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Fz, 21 ans, Chartres
J'avoue que je t'ai aperçue à la médiathèque.
J'avoue qu'au début tu ne m'avais pas remarqué et je pensais que j'étais passé incognito.
J'avoue que je me suis dit encore une nénétte ... Non, arrête de te faire des films et concentre toi sur tes partiels.
J'avoue que j'avais réussi à t'oublier jusqu'à ce que tu fasses tomber une feuille de révision et que tu ailles la ramasser.
J'avoue qu'à cet instant j'ai pu apercevoir ton string et que la vue était magnifique.
J'avoue que tu m'as grillé...
J'avoue que je ne me suis pas caché de mater.
J'avoue que tu n'arrêtes pas de me jeter des coups d'oeil et moi non plus, je ne me prive pas pour te lancer quelques regards à travers le bureau vitré qui me permets de t'observer facilement de l'étage supérieur.
J'avoue que tu fais aussi bien semblant de bosser car tu n'arrêtes pas de me lancer des regards...
J'avoue que je serai bien venu te parler mais je suis trop timide.
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David, 38 ans, Montpellier
Je t'ai menti je t'aime toujours comme un fou, je ne peux m'en empêcher. C'est viscéral tu me manques à en crever. Tu ne me mérites pas mais je t'aime interporellement.
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Toto, 20 ans, Brest
Je suis tombé amoureux de toi, et j'ai eu un coup de foudre à la fin de ton oral de premier semestre, lorsque tu es venu t'assoir à côté de moi. Je me souviens t'avoir dis "ça va ça t'as pas trop stressé" et tu m'as répondu "ouais, mais je suis deux de tension".
Sache que pendant quelques secondes, j'avais l'impression qu'il n'y avais plus que nous deux dans la classe, j'étais perdu dans tes yeux brillant. J'ai certainement pu paraître un peu con, mais j'étais heureux. Après tu es parti quelques mois plus tard avec un autre. J'étais partagé entre la jalousie maladive, et l'affection qu'il me reste pour toi. Je pense encore à toi souvent, tu m'as fais souffrir, mais je ne t'en veux pas, au fond j'ai passé de bon moments avec toi.
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Kerlane, 25 ans, Paris
J'avoue qu'à l'heure du bilan je me sens tiraillée. Je viens d'avoir 25 ans, je vis depuis plus d'un an avec M, qui me rend si heureuse, et pourtant... Pourtant, depuis quelques semaines, il y a un manque dans ma vie. Je passe mon temps à penser à J. Ah J...! Tu es dans ma vie depuis 10 années et tu n'as jamais le même rôle ! Tantôt amoureux, tantôt ami, tantôt amant... Et maintenant ?

J'ai tout ce que j'ai toujours voulu dans ma vie, un homme parfait avec qui je me sens vivre, un travail génial, un appart au top dans une ville que j'adore. Et pourtant... Pourquoi m'as-tu créé ce vide, J ? Pourquoi je pense à toi depuis plusieurs semaines ? Pourquoi tu me hantes ?
Je restes convaincue que tu ne m'apporterais pas la moitié de ce que je désire et de ce que j'ai dans ma vie actuelle, et pourtant, "le coeur à ses raisons que la raison ignore...". Je te veux toi autant que je l'adore lui.
Que m'arrive-t-il ?
Pourquoi même quand je suis heureuse il y a un problème ?
Tu me manque J, et je t'adore M. Je suis désolée du mal que je nous fait à tous les trois.
J'avoue, je ne sais toujours pas quoi faire, mais j'espère savoir vite...
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PaÏkan, 34 ans, Bordeaux
J'avoue que la femme que j'aimais il y a plus de 7 ans m'a finalement pourri la vie.
Le boulot que j'avais eu grâce à elle ne m'a pas apporté ce que j'attendais.
La maison qu'elle avait choisi pour nous et que j'ai conservé était finalement une sorte de punition (loin de mes amis, au milieu de nulle part alors que j'ai besoin de la ville).
Ma fierté et mon coeur en ont pris un coup et que je suis célibataire depuis qu'elle m'a quitté.

Pour cette nouvelle année j'ai déménagé, j'ai pris un nouveau boulot, il ne me reste plus qu'à trouver la femme de ma vie.
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Lex, 24 ans, Paris
J'avoue que la première fois que nos regards se sont croisés, j’ai su que ce serait toi, que je t'aimerais pour le reste de ma vie.
J'avoue, je suis revenue te chercher et tu m'as ouvert ton cœur.
J'ai tout quitté pour te rejoindre, mais j'avoue que je suis malheureuse dans cette ville, j’avoue que malgré l'amour infini que je te porte mes proches me manquent terriblement.
J'avoue que parfois je pleure de ne pouvoir profiter pleinement de notre vie à deux à cause de cet environnement hostile.
J'avoue que l’égoïsme des gens et leur côté robot m'attriste, que dans cette ville toujours pressée et jamais souriante je me sens comme un carré dans un cercle trop petit. J'avoue que parfois ça me rend violente et que je m'imagine gifler tout ces crétins mais j'avoue aussi que je t'aime tant et si fort que je ne dis rien et qu'en claquant la porte de notre chez nous j'oublie que dehors le monde est fou...
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Babygirl, 28 ans, Lyon
J'avoue coucher avec mon collègue chaque semaines depuis 2 ans.
J'avoue que c'est mon meilleur coup, un vrai dieu au lit.
J'avoue que c'est toujours si torride entre nous...
J'avoue que nos collègues s'en doutent mais qu'on a toujours nié.
J'avoue être folle de lui et que je ne laisse rien paraitre.
J'avoue que ça me rend dingue de savoir qu'il se tape d'autres filles.
J'avoue bien me venger de mon côté avec plein d'autres hommes.
J'avoue que mes sentiments commencent à être trop lourds à porter.
J'avoue lui avoir dit la vérité et avoir mis un terme à cette relation pour ne pas souffrir davantage.
J'avoue qu'il l'a mal pris, qu'il n'a pas cherché à me retenir et qu'il m'ignore totalement au boulot depuis.
J'avoue avoir envie de pleurer dès que je l'aperçois mais que je le cache bien.
J'avoue vouloir tellement l'oublier mais comment faire ?!
J'avoue attendre et espérer secrètement qu'il revienne et qu'il m'offre une vraie histoire d'amour...
J'avoue, ça fait du bien d'avouer !
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Bretelle, 25 ans, Marseille
J'ai une famille la pire du monde. Enfin ce n'est pas ma famille. C'est celle de ma mère. C'est fou comme les fêtes de famille révèlent les maux profonds.
Je n'ai pas réussi à dormir le soir du 24 car je pensais à ma mère, si gentille, qui demande si l'un veut un morceau de viande et on lui répond "fous-moi la paix". Que le soir, elle a mal partout, veut s'assoir, personne ne lui propose de place. Mon cousin arrive et on lui propose. C'était criant de méchanceté, d'indifférence, de violence symbolique. Personne ne se pousse pour lui faire une place. Comme si c'était prévu dans le code de cette famille que ma mère devait compter pour du beurre.
Au moment où j'écris tout cela, je trouve cela encore très triste, très violent. Je l'aime tellement et je les hais tous tant.
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X, 23 ans, Paris
J'avoue que tu me perturbes, depuis des mois.
J'avoue que pendant quelques mois, je ne faisais pas attention à toi, du tout.
J'avoue qu'aujourd'hui je ne sais plus comment t'oublier, passer à autre chose.
J'avoue que je me suis quasiment remise avec lui disons que ça ne devrait pas tarder, pur confort, et que je n'arrive pas à te le dire.
J'avoue que si toi et moi on s'était rencontrés dans une autre vie, je n'aurai eu d'yeux que pour toi.
J'avoue que l'âge entre nous me dérange et en même temps, j'adore ça.
J'avoue que je suis mauvaise, je suis invivable, et incroyablement sans cerveau.
J'avoue que tu me fais fondre, complètement.
J'avoue aussi que je ne sais pas quoi faire.
Je me sens perdue, si tu savais à quel point.
Tout lâcher ? J'en suis capable, c'est juste tellement injuste de pas passer le cap sous prétexte qu'on a peur.
J'adore ces moments, j'aime tellement, j'aime tout court ces moments, avec toi, tes baisers, tes regards, nos corps l'un contre l'autre, il se passe quelque chose.
Je n'arrive pas à me passer de toi.
Je n'arrive pas à me passer de lui.
Je ne me sens pas amoureuse de toi, mais je me sens terriblement attirée, aimantée, folle, tu m'excites, tu m'énerves, tu me perturbes, tu as bouleversé ma vie.
J'avoue que je ne sais pas comment faire.
Comment me sortir de cette situation, comment me libérer de tout ça.
Tu ne seras jamais à moi complètement, et je ne serai jamais à toi entièrement, on ne peut pas le montrer, on ne peut pas le dire, et on ne tiendrait pas, au quotidien.
J'avoue que je ne peux pas m'empêcher de penser à toi, trop souvent, depuis ce jour au métro.
J'avoue qu'il faudrait que j'arrête, mais je n'y arrive pas, j'adore penser à toi. J'adore te voir, te rejoindre, nos cafés, nos clopes, nos regards. Bref, j'avoue tout.
J'avoue, j'aimerai plus que ça encore, je n'ai pas de cerveau : je n'arrive pas à te dire que j'aimerai plus, moi aussi, ne jamais me remettre avec lui, et être avec toi.
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Poopine, 28 ans, Lyon
J'avoue que j'en ai marre d'écouter les problèmes de tout le monde ! Trop d'années que ça dure, faire la psy des autres, être celle qui écoute mais ne dit jamais rien. Ok j'avais qu'à m'imposer, mais la vérité c'est que je ne sais pas parler de moi, que j'ai l'impression de ne pas être comprise.
D'ailleurs quand je dis à certaines que ça ne va pas, elles m'appellent, mais au final on parle de leurs problèmes, et des miens éventuellement à la fin si y a le temps...on passe dessus...et puis je minimise toujours, pourquoi ?
Oui certaines ont eu des gros problèmes, des enfances qu'on ne devrait pas connaître, et ce mal les poursuit encore. Mais je ne suis pas une bouée de sauvetage et j'en ai marre d'entendre tout ça maintenant.
Je "porte" les problèmes de mes amis, de mon mari, de mes patients, et tous les changements de ma vie, et je sature ! Moi aussi j'ai eu des difficultés, des blessures, des pertes. Ma vie n'a pas été toujours rose, je ne fais que montrer le meilleur, sourire, et vous aider. J'aime aider, je n'ai pas choisi mon métier par hasard. Mais j'ai aussi besoin qu'on m'aide, qu'on m'écoute et qu'on m'aime simplement...
J'aimerai que quelqu'un prenne du temps pour moi parce que ça lui fait plaisir comme ça me fait plaisir d'aider les autres.
J'avoue que aussi entourée que je sois, parfois je me sens seule et incomprise.
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Paracétamol, 27 ans, Paris
J'avoue qu'à bientôt 28 ans je ne sais pas trop quoi faire de ma vie.
J'avoue que je me sens toujours un peu "à côté", car je n'ai pas les mêmes envies que la plupart des gens : pas envie de me marier, ni d'avoir des enfants, ni d'être propriétaire...
J'avoue que professionnellement il va falloir que je me bouge si je ne veux pas moisir là où je suis actuellement.
J'avoue que les métiers que j'aimerais faire obligeraient à un changement de vie.
J'avoue que je sais que je ne peux pas rester comme ça, mais que tout bouleverser me fait peur.

J'avoue que je couche toujours avec mon collègue, cela fait presque un an maintenant.
J'avoue que jusqu'à présent, personne ne se doute de rien, et que j'ai parfois peur de lâcher un indice sans faire exprès, tellement le mensonge est devenu naturel.
J'avoue qu'il me fait toujours autant d'effet.
J'avoue qu'il n'a pas une super santé et qu'il a toujours un truc de travers et que ça me gave car du coup cela repousse parfois nos parties de jambes en l'air.
J'avoue que cet après-midi je suis passée chez lui et qu'il m'a donné plusieurs orgasmes comme il sait le faire.

J'avoue que ce matin j'ai quitté le lit d'un autre, et que ce n'est pas la première fois que j'enchaine deux mecs en moins de 24h, voire parfois en une soirée.

J'avoue que je me tape aussi un de mes coachs au sport, qui a un corps de dingue. J'avoue qu'il est marié et papa, mais que je m'en fous.

J'avoue que j'adore draguer, j'adore séduire, j'adore arriver à mes fins, j'adore découvrir une nouvelle façon d'embrasser, j'adore découvrir un nouveau corps, une nouvelle odeur...
J'avoue que je pense tout le temps au sexe.
J'avoue que pour certaines personnes je pourrais passer pour une salope, mais pour moi ce qui compte c'est de prendre son pied.
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Aie aie aie, 42 ans, Meudon
J'avoue que j'ai regardé pas mal de films pornos lesbien ces dernières années. J'avoue que ça m'excite pas mal de voir deux filles se faire des papouilles. Je trouve ça doux, sensuel, même si parfois ça manque de variété.

J'avoue qu'au début ma femme, qui ne connait que moi, et qui n'est pas vraiment branchée masturbation, découverte de son corps etc. était pas très branchée préliminaire… mais j'ai appris, grâce à ces vidéos, comment les filles arrivaient à se donner du plaisir. Comment caresser un sexe féminin, prendre mon temps, localiser le clitoris etc. et petit à petit, j'ai réussi à intégrer cette science dans nos relations.

J'avoue que depuis, ma femme y est devenue accro… en tous cas, elle kiffe, je le sais, et c'est un immense plaisir que de la faire jouir avec mes mains, ma bouche, ma langue. C'est fou !

Je pense que si elle savait, elle serait furax… mais je sais qu'elle prend beaucoup de plaisir aussi. La dernière fois, sa façon de m'appuyer la tête entre ses jambes en était une preuve irréfutable.

J'aime ma femme, j'adore lui donner du plaisir. Au moins Youporn aura servi à quelque chose. C'est déjà ça.
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Grenouille, 23 ans, Arles
J'avoue que j'en ai assez de ma situation amoureuse et commence sérieusement à me poser des questions sur ce qui peut bien clocher chez moi.
J'avoue que la seule fois où je suis tombée amoureuse, la relation a duré 1 an et demi et s'est soldée par une fin tragique, de très grandes douleurs dû à la tromperie.
J'avoue que depuis, j'enchaine les déceptions de relations courtes, où à chaque fois, on me quitte.
J'avoue que je ne suis pourtant pas compliqué.
J'avoue que je cherche tout simplement à me poser avec un homme qui prenne soin de moi et me respecte.
J'avoue que je suis tellement désespérée d'être seule que ça me fait terriblement de peine même quand des histoires non sérieuses n'aboutissent pas ou que le gars en question ne me rappelle jamais.
J'avoue que j'ai l'impression qu'une fois consommée, l'homme ne s'intéresse plus à moi et me jette comme on jetterai un papier mouchoir usagé.
J'avoue que mes amies tentent souvent de me rassurer en me disant que quelqu'un de bien arrivera au moment où je m'y attendrai le moins.
J'avoue que je perds peu à peu espoir.
J'avoue que j'ai le besoin de me sentir aimée.
J'avoue que je me sens seule le soir dans mon lit et que j'ai besoin d'avoir quelqu'un contre qui me blottir.
J'avoue que quand je pense un peu trop fort à cet aspect de ma vie, les larmes me viennent.
J'avoue que j'ai des plaies encore ouvertes mais que je tente de les guérir chaque jour.
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Bmzk, 18 ans, Rouen
Je le considère aujourd'hui comme mon meilleur ami, nous avons une relation de frère et sœur, je ne me suis jamais sentie aussi bien avec quelqu'un.

Mais je sais qu'il en aime une autre d'un amour impossible, et qu'il continue néanmoins de l'aimer. Qui suis-je pour le juger, moi qui fais la même chose avec lui.

Il est fou de cette fille, peut-être qu'elle l'aime aussi, mais elle vit à l'étranger, et ils ne se voient que pour de rares occasions. Ils ne sont pas en couple, mais quand ils sont ensemble, je n'existe plus pour lui, alors que nous avons une complicité folle en temps normal.

Je ne pourrai pas lui dire que je l'aime, je ne veux pas briser notre amitié. Mais j'ai tellement peur qu'il avoue ses sentiments à cette fille, et que malgré la distance ils se mettent en couple.
C'est un sentiment égoïste et j'en ai conscience, mais cet homme, je veux le garder pour moi, le plus longtemps possible, je veux profiter de sa présence, de notre complicité, de notre amitié.

Je t'aime.
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Mpds, 21 ans, Paris
J'avoue que je suis heureuse de t'avoir rencontré.
J'avoue que tu es tout ce que j'attendais.
J'avoue que je ne sais pas te montrer mes sentiments et cela me peine.
J'avoue que je sais que tu ne me fais pas totalement confiance et que cela me blesse mais je ne sais pas quoi faire.
J'avoue que tu te trompe sur moi.
J'avoue que malgré tout j'imagine le reste de ma vie avec toi.
J'avoue rêver que tu me demande en mariage, j'avoue rêver de porter tes enfants, j'avoue vouloir être celle qui t’offrira ce merveilleux cadeau.
J'avoue je ne sais pourtant pas si je suis amoureuse de toi ou pas...
J'avoue R. que la vie avec toi sera belle c'est presque indéniable.
J'avoue que tu es pas très loin de moi et pourtant tu me manques.
J'avoue je mélange tout et j'aurais tellement de choses à te dire mais comment faire ?
Tout ça pour te dire que je t'aime.
Tout ça pour te dire que j'espère de tout cœur qu'entre toi et moi ça fonctionnera aussi longtemps que je vivrais.
Tu es pour moi l'homme parfait malgré ta jalousie qui n'a pas lieu d’être.

Je t'aime.
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Bluananas, 21 ans, Paris
J'avoue que je me laisse pas impressionner facilement.
J'avoue que tu m'as fait un effet fou et que je pense à toi même après ces mois.
J'avoue que j'ai effacé tous tes mails et ton numéro et que je recherche chaque numéro inconnu qui m'appelle sur google avec l'espoir a la con que ce soit toi.
J'avoue avoir du mal à ne pas passer par ton quartier, et qu'à chaque fois que le métro passe par ton arrêt j'ai le cœur qui bat plus vite.
J'avoue que je m'en veux énormément pour le dernier texto que je t'ai envoyé, qui est plus que puéril, j'étais bourré et j'ai plus que honte par ce que j'ai envoyé le texto avant de le terminer et que ça veut rien dire.
J'avoue que penser à toi me fait sentir comme une ado pré-pubere.
J'avoue que j'ai peur de te croiser à la fac.
J'avoue que même si j'en ai peur j'ai envie de te croiser à la fac.
J'avoue que je t'ai croisé une fois à la fac en octobre mais je suis directement partie m'enfuir dans les toilettes.
J'avoue que j'ai envie de vivre une histoire avec toi et que j'ai juste ce sentiment ridicule qui me dit qu'on y est prédestiné.
J'avoue que la seule raison pour laquelle je suis pas montée chez toi ce soir est que je t'avais menti en début de soirée et que j'avais pas le nombril percé, je voulais juste que tu aies envie de moi, et j'avais peur que tu découvre ça.

Je t'avoue que je suis partie me faire percer le nombril le lendemain de cette soirée.
J'avoue que quand je pense à toi, j'ai honte de comment j'ai mal géré toute cette histoire.
J'avoue que j'aimerais énormément retourner en arriérè,
J'avoue qu'écrire tout ça m'a fait un bien fou.
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Ipoint, 25 ans, Laon
J'avoue Alexandre B., jamais je ne t'oublierai.
Les années passent et je pense encore à toi et à tout ce que tu m'as dit fin 2011. Depuis, tu représentes pour moi une occasion manquée. Quand je pense à toi, je ne peux m'empêcher de me dire « et si ? ».
A l'époque j'étais malheureuse et mon couple battait de l'aile, je me suis sérieusement posé la question de te rejoindre.
Mon cœur aspirait à de la légèreté, seulement j'ai écouté ma tête et ma fierté ... Je suis restée et du jour au lendemain, j'ai coupé les ponts avec toi sans aucune explication.
Depuis je m'en veux, j'aimerais t'expliquer mon geste.
La vérité est que quand je te parle j'ai de nouveau 16 ans et je me rappelle de tout, les sentiments avec... Je ne peux pas me permettre ça. Et encore moins maintenant.
Je me suis mariée Alexandre et je suis heureuse avec mon mari. Mais pourtant il y a des jours comme aujourd'hui où je pense à toi et j'aimerais savoir comment tu vas. J'espère sincèrement que tu vas bien.
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Taranchat, 24 ans, Québec
J'avoue que l'amour fou je n'y croyais pas.
J'avoue avoir eu des relations difficiles en pensant que j'étais la source du problème.
J'avoue que depuis que je te fréquente je suis la femme la plus heureuse au monde.
J'avoue que j'aime tout de toi, tu es beau, intelligent, drôle et toujours là pour m'épauler dans les moments difficiles.
J'avoue qu'au départ je n'étais pas certaine car nous étions deux âmes en peine, mais qu'aujourd'hui je me vois faire ma vie à tes côtés.
J'avoue tout particulièrement que le sexe avec toi est incroyable.
J'avoue que la chimie entre nous est merveilleuse et que j'adore tes baisers, tes caresses et que je deviens toute tremblante à l'idée de ton corps nu contre le mien.
J'avoue vouloir continuer de te rendre heureux et vivre dans ce petit cocon de bonheur à tes côtés.
Je t'aime mon bel amour.
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J'avouuue, 21 ans, Carquefou
J'avoue qu'on était une belle bande de potes. Le genre de bande de potes de lycée idéale, celle qu'on voit dans des séries télévisées à grand succès : les potes qui partagent tout de leur vie, et qui font les quatre cents coups ensemble.

On avait tous grandi ensemble, partagé des milliers d'heures à rire des conneries des unes et des autres. Du lycée jusqu'à la fin de la licence, on a tenu. Même si, étant la seule à être partie loin, j'étais moins présente, on se retrouvait toujours avec le même plaisir, comme si la dernière fois qu'on s'était vus datait d'hier.

Et pourtant, il a suffit que deux de la bande s'engagent dans des relations amoureuses, que nos différentes études nous éloignent, pour qu'une dispute éclate. Depuis bientôt un an, on est scindés en deux. J'avoue que je n'ai d'abord pas cherché à m'y intéresser, pensant que ça se résoudrait tout seul. J'avoue que j'avais aussi un peu la flegme de me pencher et de m'investir dans tout ça. Mais finalement, au bout de quelques mois, l'absence se fait sentir.

J'ai bien essayé, de me partager en deux, de tenter de recréer du dialogue là où il n'y en avait plus. J'ai tout tenté jusqu'à ce fameux dimanche, celui qui devait être celui de la réconciliation, qui s'est finalement transformé en celui de la séparation. J'avoue que ce jour-là j'ai jeté l'éponge. La voir annuler au dernier moment m'a fait énormément de peine, et m'a montré aussi qu'elle n'était peut-être plus la fille que j'imaginais.

Il restait toi, T., pour qui j'étais prête à tout pardonner. Parce que tu as toujours été fidèle en amitié, que tu m'as toujours soutenu et que j'ai toujours tenté de faire de même avec toi. Mais voilà qu'aujourd'hui, tu tentes de disparaître des réseaux, tu ne donnes plus de nouvelles. Mais j'avoue qu'aujourd'hui, même si c'est tout ce dont tu as besoin, je n'irai pas te chercher. Je n'en peux plus de m'accrocher à ces rêves perdus, il est temps pour moi d'affronter la réalité.

J'avoue que dans cette histoire, j'ai peur d'avoir perdu bien plus que des amis. Mais une partie de ma jeunesse, de mes repères. C'est de tout ce qu'on a fait, tout ce qu'on était, tout ce qu'on a pas eu le temps de faire qu'il me faut porter le deuil. Car, au fond, c'est bien de ça qu'il s'agit.
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Aurelie, 16 ans, Paris
Si j'avoue mes sentiments pour toi E., est-ce que tu me croirais ?
Est-ce que tu les accepterais ?
Est-ce que tu me prendras dans les bras lorsque je descendrais du train ?

Quand tu m'as dit que tu avais hâte que l'on se voit la semaine prochaine, c'était seulement en me voyant comme une bonne amie ?
Est-ce que lorsqu'on sortira tous les deux, samedi soir, ce sera uniquement un dîner puis un cinéma entre potes ?

Quand je t'ai vu l'été dernier, nous ne nous étions pas vu depuis deux ans. Deux ans durant lesquels je n'avais pas particulièrement pensé à toi, tu étais juste un coéquipier dans mon club de voile durant une semaine.

Je t'ai vu avec ta copine et je t'ai demandé qui c’était, tu m'as dit devines : "ta soeur ?" , "ta cousine ?", " ta copine ? "... " Oui, depuis deux ans", m'as-tu dit.
Je n'avais aucune arrière pensées à cette époque.

Je venais de me faire jeter par mon premier amour, M., je vous enviais un peu je l'avoue, mais surtout j'avais remarqué que tu avais grandi, tu étais devenu presque un homme. Je m'étais mis en couple avec quelqu'un d'autre pour tenter de me consoler une semaine auparavant, pour me consoler de M. J'avoue, je t'ai menti en disant que nous étions depuis un an ou deux en couple, juste pour ne pas te sembler une idiote, pour te faire bonne impression.

Nous avons gardé le contact puis il y a environ deux mois, tu m'as envoyé un SMS en me disant que tu l'avais quitté. Nous ne étions pas parlé depuis deux semaines environ. Et je t'ai confié que je réfléchissais à quitter mon copain, il s'attachait à moi, mais je ne pouvais pas lui rendre la pareille alors je l'ai laissé en priant pour qu'il trouve une fille mieux que moi.

J'ai essayé d'être la plus objective possible lorsque ton ex t'a causé des problèmes, parce que après je m'en aurai voulu d'avoir empêché votre bonheur.

Aujourd'hui, une amie m'a dit que je me faisais un film par rapport à toi, pourtant tu es la première personne à me redonner le sourire. Si je n'ai pas de SMS de toi ou d'appels je suis mal, je me pose des questions, tout en évitant de te harceler, même s'il y a des moments où j'en ai envie. Je suis même redevenue un peu jalouse, d'une fille dont tu m'as parlé parce que tu avais un peu discuté avec elle parce qu'elle habite dans la même rue que toi et que vous êtes dans la même classe.

Je ne sais plus ce que je ressens j'avoue.
Si je le sais, j'espère juste que je n'aurai pas à faire le premier pas, parce que j'en serai incapable. On parle de tout chaque jour et je recommence à vivre doucement grâce à toi, à ton soutien quotidien. J'ai recommencé à vivre grâce à toi, pourtant les personnes proches de moi avaient tout essayé.
Alors voilà qu'est-ce que c'est ? J'ai une idée mais je suis pas sûre, aide-moi à y voir clair...
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Mpm, 37 ans, Bruxelles
J'avoue que, malgré toutes les bonnes résolutions que j'avais prises il y a 10 ans, j'ai recommencé à tromper l'homme de ma vie il y a peu.
J'avoue que je n'arrive pas à m'en vouloir, car ça ne change rien à l'amour que je lui porte et au fait que j'ai envie de finir ma vie avec lui.
C'est juste que j'ai parfois envie d'un petit plus, bien que je sois comblée à la maison.
J'avoue que, quand certains ont envie d'une cigarette, d'un verre ou de faire du sport, moi j'ai envie de sexe. Ça n'est qu'une occupation comme une autre.
J'avoue que, même si je sais qu'à long terme ça risque de mal finir, mon amant actuel est mon patron, et c'est bien pratique puisqu'il est normal que nous passions nos journées ensemble, et je ne dois mentir à personne. C'est juste que, de temps en temps, quand on en ressent le besoin ou qu'on en a l'occasion, on s'éclipse dans un bureau éloigné pour s'amuser un peu...
J'avoue que j'adore ça ! Et plus j'en ai, plus j'en veux !
J'avoue qu'il y a deux semaines, mon patron m'a dit que, sa femme ayant des soupçons sur sa fidélité, il fallait que l'on se fasse plus discret et qu'on arrête un moment nos siestes crapuleuses. Ensuite, la semaine passée, il est parti en vacances.
J'avoue que, quand il est revenu, hier, je m'attendais à ce qu'il m'ignore, je pensais qu'il ne se passerait rien, mais dès qu'on s'est retrouvé seul, il m'a sauté dessus.
J'avoue que j'ai adoré ça (surtout que je ne m'y attendais pas) !!!

J'avoue qu'aujourd'hui, je me suis habillé de manière plus ou moins provocante afin de mettre toutes les chances de mon côté. Ça a marché !
J'avoue que j'ai adoré qu'il me dise : "Tu es une île de la tentation à toi toute seule" !
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Perdu, 28 ans, Lille
J'avoue n'avoir jamais connu l'amour.
J'avoue de toujours tomber sous le charme des personnes qui veulent pas de moi.
J'avoue me sentir énormément seule malgré un entourage présent.
J'avoue ne plus croire en amour.
J'avoue avoir l'impression de n'être plus rien, plus important auprès de mon entourage et de mes amies.
J'avoue avoir peur de finir ma vie seule.
J'avoue être désespérée.
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10 ans déjà..., 37 ans, Anjou
J'avoue que ça fait 5 ans au moins que je ne suis plus venue sur ce site...
J'avoue que si je suis revenue aujourd'hui, c'était pour avouer diverses petites choses, mais avant de commencer, j'ai d'abord relu une partie de mes anciens aveux.
J'avoue qu'en dix ans, presque rien n'a changé... Toujours la même peur : celle de faire souffrir le seul être sur cette terre qui m'aime réellement et en qui je peux avoir totalement confiance. Toujours le même défaut: tendance à la nymphomanie, mais jamais avec le bon. Toujours le même soucis sentimental avec mon amant (même si celui-ci n'est plus le même qu'à l'époque) : celui de ne pas me sentir assez désirée.
J'avoue que je suis parfaitement heureuse chez moi : j'ai un homme formidable, deux enfants adorables, et tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Sauf que...
J'avoue que, depuis que je l'ai rencontré, j'ai un petit faible pour quelqu'un d'autre. J'avoue que, pendant 10 ans, j'ai été persuadé qu'il n'y avait pas de place pour moi dans sa vie. J'avoue qu'il y a quelques mois, je me suis quand même trouvé une petite place : celle de maîtresse en chef (et oui, je ne suis pas la seule...).

J'avoue que, pendant cinq mois, ça a été le paradis. J'avoue que ses mains me font vibrer comme jamais je n'avais vibré, j'avoue qu'il me rend folle, j'avoue qu'on est parfaitement compatible. J'avoue que je ne me suis laissé aller à l'aimer que quand j'ai cru être certaine que lui m'aimait... J'avoue qu'aujourd'hui, je déchante.
J'avoue que jamais je n'ai eu l'intention de foutre en l'air ma famille pour lui, je savais que c'était sans lendemain, que je fonçais droit dans le mur d'une manière ou l'autre, mais j'avoue que je ne pensais pas que cela me déprimerait autant, et j'avoue que je ne sais pas toujours expliquer à mes enfants, mon mari ou mes collègues pourquoi je pleure sans arrêt ces derniers temps.
J'avoue que je leur ai dit que c'était à cause du boulot, que j'en avais marre.
J'avoue que c'est totalement faux. J'avoue que je suis amoureuse, autant de mon mari que de mon amant. J'avoue que je suis totalement incapable de me passer d'eux. Et j'avoue qu'il suffit que l'un des deux ne me montre de signe d'affection pendant une journée pour que ça me déprime pendant une semaine.
J'avoue que je sais que j'ai déjà énormément de chance d'avoir eu droit aux deux pendant cinq mois, et je m'en veux d'être aussi exigeante, car si mon bonheur est d'avoir deux mecs à mes pieds, j'ai pas fini de courir...
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Infirmier69, 34 ans, Lyon
J’avoue que notre histoire se termine après 6 ans de vie commune.
Tu es parti sans même te retourner pour une vie meilleure, ailleurs avec ces étrangers qui sont venus te vendre du rêve.
Et comme tu es rêveuse, opportuniste tu as sauté sur l’occasion.
J’avoue que tu m’as bien baratiné pour préparer ton projet professionnel… Qui n’a de professionnel que le nom !
J’avoue que tu n’as fait preuve d’aucune empathie à mon égard, d’un irrespect total en me laissant sans nouvelle de toi du jour au lendemain pendant 10 jours pour au final m’annoncer au téléphone que ta vie ici ne te manquait pas.
J’avoue que cette période à été terrible pour moi, que j’ai fait preuve d’une fragilité énorme et que sans mes amis N et H, cela aurait été encore plus difficile.
J’avoue que je t’en ai voulu et je pèse le poids de mes mots.
J’avoue que j’ai pleuré à ne plus y voir.
J’avoue que je ne t’en veux pas de m’avoir quitté car la vie à laquelle tu veux prétendre je ne peux pas te l’offrir.
J’avoue que je méritais un peu un plus d’égard compte tenu du fait que je pensais que notre histoire avait été belle.
J’avoue qu’on aurait certainement fini par se séparer un jour et que j’aurais voulu conserver que les bons moments et les bons souvenirs.
J’avoue que je n’ai pas toujours été correct avec toi, et toi non plus d’ailleurs.
J’avoue que si je t’avais quitté à ta première cachoterie je n’aurai jamais écris ces lignes 6 ans plus tard.
J’avoue que ta vision de la vie me laisse sceptique, toi qui penses voir les choses à long terme alors que tu es incapable de te projeter.
J’avoue que tu devrais réfléchir à la place que tu laisses dans ta vie et dans ton cœur aux gens qui t’aiment, qui t’ont aimé et qui étaient là pour toi quand tu étais en difficulté.
J’avoue que tu trouveras toujours des proches pour partager les bons moments.
Qu’en sera-t-il lorsqu’il faudra partager les moments difficiles.
J’avoue que moi j’ai été là ces 6 dernières années et comme ce fut difficile par moment.
J’avoue que si j’avais fait preuve d’autant d’opportunisme que toi j’aurai été moins triste aujourd’hui.
J’avoue A que je te souhaite que du bonheur parce que je t’ai aimé passionnément mais le jour où tu vas tomber de ton petit nuage tu verras à quelle point tu es seule.
J’avoue que la manière dont tu m’as quitté me donne une bonne leçon sur la vie.
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Lali89, 25 ans, Laval
J'avoue que ma vie change en bien en ce moment.
Javoue que je n'ai toujours pas eu de chéri mais que je prends plus sur moi.
J'avoue que ma vie sociale change en bien aussi je rencontre de nouvelles personnes et ça fait du bien.
J'avoue que par contre du côté professionnel c'est pas ça du tout...
Je vais de plus en plus au travail à reculons.
J'avoue que je souhaite changer de travail mais que je ne veux pas quitter Laval où je commence seulement à me faire une vie.
J'avoue que je ne sais pas quoi faire comme métier tout changer ou ne rien changer du tout.
J'avoue que le jour où j'aurai vraiment trouvé ma voie ça ira mieux.
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