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Amhok, 19 ans, Le Havre
J'avoue avoir fantasmé sur toi, à une époque. Je t'admirais, toi, ce jeune professeur charismatique, et je savais que je n'étais que ton élève, rien de plus, mais j'avais déjà envie de compter pour toi - parce que d'une certaine manière, tu comptais déjà pour moi.
J'avoue que lorsque nous avons commencé à nous envoyer des mails, mon imagination a commencé à s'affoler, et je nous ai imaginé quelques fois dans des positions indécentes. Je savais que tu avais une copine dont tu étais (et es encore) très amoureux, et je savais que rien n'était possible, mais j'aimais imaginer plus. Toi, ce professeur de dix ans mon aîné, et moi, cette jeune élève plus si innocente... Tu m'as un petit peu obsédée, lorsque je me sentais seule et que tu étais la personne la plus présente dans ma vie.
J'avoue qu'à une période, la première chose que je faisais en me réveillant était lire ton dernier mail, et la dernière chose que je faisais avant d'aller dormir était y répondre (sans compter toutes ces fois où j'allais au CDI pour pouvoir te répondre dans la journée, et ainsi obtenir un nouveau mail avant le soir).
J'avoue que lorsque nos conversations ont commencé à devenir plus osées, certaines m'ont troublée ; mais j'étais déjà sortie de cette phase où je fantasmais sur toi (peut-être bien que j'aurais fini par te faire des avances, de vraies avances... !)
Et j'avoue que repenser à cette période me fait encore monter le sourire aux lèvres !
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Lylyrose, 32 ans, Paris
J'avoue que j'ai aimé te retrouver hier. Ça faisait si longtemps !
J'ai adoré la passion qui s'est dégagée de ce moment. J'avoue que j'ai aimé tellement sentir ta langue mêlée à la mienne pendant que tu me soulevais pour me plaquer contre ce mur.Je suis encore troublée par cette intensité.
J'avoue que j'ai beaucoup moins apprécié de te laisser repartir pour retrouver ta famille et moi la mienne.
J'avoue que malheureusement je t'aime à présent et que le jeu a dépassé les règles qu'on s'était fixée.
Merci à "Javoue.com" parce que dans une telle situation, ça fait du bien de pouvoir se confier sans être jugé.
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L., 24 ans, Paris
Je viens de quitter mon amant.
J'avoue je vais être promue par mon patron.
J'avoue que ce sont les deux mêmes personnes.
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Ronchonou, 24 ans, Chalon sur saône
Presqu'un an est passé depuis mon départ, et les conclusions font mal. J'avoue essayer tant bien que mal d'assumer mes choix, et cette lourde erreur, mais j'aimerai tellement pouvoir revenir à ce 22 novembre 2014 pour tout rattraper.
J'avoue avoir eu un gros ras le bol de nos embrouilles et que ça a fortement contribué à me faire tomber sous le charme d'une autre personne. J'ai préféré te quitter plutôt que de te tromper. J'avoue que les deux fois où l'on s'est revu, je t'ai fait l'amour, car a aucun moment je ne t'ai désaimé.
Bien qu'étant toujours avec cette rencontre, j'avoue t'aimer encore et encore, en ayant l'impression que ça ne s'arrêtera jamais. J'avoue que malgré plusieurs relations avant toi, tu es définitivement mon premier amour.
J'espère que le temps passant nous permettra de nous retrouver, car je n'arrive pas à aimer quelqu'un d'autre autant que je peux t'aimer.
J'avoue savoir que tu as retrouvé quelqu'un, que je me réjouis de te savoir heureuse, même si j'espère qu'un jour je puisse avoir une seconde chance à tes côtés.
J'avoue ne pas pouvoir m'imaginer finir ma vie sans toi.
J'avoue savoir ce que je ferais si l'on se retrouve.
J'avoue me détester de plus en plus et avoir besoin de toi pour m'accepter.
J'avoue ne penser qu'à toi à chaque instant, n'oublier aucun moment vécu, ton rire, et être glacé quand je te réentends pleurer.
J'avoue être un idiot fini et mériter ce qu'il m'arrive.
Par pitié, une deuxième chance.
C...ë je t'aime bien plus qu'à notre premier baiser.
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Clem57, 16 ans, Nancy
J'avoue que tu me manques... Je ne sais pas trop si je regrette d'avoir eu cette histoire avec toi. J'étais malheureuse mais je t'aimais. Je t'aimais tellement que j'étais incapable de te quitter. Mais toi tu l'as fait... Maintenant je me retrouve dans un situation où je n'arrive pas à oublier une personne qui m'a déjà oubliée depuis bien longtemps... Tu m'as fait tant de mal, et moi stupide que je suis, je t'aime encore... Je ne veux plus souffrir autant, j'en ai plus la force. C'est trop dur.
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Al, 26 ans, Nancy
Oui, j'avoue que je t'en veux terriblement. J'avoue que je ne l'ai jamais dit à personne mais parfois j'aimerais que les gens sachent que tu n'es pas cet homme parfait, que tu m'as tellement fait souffrir...
J'avoue que je ne sais pas si la blessure guérira un jour, j'avoue que je n'arrive plus à te faire totalement confiance... Je ne pensais pas pouvoir continuer à t'aimer après avoir découvert ton "flirt", j'avoue être toujours aussi amoureuse de toi mais tellement, tellement en colère parfois.
Je ne me sens pas respectée je me sens salie, je m'en suis doutée mais tu m'as soutenu que je n'avais pas à m'en faire... Quelle idiote vraiment.
J'avoue avoir parfois envie de te coller une baffe, j'avoue que j'aurais dû le faire tout de suite au lieu de fondre en larme dans tes bras.
Je t'avoue que si je la croise un jour, je ne répond plus de rien...
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Dingoadisneyland, 18 ans, Lamballe
Oui, j'avoue que j'appelle les barbapapas des "mousses sucrées".
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Toka, 19 ans, Lille
Aujourd'hui, j'ai lutté pour me réveiller, les cours me fatiguent et je n'aime pas ma nouvelle filière. Les horaires sont vraiment mal faits, l'administration... mieux vaut ne pas en parler et je n'apprends pas de choses aussi intéressantes que ce a quoi je m'attendais.

Le résultat : je suis fatigué, déçu et je ne sais pas si je dois changer de cursus, retourner dans mon ancien ou attendre que mon inscription soit effective car j'assiste aux cours sans même être réellement inscrit vue qu'ils continuent d'étudier mon dossier alors que j'étudie des choses inutiles.

Mais j'avoue, cela fait du bien de se lâcher.
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Lucalenvers, 36 ans, Bruxelles
Oui, je l'avoue, je suis un grand "essayeur" de petite culotte. C'est en effet pour moi un grand plaisir que d'essayer les culottes que portent mes amies, mes connaissances. Ainsi, toutes, sans exception, portent des culottes qu'elles ne sont pas seules à connaître : beaucoup d'entre elles furent testées par mes soins.
Oui, je sais, on me reprochera de tromper notre amitié. C'est en partie vrai. Mais n'est-ce pas également une ode à leur beauté que de connaître les dentelles qui les chérissent ?
D'autant que vous seriez surpris des surprises qu'on y trouve : les filles les plus sages et les plus discrètes ne sont pas forcément celle qui chérissent la petite culotte en coton blanc ! Loin s'en faut ! Tous les fouilleurs de tiroir à culottes vous le diront : certaines cachent bien des surprises qui feraient rougir les plus libérées !
Quel plaisir de savoir que telle jolie fille cache deux godemichés dans son tiroir ou que telle autre est une fervente amatrice des culottes ouvertes ou encore cette autre qui ne porte que de la lingerie de luxe sous ses vêtements sans forme.
Ainsi, l'essayeur de culotte est aussi un peu le gardien de ces secrets qu'elles cachent si mal...
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Tounasse, 38 ans, Drôme
J'avoue en avoir ras le bol de cette situation infernale.
J'avoue que je ne comprends pas comment tu as pu tomber amoureuse, à 37 ans, en tant qu'enseignante, d'un élève de 1ère de 17 ans.
J'avoue, après l'avoir rencontré, que je ne comprends pas ce que tu lui trouves.
J'avoue, à l'aide des conseils de tous et de toutes, vouloir être patient et ne pas prendre de décisions hâtives.
J'avoue en avoir assez que tu fasses comme si je faisais partie des meubles ou pire, de ton personnel de maison. Quand tu me dis : "laisse, je vais ranger", et que je range, pas un merci. En fait je suis con. J'aurai du tout laisser. C'est peut-être ce que je ferai la prochaine fois.
Nous sommes le 15 septembre, cette histoire dure depuis fin juin. J'ai décidé qu'à la Toussaint, après ton marathon, je te demanderai si tu éprouves des sentiments pour moi. Si ce n'est plus le cas, tu dégages ! Et tu iras torcher le cul de ton AAAMour...
J'ai envisagé de te payer 15 jours seule dans un meublé, mais ton cas est tellement désespéré que j'hésite !
J'avoue que je commence à être impatient de ne plus te voir, tellement tu n'es plus la même que celle que j'ai épousée et avec qui je vis depuis 17 ans.
J'avoue que je t'ai surement trop aimée et que par certains côté cette situation, qui me confronte à la réalité de la vie, me fait du bien.
J'avoue que je me réjouis d'avance de te voir confrontée aux réalités matérielles de la vie, toi qui est incapable de gérer un budget et un foyer, et ton téléphone portable à la main en permanence...
J'avoue que je n'hésiterai pas à me battre pour garder les enfants si tu continues à faire n'importe quoi.
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Andrea0000, 21 ans, Paris
J'avoue, il y a 5 ans, j'ai rencontré une fille sur un site de rencontre sans pour autant savoir qu'elle deviendrait l'amour de ma vie. Je n'attendais rien de ce site, j'étais ado, je voulais parler à des personnes comme ça qui ne pourraient pas me juger, du moins je m'en fichais.
Mais j'étais tombée sur le profil d'une fille, apparemment lesbienne donc à l'époque comme moi. Je me suis adressée à elle par un petit message privé. Mais comment vous dire ? A cet instant, qu'elle m'ait répondu j'ai compris de suite que c'était elle.
Ça peut paraître inconscient, immature et enfantin, mais c'en est rien !
On a fini par se téléphoner, sa voix était celle d'un ange, elle me faisait un effet que je n'avais ressenti auparavant. On se téléphonait tous les jours, après les cours. C'était notre rituel, mais on ne pouvait pas continuer comme ça. J'habitais la région parisienne, elle Strasbourg, elle était loin, j'étais loin, mais quel choix on avait ?

C'était trop tard on était tombées amoureuses l'une et l'autre. J'étais tombée amoureuse de ce qu'elle me faisait ressentir sans même l'avoir vu en vrai. On a décidé de se voir deux mois plus tard, pendant les vacances, c'était notre seul moyen, mais fallait surtout de l'argent, elle a tout fait pour en trouver. Je suis arrivée à la gare de Strasbourg à 21h53 le 25 octobre 2010. Imaginez le stress qui montait.

Je l'ai téléphoné pour savoir où elle se trouvait, j'avais pas pris la bonne sortie, mais au final je finis par la voir de loin, alors je lui demande de se retourner, et d'avancer, et là... Elle s'approche de plus en plus, avec le sourire aux lèvres, elle m'a serré dans ses bras et m'a embrassé, j'étais sur un nuage, émerveillée, elle était si belle. J'avais l'impression qu'on était seules au monde. Plus rien, pouvait m'atteindre. J'étais la plus heureuse. J'ai passé deux semaines de complicité, d'amour, de tendresse en sa présence.

J'ai rencontré ses parents la deuxième semaines, ils rentraient de vacances. Je tiens à préciser que je suis son premier amour et qu'elle a dû écrire une lettre à ses parents pour leur avouer son amour pour moi et qu'elle n'était pas hétéro, mais bel et bien homosexuelle. C'était une belle preuve d'amour. Le moment où on a dû se quitter sur le quai de la gare a été un des moments les plus difficiles de ma vie. Elle pleurait et moi qui essayait de retenir mes larmes pour ne pas rendre les choses plus difficile.

Même en prenant le train j'ai essayé de lui détourner le regard. On s'est revues deux mois après, après deux longs mois d'attente dans la tristesse et le manque. Cette fois c'est elle qui est venue chez moi, c'était pareil comme au premier jour, le cœur qui battait à 100 à l'heure. Toujours autant d'étoiles dans les yeux. J'étais émerveillé par sa présence qui me donnait tellement de vie.
3 jours plus tard, elle a du rentrer chez elle. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai su que je ne la reverrai plus jamais à ce moment précis. Et j'ai bien eu raison. Il y a eu des problèmes avec ses parents. Ils voyaient que son amour pour moi prenait trop d'ampleur sur ses études. Et puis elle était à l'approche du bac. Sa mère avait rompu tout contact pour qu'on ne puisse plus se joindre. Téléphone confisqué, Facebook désactivé, j'étais au plus bas. Je n'étais plus rien. Pour moi tout était fini.

Mais deux jours plus tard je reçus une lettre venant d'elle, me disant que ce n'était pas elle qui avait voulu rompre tout contact, qu'elle m'aimait plus que tout, et qu'elle souffrait terriblement de la situation. Qu'elle voulait être avec moi et que je lui manquais. Je me suis sentis impuissante. J'avais l'impression de ne servir à rien. Je ne savais plus quoi faire. Du coup je me suis dit que je devrais tout faire pour la faire partir, qu'elle m'oublie pour qu'elle ne souffre plus.

Je jouais avec son cœur en lui disant que je la trompais, que je l'aimais plus et j'en passe. Elle ne voulait pas y croire, mais j'ai fini vraiment par lui faire croire et à force elle a décidé de partir... Ça m'a complètement anéantie même si je sais que ce n'étais pas dans mon attention. Ce n'était pas ce que je voulais... Alors j'ai commencé à sortir avec mes amis, à des soirées, boîtes, pub... J'ai commencé à boire, jusqu'à ne plus en pouvoir. Je me saoulais presque tous les soirs. Je ne mangeais plus. J'étais constamment avec mes amis, car je ne pouvais pas rester seule. Peur de sombrer. Mais j'ai sombré autrement, et dans l'alcool, je me nourrissais plus. J'avais perdu du poids en peu de temps. J'étais à bout de force, et j'ai fini par faire un malaise.

J'ai eu des coups de fils d'elle pendant les soirées très tard dans la nuit. Pendant que moi je m'amusais pour oublier. J'essayais de trouver d'autres filles ou du moins de faire semblant. Elle pleurait au téléphone sans dire un mot. ( sûrement que je lui manquais, qu'elle n'arrivait pas à m'oublier ) quelque temps après, une amie a décidé de l'appeler sans mon accord pour qu'on puisse se remettre ensemble car elle savait qu'on s'aimait. Et on s'est eues au téléphone et elle l'avouait qu'elle n'a jamais réussi à m'oublier. Je lui disais que moi aussi, mais j'ai recommencé à la refaire souffrir.

Pendant quelque mois plus de nouvelles... Et puis un jour elle m'envoie un message en disant que sa grand mère était décédée ( je l'avais connu quand j'étais allée la voir à Strasbourg), elle s'était confiée à moi je pense parce que j'avais vécu la même chose 2 ans plus tôt... Ensuite plus de nouvelles, et un soir, le 25 octobre 2011, je reçois un message, et c'était elle.. Un message d'amour, en disant que le 25 octobre 2010 c'était le plus jour de sa vie, que j'étais l'amour de sa vie, que j'étais la plus belle fille qu'elle avait rencontré, que je resterai à jamais à gravé dans son cœur.
Et après je lui ai répondu mais j'ai étais méchante avec elle en lui disant que j'avais oublié tout ça que c'était du passé et elle avait très mal pris. Jusqu'à dire que je pouvais crever.

Alors j'ai compris sa douleur mais en même temps elle revenait comme ça... J'étais mal. Je me suis rendue malade à cause de son absence, j'étais même jusqu'à prendre de la drogue dure alors que je m'étais toujours dit que je toucherai jamais à cette merde.
Depuis janvier 2012 je n'ai plus jamais eu de ses nouvelles. A l'époque on était ensemble, elle devait partir en Chine y faire ses études, ce pays l'avait toujours fasciné, mais elle ne voulait plus y partir pour nous deux. Aujourd'hui je sais qu'elle y est, mais je lui en veux tellement d'avoir voulu couper tout contact parce qu'elle voulait plus souffrir, que je lui avais fait trop de mal.

Elle était avec une autre fille et cette fille était dégueulasse avec moi. Je pense qu'elle en était jalouse. Aujourd'hui elles sont plus ensemble, mais elle est avec une autre, une chinoise.
Mais comment oublier ses yeux verts, sa blondeur, et ses beaux cheveux bouclés et la fille qu'elle était ? Je ne sais pas si je dois la haïr ou l'aimer. Mais je comprends pas comment elle fait pour vivre sa vie comme si rien n'avait jamais existé. Et moi j'ai essayé de refaire ma vie et ça toujours été un échec car elle me hantait toujours. Aujourd'hui je suis avec un garçon, je ne voulais plus d'autres filles car je me rendais compte que personne ne pourrait la remplacer. Je suis bien avec ce garçon, il m'aime je l'aime, mais je ne me sentirai jamais aussi comblée et heureuse car je sais qu'il me manquera toujours ce truc qu'elle savait me donner.

Ça fait presque 3 ans que je suis en couple maintenant, et parfois je m'en veux d'aimer toujours une personne alors que je suis avec quelqu'un d'autre. Mais fallait bien que je refasse ma vie. J'ai le droit au bonheur. Mais il ne sera jamais réellement atteint. Même si le garçon avec qui je suis est un homme merveilleux et je ne veux pas le perdre car il m'apporte une stabilité et il a vécu ma séparation avec cette fille.

Alors Lucie, j'aimerai enfin dire un jour que je peux enfin vivre sans toi, et que je suis libre de cet amour qui me méprisait. Je te hais sûrement car tu m'as laissé et sans que je puisse te rattraper. Même si c'était en partie de ma faute.
J'aimerai une fois pour toutes, vivre en paix.
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Stephanie, 39 ans, Paris
J'avoue que j'ai été froide avec toi car je ne supportais pas cette complicité que tu avais avec cette collègue hypocrite avec moi.

J'avoue être certaine que cette femme a une dent contre moi même si elle joue remarquablement bien la comédie face aux autres.

J'avoue n'avoir pas supporté la façon dont elle se comportait en te charmant alors qu'elle est mariée et mère de 2 enfants.

J'avoue ne pas avoir supporté sa copine qui est dans le même bureau, qui était de mèche avec elle et qui lançait des messages subliminaux que tous le bureaux entendait du matin au soir vis à vis de vous deux.

J'avoue ne pas supporter cette femme car elle te tourne autour même si elle prétend chaque fois que tu tentes un jeu de séduction qu'elle est mariée et mère de 2 enfants.

J'avoue t'en vouloir d'avoir été si faible vis à vis d'elle.

J'avoue ne pas supporter son horrible voix quand elle minaude devant toi.

J'avoue ne pas supporter ses tenues flashies rouges, jupes moulantes et chevelure telle une midinette toujours pour te séduire.

J'avoue qu'elle m'insupporte à 44 ans avec son comportement d'ado attardé.

J'avoue que je vais quitter ce service à cause de ces deux vipères.

J'avoue ne pas supporter l'idée d'avoir été ton second choix et de t'entendre la draguer alors que tu me fais ton jeu de séduction hors champs de vision de cette commère.

J'avoue que tu es mon acte manqué mais ma fierté n'a pas de prix.
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Lorenzo, 32 ans, Paris
J'avoue que nous étions sur l'auto route en direction de Paris à bord d'une superbe décapotable de luxe.
Le moment était des plus appréciables, cheveux aux vents, du bon son dans les oreilles.
Elles, dans ce coupé cabriolet gris Peugeot 207.
J'avoue, tu m'as regardé impassible... et je t'ai fait un coucou mais tu n'as pas réagi puis on vous a dépassé.
J'avoue que je pensais m'être pris un bon râteau jusqu'à ce que vous nous rattrapiez.
J'avoue que c'était surréaliste. Roulant à notre hauteur pendant plusieurs kilomètres, ta copilote s'est soudainement déridée et prenait des photos de nous.
J'avoue que j'étais agréablement surpris.
Et c'est parti pour un jeu de séduction sur l'autoroute.
Toi, la blonde avec une queue de cheval et tes lunettes rondes à la façon de Daria. Ce petit côté intello, avec des airs de Supergirl m'a fait craqué, j'avoue !
Puis vous nous avez dépassé et j'ai levé les mains en l'air pour profiter de l'instant. Et tu en as fais de même, mon ami au volant à fait la même chose et ton amie aussi.

J'avoue que je n'oublierai jamais ce moment où nous avions tous, les quatre mains en l'air. Nous roulions heureux, insouciants, amoureux vers l'horizon.
Et nous continuons à vous faire coucou, et vous réciproquement. Puis nous fûmes séparés à Noisiel sur l'A104.
J'avoue que cette séparation nous fit ressentir comme ces adolescents qui viennent de vivre un amour d'été et qui pour les raisons les plus iniques de la vie, doit s'arrêter !
J'avoue Supergirl, si tu te reconnais, écris-moi.
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Melle_printemps, 24 ans, Paris
J'avoue que j'ai toujours autant de sentiments pour toi, peu importe ce qu'il s'est passé. J'avoue que malgré ça, je continuerai toujours de croire en nous car je trouve ça magnifique et tellement rare...
J'avoue j'ai envie de pleurer tellement je trouve ça magique quand on est ensemble.
On a beaucoup changé depuis qu'on se connait, surtout moi.

J'ai beaucoup grandi, évolué. Je sais ce que je veux vraiment aujourd'hui. Et ce que je ne veux plus. Et j'avoue ne pas cesser d'espérer.

J'avoue que quoiqu'il arrive, tu es et tu resteras celui que j'aime incontestablement.
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Regrets, 37 ans, Paris
J'avoue que je suis tombée amoureuse de mon collègue qui a seulement 24 ans.
On a beaucoup partagé, on était confident, et puis un jour, un baiser, une caresse... on a fait l'amour une seule fois dans son bureau, il est si gentil, si tendre, si sexy.
On a du arrêter car on savait que ça ne menait à rien mais j'ai le cœur vide. Son contrat est terminé, il est parti et il me manque tellement. Il a un regard qui me transcende. Je sais qu'on gardera contact, mais plus de cette façon qui me plaisait tant.
Il a sa vie à construire, il est si jeune. Si seulement on avait le même age. Il me plait tellement ! Bonne route mon sexyboy, soit heureux.
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From, 38 ans, Chambery
J'avoue aimer faire l'amour avec lui.
J'avoue être mariée et ne pas avoir de problèmes avec mon mari mais j'aime faire l'amour pendant des heures avec mon amant.
Il prend les commandes de mon cœur et m'emmène toujours au 7ème ciel.
Je me demande toujours comment il fait...
J'avoue qu'avec mon mari ce n'est pas non plus catastrophique mais cet amant incroyable...
J'avoue n'éprouver aucun sentiment, c'est purement sexuel !
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Happ, 17 ans, Dijon
J'avoue avoir fait une bêtise ou plutôt l'avoir renouvelé... Mais de toute mes bêtises c'est sûrement la meilleure.
J'avoue avoir trompé et avoir pris mon pied, j'avoue que mon copain est moins bien au lit que ce gars.
J'avoue avoir des sentiments pour ce gars, alors que je m’étais promis de ne pas m'attacher.
J'avoue que je ne pensais pas que ça serait si bien, quand il m'a embrassé.
J'avoue avoir été ému jusqu'aux larmes.

Je regrette en aucun cas et je ne culpabilise pas.
J'avoue que je m'en fous d'avoir trompé, ce qui compte ce que c’était juste génial.

Il n'y a pas de bien ou de mal prédéfini, on doit accepter nos sentiments même s'ils paraissent illogiques ou indécents. Je culpabilisais de ne pas culpabiliser mais maintenant j'avoue que j'emmerde tous les gens qui se permette de juger ou moraliser.

J'avoue que c'était ma première fois, celle qui compte et je ne regrette rien.
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Ludo, 45 ans, Paris
J'avoue avoir été idiot de ne pas avoir demandé ton numéro avant de quitter la boîte.
J'avoue avoir eu peur de me prendre un râteau.
J'avoue avoir été bête de ne pas avoir provoqué une discussion entre toi et moi.
J'avoue avoir été nul de ne pas t'avoir invité à prendre une pause café pour te parler.

J'avoue que tu seras mon acte manqué...
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Linda, 34 ans, Narbonne
J'avoue. J'ai abimé ta voiture et le referais dès que j'aurai l'opportunité car tu as changé de voiture.
J'avoue aussi te détester, te voir me donne la nausée, toi qui dit à tout le monde que ta famille est parfaite. J'avoue avoir envie de me venger.
La vengeance est un plat qui se mange froid.
Fallait pas t'attaquer à un marié !!!
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Sud de france, 40 ans, Avignon
J'avoue que tu me plais que je fantasme sur toi, j'avoue que j'aimerai être avec toi.
J'avoue que je t'aime mais tu te fous des sentiments que j'ai pour toi. J'irai pas décrocher la lune pour toi mais presque.
J'avoue que je suis bête de t'aimer autant mais que puis-je y faire au plus j’essaie de t'oublier au plus je pense à toi. Ma tête dit non et mon cœur n'en peut plus tellement il déborde d'amour pour toi.
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Lachose, 23 ans, Paris
J'avoue que je ne suis qu'une petite personne invisible et qui ne sert à rien dans ce monde immonde.
J'avoue que même mon mari s'en fiche de moi.
J'avoue que ni mon boulot ni ma vie privée ne m'apporte de réconfort.
J'avoue ne jamais m'être remise du suicide de mon frère.
J'avoue que je sais que mon mari me trompe.
J'avoue que je ne suis pas assez courageuse pour y faire quoi que ce soit.
J'avoue que ma meilleure amie et sa meilleure amie sont ses maitresses mais que je ne suis pas censée être au courant.
J'avoue que personne dans ce monde ne m'a pas trahie.
J'avoue que je ne sais pas à quoi me sert de rester dans ce monde.
Mais ce que j'avoue surtout, c'est que je ne suis qu'une poussière invisible et inutile.
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Andromad, 32 ans, Saint Omer
J'avoue que chaque mois d'août, qu'en septembre et que nos dates approchent, mon corps par ses spasmes me demande de te ramener à moi. J'éprouve un mal être depuis plus de huit ans quand j'ai fais cette bêtise de te quitter. J'ai refait ma vie, j'ai trois beaux enfants, formidables, mais je t'aime et tu me manques tant ticoeur. Caroline, Guillaume, nous ne formions qu'un et d'une décision ridicule, j'ai balayé le bonheur de ma vie... Reviens-moi ...

Je t'aime mon amour, merci pour tout ce que tu m'as donné, j'espère que tout va bien pour toi et que tu as réussi à être heureuse...

Je pense et je ne cesserai de penser à toi...
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Valkrys, 45 ans, Landes
J'avoue que la demoiselle qui vendait des shorts sur la plage était très jolie. J'avoue que j'étais moins intéressé par les vêtements qu'elle vendait que par l'idée de lui enlever les siens. J'avoue que ce n'est resté qu'une idée.
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Unemaguette..., 29 ans, Lyon
J’avoue que j’ai eu un coup de foudre pour la 1ère fois de ma vie, en voyant ce Gars en photo par hasard sur ce site.

J’avoue que je ne m’attendais pas du tout à Le rencontrer en vrai au cours d’une soirée, et que je pensais encore moins pouvoir L’intéresser… J’avoue que c’est pourtant ce qui semble s’être passé, et que tous les textos échangés puis la nuit qu’on a passé ensemble étaient d’une douceur qui me trouble encore aujourd’hui… J’avoue que je n’en ai pourtant pas assez profité car je me posais beaucoup trop de question pour la suite, suite qui n’a finalement pas existé car Il s’est rendu compte qu’Il n’était pas prêt… Maudite confiance en moi qui me fait défaut, maudit cerveau incapable de se déconnecter !

J’avoue que via une nana de ce même site, j’ai rencontré un autre gars avec qui je m’entends vraiment bien surtout au plan intellectuel. J’avoue que j’ai accepté de sortir avec lui malgré ma vie compliquée et mes incertitudes actuelles. J’avoue que je ne sais pas si j’ai bien fait, mais cette fois je ne voulais pas passer à côté et regretter de ne pas avoir osé…

J’avoue cela fait 2 ans depuis mes derniers aveux. J’avoue que mes aveux blessés passés ne sont pas encore de lointains souvenirs comme je l’espérais, mais j’avoue aussi que jamais je n’aurais pensé que tout ceci m’arriverait. J’avoue, finalement, c’est bon de se tromper et d’être surprise…
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Amourdétruit, 35 ans, Paris
J'avoue ne jamais t'avoir jamais oublié et espéré pendant très longtemps que tu reviennes.
Après toutes ces années perdues, sans contact, tu refais surface et reviens comme une fleur.
J'avoue avoir accepté de te revoir uniquement parce que je pensais que tu allais me parler du passé et de ce qui nous avais séparé.
J'avoue avoir été déçue qu'après une rencontre, 2, rien ne vienne, aucune explication.
Tu ne sais même pas comment j'ai vécu toutes ces années, comment j'ai survécu à tout ça. Tu ne t'y es même pas intéressé.
J'avoue avoir de la rancoeur par rapport à tout ça, par rapport au fait que tu reviennes comme ça, sans aucune explication
J'avoue avoir un malaise quand je suis avec toi. J'aime être avec toi mais je ne suis pas moi parce que j'ai un blocage par rapport à tout ça.
J'avoue ne pas comprendre pourquoi tu veux me revoir, ni l'intêret qu'on se voit. On ne sera jamais amis.
J'avoue penser que tu m'as invitée chez toi pour me montrer que tu es seul mais je m'en fous.

J'avoue que si j'avais une explication sur tout ce passé, ce serait différent et je n'aurais pas pleuré je pense quand tu m'as embrassée.
Pleurs dûs à des émotions du passé, j'ai enfoui tous mes sentiments pour toi par cette rupture brutale.
J'avoue que depuis que tu es revenu, je suis plus anxieuse qu'avant, j'avais réussi à tirer un trait sut toi.
J'avoue être plus sereine quand on ne se contacte pas.
J'avoue que je pense ne rien vouloir avec toi.
J'avoue que je ne pourrais te refaire confiance une 2e fois, je n'y arriverais pas, pas avec ce que j'ai traversé.

J'avoue penser préférer que tu me laisses tranquille malgré la magnifique histoire que nous avons eue.
Ce fut la plus belle, la plus intense mais aussi la plus destructrice pour moi. Traumatisante même...
Ce n'est certainement pas ton cas mais bien le mien.


J'avoue t'en vouloir de m'avoir gâché tant d'années.

Avec le recul, si on m'avait dit ce que j'aurais à vivre pendant des années, je ne referais pas ce que j'ai fait, je ne t'aurais pas protégé, je n'aurais rien fait dans ce sens.

J'avoue que je pense que je n'arriverais jamais à recommencer quelque chose avec toi, c'est trop tard.
Je sais que je n'aimerais plus personne comme je t'ai aimé, mais c'est trop tard, j'en ai bavé pendant des années mais j'ai enfin réussir à vivre sans toi.
Je ne peux pas me permettre de remettre des années de côté à cause de ça.

Je t'en veux et je pense que que je me portais mieux sans nouvelle ni visu.
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