femme ou simplement une copine qui partage ta vie personnelle jusqu'à ta vie professionnelle. La mienne est à construire. Mon permis est à passer. Je ne suis rien. Personne. Et même ce CDI m'est égal. Tu es probablement un quadra, et moi une minette qui s'apprête à fêter sa 24ème bougie. Tout nous oppose en somme. Tu écoutes The Cure, je raffole de R&B. Mais je me fiche de tout ça. Je suis prête à écouter ta musique androgyne, à me mettre à lire des BD pour interpréter tes dessins. Je suis prête à me prendre en main. A voir l'avenir, à me projeter. Je suis prête à cesser de fuir. Et pour la première fois, je suis prête à dire à quelqu'un à haute voix, "c'est toi que je veux". Je suis prête à me faire mal pour te rendre heureux A. Si seulement tu savais le germe de tendresse que j'ai en moi...
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Gnahahaaa, 19 ans, Grenoble
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J'avoue qu'il est maintenant 5h du matin et que ça va faire 17 heures que j'ai rageusement jeté tout mon nécessaire à rouler des cigarettes qui font rire à la poubelle. J'avoue que ça fait très longtemps que j'aurai dû le faire déjà, que je dois me reprendre, me refaire des vrais amis. Pendant quatre ans je suis passé à côté de l'amour, du succès scolaire, de mes sentiments, noyant mes véritables émotions qui me paraissaient insupportables dans une consommation plus qu’excessive.
J'avoue que je ne suis plus le même et j'ai gâché l'amour que m'a avoué me porter, à l'époque, la fille dont je suis toujours amoureux depuis trois ans. J'avoue, j'ai été apathique et me laissais vivre dans une illusion quasi-constante de bonheur, diffusée par le confort de simplement exister, manger, dormir, faire du sport, traîner avec des gens de mon âge, me droguer, pouvoir m'imaginer (sans me douter que j'étais dans le vrai) que c'est moi qu'elle voulait alors qu'elle accumulait les aventures. J'avoue que les émotions et les sentiments se cachent très bien, même pour celui à qui ils appartiennent... mais ne disparaissent pas, et bien au contraire s'accumulent autant qu'on se les dissimule. J'avoue que mon "réveil" a été autant progressif que brutal. Elle m'a recontacté par facebook après un an de boudage et d'études chacun dans une ville différente, alors que j'avais abandonné tout espoir et continuais de m'enfoncer dans mon rêve éveillé. On avait enfin recommencé à se parler comme on le faisait au lycée où on arrêtait pas de rire ensemble !
J'avoue, mon cœur s'était remis en marche tout doucement par soubresauts et elle insistait sur une chose : elle voulait que je vienne poursuivre mes études dans la même ville qu'elle car elle comptait rejoindre la même filière que moi. Alors j'avoue que j'ai sauté sur l'occasion, j'ai cherché et trouvé un appart et me suis inscrit à la même fac qu'elle. J'avais de toutes façons raté ma première année et mes parents, à qui je passe mon temps à mentir sur mon état et mes études, ont vu d'un bon oeil ce "changement d'air". Ce qui est vrai, je l'avoue, je pense que si je n'avais pas bougé j'aurais rapidement fini à la rue. Je commençais à reprendre vie, à avoir des désirs, j'avais réduit ma consommation, et j'allais pouvoir la revoir et cette fois pas question de me défiler ! J'allais devoir lui avouer à quel point j'avais besoin d'elle.
En arrivant là bas on s'est retrouvés et elle paraissait aussi heureuse de me revoir. Après quelques jours, où je me suis contenté du bonheur de pouvoir passer des moments avec elle (j'avais même passé une nuit à son appart mais sans qu'elle me fasse de signe quelconque), je me suis jeté à l'eau et je lui ai fais mes aveux. J'avoue que rapporter la longue conversation qui s'en suivit serait extrêmement long et pénible. Toujours est-il que le résultat en est : elle me trouve génial mais il ne pourrait rien se passer cette année, oui il y a trois ans elle était amoureuse de moi et elle vit une relation triangulaire bisexuelle idéale depuis bientôt un an.
Conclusion : je me suis à nouveau renfermé et ai recommencé à fumer de plus belle, je me suis comporté en gros égoïste sous le coup du "ras-le-bol", on se fait de nouveau la gueule en fréquentant la même salle de cours. J'avoue qu'heureusement j'ai pas cours demain car au fur et à mesure que j'écris j'entame doucement ma 43ème heure sans sommeil. Je me sens déchiré tandis que mon cerveau et mon coeur renaissent en se débarrassant des couches du passé qui les encrassent. Et j'avoue que F. je t'aime toujours malgré les changement que l'on a subi et l'impression que j'ai de t'être devenu un peu étranger.
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Lali89, 25 ans, Laval
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J'avoue que j'ai relu les aveux que j'avais posté il y a 3 ans... J'avoue que c'est toujours la même chose, à 25 ans je n'ai toujours eu personne dans ma vie... J'avoue je me pose beaucoup de questions en voyant des filles aussi moche que moi avec des mecs... J'avoue qu'être la bonne copine ne me convient plus... J'avoue que je veux perdre du poids mais que je n'y arriverais pas à cause de mes soirées de solitude.... J'avoue que mon boulot me plait sans plus et que je rêve de faire carrière dans quelque chose de plus palpitant mais je ne sais pas quoi. J'ai que je ne me sens pas moi mais que je ne sais pas vraiment qui je suis... J'avoue trainer avec certaines personnes histoire de ne pas être seule... J'avoue que je suis bordélique et paresseuse... J'avoue que si dans 10 ans je suis toujours aussi seule je ne suis pas sûre que je tiendrai le coup.
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Aieaieaie, 40 ans, Paris
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J'avoue que tu as débarqué dans cette pièce et que tu as fait ton show… je t'ai trouvé mignonne au premier abord. Tu m'as fait marrer, t'étais un peu bourrée, tu voulais chanter… mais je n'ai pas voulu. On s'est affronté verbalement, tu m'as un peu insulter, j'ai vraiment failli te dire d'aller te faire foutre… mais je ne l'ai pas fait… tu m'as sorti tes théories à deux balles… je t'ai tenu tête, tu l'as mal pris.
Tu t'es sortie de la pièce en grognant… j'ai croisé mon pote qui sait jouer du piano… je lui ai demandé de jouer pour toi… il a accepté. Je suis venu te voir, je t'ai proposé de chanter avec lui… il a joué on a chanté un peu ensemble, c'était drôle, futile alcoolisé… un bon délire quand on a 25 ans.
Tu m'as regardé, tu m'as dit que j'étais gentil… je crois que t'étais vraiment pompette. Tu m'as dit que tu allais te marier… quelle erreur, avec ce bouffon déguisé en rocker ? Puis tu as disparu.
Au moment de partir de ce bar, je t'ai revu par la fenêtre… je suis venu te dire au revoir, je savais qu'on ne se verrait plus jamais. Je t'ai embrassé sur la joue, je t'ai dit que je te souhaitais tout le meilleur qu'il puisse t'arriver. On s'est regardé…
Je suis sorti, monté dans la voiture… la voiture a démarré, j'ai jeté un dernier regard, tu étais derrière cette fenêtre… tu pleurais un peu… tu étais belle.
La voiture est partie…
J'avoue, depuis je pense à toi chaque jour.
J'avoue que tu aurais foutu ma vie en l'air, tu es sûrement une fille à problème… mais qu'est ce que j'aurai aimé faire l'amour avec toi.
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Myriam, 18 ans, Marseille
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J'avoue que j'ai besoin d’écrire.. J'avoue que je tiens encore quotidiennement un journal intime à mon age, mais cette fois, cette chose que je vais vous dire, je n'ai même pas osé l’écrire à l’intérieur. J'avoue que c'est surement parce que j'ai peur de me l'avouer à moi même, et que mon carnet, c'est comme si c’était moi. En fait, j'avais enfin réussi à me détacher de ce garçon que j'aimais depuis 3 ans. R. Il ne le savais pas vraiment, mais je préférais vivre comme ça: capter tous ses faits et gestes, et m'en imprégner, capter tous ses regards... Bref, j'avoue que j’étais folle de lui. Et puis, mon meilleur ami K. s'amusait de plus en plus à m'envoyer des beaux petits messages ambigus, et au bout de 6 mois, je me suis avoué que j’étais tombé amoureuse de lui. J'avoue que cette fois aussi, encore j'ai souffert, parce que j'ai encore gardé tout pour moi, et lorsque j'ai appris que lui aussi m'aimait, je me suis jeté à l'eau, cette fois là. J'avoue que j'ai reçu un coup de couteau dans le ventre quand il m'a dit "je t'aime, mais différemment" Lui m'aimait comme sa petite soeur, comme une partie de lui qu'il protégerait contre tous les malheurs du monde, et moi je l'aimais de cette façon aussi, mais également par amour, et j'avoue qu'à 17 ans seulement, j'imaginais ma vie avec lui. Même avec R., je ne l'imaginais pas, c'est pour vous dire comme c’était différent ! Et puis... On s'est un petit peu éloignés, on s'envoyer moins de messages, et au final, on a perdu toute ambiguïté, et on est de simple très bon amis.
On en arrive à la fameuse chose dur à avouer : Alors que j'avais réussi à me détacher de R. et K., je me rapprochais de plus en plus avec un ami, A., mais encore une fois, on se rapprochait de plus en plus, mais cette fois en amitié. L'été est passé, on se parlait tout le temps, je l'aimais vraiment beaucoup, mais en amitié, et lui pareil. A la rentrée on était tout le temps ensemble, et depuis, c'est toujours la même chose. Mais j'avoue, j'ai un copain avec qui je suis très bien, depuis 2 mois, et que ça devient sérieux (je vous raconte pas les détails) "parallèlement" à mon amitié avec A. D’ailleurs, j'avoue que la veille du jour où je suis sortie avec mon copain pour la première fois, j'étais à une soirée, avec A., et que tous les deux on a un petit peu bu, et on a passé la soirée ensemble, moi sur ses genoux, dans ses bras, ou quoi, les gens nous croyaient en couple. J'avoue ce soir que c’était chouette. En fait, A. aime une autre fille, mais moi ce soir, après m’être encore plus rapproché de A. J'avoue que dès qu'il m’envoie un message j'ai le coeur qui bat, dès que je suis avec lui, c'est comme si j’étais plus dans moi, je suis ailleurs, que quand il m'a pris dans ses bras pour la première fois hier, c’était super, j'avoue que quand on joue ou quand on est ensemble, je rigole et suis comme une gamine, je souffre quand il me demande des conseils pour son amoureuse.
J'avoue... peut être en me trompant, et je l'espère, que je l'... (non je peux pas)
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Esmeralda, 22 ans, Clermont
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J'avoue, je voulais prendre mon temps avec lui. J'avoue, mes sentiments sont constamment brouillés parce que tout est allé trop vite. J'avoue, je ne peux plus reculer car je vis chez lui. J'avoue, j'ai encore tout gâché. J'avoue, l'amertume que je ressens en pensant au mal que je peux lui faire vient surtout de la peur que ses potes viennent me tabasser. J'avoue, j'étais très bien célibataire. J'avoue, je ne sais pas vivre une relation correctement. J'avoue que tout est de ma faute.
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