Recherche

Avouer - Tous les aveux - Meilleurs aveux

Bêtises - Amour Fou - Multizaveux - Inclassable
Vantards - Ras le bol - Aïe - Trompé - Interdits

JAVOUE.com en page d'accueil - JAVOUE.com dans les favoris - Recommander ce site - PressBook - Un aveu au hasard

22354 aveux trouvés
Nous sommes sur la page 25 / 895

Skinnygirl, 32 ans, Grenoble
J'avoue souffrir.
J'avoue ne plus te comprendre.
Tu m'as courue après durant de longs mois et maintenant que je baisse enfin la garde tu fais ton indécis et disparais.
J'avoue que ça fait deux mois que les rôles se sont inversés, que je suis celle qui propose et se fait rembarrer, que j'en suis à te harceler pour n'avoir qu'une simple réponse par sms dans le meilleur des cas.
J'avoue que cette situation m'est insupportable.
J'avoue qu'il y a eu ce baiser il y a quelques jours et que tu es celui qui l'a provoqué.
J'avoue que je me dis donc que ce n'est pas fini.
Et pourtant, aujourd'hui j'avoue avoir changé de téléphone, avoir supprimé ton numéro (bien que je le connaisse par coeur), supprimé tous tes messages, et t'avoir envoyé hier mon dernier message resté sans réponse.
J'avoue que j'ai horriblement mal, j'avoue que je n'ai qu'une envie te rappeler et que c'est une lutte permanente pour ne pas craquer, mais j'avoue aussi ne plus pouvoir supporter tout ça.
J'avoue enfin que si il doit y avoir un toi et moi, la balle est désormais dans ton camp.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Wolverine, 18 ans, Pau
Ma chère Looping, j'avoue que de voir ta confession sur le mal qui ronge notre société m'a fait chaud au coeur. De voir qu'au moins une personne sur cette terre se rend compte de la manière dont nous vivons. J'ai 18 ans et mes parents disent que je pense comme un vieux, eux aussi sont collés sur leur smartphone pour je ne sais quelle raison...
La vie est trop courte pour perdre notre temps devant un écran, pourquoi tous les jeunes d'aujourd'hui sans exception ne peuvent passer 5 petites minutes sans téléphone ? J'ai vraiment peur de la société dans laquelle je vis et finalement je ne pense pas arriver à m'adapter à ce fonctionnement.
Ma chère Looping ton aveu m'a vraiment troublé et j'aimerais bien te parler.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Gueuse, 45 ans, Périgueux
J'avoue que j'avais en tête d'écrire un roman inspiré de ma vie et de celle de personnes atypiques que j'avais rencontrées.
J'ai écrit une page, mais tous les jours je changeais le contenu de cette page. J'ai fini par mettre ça de côté dans un dossier, car c'était vraiment de la daube.
Je veux être Simone de Beauvoir sinon rien.
Pas facile d'être un écrivain médiocre !
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Secretdeplume, 20 ans, Paris
J'avoue être tombée pour la première fois amoureuse et j'avoue que la rupture continue de me blesser, même si elle est reste fraîche.
J'avoue rêver de toi et que ça m'énerve.
J'avoue que notre histoire d'amour m'a rendue heureuse, que jamais personne ne m'avait autant aimé mais j'avoue que le fait que tu aies voulu continuer l'aventure sans moi, sans avoir rien vu auparavant, me fait du mal.
J'avoue que j'ai vraiment envie de tourner la page et que je compte me faire aider pour, même si je suis bien partie.
J'avoue ne pas prendre le métro pour le moment, juste pour ne pas avoir la "malchance" de te croiser car je ne suis pas encore guérie.
J'avoue attendre impatiemment que tu ailles te former dans une autre ville, histoire que je puisse être libre.
J'avoue que j'aurais aimé que les promesses d'avenir qu'on s'étaient faites aient lieu.
J'avoue que je vais être longue à guérir.
Mais j'avoue aussi que j'étais bien célibataire avant de te rencontrer, que l'amour est venu un peu trop vite à mon goût et que je n'ai pas su gérer, profiter pleinement de notre relation.
J'avoue ne pas être prête à chambouler ma vie pour un autre.
J'avoue que j'ai peur de la suite, de ne pas retrouver quelqu'un qui saura m'aimer et me respecter comme tu l'as fait et qui, cette fois, me correspondra vraiment.
Mais j'avoue que je ne t'oublierai jamais et j'espère que, malgré tout, tu garderas un souvenir de notre histoire.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Bloggy25, 30 ans, Paris
J'avoue que j'en ai marre que tout aille bien pour les autres et jamais pour moi.
J'avoue que j'ai eu un mariage pourri.
J'avoue qu'ils ont été odieux, alors que ce couple là, je l'ai porté à bout de bras, à en perdre le souffle tellement c'était des "je t'aime moi non plus". J'avoue que j'aimerai entendre que leur mariage a été catastrophique, une boucherie.

Mais je sais que c'est pas le cas. Et que je suis maladivement jalouse, que je voudrais qu'il leur arrive que des merdes. Mais que c'est contraire à mes croyances...

Sauf que si je pouvais faire en sorte que tout capote pour ces deux cons en gardant bonne conscience, je le ferai. Mais ma conscience me dit merde...

J'avoue que j'ai envie de tout plaquer, de tout oublier de partir, de dire adieu, et de gifler tous ceux qui me font du mal, qui me comprennent pas, qui me donnent des conseils à deux balles, qui me laissent dans ma misère, et ces hommes de Dieu qui me laissent plus misérable quand je les quitte que quand je les rencontre.

Marre de tout, de ce monde, des engueulades, de me sentir seule. Marre d'être la bonne poire, de sourire quand j'ai envie de mordre, de devoir bénir...
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Madonnasingit, 23 ans, Paris
J'avoue que depuis quelques temps beaucoup d'hommes me font fantasmer et que pourtant dès qu'un homme s'intéresse à moi, je panique et l'envoie bouler tout en regrettant, évidemment.

J'avoue qu'être timide et pas vraiment jolie est une plaie.

J'avoue que si j'étais franche et sans gêne, je serais venue te parler. Toi, le prof, petit et assez âgé. Mais ton air gentil et ta façon de sourire me donnait envie de te sauter dessus. Dans une salle vide, nos corps brûlants contre une table. Avec la peur que quelqu'un nous surprenne.

J'avoue que si j'étais courageuse, je me serais lancée avec toi. Ce n'est pas les occasions qui ont manqué mais cette angoisse, ce manque de confiance en moi m'ont toujours bloqué. Je te trouvais si beau, je t'aurais laissé faire tout ce que tu voulais. J'aurais été ta marionnette.

J'avoue que si j'avais été plus belle, je serais venue te parler D. Mais non, je me contentais de te fixer et d'être ridicule en ta présence. Je me souviens encore de la première fois que je t'ai vu, ce sourire... Je n'ai jamais vu un sourire aussi beau. Tu envahissais mes nuits, j'aurais voulu te déshabiller sur place. T'enfermer et ne te garder que pour moi. Profiter de ton corps sans fin. Que tu sois mon jouet. Rien que de t'imaginer me toucher me rend folle.

J'avoue que pendant mon stage, j'ai été entouré d'hommes beaucoup plus vieux que moi. Et j'avoue que j'aurais voulu qu'ils viennent à mon bureau, qu'ils ferment la porte et qu'ils laissent leur imagination se libérer. Même s'ils n'étaient pas forcément beau, ils avaient quelque chose d'animal.

J'avoue qu'en ce moment, je pense tous les jours à un jeune homme que je n'ai vu qu'une seule fois. J'espère le recroiser même si je me trouve de plus en plus laide mais je voudrais juste caresser sa peau et découvrir chacun de ses tatouages. Il hante mes pensées, je m'imagine carrément ma vie avec lui. Soit la vie quotidienne soit les choses qu'il pourrait me faire. Je veux que ses doigts s'occupent de moi, qu'il m'épuise. Et qu'il m'aime. Et qu'il soit comme dans mes fantaisies.

J'avoue que je vais arrêter là car mon imagination s'échauffe et je crois que c'est tout ce que j'aurais pour le restant de mes jours.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Alabaguette, 26 ans, Paris
J'avoue que je travaille dans un milieu très masculin, et plutôt macho, et que lorsqu'au cours de ces longues réunions de travail qui rassemblent une dizaine ou une vingtaine d'hommes dans la même pièce, je sens leurs regards se poser sur moi avec insistance, je jubile !
J'aime voir dans leurs yeux ce désir, sentir cette chaleur, cette convoitise parfois un peu autoritaire. J'avoue que je joue de leurs faiblesses et de mon joli physique pour les maîtriser et les titiller. Je multiplie les provocations, et j'aime plus que tout lorsque certains d'entre eux me prouvent leur répondant et que l'on s'échauffe un peu.

J'avoue que j'aime leur laisser croire qu'il est possible qu'un jour l'un d'entre eux puisse enfin jouir de moi. J'avoue que c'est un pouvoir de dingue et qu'il n'y a pas de meilleur moyen de tenir une armée d'hommes revendicatifs au boulot !

J'avoue que je suis une sacrée jolie fille, et que tout ne serait certainement pas si facile pour moi au travail si ce n'était pas le cas. Mais pourquoi en rougir ? Après tout, certains ont un capital réseau, moi c'est un capital d'un autre genre, avouable uniquement sur javoue.com !
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Olivia, 22 ans, Paris
J'avoue que j'en peux plus des mensonges de mon père. J'en peux plus de ses absences et ses tords.
J'avoue que j'en peux plus de la tristesse de ma mère et des bouteilles vides de vin que je retrouve tous les matins dans la cuisine.
J'avoue que je ne peux plus m'occuper des problèmes des autres quand j'en ai aussi.
J'avoue que j'ai qu'une seule envie, c'est de m'évaporer.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Chostakovitch, 36 ans, Paris
J'avoue être une imbécile notoire !
Trop fort, trop familial, trop de similitude.
J'avoue vouloir te revoir, même si désormais tu es en couple et moi aussi.
J'avoue trouver ça ridicule depuis 15 ans...
Cette valse en Bretagne m'obsède et pourtant, je suis heureuse...
J'avoue être une pitoyable neuneu romantique bordel !
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Zaï, 33 ans, Suisse
J'avoue que je t'ai tout de suite repéré.
J'avoue que depuis que tu es dans mon département je ne pense qu'à toi.
J'avoue que je suis en train de développer une obsession.
J'avoue que je suis en couple et que j'ai l'impression de moins aimer mon conjoint.
J'avoue que ça me fait mal au cœur.
J'avoue que hier j'ai fait un gâteau pour l'apporter à la pause mais je l'ai fait pour toi.
J'avoue que j'étais heureuse que tu en manges et que tu me dises qu'il soit bon.
J'avoue que aujourd'hui je déprime car on ne s'est pas salué.
J'avoue que si tu le voulais je passerais sûrement à l'acte.
J'avoue que tout cela n'est pas bien...
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Julien, 34 ans, Paris
Oui je t'ai aimée au point de tout plaquer.
On s'est rencontrés trop tard.
Aujourd'hui la vie a repris son cours.
Tatiana je penserai toujours à toi, à nos escapades complices.
Je reviendrai souvent voir le lien qu'on a noué un jour de saint Valentin.
Il flotte au dessus de la Seine, face au pont des arts. Le voir me rappelle tout ce qu'on a partagé, le joie et la tristesse m'emporte.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Miaou, 27 ans, Paris
J'avoue que ça fait plus de six mois que j'entretiens une liaison avec le mec d'une amie. Six mois de cul, de sentiments et de rires. Six mois que je la console car il la rend malheureuse.
J'avoue qu'elle m'a posé la question et que je lui ai menti, la regardant droit dans les yeux.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

C., 26 ans, Lyon
J'avoue avoir fait une erreur en fréquentant une femme mariée. Nous sommes tombés amoureux, alors qu'il ne devait pas y avoir de sentiments entre nous. Aujourd'hui son mari sait qu'elle le trompe, il est à ma recherche, mais je m'inquiète d'avantage de sa réaction vis-à-vis d'elle.
Et même si nous avons entretenu cette relation quelques temps je n'ai jamais voulu détruire son mariage.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Sib29, 40 ans, Brest
J'avoue que tous les moments passés avec toi, je les attends avec impatience, ils sont absolument magiques.
J'avoue que je me sens très bien avec toi comme toi tu te sens très bien avec moi.
J'aime ton parfum, j'aime te sentir près de moi, j'aime quand nos genoux se frôlent, j'aime humer ton haleine quand tu me parles tout près de ma bouche.
Entre toi et moi, c'est un amour impossible, mais c'est beau tout de même.
Tu es très belle et j'admire ton courage et ton intelligence.
J'ai hâte de te revoir.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Helena, 31 ans, Paris
J'avoue des fois que je fais n'importe quoi.
L'autre jour devant un distributeur avec une collègue, elle a mis des pièces pour se servir un café. La machine lui a rendu une pièce de je ne sais combien qui tomba par terre. La diva n'a pas voulu se rabaisser pour la prendre alors elle me dit : "prends-la ça te servira pour le tient", alors je l'ai prise sans réfléchir mais avec le recul, je me dis je suis une véritable poire des fois.
Elle ne voulait pas se baisser tandis que moi si, je suis quelqu’un de très fière, je me demande comment j'ai laissé passer ça.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Ktl, 27 ans, Lyon
J'avoue, je t'aime mon chéri.
Mais j'avoue aussi qu'un autre m'attire. Pourquoi ?! Peut-être que j'aimerai un peu plus de "glamour" dans notre vie de couple... Je te le dis mais tu n'entends pas, parce qu'on s'est habitué à se comporter ainsi. Du coup cet autre me fait fantasmer car il n'y a pas tous les côtés un peu "cracra" qui peuvent apparaître au fil du temps dans un couple !
C'est bien, car je suis très à l'aise avec toi, et vice versa, on s'entend bien, on rit ensemble, on fait les cons, on se câline beaucoup, on s'aime, on se parle de plein de choses (bien que ça coince parfois de ton côté... et que je n'ose t'avouer mon attirance pour un autre)...mais des fois j'ai l'impression qu'on est un couple de supers potes. Et je ne peux m'empêcher de rêver au corps de cet homme ! Qui en plus te ressemble, mais en plus âgé... et plus musclé... et qui a certains centres d'intérêts communs aux miens.
Je m'en veux et je me trouve ridicule de dire ça mais je rêve de moments érotiques différents... comment serait-ce avec lui ? J'ai envie de savoir comment on fait l'amour ailleurs... Parce qu'avant toi, il y a eu mon ex (à effacer) et deux-trois histoires sans sexe (ou presque).

Le résultat est que je me pose des questions et que j'ai envie de savoir comment ce serait avec un autre, comment faire l'amour différemment... parce qu'on a nos habitudes bien qu'on tente de les changer, mais je crains la routine.
J. tu me fais rêver mais jamais je ne pourrai te l'avouer.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Choupixey, 17 ans, Paris
J'avoue, j'ai beau être jeune, en bonne santé, amoureuse et sans trop de soucis, je n'arrive pas a être heureuse.
J'ai très peu d'amis et une vie bien différente des adolescents "normaux". Mais le problème c'est que je ne supporte plus de rester chez moi.
Mes parents ont beaucoup de soucis (argent, santé..) ainsi que mon petit frère et soeur.
Je ne supporte pas de les voir malheureux, je ne le supporte plus.

J'ai beau essayer de faire de mon mieux, j'ai l'impression que rien ne change et que jamais la roue ne tournera. Je travail régulièrement au black pour ramener de l'argent et me payer mes affaires moi même, j'essaie d'aider ma mère un maximum dans toutes ces tâches pour l'aider à préserver sa santé, j'essaie de renouer avec ma petite soeur que j'ai perdu depuis des années et d'être présente pour mon petit frère comme une bonne et grande soeur normal.

Je suis même allé dans une filière scientifique pour faire plaisir a ma famille, pour qu'ils soient fiers, et pour qu'ils aient une petite dose de bonheur pour continuer. Mais à chaque fois que je suis là-bas, je vois constamment la douleur dans les yeux de ma mère, la détresse dans ceux de ma soeur. Mon père je ne sais pas trop ce qu'il en pense, mais je sais qu'il n'est pas bien lui non plus. Mon petit frère lui essaie de faire de son mieux, mais ça me dégoute de voir dans quel milieu il grandit alors que moi j'ai eu le droit à une enfance tellement géniale. Depuis que tout ça a commencé, je consomme régulièrement du cannabis, cela fait maintenant 4 ans. Ça me permet de moins réfléchir, j'arrive à rigoler, à m'exprimer et à être "normal". Il y a aussi mon petit ami avec qui je suis depuis quelques année qui m'aide beaucoup, quand je suis avec lui, je ne pense plus a tous ça, mais juste à nous deux. Nous avons récemment pris un appartement, mais si j'ai prévu d’emménager avec lui que d'ici septembre. Mais avant ça j'aimerais tellement trouver quelque chose qui aiderait ma famille, juste quelque temps de répit.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Music, 40 ans, Périgueux
J'avoue qu'il y a 4 ans mon collègue de bureau m'a adressé un sms pour me dire "je t'aime". Je ne lui ai pas répondu parce que je ne savais pas s'il plaisantait ou s'il était sérieux.
Je n'en ai pas parlé, ni fait aucune allusion, comme si je n'avais jamais rien reçu. Il n'en a pas parlé non plus.
J'avoue que 4 ans après cet épiphénomène je me pose encore la question. Mais comme je n'ai pas envie d'un autre homme que mon chéri, que je ne suis pas une briseuse de ménage, et que je l'aime bien, je préfère garder ça pour moi et pour les millions d'avoueurs qui liront cet aveu.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Circé13, 20 ans, Paris
J'avoue, je ne peux plus supporter cette discrimination sur les rondes.
Petit à petit, elles arrivent à ne plus être pointées du doigt mais je trouve ça dégueulasse qu'encore aujourd'hui être mince est signe de perfection.
Encore aujourd'hui en boutique tous les plus beau articles sont jusqu'au 40... youhou !
Difficile de se sentir valorisée quand les seuls vêtements susceptibles d’être mis part une taille 46 sont à 100€ et dépourvu de "style".
Ronde ne veut pas dire qu'on veux pas être sexy ou glamour !
N'importe qu'elle morphologie devrait être un atout !
Mince, ronde mettez nous toute sur le même piédestal !
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

J., 33 ans, Genève
J'avoue avoir reconnu l'aveu de V.,37 Genève.
Je pense être la personne (femme mariée) dont il se réfère.

J'avoue que le fait de l'avoir lu, m'a profondément émue. Je ressens une profonde souffrance en ses mots.
J'avoue que tout comme lui, notre liaison a également été un moment très difficile à vivre pour moi.

Auparavant, je n'avais jamais "pratiqué la tromperie". En conséquence, un énorme mal être c'est emparé de moi. Je n'ai pas su comment réagir et encore moins gérer la situation.

J'avoue avoir passé des nuits entières sans réussir à m'endormir.
J'avoue ne pas avoir pu entretenir des relations sexuelles avec mon époux.
J'avoue m'être sentie sale, coupable et indigne.
J'avoue avoir été exécrable avec V. dans le seul but qu'il me déteste, et s'éloigne de moi.
J'avoue avoir dit à V. que je ne l'aimais pas, alors que non, je l'aime, à ma façon, mais je l'aime.
J'avoue lui avoir menti délibérément car je savais, de part sa vie difficile, combien cette famille idéale lui est cher.

J'avoue avoir mis du temps à me rendre réellement compte de mon amour pour lui, car je refusais de l'accepter. J'ai lutté contre, j'ai fait mon possible pour passer à autre chose, sans succès.
Depuis, quatre longues années se sont passées, mes sentiments pour lui sont toujours là, intact. La différence est qu'aujourd'hui j'ai appris à vivre avec et j'ai enfouis mon secret et mes sentiments au plus profond de moi, pour éviter tout débordement, pour lui, pour moi, pour nous et nos familles respectives.

J'avoue que certaines fois, malgré ma bonne volonté, j'ai du mal à me contenir et ça se voit.
J'avoue être toujours présente dans sa vie. J'essaie de l'aider comme je peux, le soutenir dans les moments heureux ou malheureux. Je suis là lorsqu'il a besoin de moi.

J'avoue faire tout cela, non pas pour qu'il soit avec moi, ni pour entretenir une liaison. Je le fait pour le voir heureux, c'est ma façon de lui "donner" de l'amour. C'est l'homme d'une autre et je n'ai aucun autre droit.
Mon regard sur lui, ce besoin, est un regard rempli de tendresse. Il a besoin d'amour, admiration et de se sentir épanoui, aimé tel qu'il est. Sans masque, ni faux semblants. Je l'aime pour ce qu'il est, avec ses défauts et qualités, ses forces et ses faiblesses. Et non pas pour cette image montée, pour paraitre en société.
Parfois, il est vrai que devant les aléas de la vie, nous nous retrouvons, sans nous en rendre vraiment compte, prisonniers de nos propres erreurs. Je pense qu'il est prisonnier de cette image idéale et indélébile qu'il s'est créée et qui lui donne à la fois ce sentiment d’appartenance à ce qui est politiquement correct, mais qui en même temps, lui apporte frustration et insatisfaction.

Quant à moi, je reste prisonnière de mes sentiments, avec l'espoir qu'un jour je réussirai à les surmonter.
Mais ce n'est pas de sa faute. J'étais là aussi.
Ce qui au début paraissait une simple "déconnade"entre collègues, au fil du temps, a pris une toute autre tournure.

Toute cette souffrance, tristesse due au fait que la ligne rouge a été franchie, nous empêche de sortir de notre histoire indemne.
Tout cela pour dire que ce qui ne semblait pas être de l'amour hier, l'est aujourd'hui.
Toute cette souffrance, cette difficulté est due en partie aux sentiments qui sont nés entre nous et à cette frustration de devoir s'en tenir à une relation strictement platonique, alors que le cœur, souhaite aller de l'avant.
Une histoire qui dure aussi longtemps, ne peut l'être, si nous ne sommes pas deux pour la vivre et l'entretenir.

V. je veux que tu saches que tu n'es pas seul dans ta souffrance. Malgré mes sentiments envers toi, mon désir est de réussir à voir le bout du tunnel tout comme toi.
Tu n'es pas seul dans ton désarroi. Jamais je ne t'abandonnerai. Je ne t'accuses pas et je ne m'accuses plus non plus. c'est arrivé. J'ai appris à l'accepter. Je sais que rien a été calculé entre nous. La vie, l'a voulu ainsi.

Seul le temps pansera nos blessures, et ce même si les cicatrices, elles, ne disparaîtront jamais.
Courage,
de la part de celle qui t'aime tendrement.
Le premier pas pour se sortir de tout bourbier est d'abord l'acceptation de la situation, de ses sentiments. Pour plus difficile que cela puisse paraître, accepter que quelque chose à échoué.

Cela ne sert à rien de culpabiliser pour ce qui a été fait. D'en effet, déterminer qui est ou n'est pas le "salaud" de l'histoire.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Melle_printemps, 22 ans, Paris
J'avoue que moralement je me débrouille maintenant mais que LUI me manque toujours... IL s'est trouvé une "copine" dont il "se fout complètement" et a continué de me faire des avances (alors qu'il était avec elle depuis un bail) jusqu'à ce que je mette un gros stop en lui faisant remarquer. Mais il dit s'en ficher de moi, c'est très ambivalent comme attitude : dire quelque chose et faire l'inverse. J'ai tenté de me disputer avec lui pour passer à autre chose mais je suis toujours bloquée et ne veux que lui...

Sinon j'ai un stage et je poursuis toujours les études mais j'ai une peur bleue de rater mon année car j'ai du mal à travailler et rester concentrée avec tout ce qui s'accumule autour de moi...
Problème de famille, de voiture (toujours), et même d'amitié.

En effet, j'avoue je me sens en décalage complet avec mes amis depuis un moment. Ils sont tous plus âgés que moi mais je trouve leurs centres d'intérêts puérils pour la plupart. Je ne dis pas que je me sens supérieure, c'est plutôt que je n'ai pas vraiment le temps de faire "des choses de mon âge"... Et que je ne supporte pas qu'on essaie de me changer ou qu'on m'oblige à faire des gamineries ou m'intégrer dans un groupe (je suis plutôt solitaire).

J'avoue je suis toujours un peu perdue et j'aimerais juste m'évader et partir voir la mer.
J'avoue, je devrais revenir plus souvent sur j'avoue.com
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

C'est moi, 22 ans, Ile-Perrot
J'avoue que tu occupes toutes mes pensées.
J'avoue attendre tes messages avec impatience.
J'avoue que j'ai vécu, avec toi, des moments inoubliable.
Je pense que tout a commencé le jour d'hiver, quand il pleut. tu m'as apporté l'aide, tu m'as apportée tout une vie, une paradis, une vue différente, tu as colorée ma vie avec la couleur d’espoir.
J'avoue que c'est toi l'ange, l'innocent, le drôle, le cultivé, le serviable, à l’écoute... c'est toi le parfait, mon cœur.
J'avoue, quand je vois tes yeux, je découvre ces sentiments que j'éprouve pour toi, un sentiment intense.
Souviens-toi le jour où tu as touché ma main !!! Je ne me suis jamais sentie aussi fort et étrange, c’était comme une tempête à l'intérieur et j'ai tout fait pour m'évader.
J'avoue je te trouve charmant avec tes lunettes, quand chante derrière le volant avec ce sourire plein d'espoir.
J'avoue que cela est difficile car je suis peut être avec un autre.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

2222, 19 ans, Paris
J'avoue. Je m'adresse à toi. Toi dont j'ignore encore tout.
Les gens pensent que je suis naïve ou peut être trop stupide de croire qu'en 2014 l'âme sœur existe encore, et pourtant au fond de moi je ne peux m’empêcher d'avoir cette certitude que, peut être, quelque part sur Terre tu es là, et tu attends tout comme moi.
Tu attends ce jour où dieu, de sa puissance infinie, fera confluer nos routes. Tu ne seras peut être pas comme je l'imaginais et je ne serai peut être pas ce à quoi tu t'attendais.
On aimera peut-être pas les même films, ni la même musique, je ne sais même pas si on parlera la même langue, on se disputera sûrement et parfois tu auras peut être envie de m’étriper. Mais une chose est sûre... nous nous aimerons éperdument.
A toi, toi qui me fera frissonner, toi qui connaîtra mes faiblesses, toi qui me fera passer de jeune fille à jeune femme, puis de jeune femme à mère...
Sache que je t'attend et que je saurai être patiente, car j'avoue que je sais qu'un jour mon regard croisera le tien, et ce jour là, tout aura changé.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Bourbon kid, 28 ans, Paris
J'avoue que tu m'as quitté et que notre histoire était un vaste mensonge auquel j'ai cru. J'avoue que malgré ma sincérité, j'ai préféré couper les ponts avec tout ce qui t'entourait.
J'avoue que j'en ai marre des histoires et que notre histoire en était pleine. J'avoue que nos différences n'auraient jamais pu s'accorder, ni se compléter, je préférais être et toi, paraître.
J'avoue que je me fous de ce que tu répands sur mon dos, je suis trop loin pour être atteint et ceux qui te croiront n'en vaudront pas la peine.
J'avoue, j'ai rencontré quelqu'un, un peu vite pour ne pas sombrer dans la tristesse.
J'avoue que c'est quelqu'un de bien, de patient et de simple avec qui aucune prise de tête est possible. J'avoue que ça me fait peur, je pourrais blesser cette personne avec les séquelles de ce que j'ai vécu et elle ne le mérite pas.
J'avoue ne pas vouloir me prendre la tête, ni chercher à plaire.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -

Osiris33800, 27 ans, Bordeaux
Mélanie,
tu es la plus belle rencontre de ma vie, j'avoue que je t'aime si fort et chaque jour qui passe renforce mes sentiments pour toi. Te regarder me donner des frissons, dans ces moments là j'ai envie de te serrer très fort contre moi et arrêter le temps.
J'aime quand on est dans notre bulle d'amour, là où rien d'autre ne compte à part nos rires, nos délires, notre passion, notre complicité.
J'aime te faire rire, j'aime te rassurer quand tu vas mal, j'aime te taquiner pour voir tes réactions si adorables, j'aime discuter avec toi, j'aime quand on s'évade ensemble dans nos projets de rêve... Mais parfois la vie n'est pas si rose, et il arrive qu'un monde sépare les deux personnes qui s'aiment.
Ces derniers temps, je sentais cela venir et ce soir je viens de le savoir, les choses se présentent très mal pour mes papiers.
Parfois on a envie de crier contre le monde entier mais pourquoi faut-il que cela arrive, pourquoi faut-il se séparer de la personne qu'on aime tant...
Sache que peu importe ce qui arrive, jamais je ne t'oublierai car tu resteras à jamais dans mon coeur et mes souvenirs. Aussi loin que je pourrai être, je garderai ton teeshirt pour ne jamais oublier ton odeur que j'adore tant, ce sera une partie de toi dont je ne me détacherai jamais, tout comme tes mots sur les cartes postales que tu m'as envoyées, je les lirai tous les soirs pour ne jamais t'oublier. Ne jamais oublier qu'un jour j'ai rencontrer cette fille un peu folle avec qui je partageais les mêmes délires. Cette fille qui m'a fait craqué et avec qui j'ai vécu les meilleurs moments de ma vie.
Je t'aime de tout mon coeur, mon ange.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -


< Page Précedente  Page Suivante >

Recherche
Rechercher dans : Catégorie

© 1998 - 2024 Javoue.com - tous droits réservés
- Haut de page
Développement assuré par Gilou