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Undeperdu, 24 ans, Dijon
J'avoue être complètement paumé sans toi. J'ai fait probablement la pire erreur de mes 24 années en te quittant. Même si nous nous sommes disputés souvent et assez fortement, même si nos caractères ne sont pas très compatibles...

J'avoue t'attendre, et ne plus en pouvoir. J'avoue espérer que ton couple cassera, simplement pour retenter ma chance, et qui sait, ne plus me passer de toi. J'avoue avoir tout appris de ces deux ans et demi avec toi, j'avoue que cette séparation m'a permis de savoir à quel point tu comptes pour moi.

J'avoue que je ne peux pas aimer quelqu'un d'autre comme je t'aime toi, et que je reste avec ma copine seulement pour lui éviter de souffrir tant qu'il ne se passe rien. J'avoue ne pas du tout aimer le type que je suis, et encore moins depuis notre rupture.

J'avoue avoir besoin de toi, et seulement toi. J'avoue qu'après tout ça, j'espère au moins avoir la chance de pouvoir te le dire en face. J'avoue, Chloë, que quoiqu'il en soit je t'aime encore et toujours, et bien plus que tout ce que tu peux imaginer.
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Bancale, 27 ans, Namur
J'avoue jongler entre un vide de cerveau, une extrême lassitude et une douleur latente... Et une menace aussi. Une menace continuelle, qui me suit discrètement partout où je vais, partout où je pense, jusque dans mes rêves. Elle me chuchote des mots inaudibles dont je ressens l'effroi et elle me fait comprendre qu'elle est toujours là, même si je ne la vois pas.

Parfois, elle me dit que si je continue dans la direction dans laquelle je vais, je devrais faire face à des horreurs qui me pollueront à jamais le cerveau, des horreurs qui iront s'entasser sur mes épaules et que je n'aurais peut-être pas la force de porter jusqu'à la fin de ma vie sans abandonner.

D'autres fois, elle me dit - et c'est pire- que mes pas me mènent à un cul de sac de souvenirs confus et d'indices subjectifs… qu'il n'y aura rien d'autre que la certitude qu'il s'est passé quelque chose sans jamais savoir quoi… qu'il faudra que je vive avec ce fantôme et les regrets attachés comme des grelots à mon incertitude.

Mais cette menace ne fait pas que me murmurer du poison à l’oreille. Elle fait remonter des souvenirs qu’elle me balance comme un poing dans la tronche en me hurlant : « Idiote ! Tu ne vois pas là ??! ». Et moi non, je ne vois pas. Je ne comprends pas où elle veut en venir ou je ne veux pas comprendre. Je me méfie d’elle. Alors elle me chante que j’ai raison de ne pas la croire sur un air moqueur et quelque part, je sais que je suis en train de perdre. Parfois elle me bande les yeux pour que je ne vois pas des choses évidentes, parfois elle me bâillonne pour que je ne parle pas de certaines choses. Elle fait le tri dans ma mémoire, et me pousse à faire des choses dont je n’ai pas envie.

Quand j’essaye de m’occuper, elle me susurre qu’elle fait partie de moi et qu’il faudrait l’accepter si je « veux grandir un peu». Moi j’essaye d’imaginer ce que serait ma vie si j’étais libre d’elle et avec beaucoup d’inquiétude je me rends compte que ça ferait un vide et qu’il me faudrait reconstruire mon identité. Elle m’assure alors que je cherche un bourreau alors que c’est moi le bourreau mais que j’aime trop le rôle de la victime pour me l’avouer. Ça la fait sourire de me faire culpabiliser.

Ma psy lui a donné un nom : Trauma. Il parait qu'on attrape ça quand on a été élevée par un pervers narcissique, quand les indices nous mènent à croire qu'il nous a fait subir, entre autres, une agression à caractère sexuel.
J’avoue que je ne sais pas comment m’en sortir.
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Vic, 28 ans, Belfort
Ce soir me vient le besoin de me confier. Je sens que je n'en peux plus. Ecrire me permettra peut-être de faire redescendre la pression. Il parait que c'est thérapeutique.

Cela fait 2 ans que je lutte pour avoir une vie.
Je suis tombée amoureuse d'un divorcé avec deux enfants, avec en option une ex-femme mentalement instable (maniaco-dépressive, mêlée de bipolarité). J'ai tiré le gros lot ! And the winner is... Bibi !

Avec mes études, je me suis retrouvée dans l'Est. Mais ma région d'origine est l'Ouest (Restons vague) et en parlant de vague, je suis comme un saumon, mon objectif est de fonder une famille et avoir une vie, là où je suis née !

En attendant de pouvoir concrétiser ce projet, je vis dans l'Est, dans une ville que je n'affectionne pas du tout. Je n'ai aucune vie sociale, aucune activité. Je ne souhaite pas m'intégrer car mon objectif c'est de partir ! Et je subis les inconvénients d'une famille recomposée.

Ces enfants sont gentils mais j'en peux plus ! Et quand on ne ressent aucun amour pour des êtres humains, c'est extrêmement difficile d'encaisser les épreuves.
Oui, Vous, vous, femme fiancée, mariée à un divorcé... vous êtes les seules à me comprendre. Avez-vous ressenti cette culpabilité de ne ressentir aucun amour pour ses enfants ? Avez-vous eu cette colère qui ne demande qu'à s'exprimer devant ces deux êtres qui représentent à eux seuls le frein de vos projets ?!! Mesdames, je sais que je ne suis pas seule ! Mais sous ce toit, je le suis !

Je suis seule et fatiguée d'être au milieu de ce merdier émotionnel ! Fatiguée de subir ! Car nous subissons les erreurs de celui qu'on aime. Jusqu'où l'amour peut-il nous faire tenir ?

Nous avons lancé les procédures pour récupérer les enfants pour à moyen terme, partir dans l'ouest. Eux pour un nouveau départ, moi pour enfin rentrer chez moi (après 6 ans d'espoir). Et aujourd'hui, l'avocat me dit que ce n'est pas gagné. Le juge peut garder la garde alternée.
OBJECTION VOTRE HONNEUR ! Ah mais non ! Ce n'est pas envisageable. Je ne vous paye pas 2 000 Euros les 10hrs pour me dire ça! Cette garde exclusive est mon passeport pour l'ouest !!! Sans ça, je ne suis prisonnière !

Comment rester zen et ne rien montrer quand ces deux petites personnes peuvent te faire foirer "the" objectif de ta vie ? Dites-moi ! Bouddha n'a jamais vécu en famille recomposée.

J'avoue avoir manqué de patience et déclaré au père ce soir "Si ce jugement foire, je t'en tiendrai responsable !" et j'avoue avoir décidé intérieurement de tout quitter ici si la décision n'est pas celle attendue !

6 ans que j'attends ! je ne laisserai pas ces mômes me gâcher ma vie !!!
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Thea, 15 ans, Montpelier
J'avoue j'aurais aimé que tu sois plus pour moi. J'aurais aimé que tu sois ma grande soeur. Attentionné et que tu m'emmène partout avec toi, j'envie ta vie et j'aurais voulu l'avoir. Je suis jalouse, terriblement jalouse de toi ! Tu es belle et attirante cool et tu attires tout le monde. Tu te fais des centaines d'amis en quelques minutes. Tu as une vie de luxe et je j'admire.

Mais j'avoue je t'en veux. Je t'en veux de ne pas faire plus attention à moi. Je ne veux pas être juste un choix parmi d'autre dans ta vie.
Aime-moi s'il te plait et fait moi partager ton monde...
Je t'idole et t'adores J.
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Retrica, 17 ans, St Denis
J'avoue que je t'ai toujours trouvé cool, que limite je t'idolais que j'essayai de te ressembler autant avec les vêtements que ma façon d'être. J'avoue que j'aurais tout fait pour que tu m'apprécies et me trouve sympa mais que je me taisais car j'avais peur de dire des bêtises inintéressante.
J'avoue surtout que j'ai toujours su que tu adorerais ma personnalité mais que je n'ai jamais osé te montrer qui je suis vraiment.Et maintenant j'ai des regrets car tu as une image de moi qui ne me reflète pas. Et moi, je t'adore.
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Ouna, 34 ans, Paris
J'avoue que je suis mariée mais je recherche quelqu'un... que j'aimerai voir et revoir régulièrement !
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Butterfly, 26 ans, Bayeux
J'avoue tromper mon conjoint depuis plus d'un an.
J'avoue avoir aimé embrasser et jouer avec une femme.
J'aime avoir aimé jouer à trois.
J'avoue avoir vécu des situations que personne ne soupçonneraient dans mon entourage et adorer ce sentiment.
J'avoue avoir expérimenter des choses incroyables.
J'avoue n'avoir aucune culpabilités.
J'avoue ne pas savoir quand je m’arrêterai.
J'avoue avoir un amant formidable depuis plus d'un an.
J'avoue que c'est une amitié amoureuse équilibrée pour le moment.
J'avoue que cette situation est dangereuse.
J'avoue ne pas vouloir me séparer de mon conjoint que j'aime. J'avoue vouloir avoir des enfants de mon conjoint et de personne d'autre.
J'avoue que mes aveux paraissent inavouables.
J'avoue adorer ma vie.
J'avoue m’être trouvée et comprise durant cette dernière année.
J'avoue être heureuse.
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Lafillequisedeteste, 14 ans, Orléans
J'avoue je le trouve craquant. J'avoue que je prend hyper longtemps pour choisir mes vêtements et les laver. J'avoue que quand il est en face de moi en anglais, je ne fais que le regarder. J'avoue que je suis triste dès que je le vois embrasser sa petite amie surtout quand ce n'est pas la même. J'avoue qu'il peut paraître vraiment con parfois. Mais j'avoue surtout que je l'aime.
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Amy, 35 ans, Paris
J'avoue que je n'aurais jamais cru vivre cela un jour...
Quand je t'ai vu, au début, je n'avais aucune once de sentiments pour toi. Ni amical, ni amoureux.
Le temps a passé et je t'ai reconnu, toi le seul et l'unique amour de ma vie.
Je ne pensais pas tomber amoureuse d'un homme tel que toi, l'opposé de mes critères physiques mais je me suis aperçue qu’avant d'aimer ton corps, j'ai aimé ton âme.
Tu es mon âme soeur et ce qui me tue c'est que tu ne sembles pas l'avoir compris.
Tout dans tes regards, tes gestes, ta voix tout transpire l'Amour.
Lorsque je t'ai tout dit de mes sentiments, j'avoue que je pensais que tu ressentais aussi cette magie...
Tu m'aimes beaucoup mais pas comme je le rêverais...
Je t'ai fais des crises de jalousie, je t'ai rembarré tant de fois devant audience et tu es toujours revenu... Pourquoi ?
Maintenant tu pars loin, longtemps et j'ai peur.
J'ai peur de mourir de chagrin tant la peine sera indicible.
Je ne pourrais rien laisser paraître car mon Amour pour toi est un lourd secret.
Je sais que tu m'oubliera mais sache que je ne t'oublierai jamais...
Tu es mon plus doux regret.
Les aubes sont navrantes...
Je t'attends là au cas où la vie voudrait bien avoir pitié de mon pauvre coeur.
Je t'aime de tout mon coeur... parce que c'est toi.
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Nantaise, 18 ans, Nantes
J'avoue aimer ce garçon que je vois tout les jours dans ma classe à qui je n'ai jamais adressé la parole. J'avoue ne pas savoir son ressenti à mon égard malgré quelques paroles via internet. J'avoue rêver de lui la nuit, il hante mes pensées mais ne le sait pas. J'avoue assister à un match de son équipe favorite juste pour qu'il le remarque, me remarque.
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M.o.w., 33 ans, Suisse
J'avoue qu'à 3 mois de notre mariage, tout le chemin parcouru jusqu'ici semble incroyablement difficile. Pourtant, il n'a jamais été aussi simple que depuis que tu es revenue dans ma vie. J'avoue que depuis 1 an et demi tu me surprends régulièrement, tu m'apportes plus que je n'aurais jamais pu l'imaginer et tu me rends heureux. J'avoue que je t'aime plus de jour en jour.

J'avoue qu'avec toi, T'ite Fleur, tout me semble évident.
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Smiley, 38 ans, Strasbourg
J'avoue que j'ai rencontré l'Amour de ma vie, alors que je suis en couple depuis plus de 15 ans...
J'avoue que tout ce que j'ai vécu avant lui s'est comme évanoui...
J'avoue que cela fait plus de 5 ans que je l'aime.
J'avoue que mon mari me fait du chantage affectif.
J'avoue que c'est difficile de tout quitter...
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Elsa, 19 ans, Marseille
J'avoue que je suis tombée amoureuse de lui, mais je ne le pensais pas assez bien pour moi.
Quelle conne j'ai fait. Il était si adorable avec moi, il aurait pu arracher son propre cœur pour me l'offrir sans même contester une seule seconde.
Il me faisait rire et nous partagions une complicités hors du commun.
Sauf que mon égoïste a pris le dessus et je l'ai laisser tomber pour un ami à lui.

J'avoue qu'il n'avait pas mérité ça même si c'est ce que j'ai essayer de lui faire croire. J'avoue qu'il m'a insulté à de nombreuses reprise avant même que je me mette en couple avec son ami mais il avait sans doute raison.

J'avoue qu'il commençait à faire preuve d'une certaine bipolarité avant que je ne largue. Mais tout cela n'excuse en rien ce que j'ai fait. Le truc c'est que cet ami aussi est génial. Il est si gentil et attentionnée avec moi. Il m'a présenté à toute sa famille et moi à la mienne.
Mais j’ai peur que tout cela ne soit juste dû au fait qu'il soit plus beau que l'ancien donc le fait que je l’exhibe soit juste une forme de narcissisme.

J'avoue penser à mon ancien copain par moments. J'avoue continuer lui parler en secret alors que mon nouvel amant me l'interdit formellement. J'avoue être amoureuse de ces deux homme sachant que je n'en mérite aucun.

J'avoue être perdue depuis que mon ancien copain refuse de me parler. J'avoue avoir le cœur brisé depuis qu'il m'ignore et se rapproche d'autre fille. J'avoue mériter cette douleur. J'avoue le fait qu'il me manque mais refuser de larguer mon nouveau copain pour lui.

J'avoue avoir peur d'être totalement perdue sans celui ci. J'avoue me détester mais afficher un faux sourire pour faire croire que je suis la fille la plus heureuse du monde.
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Mysterieusemadone, 35 ans, Paris
J'avoue que je crois avoir enfin pris la décision que j'aurais dû prendre depuis des années, la bonne décision.
J'avoue que tu n'aurais plus dû faire partie de ma vie depuis longtemps.
J'avoue que je ne comprends pas pourquoi tu es revenu comme une fleur après 5 ans.
5 ans, c'est long... 5 ans pendant lesquels j'ai juste assisté à ma vie, j'ai été passive.
5 ans pendant lesquels je me suis posée une multitude de questions.
5 ans pendant lesquels j'ai dû apprendre à me reconstruire.
5 ans pendant lesquels je me suis isolée.
5 ans pendant lesquels j'ai été bloquée et au moment où je réapprenais à vivre sereinement, tu es revenu pour tout chambouler, sans rien me dire, comme si rien ne s'était passé.

J'avoue que je sais aujourd'hui que je n'aurais jamais de réponse sur ce passé douloureux et mensonger.
J'avoue que j'ai souffert pendant toutes ces années, j'ai souffert et j'ai appris à survivre.
Ca a toujours été unilatéral entre nous.

J'avoue que je pense que je conserverai toujours une rancœur envers toi, rancœur que je pensais avoir disparu quand on s'est revus parce que je me sentais en confiance les 3 premières fois et je me sentais complice et bien avec toi, j'avais l'impression qu'on s'était quittés il y a quelques mois.
Et puis, cette rancœur est vite revenue quand je me suis rendue compte que je n'étais qu'un "objet" pour toi, que tu venais quand tu le souhaitais, aucune nouvelle en dehors de tout ça.
J'avoue que j'ai fini par imaginer que tu revenais pour te déculpabiliser ou savoir si je t'en voulais pour ce passé ou pour me garder sous le coude au cas où.
Tu n'as pas cherché à savoir comment j'avais vécu tout ça ou ce qui se passait dans mon entourage, jamais intéressé au contexte extérieur ni par le passé ni par le présent.

J'avoue que tu es le seul homme que j'ai aimé à ce point et pour lequel j'aurais tout lâcher.
J'avoue avoir toujours pensé que c'était toi l'homme de ma vie mais je me suis trompée.

J'avoue que tout ce qui s'est passé il y a 5 ans m'a permis d'évoluer et d'être plus dure.
J'avoue que j'ai perdu la plupart de mes amis, mes repères à cause de toute cette histoire et j'ai perdu ma confiance en moi et envers les autres... En gros, j'ai tout perdu.
Heureusement que j'avais mon travail pour m'éviter de penser.

J'avoue que je n'aurais jamais dû répondre à ta demande de me revoir et mon erreur a été de te retrouver dans un endroit, seule avec toi, pensant que j'aurais des explications sur ce qu'il s'est passé ces 5 dernières années mais on peut toujours rêver.
J'avoue que j'aurais dû avoir le cran de te poser ces questions quand je t'ai revu mais j'ai été submergée par les émotions quand tu m'as embrassée. Pleurs (pensées incontrôlées du passé et de la douleur ressentie à l'époque)

J'avoue que je sais que pour avancer, il faut que tu partes de ma vie, toi, indécis et donnant l'impression de jouer.
J'avoue avoir peur de reperdre 5 ans de ma vie.

Je crois que c'est trop tard.
Quelque chose est cassé, ce n'est plus comme avant.
On ne pourra jamais être amis, ni amants.

J'avoue ne pas avoir besoin de ça dans ma vie.
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Parpureplaisir, 20 ans, Belgique
J'avoue que quand je me regarde dans la glace j'aimerais être quelqu'un d'autre.
J'avoue être une fille et aimer les filles.
J'avoue avoir envie de devenir un homme.
J'avoue aussi ne pas être sure d'en avoir envie.
J'avoue avoir envie de te prendre encore et encore toute la nuit.
J'avoue que je suis avec elle mais que c'est de toi que j'ai envie.
J'avoue que tu m'excites énormément.
J'avoue que pour une nuit tu me plairais vraiment.
J'avoue que je pense à toi quand je lui fait l'amour et vice versa.
J'avoue aimer ça.
J'avoue que malgré tout j'ai envie d'essayer les hommes.
J'avoue que j'ai tellement envie d'un plan à 3, toi moi et elle.
J'avoue que les hommes m'attirent.
J'avoue que j'aime tout cela.
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Minilou, 26 ans, Bruxelles
J'avoue, j'ose pas dire à mon chéri que je souffre de trouble de l'anxiété... il sait très bien que je suis très timide et angoissé, mais ce qu'il ne sait pas c'est que mes angoisses détruisent ma confiance en moi et chaque jour je me sens très déprimée et j'ai peur de sortir, et même de répondre au téléphone, de faire mes démarches pour trouver du travail... Tout me fait très peur et je pense que je suis aussi dépressive car ça fait très longtemps que je souffre pour un rien là où les autres réagissent normalement.

Mais si il l'apprenait, j'ai peur qu'il pense que c'est de sa faute ou que j’exagère parce que je n'ai pas de raison d’être mal. J'ai une famille très bien, et un chéri qui m'aime fort il ne me manque presque rien à part un travail stable. C'est difficile de lui expliquer que je ne suis pas du tout malheureuse avec lui mais que quelque chose en moi me pousse a être triste et terrifié par le monde...
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Céline, 24 ans, Tours
J'en ai marre de l'attitude de ma meilleure copine. Elle ment tout le temps pour un rien, elle se cherche des excuses pour tout alors que je m'en fout qu'elle vive encore chez ses parents et qu'elle cherche pas de travail chacun gère sa vie comme il veut.
Elle rejette la faute sur tout au lieu d'admettre qu'elle fait rien de ses journées. On dirait qu'elle me fait pas confiance comme si j'allais la juger. Plus ça va plus elle se comporte comme une gamine qui manque de maturité et ça commence à me dégouter de lui parler c'est triste.
Je peux même pas lui en parler parce que la moindre remarque gentiment dite elle le prend tout de suite mal et elle fait tout un drame. Plus ça va moins j'aime lui parler parce que je sais quand elle ment ou détourne la vérité.
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Myrtille, 19 ans, Dijon
J'avoue, tu hantes mes pensées depuis que tu as posé tes yeux bleus sur moi.
J'avoue tu ne le mérites pas, tu ne mérites pas toute cette attention que je te porte, tu ne mérites pas que je souffre ainsi pour toi...
Tu t'es moqué de moi l'année passée, après notre première rencontre, et ne t'es pas gêné pour me le montrer. Cette année encore, tu m'a bien fait comprendre que tu ne voulais pas de moi.
Mais j'avoue que je ne peux m'empêcher de te désirer, ton caractère un peu immature, ton côté inaccessible, tout me conduit à penser à toi sans cesse.
Et j'avoue que j'en souffre énormément ... L'envie, le manque... La jalousie me ronge dès que je te vois discuter avec une autre, la regarder comme moi je te regarde, d'autant plus quand cette autre est l'une de mes amies...
Je me fais du mal à penser à toi de cette manière, toi qui n'en vaut pas la peine... Si seulement j'arrivais à m'en rendre vraiment compte.
J'avoue, tu me fais souffrir, et j'avoue jouir de cette souffrance.
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Pasquale, 35 ans, Macao
J'avoue être sorti pendant un an avec mon ex car elle était un pur fantasme (la belle brune de la quarantaine) depuis de longues années, et ensuite, quand elle a rompu j'ai fais mine d'être surpris et désabusé alors qu'en fait je m'y attendais depuis un moment déjà...
ah et j'avoue aussi que c’était une fille frigide et inactive, comme quoi les fantasmes des fois...
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Kerlane, 25 ans, Paris
J'avoue, j'ai fini par faire un choix. Il y a trois mois j'ai pris un peu de liberté dans mon couple et j'ai passé du temps avec J. Et je pensais déjà, à ce moment là, tout laisser tomber et reprendre ma vie avec lui... Et puis, je ne sais pas vraiment ce qu'il s'est passé, peut-être ce qu'on appelle un électrochoc ? Toujours est-il qu'au bout de deux jours, j'ai dû quitter définitivement J après ses dix années à le garder près de moi ; en prenant la décision de poursuivre ma vie avec M.

Trois mois se sont écoulés... Je pense à J vingt fois par jour, je ne peux m'empêcher d'imaginer ce qu'aurait été ma vie avec lui aujourd'hui.
Et pourtant, je continue de faire ma vie avec M, d'acheter une maison, de parler de bébés...

Je les aime. Tous les deux. Et je pense que se sera comme ça longtemps. Mais j'ai choisi celui qui me fera le moins souffrir et me rendra le plus heureuse (l'instinct de survie ?).

Pourtant, j'avoue, même si je suis vraiment heureuse avec M, je ne peux m'empêcher de penser qu'un jour ce bonheur s'en ira, et que J sera toujours là pour moi... Et que je finirais avec lui. Finalement, c'est ce que j'ai toujours pensé depuis ces 10 ans.
Seulement, je ne pense pas que ça marcherait pour nous aujourd'hui, alors je préfère risquer de le perdre à jamais, être heureuse avec un autre, et, qui sait, être heureuse avec lui plus tard pour le reste de nos vies.
Et j'aime penser que c'est pareil pour lui, qu'il finira par s'en remettre et être heureux sans moi, jusqu'à ce que se soit "notre temps".

J'avoue, ma perception de l'amour à bien changé depuis mes 15 ans, j'ai fini par comprendre qu'il n'y a pas qu'un seul amour dans une vie, mais qu'il faut savoir apprécier chacun d'eux en son temps, et saisir le prochain quand le précédent se meurt.

Je n'oublierais pas que c'est la souffrance qui nous permet de reconnaître et savourer le bonheur.
J'avoue, je vous aime tous les deux.
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Paris by night !, 23 ans, Paris
J'avoue, incroyable nuit passée à tes côtés. Merci.
C'était imprévisible, intense, passionnel, fou...
J'espère que ce fut réciproque.

Bonne journée !
Je t'embrasse tendrement.
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Ecarlate, 17 ans, Genève
Je t'ai vu pour la première fois à cet arrêt de bus, cet air que tu affichais, ton style et ta prestance ne m'ont pas laissée de marbre. La neige faisait ressortir tes yeux verts.. Jamais de ma vie je n'avais autant aimé cette couleur. Mes yeux s'arrêtèrent à ce trou que tu avais dans ta chaussure gauche... Bizarrement j'ai aimé ça.
Sûrement parce que de nos jours, on en fait plus des gars comme toi !
J'avoue que tu m'obsèdes carrément, et que j'écris des histoires où je te mets en scène.
J'te connais pas, tu m'connais pas mais malgré ça j'ai la conviction que tu es une personne bien.
J'avoue que j'ai écrit des phrases exemples pour essayer de t'aborder.
J'avoue que j'ai fait des complots avec mes copines pour avoir ton numéro de téléphone.
J'avoue que je t'ai cherché pendant le festival Rock.
Je ne connais même pas ton prénom. Mais une chose est sûre ; je suis tombée sous ton charme.
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Versus, 28 ans, Nantes
J'avoue être parfois méprisant envers les gens pauvres, les "beaufs", moins cultivés et instruits que moi...
J'avoue au début m'être détesté pour ça.
J'avoue aujourd'hui avoir des "amnésies" de ce que j'étais avant, et de m'en foutre de tout et de tous. Avoir souvent eu envie de violenter mes parents, ma mère en particulier.
J'avoue vouloir me détester pour ce que je suis en train de devenir, mais ne même plus éprouver de mépris pour moi.
J'avoue avoir été (et être encore aujourd'hui, dans une certaine mesure) le mec un peu bizarre, décalé, qui ne sait pas qui il est, ce qu'il veut, pas fiable, en amour ou en amitié.
J'avoue avoir peur de l'avenir. Vouloir me détester pour ce que je suis plutôt que de m'en foutre.
J'avoue vouloir mourir, parfois. Que tout cesse. Que cette parodie de vie finisse. Je suis passé à côté de la vie sans la comprendre.
J'avoue détester mon instabilité constante. Mes sentiments toujours variables. Mes pensées envahissantes. Les museler par le sexe, les écrans, le sport.
J'avoue être complètement perdu. Rejeter parfois l'aide qu'on me tend, jusqu'à m'isoler, toujours, de plus en plus.
J'avoue, je ne suis pas assez fort, pour avoir enduré avec courage les petits remouds de la vie.
Je vais devenir plus fort. Ou ne pas être.
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Souvenirs de jeunesse, 48 ans, Rennes
Elle ressemblait à une actrice que j'appréciais beaucoup.
Ce fut ma première maîtresse.
Nous sortions le soir dans ma vieille 2cv d'étudiant.
Elle était bien dans sa peau, dans son corps, elle savait qu'elle était très belle, tous les garçons lui couraient après. Elle aimait être nue dans la voiture, dès que la nuit tombait, elle savait que ça me faisait "plus que plaisir", elle me suçait à chaque fois que nous allions nous promener, elle n'a jamais recraché mon sperme.
J'ai découvert par la suite qu'elle faisait partie d'une minorité de femmes, très généreuse, très altruiste, aimant autant les plaisirs du sexe que des libertins mâles.
Je la suçais tout autant, j'aimais boire à sa source.
Elle inventait des tas de jeux, nous avions une imagination débordante, elle aimait s'agenouiller sur un tapis, le buste pesant sur une selle de chameau pour touristes (que ses parents avaient achetée en Algérie); elle me demandait de frapper doucement sur sa fente offerte à mes yeux, avec son ceinturon de cuir, à petits coups sur le clitoris, elle obtenait ainsi de violents orgasmes qui la laissaient pantelante, toute en sueur, le sexe trempé.
Elle demandait alors que je la prenne en levrette, à quatre pattes, comme une chienne en chaleur qu'elle revendiquait être avec une certaine fierté enfantine.
Je m'exécutais avec empressement, heureux et comblé. Nous écoutions des pianistes de jazz pendant nos ébats, surtout Errol Garner et Art Tatum.
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Prof, 30 ans, Carquefou
Oui, je l’avoue, je n’aurais pas dû fantasmer sur toi… elle a été mon élève et même si elle est adulte aujourd’hui, ce n’est pas très moral. Comment se fait-il que, quand je dois la revoir, j’ai toujours quelques jours avant des pensées interdites ? Comme cette fois où je nous ai imaginé « jouant au prof et à l’élève », elle en tenue d’écolière, moi, sévère et dominant.
Elle est joueuse, aussi, ça n’a pas aidé ! Je sais que je la troublais, alors ça m’excitait. Un jour, j’ai sérieusement considéré la possibilité de coucher avec elle… et de ce que je lui ferais, et de ce qu’elle me ferait. La voir sucer son ancien professeur, par exemple. La punir et lui donner la fessée.

Une fois, en jouant sur Internet, j’ai été à deux doigts de lui envoyer une photo de mon sexe. Je me suis rétracté, mais la situation m’a grandement excité. Et puis, une autre fois, on a testé un jeu en ligne, par correspondance. Le jeu nous mettait en scène et impliquait des gages de plus en plus hot. Nous ne les faisions pas, bien sûr, on ne faisait que regarder comment le jeu fonctionnait, tout en commentant à côté. Mais voir des messages comme « Glissez votre main dans sa culotte et jouez avec son clitoris » m’excitait beaucoup. En cours de partie, je me rappelle lui avoir timidement demandé si elle était excitée, elle a dit oui et m’a demandé de même si je bandais. J’ai acquiescé, et à ma demande, elle m’a confessé qu’elle mouillait aussi. Ce jour-là, nous avons été le plus près d’un rapport sexuel… virtuel. Je me suis masturbé, je pense qu’elle s’en doutait, et j’ai joui en pensant à elle. En écrivant cette confession, je bande encore…
De temps en temps, je me demande ce que ça donnerait, un action ou vérité en ligne avec elle. Ce ne serait peut-être pas la chose la plus raisonnable, mais quelle excitation rien que d’y penser !
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