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Fleurbleue, 54 ans, Québec
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J'avoue, je suis assistante dans un bureau. Annonce par mail d’une supérieure au sujet d’un stagiaire qui se joindra à nous. Je vois sa photo sur son CV. Aucun intérêt de ma part, ce n’est pas mon genre, en plus sa date de naissance indique qu’il a près de 20 ans de moins que moi.
Il est finalement arrivé de l’étranger. Personnalité froide, réservée, serrement de main timide, pas trop causeur. Un look d’ado. Nous avons réglé des formalités administratives comme j’aurais fait avec n’importe qui d’autre… mais en étant de plus en plus avenante avec lui. Après quelques jours, j’ai été troublée par un rêve : que son âme était mêlée à la mienne, sans que je voie nos corps, parmi des danseuses en robes rouges amples et le tout dans une atmosphère sensuelle qui dégageait du désir. J’en fus toute surprise et perplexe sans y trouver aucune logique. Un jour… son regard insistant qui m’a fait détourner le mien, son sourire qui m’a fait baisser les yeux. Le seul qui a réussi … Une fois la remarque : « j’ai pensé que si je ne venais pas te voir aujourd’hui, tu t’ennuierais de moi ». Ah ben dis donc !!! S’il a voulu me troubler, ce fut réussi. Après quelques semaines, je l’ai vu comme un homme. Avant de partir pour le congé des fêtes, des bises complétées avec des caresses. Tout cela est banal, mais il est trop jeune. Je suis troublée. Sa voix grave et douce me pénètre. Sa personnalité parfois juvénile m’attendrit et quand elle me le fait sentir homme cela me trouble. Mais je sens qu’il peut lire en moi et s’il pense que je vais me trahir avec un mot… il se trompe. Il a déjà essayé mais je sais m’esquiver. Comme : - Est-ce que tu te sens bien ? - Oh, je n’ai pas l’air d’aller bien ? - Oh. C’est peut-être moi… - C’est que j’ai bu un café à 15h30 et ça m’a rendue nerveuse. (pas vrai) - Ah…. (ouf.. en plus il « portait attention » à ma réponse… zut il fallait me croire, pourquoi mentirais-je ?
Enfin je ne peux pas mettre un mot sur le lien qui nous unit, mais il sait que je suis là pour lui. C'est tout et ce sera pour toujours un roman inachevé que je garderai dans mon cœur. Mais il n'en saura rien. À quoi bon ? Même si nous étions tous deux libres, encore une fois... trop jeune...
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Zazou, 22 ans, Paris
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J'avoue Yassine que je ne suis clairement pas prête à ce que l'on soit amis, tu as peut-être tourné la page mais moi je me bats toujours pour t'oublier. J'avoue qu'on s'écrit de temps en temps mais je ne pense pas que ce soit une bonne idée. Tu es avec quelqu'un d'autre et je ne trouve pas que ce soit juste envers elle, même si je sais que tu n'as pas d'idées derrière la tête et que tu veux juste qu'on soit amis. J'avoue que c'est moi qui t'ai quitté, c'est moi qui t'ai d'abord brisé le coeur. Ce n'est que maintenant que je comprends ta souffrance. La roue tourne comme on dit. J'avoue que je suis revenue vers toi en janvier mais évidemment tu m'as repoussé. Je sais que j'aurais fait pareil à ta place. J'aimerais tout de même que tu saches que j'étais sincère, je ne suis pas revenue parce que je me sentais seule ou par peur de te perdre à jamais. Je suis revenue parce que je t'aime tout simplement et que je me suis rendue compte que c'est la seule chose qui compte malgré la distance qui nous a fait rompre.
J'avoue que j'étais sincère quand je t'ai dit que je t'attendrai mais si je veux être heureuse il va falloir que je fasse comme toi et que je parte pour me reconstruire. C'est pour cette raison que je ne vais plus t'écrire. Il faut que j'accepte que je ne peux pas tout contrôler, surtout pas les émotions d'une personne.
J'avoue que pourtant je ne regrette pas de t'avoir quitté, si je l'ai fait c'est parce que j'avais besoin d'être seule, j'ai besoin de savoir qui je suis, de me trouver avant de m'engager avec quelqu'un. Ça peut te sembler stupide comme raison mais je pense que je nous ai fait une faveur à tous les deux. Je pense que j'ai encore besoin de grandir. Vaut mieux faire sa crise existentielle maintenant tant qu'on est jeunes que plus tard quand on est mariés et qu'on a des enfants à charge non ?
Si je t'ai quitté à 20 ans c'est parce que je ne veux pas te quitter à 40 ans. Je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire, j'espère qu'un jour tu le comprendras. J'avoue que le destin est quand même incroyable, je vais sûrement déménager dans la même ville que toi pour mes études. C'est le deuxième Master dont je t'ai parlé mais je ne t'ai pas dit qu'il était dans ta ville. Je ne veux pas te le dire parce que j'ai peur de te faire fuir, je sais que tu te diras que je l'ai fait exprès... Au fond c'est normal, de nous deux tu es celui qui est en position dominante, c'est moi qui me suis humilié en janvier quand tu m'as dit que tu étais avec quelqu'un d'autre et qu'elle allait te rejoindre à Grenoble. Je ne peux pas me risquer et m'humilier une seconde fois, c'est pour ça que je ne veux pas que tu le saches.
Ce secret c'est ma dignité. Je ne veux pas non plus de ta pitié même si je suis sûre qu'elle est sincère. J'ai compris que tu ne m'aimais plus ne t'inquiète pas, je ne peux pas te forcer à m'aimer et je respecte ton choix.
J'avoue qu'au fond de moi je ne veux pas que tu m'oublies, je ne veux pas que tu te dises que nous n'avons plus aucune chance Jazou. Crois moi, je n'aime pas être assignée au rôle du premier amour, celui qui t'a forcé à grandir. J'aurais aimé être celle que tu trouves après moi, qui sait, peut-être qu'un jour tu m'en redonneras la chance. Je t'aime à jamais pH, je t'aime en espagnol, en danois, en catalan, en anglais, en allemand, en chinois... Dans toutes les langues qu'on connaît. Juste pour nous la raconter une dernière fois.
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Zeppelin, 25 ans, Poitiers
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J'avoue avoir perdu le hamster de ma copine partie en week-end. J'avoue l'avoir retrouvé il y a 10 minutes. J'avoue avoir regardé sous le canapé s'il y était. J'avoue l'avoir écrasé en le reposant. Ma copine doit rentrer dans deux heures. J'avoue qu'elle va me tuer.
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Kikkoman, 21 ans, Londres
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J'avoue avoir eu le coup de foudre dès que je l'ai vue. J'avoue être fou amoureux de cette belle anglaise. J'avoue qu'elle est parfaite. J'avoue qu'on s'amuse vraiment ensemble. J'avoue aimer nos moments de complicité. J'avoue être très heureux de m'être installé chez elle. J'avoue aimer lui faire l'amour sur le vieux Chesterfield entre deux piles de carton, en entendant l'agitation londonienne. J'avoue ne jamais vouloir me séparer d'elle. J'avoue que je lui donnerais tout ce que j'ai. Ma vie pour la sienne.
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Lolabelle, 35 ans, Paris
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J'avoue que nos regards qui se croisent avec insistance lors de cette réunion, ce fut pour moi un bouleversement physique, psychologique et ... professionnel ! J'avoue que j'ai été étonnée que tu prennes contact avec moi après notre rencontre et que j'ai adoré nos échanges par mail durant des mois. J'avoue que durant notre premier rdv, je n'attendais que cela, que tu m'embrasses et tu l'as fait et bien fait... La suite, on la connaît... Tu me manques terriblement...
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Melle_printemps, 23 ans, Paris
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J'avoue que ça faisait longtemps que je n'étais pas venue sur Javoue.com J'avoue que j'ai plein de choses à avouer !
J'avoue me poser beaucoup de question sur mon ancien collègue avec qui je suis devenue depuis "amie". Je dis "amie" car cette relation est vraiment étrange : je dors chez lui, on parle, on rigole, on manque de déraper... mais en fait non. Et il ne se passera jamais plus que ça (et c'est très bien comme ça)... mais son attitude me laisse perplexe. Et la mienne aussi : il me trouble énormément, il y a une espèce d'attirance, c'est très étrange.
J'avoue que ma vie amoureuse ressemble à un série en ce moment (des exs m'ont rappelé à une semaine d'intervalle).
J'avoue que c'est LUI dont je parle dans chacun de mes aveux et pour lequel j'ai toujours des sentiments depuis fort longtemps qui a voulu me parler. Heureusement il ne m'a pas posé LA question qui tue, à savoir si j'ai retrouvé quelqu''un et ne m'a pas dit s'il était encore avec sa "copine" dont il se fout royalement (deux ans avec quand même, ben dis donc, si c'est ça en avoir rien à faire des gens...). J'avoue qu'à chaque fois que je vois un espoir de passer à autre chose, il s'effondre et ce n'est pas faute d'avoir fait des efforts pour t'oublier. J'avoue que tu m'as dit être content de me revoir mais j'avoue que je vais continuer à t'ignorer pour me protéger !
J'avoue que j'ai quand même très envie de le serrer fort dans mes bras... (et pas que !)
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Zaï, 34 ans, Suisse
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J'avoue que je n'aime pas mentir... Mais je le fais pour le bien de tout le monde... J'avoue que cela me stresse au plus au Point, je ne suis pas une menteuse... Aujourd'hui c'est la dernière fois, après plus de cachotteries. Marre de ces secrets...
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Rosée, 24 ans, Montpellier
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J'avoue que dès que j'ai croisé ton regard j'ai su. J'ai su que c'était toi. J'avoue que même en sachant que tu étais l'ex de ma copine ça ne m’arrêterait pas. J'avoue que même quand tu t'es mis en couple avec une bombasse je me suis dit "j’attends".
J'avoue que j'étais tellement contente qu'elle t'ai quitté ! J'avoue que quand t'as rencontré une autre fille dans un bar j'étais désespérée. J'avoue que quand ça n'a pas marché j'étais trop contente. J'avoue que j'ai eu de l'espoir pendant quelques temps, l'espoir que je te plaisais, l'espoir que tu me regardais, l'espoir que tu allais faire un premier pas vers moi... J'avoue que quand j'ai appris que t'avais encore une nouvelle meuf j'ai pleuré, pleuré toutes les larmes de mon corps seule dans mon lit. J'avoue que je n'arrive pas à passer à autre chose, tu hantes mes pensées... J'avoue que j'ai encore cet espoir, un espoir fou, et que même si tu me dis que c'est impossible avec moi, j'aurais toujours cet espoir. J'avoue qu'en écrivant tout cela je pleure encore... Pourquoi ?... Parce que je l'avoue... Je t'aime.
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M., 21 ans, Lille
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J'avoue avoir embrassé et désiré comme une folle le fruit de tes fantasmes, M. Tu es ma meilleure amie, je t'aime plus que tout au monde mais là, je n'ai pas pu lutter.
Aujourd'hui je suis comme une conne car il ne se passe plus rien avec lui. Je suis partagée entre l'espoir naïf que je le reverrais, et la culpabilité d'empiéter sur ton terrain.
J'avoue que je m'en veux encore un peu mais que je ne pourrais jamais te le dire.
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Capricam, 29 ans, Douai
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J'avoue, j'en ai assez de cette accumulation de merde niveau santé. il y a un, je pensais faire un frottis bénin, de contrôle et j'avoue que c'en est tout autre. J'étais en cin3 et pour éviter de passer un stade pour un cancer du col, j'ai été opéré une première fois. J'ai fait une hémorragie secondaire dix jours après. J'avoue, j'ai craqué quand j'ai reçu cette lettre me notifiant que l'opération avait été incomplète. J'ai donc été une deuxième fois en novembre. L'opération s'est bien passé, je pensais. J avoue que depuis, je n'ai pas eu de menstruations depuis. J'avoue qu'en terme d'économie pour les protections c'est parfait mais il y a des effets secondaires de dingue. J'ai donc subi une troisième intervention pour que le col ne soit plus obstrué. J'avoue, j'étais ravie, je me suis dite enfin c'est fini beh non ! J'avoue que je me sens pire qu'une boule de billard. ça fera quatre interventions pour un problème qui était bénin. J'avoue je n'en peux plus du tout... J'ai hâte que ce soit fini et que je puisse avoir une vie plus reposante.
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Celeste, 45 ans, Paris
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J’avoue que j’ai adoré t’embrasser et que je rêve de plus. J’avoue que je t’ai toujours aimé. J’avoue que si tu t’étais opposé à mon mariage, je t’aurais suivi mais que maintenant j’aime ma vie confortable. J’avoue que j’ai peur de ne pas te plaire. J’avoue que je ne pourrais pas supporter ton indifférence.
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Lulu, 17 ans, Toulouse
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J'avoue, je ne parle pas trop. Oui je n'aime pas parler et alors ? J'en ai marre que tu me poses toujours des questions, tout le temps. Tu veux tout savoir sur tout et c'est insupportable. J'avoue que j'ai eu des problèmes étant petite et que tu m'as bien élevée. Tu t'es inquiétée pour moi et je t'en suis reconnaissante. Mais encore maintenant tu t'inquiètes et quand je reçois mes résultats de devoirs et que j'ai toujours les mêmes commentaires des profs tu dis: "comme toujours, tu as fait ci, tu n'as pas fait ça...". Et quand je veux aller chez des amies tu fronces les sourcils: tu es d'accord mais je vois que ça te dérange. Mais je n'en peux plus de rester tout le temps avec toi 24 heures sur 24 ! Tu te plains de ton poids, de tes problèmes de santé qui sont récurrents et pénibles (mais non dangereux). Je n'en peux plus de t'entendre te plaindre et soupirer tout les jours, tout les jours... J'avoue que je suis pressée de partir faire mes études dans une autre ville.
Et maintenant, j'avoue, (à toi mon camarade de classe) que je t'aime. La première fois que je t'ai vu c'était en première et je pensais que tu n'étais qu'un gars débile et immature, comme beaucoup d'autres. Mais tu était super sympa et même si j'avais un air sérieux et un ton un peu agressif, tu as été super sympa. Je n'ai pas mis longtemps avant de t'apprécier. Tu étais sympa, tu ne te mettais jamais en colère, tu étais (et tu es) plutôt populaire... Je ne sais pas quand je me suis mise à t'aimer. En début de terminale, sans doute. J'avais un infime espoir que tu me dises aussi que tu m'aimais. Mais j'ai beaucoup réfléchi et je me suis rendue compte que tu étais sûrement homosexuel. Je n'ai rien contre eux, j'ai même des amis et une cousine homosexuels, et je trouve que c'est très bien pour eux si ils sont heureux. Mais quand je te vois et que je me dis que tu ne pourras jamais m'aimer comme moi je t'aime... Cela m'attriste. J'espère que tu seras heureux..
J'avoue que je suis très susceptible. J'adore écrire, et ce depuis toute petite. Pour moi comme c'est une activité que j'aime beaucoup, je suis très sérieuse dans ce que je fais. J'ai une "bande" d'amis qui adorent aussi écrire, et parfois je leur montre ce que j'ai fait. Mais quand cet après-midi j'ai montré ce que j'ai fait et que je vous voyais rire, j'avoue que je me suis énervée car je n'aime pas que l'on rit de quelque chose que je prend très au sérieux. J'avoue que cela doit venir du fait que ma cousine, quand j'étais petite, lisais mes écrits et rigolait, rigolait, rigolait... Et me disais que j'étais trop mignone. Mais elle ne le disait pas sur un ton gentil. Plutôt moqueur. Et cela me vexait. Cet après-midi en montrant mes écrits je savais que mes amis allaient toujours dire les mêmes choses: tu as mal maîtrisé tel ou telle choses... Mais je sais bien que j'ai très peu progressé et que je fais toujours les mêmes grosses erreurs, et j'avoue que me dire en face ce que je n'aime pas me trouble, m'énerve. Je trouve que tout ce que je fait est nul: mes écrits, mes devoirs, parler à l'oral dans un cours ou avec mes amis... Même ça je le rate: je dis trop de choses ou pas assez, je ne sais jamais quoi dire dans les conversations et j'entend mal quand on me murmure des choses et qu'il y a un peu de bruit à côté... Donc des fois je comprend des choses qui sont pas ça, ou je comprend rien du tout des fois... (ça peut d'ailleurs donner à des situations comiques.) Bref je trouve que tout ce que fait, ce que je dit/ne dit pas, ce que j'écris ou ce que je comprend... C'est nul... Je n'ai jamais eu beaucoup de confiance en moi.
Enfin... J'avoue que écrire tout ça m'a calmée. Maintenant, plus qu'à stresser pour le bac ! (Non sérieusement j'espère que je l'aurais même si j'ai des résultats du genre 11-12 ce trimestre !)
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Stuck, 25 ans, Paris
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J'avoue que cela fait 5 ans et que tu es toujours dans mes pensées. J'avoue que je n'ai jamais aimé un autre homme. J'avoue que je suis tes moindres faits et gestes sur les réseaux sociaux et sur les divers sites. J'avoue que tu me hantes. J'avoue que je t'aime toujours et que je n'ai jamais aimé que toi. J'avoue que tu me manque au point de vouloir en finir quelques fois. J'avoue que pour autant je ne reviendrai jamais te parler. J'avoue que j'aime celui que tu étais, pas celui que tu es. J'avoue que je n'arrive pas à aimer quelqu'un d'autre que toi depuis 5 ans. J'avoue avoir été en couple durant longtemps pourtant. J'avoue que je pense toujours à toi.
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Mysterieuse, 35 ans, Marseille
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J'avoue que tu es le seul que j'ai aimé à ce point. J'avoue que cette passion m'a marquée au fer rouge et que je me souviens de chaque détail. J'avoue ne jamais avoir réussi à me réinvestir dans une relation amoureuse depuis que tu m'as quittée. J'avoue avoir mis de nombreuses années à me remettre de cette rupture, j'en ai bavé. J'avoue m'être demandé, si tout ce que tu m'avais dit, n'était pas un tissu de mensonges. J'avoue ne pas avoir compris pourquoi tu es réapparu dans ma vie subitement, au moment où enfin je t'oubliais et je pouvais avancer sereinement dans ma vie. J'avoue avoir été étonnée de ne pas ressentir de rancoeur et de voir cette complicité toujours présente entre nous. J'en ai même été heureuse mais déstabilisée. J'avoue avoir enfoui mes sentiments quand on s'est quittés. Je ne regrette pas de ne pas avoir tenté de te retenir ni de t'avoir supplié. Je ne regrette pas de ne pas t'avoir dit que je t'aimais ce jour là. J'avoue que je t'aime encore mais que j'ai appris à vivre sans toi simplement. J'avoue, après t'avoir revu après tant d'années, que je repense au passé et j'en pleure, je pleure de ce gâchis. J'avoue que j'espère que le problème qui nous a séparé, est enfin réglé et que tu réapparais pour ça Je ne comprends pas pourquoi tu reviens dans ma vie...
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Amélie, 24 ans, Rouen
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J'avoue que ça fait des années que je me demande si je t'aime encore. Et j'avoue que pourtant, je reste... il y a tellement d'autres choses en jeu, il ne s'agit plus que de toi et moi... J'avoue que je sais que toi tu as toujours des sentiments forts et que je me sens coupable de ne plus avoir les mêmes. J'avoue que j'ai l'impression de vivre avec un ami, et non un amour. Je ne cherche pas quelqu'un d'autre, je pense que j'ai seulement envie d'être seule. J'avoue que je pense qu'on est allé bien trop vite dans toute cette histoire, et que je me rends compte trop tard qu'on ne se correspond pas. J'avoue que je me dis souvent qu'un jour, je partirai...
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Z, 28 ans, Quimper
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J'avoue : il y a quelques temps, ma belle-sœur, mon beau-frère et leurs enfants sont venus passer le week-end à la maison. Ma belle-sœur est jolie, bien faite, et elle a environ 10 ans de plus que moi. Je ne la connais pas depuis très longtemps.
Nos chambres respectives étaient côte-à-côte. Ma compagne s'est levée tôt, ainsi que mon beau-frère. J'étais seul dans ma chambre, et ma belle-sœur également. Sachant cela, une pulsion m'a envahi : je voulais absolument qu'elle me voie complètement nu, et que je puisse observer sa réaction à ce moment-là. J'ai donc discrètement ouvert les volets de ma chambre, pour que la lumière emplisse la pièce, j'ai ouvert la porte de ma chambre aux trois-quart, et comme nos deux portes de chambres respectives formaient un angle, je pressentais qu'en sortant de la sienne, elle allait fatalement regarder dans la mienne.
Je dormais sur un matelas posé à même le sol, et je me suis mis nu, la couette savamment disposée pour qu'elle ne couvre qu'une de mes jambes, et que le reste de mon corps lui soit complètement exposé. Je voulais qu'elle me croie endormi et dénudé par inadvertance, et qu'elle puisse ainsi m'observer tant qu'elle le souhaitait, puisque je n'en avais pas conscience. Je me suis ensuite légèrement masturbé en pensant à elle, de manière à gonfler mon sexe, sans aller jusqu'à une érection complète, mais pour qu'il paraisse encore au repos, mais bien gonflé.
Il est vrai que j'ai un sexe de belle dimension, et je voulais qu'elle le voie, comme "par accident". J'ai attendu dans cette position jusqu'à entendre son lit faire du bruit, moment où elle se lève enfin. J'ai tourné légèrement la tête sur le côté, et gardé les yeux presque clos, juste assez pour voir l'encadrement de la porte où elle n'allait pas tarder à se présenter.
Là, sa porte s'ouvre doucement, je la vois sortir lentement dans sa nuisette blanche au décolleté plutôt profond, pieds nus, ce qui la rendait très sensuelle... Et là, comme je l'espérais, elle tourne la tête vers ma chambre, et elle me voit sur mon matelas, par terre, entièrement nu et à 2 mètres d'elle. Elle a d'abord regardé si je dormais, et ensuite son regard est descendu sur mon sexe, qui s'était un peu plus gonflé que prévu sous le coup de l'excitation, mais sans qu'il paraisse en franche érection. Elle est resté environ 10 secondes à me contempler, avec l'air de ne pas comprendre tout de suite ce qu'elle était en train de voir, elle s'est ensuite dirigée vers l'escalier, m'a regardé une dernière fois avant de descendre, puis elle partie.
J'avoue, peut-être que je passe pour un pervers exhib, mais mon fantasme s'est réalisé, elle m'a vu nu, et elle sait que j'ai un gros sexe. Et à chacune des occasions où l'on se voit dans l'année, je sais qu'elle se remémore mon joli sexe en me faisant la bise... Et je suis descendu 10 minutes après elle, et l'ai regardé dans les yeux, elle au milieu des 8 personnes présentes. J'avoue, j'ai adoré ça !
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Lali89, 25 ans, Laval
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J'avoue que oui tu me plais beaucoup et que tu ne me laisse pas du tout indifférente. J'avoue que j'attends qu'une seule chose c'est que tu te décide enfin à dire ce que tu souhaites. J'avoue que j'ai peur de ta réponse. J'avoue que si tu me dis on y va on fonce commençons une histoire j'ai peur de te décevoir mais que si tu me dis que tu préfère ne pas tenter j'ai peur que cela me fasse plus mal que je ne le pense. J'avoue que certains côtés de ta personnalité m'agacent au plus haut point mais que tous tes autres côtés me plaisent. J'avoue que vivement que l'on mette les choses au clairee et que je sache où je vais.
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Weedman, 37 ans, Québec
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Mon Père Pacha pardonnez-moi car j'ai pêché... J'avoue, j'avais plus de OCB puis j'ai fumé avec l'index de la Bible. Est-ce que c'est bien grave ?!
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Melle_printemps, 23 ans, Paris
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J'avoue je n'en peux plus de le voir toutes les semaines et me rappeler cette histoire. J'avoue que je suis toujours bloquée et enchaine depuis les échecs relationnels. J'avoue que mes sentiments pour lui sont toujours là, quoique je fasse...
J'avoue être dans une phase transitoire de ma vie professionnellement, j'avoue que c'est très difficile et je remercie les gens qui me sont proches de me soutenir dans ces épreuves. J'avoue que j'espère en sortir plus forte et dans une situation stable et enfin pouvoir commencer à penser à l'avenir. J'avoue que j'ai hâte d'avoir enfin le diplôme et l'emploi qui va avec tant attendus même si ça me fait un peu peur !
J'avoue que j'ai envie de sortir me changer les idées en mangeant à l'extérieur ce soir en compagnie de quelqu'un de proche mais que je ne le ferai pas car il faut que je me couche tôt ! J'avoue que ça faisait longtemps que je n'étais pas venue sur javoue.com et qu'on retrouve vite les petites habitudes !
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L, 17 ans, Paris
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J'avoue que tu me rends électrique, que quand tu me touches j'ai l'impression d'être chargée d'une tension agréable mais difficile. J'avoue que quand je te vois, mon coeur s'arrête quelques secondes. J'avoue que tu me plais, que ce soir-là quand tu m'as embrassée j'ai eu l'impression d'être à ma place. J'avoue que je sais que tu ne l'as pas oubliée et que je ne suis rien à côté d'elle. Vous avez passé plus de deux ans ensemble et tu l'aimais de tout ton toi. Je sais que tu l'aimes toujours un peu (beaucoup ?) et que tu veux la protéger. J'avoue que j'aimerais bien qu'elle disparaisse parce que je voudrais avoir une place quelque part en toi. Mais tant qu'elle est là y en a pas trop. J'avoue que je sais que je te plais quand même aussi. Mais que tu sais pas trop où me mettre. J'avoue que je voudrais passer mes nuits dans tes bras même si je dois me cacher pendant la journée. J'avoue que j'attends que tu m'attrapes par les hanches pour m'embrasser de nouveau parce que c'était le plus beau baiser de ma vie. J'avoue que j'ai repoussé des garçons à cause de toi. J'avoue que je fais trop de sacrifices et que tu en abuses. Tu sais que tu pourras revenir quand tu veux. J'avoue que je voudrais que tout ça change, je voudrais arrêter de me voiler la face et plus croire que tu vas changer, arrêter de penser à toi, arrêter de sourire à tes messages, arrêter de t'aimer comme ça. Arrêter de t'attendre en fait. Parce que là, j'avoue que je sature.
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Noone, 17 ans, Bruxelles
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J'avoue que je commence à fatiguer. J'avoue que j'ai pas mal merdé. J'avoue que j'aime plutôt bien plaire, et avoir deux trois mecs qui me courent après. J'avoue que parfois je me comporte un peu comme une sa***e. J'avoue que pourtant je n'en suis pas une. J'avoue que je suis pas facile à vivre. J'avoue que j'aime encore bien les jeux de séduction. J'avoue qu'avec L, y en avait pas mal, de la séduction. J'avoue que mon ex était presque cocu. J'avoue qu'après un an je me suis sentie soulagée quand il m'a dit qu'il voulait arrêter. J'avoue que du coup, j'ai un peu déconné. J'avoue que L je l'aime plutôt bien. La réalité, c'est que ça m'emmerde de l'aimer autant. J'avoue que je sais qu'il se fout de moi. J'avoue que j'en souffre un peu quand il m'appelle bourré pour me déclarer sa flamme et que le le demain il regrette. J'avoue que je fatigue. J'avoue aussi que je sais que tout le monde s'en carre la gueule de ma vie d'ado dérangée, mais ça fait tellement de bien de tout lâcher.
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Polochone, 27 ans, Rethel
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J'avoue que j'ai beau faire la dure je pleure chaque soirs. J'avoue que depuis notre rupture je n'ai plus le goût de rien. J'avoue que te voir me fait un bien fou. J'avoue que j'aimerais que tu te rende compte que toi aussi tu es mal sans moi. J'avoue que tu as était ma plus belle rencontre. J'avoue que tu as changé ma vie. J'avoue que tu me manques terriblement.
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Bellerive, 44 ans, Lyon
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Mon amour de mari, J'avoue, malgré tout mon amour que j’ai pour toi, lors du séminaire à Paris en Janvier avec ma société, le soir à l’hôtel, je n’ai pas résisté à trois jeunes commerciaux, qui étaient là aussi en séminaire. Émoustillée par les bons vins, on s’est tous retrouvé dans ma chambre après le repas du soir : en toute discrétion tout de même. Là, oubliant tout et tous, ne cherchant qu’à prendre et à donner du plaisir, je me suis exhibée, offerte à tous les trois…
Jamais je n’avais fait cela, mais aussi, jamais de ma vie je n’ai connu un tel plaisir… Jusqu’à épuisement total, avec des préservatifs ils m’ont prise, et reprise dans toutes les positions, tous les endroits de ma chambre… Au plus fort de nos ébats, j’ai même adoré, que l’un d’eux m’urine dans la bouche deux secondes… J’étais follement excitée d’être traitée de pleins de noms d’oiseaux…, de mots des plus crus, qui ne faisaient qu’augmenter mon excitation. Au petit matin alors qu’un seul était resté dans ma chambre, sans beaucoup de prémices, sous la douche par derrière il m’a prise dans les fesses, sans ménagements. Là réellement, je désirais que tu sois là pour entrevoir ton épouse comme elle se comportait. Je pense que tu aurais été fière de me voir aussi docile… Maintenant je te l’avoue : tu le voulais…, j’ai osé, et je suis fière d’être ton épouse quelque peu coquine…, cochonne…., salope !
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Questcequipourraitsauverlamour, 29 ans, Les Mottes
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J’avoue que je n’en peux plus !!! Oui, je te suis reconnaissante d’avoir accepté de m’héberger cette année-là, et oui tu es une belle personne, mais franchement, j’avoue que vivre avec toi c’est vraiment pénible à la longue.
Si, un bol ça se met aussi dans le lave-vaisselle ! Et étant donné que tu m’as accueillie comme « coloc », la moindre des choses aurait été d’accepter de partager au moins un des foutus rayons de ton frigo ! Et de me demander si j’ai pas de la lessive délicate à mettre avant de fiche les serviettes archi-pleines de poils de tes chiens à la machine et de ne rien essuyer derrière !
Et tant que j’y suis, j’avoue aussi que je t’ai entendue l’autre soir avec ton jules, et que bien qu’étant dans le domaine, tes gémissements m’ont traumatisée. J’avoue aussi que mon copain est venu bien plus tôt et bien plus souvent que je ne te l’ai dit (mais ça, j’avoue que j’en culpabilise encore un peu, même si je le referai sans hésiter tellement ça m’a fait un bien fou !), et j’avoue aussi que j’ai fait des trucs pas très catho dans ton jacuzzi et que c’était plutôt sympa.
J’avoue que je me retiens de te sortir tout ça depuis plusieurs mois car je ne veux pas être mise à la porte et que je suis une gentille fille, mais là, franchement, fallait que ça sorte !
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Candesart, 44 ans, Lyon
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Mariée, bien dans ma tête et mon corps, j'avoue prendre beaucoup de plaisirs, à sortir entièrement nue sous mes robes ou jupes… J’avoue adorer quand mon mari me demande en tous lieux d’ôter mon string…, de m’exhiber ainsi en toute discrétion… J’avoue adorer, le provoquer, l’exciter, stimuler ces folles envies…. J’avoue prendre beaucoup de plaisir quand je lui suis très « docile », en toutes circonstances, lieux… ! Oui, oui, dernièrement je lui ai avoué que j’adore lui être coquine, cochonne et même s… lors de nos ébats.
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