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Milline, 25 ans, Bordeaux
J'avoue que chaque fois que je viens te voir,c'est pour le voir lui,ton coloc'...
J'avoue que l'interdit me donne des frissons. J'avoue qu'il me donne des frissons, quand il me regarde en me souriant... Il n'y a pas plus sexy.
J'avoue que je crève d'envie de le toucher, de faire disparaitre cette distance, ce vide qu'il y a entre lui et moi. J'avoue que des fois je rêve que tu ailles faire les courses pour rester seule avec lui et assouvir tous mes fantasmes, tous mes désirs.
J'avoue que la dernière fois, quand il m'a regardé droit dans les yeux et avec insistance, j'ai rougit en imaginant qu'il pouvait lire mes pensées si pressantes.

J'avoue enfin que je ne tiens plus, j'essaye de me raisonner mais, tout cela est trop fort, et qu'il se pourrait bien que je ne contrôle plus rien s'il venait à me séduire.

J'avoue que ce n'est pas de ta faute, que je suis désolée... J'avoue que je ne suis qu'une humaine.
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AnonyM, 30 ans, Paris
J’avoue que quand tu m’as écrit que je te plaisais à mort, ça a été mon plus beau cadeau d’anniversaire.
J’avoue que j’ai trompé mon homme avec toi.
J’avoue qu’on s’est caressé intensément, mais qu’on n'a pas fait l’amour.
J’avoue que tes caresses et tes baisers m’ont complètement électrisés.
J’avoue que tu es le plus beau secret qui se soit installé dans mon cœur.
J’avoue que tu es comme un trésor que je suis contrainte de mettre dans une malle.
J’avoue qu’avec plaisir j’entrouvre parfois la malle pour m’enivrer de ton parfum.
J’avoue que si tu m’embrassais, je cèderais encore.
J’avoue que je t’ai dit ne rien avoir à t’offrir et pourtant si j’étais libre, je t’aurais offert bien plus que mon corps.
J’avoue qu’on s’est pas donné d’avenir, mais que je ne peux pas m’empêcher d’en rêver.
J’avoue qu’avec mon homme, je vis plus ça depuis longtemps.
J’avoue que rien que pour ça, je devrais le quitter.
J’avoue que je ne regrette rien, et que j’aimerais te couvrir de baisers.
Et si un jour tu lis ça, je voudrais te dire Merci pour les confettis qui sont revenus me chatouiller le ventre grâce à toi, je me suis sentie vivante dans tes bras.
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Aphrodite, 16 ans, Paris
J'avoue qu'Abeille craque sur deux garçons et qu'elle a de la chance. Elle au moins elle peut se réfugier chez l'autre si le premier n'est pas intéressé. Moi je l'aime plus que tout et ce n'est pas réciproque et voilà pourquoi j'aimerais craquer sur un autre... c'est pathétique, je l'avoue.
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L'abeille59, 22 ans, Lille
J'avoue que je craque sur deux garçons.
J'avoue que je ne sais pas lequel choisir !
J'avoue que je ne fais rien et que j'espère que le destin m'aidera...
J'avoue qu'en attendant je suis seule.
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Matt, 20 ans, Bordeaux
J'avoue en avoir déjà ras-le-bol de tout saccrifier pour avoir ce p***** de concours que j'ai déjà loupé une fois.
J'avoue que je désespère de trouver un jour une fille qui me plait et à qui je plais.
j'avoue que je ne comprend d'ailleurs pas pourquoi ne pas trouver cette fille, je ne suis pas moche, je suis plutôt intelligent, je suis parfois drôle, et j'assume de moi même mes défauts.
J'avoue qu'ainsi je parais prétentieux pourtant je ne le suis pas.
J'avoue que j'ai de l'amour à donner.
J'avoue que quand j'ai l'occasion de le faire je me dérobe trop attaché à ma liberté et mon indépendance.
J'avoue avoir peur mais j'avoue de ne pas savoir de quoi.
J'avoue fumer quand j'ai l'impression d'être frustré et j'avoue ne pas vouloir arrêter.
J'avoue je veux aimer sans me donner.
J'avoue que c'est sans doute ce dont j'ai peur.
J'avoue me sentir seul parfois, peut-être même un peu trop souvent.
J'avoue avoir tant de chose à avouer mais ne pas vouloir le faire.
J'avoue que si je suis en train d'avouer c'est pour ne pas faire ce que j'ai à faire, c'est-à-dire travailler pour ce concours que j'ai déjà loupé une fois.
J'avoue que j'ai peur aussi de ne pas l'avoir cette fois encore.
J'avoue j'ai peur parce que j'ai rêvé d'avenir, j'ai rêvé d'ambition et si je n'ai pas ce concours tous mes rêves se perdront dans l'injustice de monde.
J'avoue j'aime la vie mais je crois que la vie ne m'aime pas...
J'avoue heureusement pour moi je relativise, et je suis presque heureux de ma vie.
J'avoue en fait je crois que je suis plutôt heureux de moi.
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Oceane, 18 ans, Montpellier
J'avoue que j'adore faire la fête. Surtout pour m'afficher.
J'avoue que j'adorai danser avec n'importe qui et monter sur les podiums des boîtes.
J'avoue savoir que je suis belle et que me faire draguer plus de dix fois en une soirée me paraissait normal.
J'avoue être mannequin et m'en vanter.
J'avoue que j'étais l'une de ses filles superficielles qui aiment être belles même lorsqu'elles restent enfermées un dimanche après-midi chez elle.
J'avoue que jamais je n'aurai pu sortir sans maquillage, non coiffée et mal habillée.
J'avoue être riche et prétentieuse.
J'avoue que j'aimais être draguée, regardée, adulée.
J'avoue que si je le voulais, je pourrais avoir un copain qui rendrait les autres filles jalouses.

J'avoue que tu m'as fait ouvrir les yeux.

J'avoue que tu n'es pas beau.
J'avoue que tu n'es pas une lumière.
J'avoue que ton humour est plus que spécial.
J'avoue que tu es l'une de ses personnes authentiques qui ne pensent qu'à s'amuser mais aussi à découvrir de nouvelles choses.

J'avoue que je n'aurai jamais pensé que tu m'intéresserais un jour.
J'avoue que jamais je n'aurai pensé que la vie me paraîtrait aussi simple près de toi.
J'avoue que depuis que je te connais plus rien ne me dérange, je me balade en jogging, me fait des queues de cheval et me maquille moins.
J'avoue qu'être habillée en hippie et fumer le matin sur ton balcon ne me dérange pas.
J'avoue avoir changée beaucoup de choses dans ma vie : je fais plus de sport, je fais moins attention à mon apparence, je me suis ouverte à d'autres cultures, j'ai pris goût au voyage, j'ai appris à devenir moins arrogante et plus sociable.
J'avoue que parfois je ne me reconnais plus !
J'avoue que je ne pourrai que t'en remercier.
J'avoue que je t'aime.
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Ptite fille, 19 ans, Paris
J'avoue qu'en ce moment j'ai trop la poisse s'en est pas croyable et déprimant.
J'ai commencé par rompre avec mon copain et après tout a dérapé.
Je suis fâchée avec ma famille.
Je vais sûrement perdre mon job parce que je ne peux pas changer mes horaires d'école, parce que j'ai foiré mes rattrapages...
Et je pourrais continuer longtemps comme ça mais je vais vous déprimer...

Bref heureusement que la chance tourne parce que sinon je désespèrerais...
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Pire2Pire, 22 ans, Paris
Daniel, j'avoue que je veux que tu me files un rencard ! (ndlr : d'accord, tu sais comment me contacter.)
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Alice, 19 ans, Toulouse
J'avoue qu'il y a un an en intégrant cette équipe de rugby, je ne me doutais de rien.
J'avoue qu'à mon premier match, notre dirigeant a failli se battre avec le chauffeur du bus.
J'avoue que les huit heures de trajet ont été riches en rires.
J'avoue que je ne buvais pas une goutte.
J'avoue que je détournais le regard quand mes coéquipières montraient leurs seins aux camions.
J'avoue que je me contentais d'écouter et de rigoler (ou rougir, ça dépendait).
J'avoue que j'étais (et je suis toujours) la petite dernière de l'équipe.
J'avoue que j'étais des plus discrètes.

J'avoue que je rentre juste du premier match de la saison.
J'avoue que j'ai assez changé en un an.
J'avoue que je ne bois toujours que très peu.
J'avoue que maintenant je montre mes seins à chaque camion.
J'avoue que je chambre les filles de l'équipe.
J'avoue que je prends le micro du bus pour dire des conneries.
J'avoue que maintenant je réveille le coach à coups de flashes.

J'avoue qu'il y a un an, si on m'avait dit que j'en serai là maintenant, j'aurais rigolé.
J'avoue que j'adore les déplacements en bus.
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Gael, 20 ans, Tréguier
J'avoue qu'une fois encore, j'ai bien fait le con en moto. J'avais été convié à un concert pour faire des photos, sur Lorient. J'habitais à St-Brieuc, ce qui faisait quelques 130km. L'aller s'est passé nickel, en fin d'après-midi. Ce n'est que pour rentrer le soir, aux alentours de minuit, en pleine nuit, que je me suis souvenu que je n'avais plus de feu, ni avant, ni arrière.
Garé en centre ville, à côté des flics présents pour la sécurité du concert, j'ai réussi à décoller sans me faire pincer.
Puis j'ai pris la 4 voies, qui est au début éclairée. Mais les éclairages se sont estompés. Je remercie les concepteurs de motos d'avoir pensé à mettre des plaques réfléchissantes à l'arrière. Je pensais jusque là qu'elles ne servaient à rien, mais c'est faux.
Puis, au sortir de l'autoroute, je me suis engagé dans les chemins de campagne Bretons. Ma seule source de lumière était la pleine lune. Encore une chance ! Nuit sans nuage !
Pour m'éclairer dans les virages, je mettais mon clignotant gauche en route, pour avoir quelques brefs instants de luminosité.
J'ai donc fait mes 130km en remerciant la Lune d'être pleine cette nuit là et les nuages d'être absents. Une fois arrivé à St-Brieuc, les éclairages de ville on pris le relais.
J'étais sur les nerfs, en arrivant, complètement glacé, et je me suis juré que plus jamais, je ne recommencerai. J'ai échappé aux flics, à l'accident, et ce n'est pourtant pas la 1ère fois que je fais de la merde. Souvenez-vous le type qui rentrait d'un festival, "Motard Breton" (50875)...
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Moi, 18 ans, Paris
J'avoue, Daniel, je te trouve super mignon. Signé : une nouvelle à la fac.
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Phoque, 20 ans, Paris
J'avoue que quand j'étais petite, je trouvais que notre chien n'était pas assez nourri, j'ai donc volé des pâtes dans la cuisine en pleine nuit pour lui donner en cachette, et j'avoue que je ne comprend que maintenant pourquoi mon chien n'en voulait pas, aah il faut les cuire ?
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Bzzz, 20 ans, Paris
J'avoue que j'aime me promener toute nue dans mon appart en sachant pertinemment qu'un de mes voisins d'en face est en train de fumer sa clope à sa fenêtre et que je suis la seule de l'immeuble à avoir mes volets ouverts.
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Bzzz, 20 ans, Paris
J'avoue qu'il m'arrive d'avoir une envie pressante en pleine nuit, et que par peur de traverser toute la maison toute seule je me soulage dans un verre où je mets d'habitude mes stylos, et que je le vide par mon velux, qui donne directement sur la terrasse.
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Cocotte, 22 ans, Sherbrooke
J'avoue...mon chat me pousse les nerfs en cachant continuellement mon écran d'ordi avec ses grosses fesses... et en foutant le bordel partout dans la maison ! me réveillant à 6h00... et en miaulant pour manger toujours comme un goinfre. Va-t-il vieillir un jour ?
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Assistante, 27 ans, Paris
J'avoue que j'ai toujours trouvé mon chef séduisant, et cela tient en partie au fait qu'il ressemble à la bombe sexuelle qui me sert de meilleur ami.
J'avoue que ses yeux verts m'ont toujours fait fondre.
J'avoue que chaque fois qu'il se penche dos à mois pour ouvrir un carton (on est en open space et on fait beaucoup de choses nous mêmes) j'ai du mal à ne pas mater son joli postérieur.
J'avoue qu'il est toujours habillé "près du corps" et que, pour reprendre une expression d'un roman, "j'ignorais que les pensées impures pouvaient se balader sur des jambes".
J'avoue qu'un jour il s'est approché pour me montrer quelque chose sur un document et ce faisant, a collé son bassin (et donc son pelvis) contre mon bras et posé sa main sur la mienne furtivement, et que ma main a répondu malgré moi, une fraction de seconde, en remontant mon pouce sur sa main.
J'avoue que ça m'avait terriblement chauffée.
J'avoue qu'il vient de se mettre torse nu pour changer de chemise, juste devant moi, et que j'ai eu toutes les peines du monde à regarder sans me faire voir.
J'avoue avoir eu l'impression que mon estomac était tombé de 10 cm, et avoir senti mon coeur palpiter furieusement.
J'avoue que j'ai hâte de rentrer à la maison pour oublier mes émotions dans les bras protecteurs de mon mari.
J'avoue que mon chef me fait un effet pas possible et que j'en suis profondément perturbée...
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Missmissmiss, 23 ans, Toulon
J'avoue, je couche (régulièrement...) avec mon ex.
J'avoue, je sais qu'il est marié.
J'avoue, ça me plait qu'il la trompe... et d'autant plus avec moi !
J'avoue, j'ai profité qu'il dorme pour changer son annonce de répondeur, et qu'elle entende ma voix la prochaine fois qu'elle tombera dessus !
J'avoue, je jubile rien que d'y penser.
J'avoue, c'est de la méchanceté gratuite... mais j'avoue aussi que c'est trop bon !
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Pire2Pire, 22 ans, Paris
J'avoue qu'aujourd'hui, j'ai dû marcher de longues heures. Je suis rentrée totalement épuisée à 17 heures et j'ai trouvé encore la force d'accompagner ma mère faire les courses, sans broncher. Le soir, elle m'a dérangé et n'a cessé de me demander de me lever pour lui emmener ci ou ranger ça. Au bout de la dixième fois, j'ai commencé à me plaindre de mes pieds douloureux pour qu'elle me laisse tranquille quand elle a soudainement lâché : "Tu bouges si peu qu'une petite promenade te casses en deux !"

J'ai marché 10 kilomètres.
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Imalonetodream, 25 ans, Moissy-cramayel
J'avoue il y a quelques années de ça, j'ai eu la chance de ma vie, suite à une soirée "open-bar" dans le bar des parents d'un pote à l'occasion de son anniversaire.
Nous avions pris la voiture d'un ami qui venait d'avoir et le permis et la voiture.
J'avoue que nous avons bu un verre ou deux pour fêter cela et que mon pote devait faire Sam...
J'avoue que j'ai eu peur dans la soirée quand on est venu me prévenir que mon ami était en train de vomir dans les douches parce qu'il avait trop bu.
J'ai donc arrêté de boire (malgré le fait que cela soit déjà trop tard) pour limiter la casse...
J'avoue que j'ai conduit et que c'est mal.
Soudain derrière moi j'ai aperçu des gyrophares... En bon conducteur et respectant les sentences encourues je me suis arrêté.
J'avoue qu'ils étaient super sympa qu'on a bien rigolé... Le gendarme me demandant les papiers de la voiture, je lui explique donc que c'est celle de mon ami et que comme il a trop bu c'est donc moi qui ai pris le volant par "sécurité".
J'avoue que le flic était écroulé de rire quand il a vu mon pote tituber jusqu'au coffre pour trouver ses papiers puis revenir chercher ces derniers dans la boite à gants, et qu'il a demandé a mon pote s’il voulait un doliprane parce que le lendemain il allait avoir mal aux cheveux...
J'ai discuté pendant une bonne demie heure avec les gendarmes pendant que mon pote vomissait tripes et boyaux, et ceux ci ne se sont pas aperçus que j'étais sans doute bien au dessus de la limite (merci mon foie bionique)
J'avoue, qu’avant de nous laisser repartir, le gendarme, m'a dit qu'il aimerait bien que son fils soit aussi responsable et ne laisse pas ses amis prendre le volant alors qu'ils sont ivres...
J'avoue que j'ai eu chaud et que depuis je ne bois plus.
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Carniburn, 19 ans, Moisy caramel
J'avoue qu'avec des potes on a voulu faire une crasse à un pote qui roulai derrière nous en voiture...
J'avoue qu'arrivé au feu on a vu un lapin écrasé et que dans un premier temps on a trouvé ça dommage.
J'avoue qu'ensuite notre cruauté a pris le dessus.
J'avoue qu'on a mi la voiture légèrement de biais et qu'on a avancé jusqu'à être sur le lapin.
J'avoue qu'on est parti en faisant un gros burn pour arroser avec succès la voiture de notre pote...
J'avoue que c'était stupide mais que ça valait le coup quand on a vu la tête de notre pote quand on lui a avoué que ce qui était arrivé sur son pare brise c'était des bouts de lapins...
J'avoue j'ai honte...
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Hal, 33 ans, Grenoble
J'avoue que je ne pensais pas que cette grève des transports en commun serait si agréable !
Hier soir à Lyon, j'ai dû prendre un tram bondé, un véritable wagon à bestiaux, comme hier soir.
Stoïque et résigné, je me glisse dans la masse tant bien que mal, plus du fait de la poussée de la foule derrière que grâce à mes jambes d'ailleurs.
Je me retrouve au fond de ce compartiment, adossé à une barre, derrière un groupe de jeunes femmes.
Perdu dans mes pensées, essayant de calculer si j'arriverais à attraper mon train à temps, je n'ai pas remarqué tout de suite ce qui m'environnait.
Un freinage brusque me ramène sur terre et me fait réaliser la douce sensation fort moelleuse ressentie au niveau de mon entrejambe.
Hasard des mouvements de foule, je suis en effet juste derrière une jeune femme d’une vingtaine d’années, un peu plus petite que moi, avec de beaux et longs cheveux bruns, et un fessier assez attractif.
2e cahot, je me retrouve encore une fois en contact avec la demoiselle, contact qui se prolonge un peu, le temps que tout le monde retrouve son équilibre.
Je me dis « on ne sait jamais », et je me positionne de manière un peu plus « stratégique ».
Etait-ce un mouvement de balancier naturel dû à l’avancée du tram, je ne sais pas, mais un nouveau contact avec elle se prolonge encore.
Mon corps réagit tout naturellement.
Elle ne peut pas manquer de s’en apercevoir.
Cela motive-t-il le contact suivant ?
En tous cas, il n’y a pas eu de cahots et elle a assez de place devant elle pour pouvoir éviter ce contact.
On dirait plutôt qu’elle cherche à confirmer ce qu’elle a déjà ressenti.
Enhardi, alors qu’elle se re-avance au bout d’un instant qui paraît avoir duré une éternité, je m’avance légèrement et reviens la frôler.
Dieu que c’est doux !
Une lente danse faite de balancements légers et discrets s’engage entre nous.
Nous ondulons l’un contre l’autre avec des petits mouvements.
C’est d’une sensualité folle ! Je la sens frémir et personnellement, je suis extrêmement à l’étroit.
J’approche ma main droite de sa hanche. Personne ne peut nous voir. Et honnêtement, à cet instant, c’est bien le cadet de mes soucis !
Je la sens frissonner quand mes doigts touchent sa taille. Je la caresse doucement de bas en haut.
Nous nous appuyons plus fort l’un contre l’autre, je suis fermement calé entre ses fesses et mon ami d’en dessous rend un rigide et vibrant hommage à notre échange !

Le tram arrive à la gare… Je la saisis des 2 mains par les hanches et nous nous retrouvons encore plus imbriqués l’un dans l’autre. Une manière d’adieu pour finir en beauté.
Ses amies n’ont manifestement rien remarqué.
Je me retourne après être descendu, elle me sourit timidement, ses joues sont d’un rose éclatant. Je lui souris chaleureusement, en soufflant « merci ».
J’avoue que ma démarche est un peu raide pour aller jusqu’au quai.

Je ne serais jamais allé plus loin, j’aime beaucoup trop ma femme et mes 2 enfants.
Néanmoins, ce moment d’intense sensualité, par son caractère totalement imprévu, la foule qui nous entourait sans se douter de ce qu’il se passait, qui pourrait choquer certains et certaines à qui cela arriverait, mais qui fut très tendre et respectueux, restera à jamais gravé dans ma mémoire.
Belle inconnue, je vous remercie donc de cet échange hélas trop bref et j’espère qu’il vous aura apporté autant de plaisir qu’à moi.

Votre grand inconnu du tram.
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Joséphine, 21 ans, Tournai
J'avoue aimer être aux toilettes et sentir mes fesses à l'air.
J'avoue adorer être maintenue dans une position d'être fessée, le pantalon et la culotte baissés.
J'avoue adorer être traitée comme ça et qu'on me met un thermomètre dans l'anus.
J'avoue fantasmer de me promener aux Champs Elysées ou dans des rues commerçantes les fesses artistiquement découvertes en toute innocence et indifférence.
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Gabrielle, 26 ans, Paris
J'avoue que durant toutes ces années passées avec toi je n'ai jamais eu de véritable désir pour un autre homme... Jusqu'à la semaine dernière.

Oui, j'avoue que j'ai rencontré quelqu'un qui me plait terriblement, que je n'ai passé que quelques heures avec lui, mais j'aime déjà tellement être avec lui, discuter et rire avec lui... J'ai aimé sans mesure les regards que l'on a échangé, et encore davantage ses baisers et ses caresses.

Je crois savoir que c'est un coureur, mais j'ai l'impression qu'il y a quelque chose de plus entre lui et moi.

Mais finalement, peu importe que ce soit une histoire sans lendemain ou pas, parce que sa simple présence dans la pièce me bouleversait, que ses regards, ses baisers, ses caresses me faisaient fondre, et qu'au fond de mon ventre j'ai senti comme une fleur exploser.
J'ai simplement envie de m'abandonner totalement, je sais que je ne peux pas renoncer à de telles sensations.

Peu importe même si finalement il ne me rappelle pas, parce que cette seule soirée m'a fait comprendre ce qui manquait dans ma vie.
J'avoue que ces quelques heures ont définitivement fait basculer notre couple, parce que j'ai enfin re-goûté à la passion, et que j'en veux encore. J'avoue que pour revivre encore de tels moments je pourrais te quitter.
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Pirouette, 18 ans, Paris
J'avoue j'ai pris en photo mon aveu précédent avant de le valider pour pour pouvoir le renvoyer si jamais il n'était pas publié... J'avoue j'y tiens beaucoup, il sera au moins une petite compensation à l'amour fou que j'éprouve pour son destinataire.
J'avoue qu'est ce que l'amour ne nous pousse pas à faire, mis à part la folie. Je le redis : je t'aime !
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Wildeo, 21 ans, Paris
J’avoue que j’ai connu le schéma traditionnel dont parle Orlane, j’ai connu un gros connard qui fut mon premier amour. Et pourtant nous n’avons jamais été ensemble. Ca va faire six ans qu’on couche ensemble, je l’ai connu vierge et il a été témoin de mes progrès. Je l’ai méprisé, jusqu’au jour où c’est lui qui s’en foutait, et moi j’étais folle de lui. Cet amour que j’avais pour lui était un poison qui me rendait ridicule et pathétique. Avec le recul, j’étais surtout fan de son sourire, de son accent chantant, et de son corps. Un corps parfait ! Maintenant quelle satisfaction ! J’ai réalisé un jour qu’il fallait que je le traite comme une merde pour qu’il me veuille. Et j’ai eu raison, il est revenu me chercher, et à ce moment là j’ai jubilé. Une des meilleures baises de ma vie, tout ça pour partir sitôt fini en disant « ouais bof, je crois qu’il faut qu’on arrête de se voir » et en me rendant compte qu’au cours de ces six années, j’étais devenue meilleure que lui au lit. Voir sa tête à cet instant précis fut carrément orgasmique, et maintenant je suis libérée de ce fardeau.
Orlane, la réponse à ta question est simple : tu n’as pas de problème, tes soucis s’arrêteront quand tu te seras rendue compte qu’hommes et femmes ne fonctionnent pas de la même façon. Les hommes n’ont pas besoin de parler, et n’en ont surtout pas envie ! Ils savent très bien, et à juste titre, que les femmes sont casse-couilles, et que dialogue = dispute. Solution de facilité, et c’est compréhensible.
J’avoue qu’aujourd’hui, je suis avec un mec génial. Notre histoire a très mal commencé, pourtant c’est le bonheur. Je suis longtemps restée une croqueuse d’hommes, je n’ai jamais été fidèle, et malgré ça j’attends sagement qu’il rentre de son année d’études à l’étranger. Je regarde les mecs dans la rue, je les dévore des yeux, et pourtant je pense que même si j’en avais la possibilité, je ne cèderais pas. J’avoue que je me demande si les gens peuvent changer.
J’avoue que ça fait 1 mois que je n’ai pas fait l’amour et que je commence à être à cran ! Je ne pense qu’à ça, tout le temps. Et il ne revient que dans 7 mois…
J’avoue que je pense être une super copine. J’avoue que je ne suis pas comme toutes ces filles que je déteste qui appellent leur mec 50 fois par jour pour ne rien dire. J’avoue que je ne suis pas une niaise saoule au premier verre. J’avoue que je ne pleure pas pour rien. J’avoue que je dis rarement non à un câlin et que je ne rechigne pas à descendre à la cave. J’avoue que même si je hais qu’on me le demande, je fais la lessive et le repassage de bon cœur. J’avoue qu’il y a toujours une bière au frais pour mon homme. J’avoue que ne crise pas quand mon mec me délaisse pour jouer aux jeux vidéos ou qu’il invite ses potes à faire des jeux en réseau. Et ouais, je suis comme ça moi.
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