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Meuh, 22 ans, Paris
Je me sens si seul. Quand je rentre à maison, personne n'est là pour me parler. Et je déprime.
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Coeurdartoutchaud, 21 ans, Toulon
J'avoue que je suis amoureux de 3 filles en même temps, que c'est peu être trop intense dans ma tête.
L'une est ma copine et se réjouit que je puisse aimer comme ça.
J'avoue m'entendre super bien avec les deux autres, que je revois régulièrement.
J'avoue avoir la sensation d'avoir plusieurs âmes soeurs.
J'avoue que ça me pomme plus qu'autre chose et que je sais pas quoi penser et quoi faire.
J'avoue être perdu. Et je n'oserai surement jamais la tromper.
C'est totalement chronophage et je ne penses quasiment plus qu'à ça.
J'avoue que j'ai envie de me casser de là et d'aller loin. N'importe où.
J'avoue que ça me dépasse totalement et ce que je ressens est beaucoup trop intense pour moi.
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Mima07, 33 ans, Grand Quevilly
J'avoue, cela fait une semaine que j'ai croisé mon ex, et depuis je ne pense qu'aux merveilleux moments que nous avons passé. On a vécu une histoire d'amour intense et je me rend compte aujourd'hui que mon bonheur ne peut être qu'avec lui, et ça me ronge au plus au point...
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Alicia, 34 ans, Strasbourg
J'avoue que c'est très très gênant ce sentiment quand j'écris à ma copine, pour lui prévenir que je suis à un date en mentionnant "prénom, nom, job et l'adresse du mec ; suivi de la phrase "au cas-où il me tuerait", et d'envoyer accidentellement le texto au mec en question !
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Labella, 30 ans, Lyon
J'avoue que je l'ai trompé avec un collègue. J'avoue que j'ai pris un pied comme jamais une bonne quinzaine de fois avec cet homme. J'avoue que je suis tombée amoureuse. J'avoue qu'il m'a totalement rendu folle.
J'avoue que j'étais prête à tout foutre en l'air pour lui.
J'avoue qu'il m'a fait beaucoup de mal en m'abandonnant prétextant qu'il avait rencontré quelqu'un.
J'avoue que je pense encore à lui.
J'avoue que je rêverais qu'il reprenne de mes nouvelles pour me dire que je lui manque.
J'avoue que j'essaie de me reconstruire.
Bref, j'avoue que cette histoire a foutu un véritable bordel dans ma vie mais que je ne regrette rien !
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Pluie, 39 ans, Marseille
J'avoue que je ne supporte plus mon travail, que je ne suis plus capable d'apporter aux autres aujourd'hui, ce que je pouvais donner avant.

J'avoue aussi ne plus pouvoir supporter les gens qui veulent me mettre la pression, sous prétexte qu'ils s'imaginent plus forts que moi et moi plus faible parce que trop gentille. J'avoue que j'en ai marre de faire partie des gentils que l'on piétine et que la seule solution que j'ai trouvé, c'est de rendre définitivement mon tablier et de les surprendre tous d'être partie en claquant la porte de leur petite existence de merde.

J'avoue ne plus pouvoir m'occuper des autres parce que je ne parviens plus à m'occuper de moi-même. J'avoue qu'en m'évitant de "burn outer" bien gentiment, j'envisage de recommencer à vivre sereinement. J'avoue que parfois, je me sens minuscule, même pas la taille d'une virgule dans un aveu et que je ne sais plus ce que je suis capable de faire, professionnellement. J'avoue aussi ou du moins, je me promets, de ne pas me plaindre trop longtemps et de prendre prochainement les bonnes décisions.

J'avoue que ça me fait du bien de l'écrire.
J'avoue que là dans le silence de cet aveu, quand j'écris, je crie.
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Anacoluthe, 26 ans, Montréal
Amour fou, pas vraiment, je le connais à peine. Mais, j'avoue, il me reste toujours dans mes pensées. Même s'il a jamais répondu à mon mail. Parce que je lui ai sûrement fait peur avec mon invitation subtile. Je lui ai probablement donné envie de vomir.

J'ai bien fait fuir un gars y a pas longtemps alors je me dis maintenant que cet homme a du réagir de la même manière en voyant mon mail. Bref, je suis une simple étudiante ordinaire sur probablement une centaine qu'il côtoie. Lui, très bel homme, charmant et un très bon enseignant.

J'ai beaucoup aimé sa manière de me rassurer quand je suis allée le voir pour les corrections. Il est vraiment attirant et j'ai vraiment l'impression que c'est quelqu'un de bien. J'avoue que je pensais l'avoir attiré aussi. J'avoue que je suis un peu déçue. J'aurais aimé qu'il pense à moi. J'avoue qu'il me fait toujours de l'effet malgré que je ne le vois plus pour mes cours.

J'aurais aimé être là pour lui et l'encourager dans ce qu'il fait, tout en continuant d'admirer et m'inspirer de son travail, lui parler longtemps, lui parler des heures. J'avoue que j'ai vraiment le don d'avoir un coup de foudre compliqué, mais j'avoue que je m'en fous.

J'ai de la difficulté à oublier un regard aussi honnête et intense que le sien, et surtout son sourire avec ses fossettes qui lui vont si bien. Des fossettes comme moi.. Je lui souhaite d'être heureux. Probablement que c'est un con Don Juan et superficiel, mais je lui souhaite d'être heureux et en paix.

Personnellement, je trouve que les Français - qui ont une belle mentalité - ont vraiment un charme de fou. J'avoue que c'est con, mais j'avoue que j'aimerais vraiment ça que l'homme de ma vie soit Français. Critère de débile et j'assume.

Bref, je me demande pourquoi je pense toujours à Jonathan, un homme qui a probablement oublié mon existence. Mais j'avoue que c'est mon premier quasi coup de foudre depuis mes 12 ans. Je me pardonne. En tous cas, j'avais envie de m'exprimer sur un site que je sais qu'il ne verra pas. Parce qu'on s'entend qu'il peut pas être aussi con que moi.
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Mysterieuse, 35 ans, Paris
Mon cher et tendre collègue...
une dizaine d'années nous sépare et pourtant, depuis que tu m'as séduite, je ne cesse de me demander pourquoi je ne t'ai pas connu avant.
Tu n'es pas canon, mais ta façon d’être, de faire, me plaisent.
J'aime ton approche.
Je me retiens quand je te vois, je ne me laisse pas aller par rapport à ton statut marital.
J'aime quand tu me prends dans tes bras, quand tu m'embrasses mais je ne peux me laisser aller car je ne sais pas m'arrêter.

J'avoue être distante et froide pour te protéger et me protéger, pour ne pas que tu t'attaches à moi et pour ne pas que je m'attache à toi.
Je ne suis pas bien moralement depuis qu'on est rentrés de déplacement.
Je n'aurais jamais dû te retrouver dans ta chambre et pourtant on a résisté.
Je me sens mal à l'aise et je sais qu'il faut qu'on arrête.
Je préfère ne pas en parler et ne pas parasiter ta vie ni la mienne alors je préfère m'éloigner comme je peux, pour ne pas que tu me poses de questions.

Tu as dû constater que je n'étais pas la même depuis.
Tu me plais, et j'avoue que si je t'avais connu avant, j'aurais été heureuse qu'on cherche à mieux se connaitre.
Tu m'as posé des questions quand on était en déplacement, je n'ai pas répondu parce que je ne pouvais pas te répondre sans mentir, et je t'aurais forcément dit ce que je viens d'écrire et ça, tu n'as pas à le savoir.
Alors pour répondre :
- oui, tu me plais
- oui, je t'aime bien
- oui, parfois, j'ai l'impression que tu te fous de moi
- oui, j'aime quand tu es contre moi, quand tu as des gestes affectifs envers-moi

Oui, je préfère ne pas me poser de questions.
Oui, je suis mystérieuse et ne te raconte pas mon passé pour ne pas que tu t'attaches à moi.
Je te trouve merveilleux et je pense qu'elle a de la chance de t'avoir.
Je regrette vraiment de pas t'avoir connu avant.

Malgré la distance que j'instaure entre nous, je suis quand même bien attachée à toi et ton comportement me fait parfois souffrir.
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Amourdétruit, 35 ans, Paris
J'avoue que quand tu m'as annoncé que tu partais, ça m'a fait bizarre alors que ça aurait dû ne rien me faire de particulier.
Aujourd'hui, quand je t'ai écrit ce que je t'ai dit, je le pensais, je n'ai pas dit tout ce que j'avais sur le cœur mais tout cela me trottait depuis que tu m'as quittée, des années donc.
Je n'ai pas aimé même si c'était une blague, que tu me fasse la réflexion de trop, réflexion que tu fais à n'importe qui... alors que je ne pense pas être n'importe qui.
Je ne sais pas pourquoi mais ça m'a quand même soulagée de te dire que ça avait été traumatisant et que j'avais mis des années à m'en remettre.
T'as toujours cru que j'étais "forte" mais pas du tout, pas quand on aime et que tout s'arrête sans comprendre, sans aucune explication.
J'aurais tant voulu que tu me parles de ça au lieu de me dire "pardon" mais non... à croire que tu t'en fous de savoir comment j'ai vécu les choses pendant toutes ces années
J'aurais eu tellement de choses à te dire mais tu vas faire l'autruche.
Tout ce passé détruite et je ne sais pas même pas comment je peux être encore gentille avec toi.
J'en avais les larmes aux yeux quand j'écrivais ce matin et là encore.
J'ai tenu un journal depuis la rupture que j'ai arrêté quand j'ai été mieux, c'est-à-dire juste avant que tu resurgisses dans ma vie (pour quelle raison d'ailleurs?), et si je te l'avais donné, tu aurais compris tout ce que j'ai traversé, tu aurais lu au moins.

Je n'ai pas besoin de ton "pardon" aujourd'hui, j'ai appris à avancer sans comprendre, il le fallait.... mais je t'en veux pour tout ça par moments.
Je n'arrive plus à faire confiance aux gens, ni à m'investir, toujours anxieuse par rapport à cette histoire qui m'a traumatisée.
Je t'ai tout donné, j'aurais tout fait, j'étais jeune et naïve on dira ça, c'est mieux.
J'en ai eu le cœur brisé mais ça tu ne le sauras jamais.

L'impression que t'es resté en contact avec moi et que t'es revenu pour avoir une emprise sur moi, j'ai du mal à cerner vraiment mais je ne vais pas chercher
je pense que nous n'aurons plus aucun contact.

J'avoue que tu es le seul homme que j'ai vraiment aimé à ce point et que je ne pourrais jamais oublier les bons moments comme les moments douloureux.
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Foudel, 20 ans, Paris
J'avoue, je suis étudiant en école d'ingénieur. Et depuis presque deux ans, je suis follement amoureux d'une fille de ma promotion. Je n'ai jamais éprouvé réellement des sentiments amoureux pour une autre personne auparavant, je ne sais donc pas comment réagir...
Nous sommes dans le même groupe d'amis au sein de notre école. Je la trouve absolument parfaite : elle est intelligente, gentille, attentionnée, agréable, souriante, et ce qui a le plus séduit chez elle, c'est sa personnalité, à la fois forte, engagée pour les autres et elle est la première à s'indigner devant une injustice. Je pense qu'elle est la femme avec qui je veux vivre pour toujours. Je suis prêt à tout pour elle.
Mais cependant, ma timidité m'empêche de faire le premier pas vers elle. Je n'ai pas grande confiance en moi, et j'ai jamais eu le courage de parler de mes sentiments à quelqu'un.
D'ici la fin du mois, un film qui lui plait va sortir au cinéma, je vais essayer de sortir de ma zone de confort pour lui proposer que l'on y aille ensemble, mais pleins de questions dans ma tête m'embrouillent...
Et si elle refuse ?
Si jamais elle ne me trouve pas comme la personne idéale ?
Et si elle ne veut plus qu'on se voit après que je lui ai dis ce que je ressentais ?

J'avoue, je suis très troublé.

J'espère de tout mon cœur qu'un jour, elle et moi ne sera plus un rêve mais une réalité.
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Bonheur007, 35 ans, Toulouse
J avoue que mon époux est formidable. Que sans lui la vie sera pénible. Qu'il n'arrive plus à me donner envie de briller, de réussir, de énergisante. J'avoue que je tombe folle amoureuse de toi... que cette journée près de toi ma comblé, comme quand on est adolescent. Je me sens pleine d'énergie et la vie me donne un second souffle.
J'avoue que je regarde des pornos tous les soirs en me masturbant, que je me couche tard, que je me sens nulle, que j ai envie de faire l'amour à tous les gars ou filles bien que je rencontre. J avoue que tu me rends si heureuse... trop heureuse... que ça va paraitre trop... que je vais avoir l'air ridicule. Je ne veux pas tromper ma famille... mais toi... toi... tu me donnes envie d'être belle... D'être quelqu'un... de réussir... de rajeunir... je ne peux rien y faire... tu es extraordinaire.
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Honeyy, 17 ans, Bordeaux
J'avoue que je ne sais pas si je t'aime ou si je te fantasme. Ça fait si longtemps que je ne tombe plus amoureuse que je me demande si c'est ça... Tu me plais pourtant, même si je n'aurai jamais pensé à toi en ce sens, si je ne t'avais pas rencontré en vrai.
Mais j'ai peur de te l'avouer, alors je le fais ici, auprès de gens comme moi, qui ont peur de la réaction de leurs semblables. C'est intrigant...
Je t'aime et tu ne le saura peut-être jamais.
Mais je ne sais pas ce que tu veux. Comment m'en remettre si tu me repousses ? Tu ne te moquerai pas, je le sais mais j'ai peur de faire tomber une amitié qui marche.
Je préfère perdre un fantasme, que de te perdre tout court.
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Honeyy, 17 ans, Bordeaux
J'avoue que j'avais besoin d'écrire, pas seulement pour moi mais pour d'autres.
Dans la vie, je suis quelqu'un de sociable, j'ai pas mal d'amis, je ne me sens pas rejetée, ni rien de ce genre. On pourrait même dire que je suis extravertie.

Pourtant, depuis que j'ai commencé la philosophie, je me pose beaucoup de questions, et particulièrement à un cours qui disait qu'on ne peut jamais se connaître soi même, ni les personnes qui nous sont le plus proche.
Et parfois je me sens comme ça. Une étrangère dans mon propre corps, où plutôt dans ma vie. J'ai fait des recherches, et parfois j'ai l'impression de souffrir de Bovarysme.
Ma vie m'ennuie, je ne sais pas quoi en faire. Je ne veux pas me suicider loin de là, mais je m'inquiète sur mon identité.
Je fais des rêves... Dérangeants. Très portés sur la cruauté. Alors que je critique fortement la violence chez les autres, je ne peux pas m'empêcher d'avoir des crises de violence extrême, ou je me sens déformée par une colère que je ne connais pas, que je ne comprends pas.

Dans ces moments là, la seule chose que je veux c'est me battre, faire mal, mordre, comme un animal sauvage qui se bat pour sauver sa vie. J'ai l'impression d'être en colère, triste, loin de tout le reste du monde. Alors qu'à l'extérieur je suis quelqu'un de très sociable.
La fatigue surtout fait ressortir cette part violente de moi, que je n'arrive pas à éradiquer.
J'ai besoin de faire mal. Parfois j'ai l'impression que je ne pourrai plus jamais rire, même pour faire semblant en public.
Est-ce une double personnalité ? Un monstre en moi ? Je n'arrive pas à savoir, ni à me comprendre. Suis-je la seule ? Je ne sais pas, j'ai honte. C'est malsain mais je ne peux pas m'en empêcher, et j'ai l'impression d'aimer ça.
Après tout, peut-être que Freud a raison : entre Éros et Thanatos, l'humain choisira toujours le plus sombre.
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H, 28 ans, Serres
J'avoue que tu me manques. Je suis tombée folle amoureuse de toi, comme jamais peut être. Pourtant, on se connait à peine, et on ne se reverra probablement jamais, mon stage est fini depuis longtemps déjà. À la fois l'impression de te connaître depuis des années, à la fois très intimidée. Et puis cette soirée, et cette folle envie de la passer à tes côtés. Mais une culpabilisation énorme m'envahit, je ne peux pas, tu es juste papa.

Alors je me tourne vers un autre, je ferme les yeux, et j'imagine passer la soirée avec toi. Je ne me souviens pas de tout, juste que tu m'as embrassé sur la joue, et que mon ventre s'est retourné... une folie que je n'ai jamais ressentie, une attirance, qui fait mal et qui me manque à la fois.
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Coucou toi, 23 ans, Paris
J'avoue que mon regard s'est posé par hasard sur le tien.
J'avoue que c'était magique car tu me dévorais des yeux.
J'avoue que j'étais en train de manger avec mon amie et elle n'a pas pu s'empêcher de se retourner pour voir ce qui détournait mon attention.
J'avoue qu'on n'a pas arrêté de s'échanger des regards timides, confus mais très insistants.
J'avoue que j'y pense encore.
J'avoue que ce moment où je me suis levé et passant près de toi, nous nous sommes encore regardés. Ce moment où je ne rêvais que d'une seule chose, te parler.
J'avoue que si tu te reconnaîs ici ?
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Seuleaccompagnée, 15 ans, Tulle
J'avoue avoir avouer à mes amies mon faible pour toi.
J'avoue avoir honte.
J'avoue ne pas savoir ce que toi tu ressens pour moi.
J'avoue espérer qu'un "nous" puisse être possible.
J'avoue me persuader t'avoir oublié.
J'avoue être jeune pour ça, et toi encore plus.
J'avoue rêver d'être encore dans tes bras malgré le fait que tu n'y apportes aucune signification.
J'avoue en avoir marre de tes bêtises mais que tu me manques.
J'avoue que j'aime tous tes défauts.
J'avoue ne pas vraiment croire en l'amour ni à ces soi-disant papillons dans le ventre.
J'avoue les ressentir en étant à tes côtés.
J'avoue vouloir de tes baisers.
J'avoue ne pas me sentir coupable de t'avoir embrassé lorsque tu dormais.
J'avoue que malgré tout, tu es celui que j'aime.
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Judith, 24 ans, Toulouse
J'avoue... Je suis depuis un peu plus de 2 ans avec mon copain, j'ai rencontré assez vite sa famille, et dès le premier regard, j'ai senti que j'avais un coup de coeur pour son petit frère.
Le plus honteux, c'est que le frangin avait 13 ans à l'époque, et moi 22. Je me disais que c'était n'importe quoi et que ça allait passer, mais un peu plus de 2 ans plus tard il me hante toujours autant, si ce n'est plus !
Il peut provoquer en moi des émotions bien plus intenses que n'importe qui d'autre, me faire passer du rire aux larmes en un rien de temps et vice-versa.
À l'heure qu'il est, je me pose la question de savoir si j'aime toujours vraiment mon copain, ou si je reste avec lui pour croiser son frère. En effet, ce dernier me manque de plus en plus, si bien que j'en arrive parfois à être désagréable avec mon copain !
Je n'ai rien fait avec le frangin, ni même tenté quoi que ce soit. On se parle à peine.
Je suis juste heureuse de le voir, comme une collégienne. Et pour cela, j'accepte des choses que je ne ferais jamais en temps normal : me baigner dans de l'eau froide alors que je suis frileuse, m'épuiser à des activités physiques alors que je suis allergique au sport, etc. En revanche, pour passer des moments juste avec mon copain, je n'ai plus vraiment envie de m'impliquer...
J'ai honte. Mon pauvre copain, si adorable qu'il est, ne mérite pas ça... C'est mon premier copain réellement digne de ce nom - mes ex n'avaient même pas un comportement qui permettrait de les qualifier comme "amours" - et c'est moi qui suis indigne, un comble !
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Nyan, 19 ans, Centre
J'avoue que je t'ai aimé L, oui je t'ai aimé un court instant, mon copain s'occupait plus de moi ne me portait plus d'attention mais toi tu débarquais de nul part et tu m'écoutais, j'avais juste besoin d'affection et d'être écouté. H. connaissait notre amitié, mais ne savais pas que y avait cette alchimie entre nous.

Il voulait un ''plan à trois'' comme il disait avec deux filles et lui, je ne voulais pas mais j'ai accepté pour lui. L. connaissait une fille qui voulait bien, H était content, pas moi, j'étais encore plus mal car je me rendais compte petit à petit que H. et Moi ça devenais n'importe quoi. L. a proposé de me changer les idées en parlant de choses un peu osées, je suis rentré dans le jeu.

On est devenu proche, il a vu des photos que j'avais envoyé à H et moi des photos qu'il avait envoyé à sa copine. On se les montraient sans gêne. Puis t'a voulu plus, mais je me rendait compte que ce que je voulais c'était pas ça, j'avais juste besoin de séduire, de savoir que je pouvais plaire, qu'on pouvait faire attention à moi, H m'ignorais presque, faisait passer son plaisir avant le mien, m'insultait, me frappait parfois, m'humiliait devant les autres... Mais L était là et m'écoutait mais du moment qu'il a voulu faire ce jeu je n'aurais pas du rentrer dedans, j'aurais dû penser aux conséquences. Puis L. m'a obligé à faire ce qu'il voulait, et je l'aimais, il était devenu mon confident, mon meilleur ami, et plus encore, avant qu'il m'oblige, il m'a embrassé en me fixant de son regard vide, il avait des yeux bleu des pupilles très large, son regard faisait peur, quand il m'a obligé à aller plus loin je disais que je ne voulais pas, et quand il m'embrassait j'étais dégoûtée, je disais non mais j’obéissais quand même. Je ne voulais pas mais j'étais excité, puis j'ai eu peur, très peur... Mais il n'avait plus de sentiments en lui, je l'ai sûrement bien mérité mais j'ai mal très mal et personne pourra jamais comprendre.
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Aelina, 32 ans, Bretagne
J'avoue que j'en ai ras le bol de m'investir dans le milieu associatif. De grands moments certes, mais combien d'années de douleur, d'avoir la sensation d’être complétement paumée entre mon attachement excessif à ces personnes qui somme toute me considèrent comme un pion sur un échiquier parait-il.
J'ai pas envie d'y croire pourtant... Le milieu associatif est pire que le monde salarial. Les relations humaines plus dangereuses que aidantes. J'avoue, j'arrête les frais.
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Alain, 41 ans, Suisse
J'avoue que je relis très souvent les histoires sur Javoue.com et je suis halluciné que certains en écrivant arrive à 'entrer' en contact avec la personne concernée !
Il faut croire que la personne se reconnait et c'est tant mieux pour celui qui écrit.

Du coup, disais-je, en relisant il y a 2 histoires, de personnes différentes, que je lis et relis et relis me disant que ça correspond énormément à une réponse à un de mes écrits. Donc pourquoi pas moi ? J'essaie mais je doute que ça soit possible que la femme qui hante toutes mes nuits et qui ruine ma vie sentimentale soit l'une d'elle !

Au fond j'aimerai tant que cela soit le cas !
Alors je me lance et si c'est le cas je ne saurai comment remercier javoue.com tellement cela serait merveilleux mais je ne me fais point d'illusion.
Alors
Marmotte_80, 30 ans, Suisse
ou
Rêveuse, 26 ans, Suisse


es-tu ma Jessica ?
Si oui s'il te plait écris-moi ici et sois sur que je viendrai immédiatement vers toi sans perdre une seconde.
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Fliptrip, 30 ans, Reims
Cette après midi j'avais RDV avec un jeune ingénieur dans son usine pour chiffrer avec lui un de ses projets.
Il m'explique son problème et les différentes solutions aux quelles ils ont pensé pour y remédier.
Sans rentrer dans les détails c'est une installation alimenter par deux (très grosses) pompes...
Dans la conversation je lui glisse que ses pompes ne sont pas les plus performante qu'il existe.
Il me demande mon avis a ce sujet. (et la conversation est sérieuse)
Pour déconner je lui dit "Vous savez M. X les moildar fonctionne super bien et sont fortement réputées". Je lui dit ça avec un regard rieur et un petit sourire qui aurai du l'alerter.
La blague est vieille comme le monde et tout les mécanos la connaissent.. les pompes moildar.... pas très fin je vous l'accorde mais dans les milieux masculins et industriel en général ça fait sourire.

Putain de jeune sortie de l'école... ce con a appelé devant moi le magasinier en chef et lui dit : "Salut R. dit moi, stp peux tu te renseigner sur l'achat de deux pompes moildar ... (blabla technique)... je suis avec "Fliptrip" c'est lui qui me recommande cette marque...".
Le magasinier ignore que je suis à côté de son collègue et que le téléphone est en haut parleur... il explose de rire... "Fliptrip HAHAHA il s'est bien foutu de ta gueule HAHAHA et t'a marché comme un bleu !".
Mon client comprend (enfin) la blague de mauvais goût que j'ai faite.... Et sur le coup se met à rire. (remarque un peut jaune quand même... c'est qu'il est fier le mec)
Dans la même usine je rencontre un autre chef qui me demande de lui rendre un prix, nous voilà parti pour trois heures de chiffrage, après avoir fait notre tournée nous retournons dans le bureau des ingénieurs de la boutique.

Arrivé là j’apprends que le nouveau surnom de mon RDV d'avant est "moildar" et tout le monde sait que je suis le con à l'origine de cette blague (pourrie)...
Le mec m'a fusillé du regard... Je suis reparti a mon bureau étudier leur demande.

J'avoue vu comme il avait l'air colère contre moi je viens sûrement de m'assoir sur 60K€ de travaux annuel...
J'avoue au fond de moi je me dit que ça lui fait la bite à ce petit con tout droit sorti de l'école.
J'avoue 9 ingénieurs sur 10 ont un balais dans le cul et sont fier comme des coqs dans une bassecour.

J'avoue je vais faire vraiment gaffe à l'avenir avant de sortir une vanne...
J'avoue ça me fait chier de pas être libre de sortir les milliers de conneries qui me passent dans la tête chaque jour.

Ps : J'avoue je suis un technique et j'ai honte de mon orthographe.
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Kerlane, 27 ans, Paris
Oh Julien, j'avoue tout, je t'aime ! Pas comme au premier jour. Pas plus. Pas moins non plus. Différemment surtout. Je t'aime pas comme il faut. Je t'aime mal. Et je t'aime pas sainement.
Mais je t'aime de la seule manière dont tu m'en as rendu capable... et ce n'est plus suffisant.
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Zephyra, 28 ans, Lyon
J'avoue que mon mari, avec qui je suis depuis 8 ans, est parti à l'armée et que ça a été très dur depuis...
J'avoue que je fantasmais sur un homme de 6 ans mon cadet et qu'hier au soir, une bouteille de vin aidant, j'ai succombé à la tentation.
J'avoue que j'ai passé la nuit dans ses bras et lui a me faire des câlins, chose que j'avais presque oublié depuis que mon mari s'est engagé.
J'avoue que j'ai pris beaucoup de plaisir et que je n'oublierai jamais cette nuit là.
J'avoue que je me sens très fautive car cet homme ne me laisse pas indifférente et moi non plus...
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Capricieuse, 30 ans, Paris
J'avoue que je suis une grande menteuse.
J'avoue que je souffre énormément.
J'avoue que j'arrive pas à bouger de ma place.
J'avoue que je suis nulle.
J'avoue que j'ai causé des catastrophes aux personnes qui m'aiment mais qui connaissent pas ma vérité.
J'avoue que j’arrête pas de pleurer jour et nuit et ça me fatigue beaucoup.
J'avoue que réellement il me manque rien, rien du tout mais je suis paresseuse et trop grattée au point de vouloir avoir tout sans rien faire !
J'avoue que je suis une catastrophe.
J'avoue que ce n'est pas ma faute.
J'avoue que tu m'as brisé le cœur.
J'avoue que tu m'as gâché la vie au vrai sens du mot.
J'avoue que je suis incapable de te nommer.
J'avoue que je peux mourir à tout moment à cause de ma tristesse et de ma dépression.
J'avoue que je pourrai pas continuer.
J'avoue que tout ce qui m'est arrivé et tout ce qui m'arrive est à cause de toi.
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Alexia, 20 ans, Strasbourg
J'avoue avoir trompé mon copain avec qui je suis depuis 4 mois, et qui pourtant s'occupe de moi comme une princesse.
J'avoue avoir été infidèle aux hommes avec qui j'ai été, par manque et par pulsion.
Et j'avoue être vraiment une idiote d'avoir reproduit la même erreur à quelqu'un qui pour la première fois me rend vraiment heureuse.
J'avoue être quelqu'un à qui on ne peut pas faire confiance et qui derrière la jalousie maladive, va reproduire la dernière chose qu'elle aimerait qu'on lui fasse.

J'avoue être lâche au point de céder à la pulsion de l'instant plutôt que de penser aux conséquences de mes actes.

Et j'avoue être dégoûtée de l'infidélité, non pas pour l'avoir vécu, mais pour l'avoir fait vivre et la faire vivre encore... Pour la première fois, je culpabilise d'avoir trompé, pour la première fois, je sens que c'est moi qui me suis trompée, sur toute la ligne.
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