22354 aveux trouvés
Nous sommes sur la page 10 / 895
Lola, 16 ans, Paris
|
J'avoue que j'ai cru pendant longtemps que tu m'aimais et que toi tu pouvais voir la beauté en moi malgré mon masque. J'avoue que j'ai espéré que tu viennes me parler, me dire que tout ira bien et qu'il ne voient simplement pas cette beauté comme tu la vois. J'avoue que j'ai espéré que tu sois mon sauveur et qu'ensembles on soit heureux, j'avoue avoir eu le cœur brisé quand j'ai su que c'était ma sœur que tu voulais.
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
Evalyn, 36 ans, Nice
|
J'avoue, être une jalouse amoureuse maladive, que toutes mes relations sont un échec principalement à cause de ça. Je voudrai tellement que ça cesse, ne plus me retrouver dans des dépressions presque insurmontables, à faire des efforts inutiles puisqu'ils n'ont pas lieu d'être, de pouvoir passer une journée l'esprit tranquille sans stress permanent...
J'avoue avoir passé une journée entière à éplucher les sites internet concernant la jalousie maladive, qu'il est très difficile de commencer, d' "AGIR" comme ils disent, c'est une question de volonté. Un cercle vicieux, ou capricieux, comment peut-on agir quand on ne va pas bien ? Mais pour aller bien il faut bien agir... On me dit qu'il faut trouver la source, l'origine de cette jalousie: je pensais à la première fois qu'on m'ait trompée, mais non, car dès ma première relation, j'étais déjà exécrable; et je remonte à mon enfance, j'avoue que je me suis sentie abandonnée par ma mère, qui je n'arrivais jamais à satisfaire. Un manque de confiance en soit donc ! Ensuite, on me dit de changer mes habitudes, d'avoir des activités, de me relooker, car l'amour c'est un partage entre deux personnes, soit deux mondes bien personnels à partager. J'avoue qu'en couple, je tombe vite dans la dépendance affective et ne vit plus qu'a travers et pour mon partenaire. C'est joliment présenté dit comme ça, mais en fait je l'étouffe.
J'avoue que ce que j'ai suscité au dessus concernant la jalousie maladive et comment la soigner, j'ai commencé à aller me maquiller, mais je me suis trouvée horrible ; alors j'ai voulu faire un peu de sport, mais je n'ai pas dormi de toute la nuit donc je n'ai même pas pu commencer; j'ai sorti un cahier, genre de journal intime et ai commencé à y écrire ma dernière crise de jalousie et tout ce dont j'envisage de faire pour m'en sortir.
J'avoue que tout est confus dans ma tête, je ne sais pas par où commencer ni comment, j'avoue n'avoir qu'une seule pensée me hante, de me réfugier dans mon lit et dormir jusqu'à ce que ça passe...J'avoue me sentir très seule, incomprise, et avoir besoin d'aide.
J'avoue encore ruiner une relation, que c'est de ma faute (je l'espère car ce serait le comble si j'eu raison), et que c'est la dernière relation que je détruis.
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
The londoner, 31 ans, Paris
|
J'avoue que depuis quelque jours, il me hante. C'est la première fois que je vis ceci. J'avoue que je ne suis plus capable de penser à autre chose. Je le désire comme je n'ai jamais désiré personne. J'avoue que je suis à deux doigts de passer pour une imbécile en lui écrivant pour lui avouer tout ça. Nous sommes mariés et notre relation est impossible. J'avoue que je repense à nous deux, il y a 6 ans. Depuis plusieurs jours, je vis dans ce souvenir et n'arrive pas à me sortir de ma bulle. J'avoue que je meurs d'envie de savoir si mon sentiment est réciproque. J'avoue que je suis à pas grand chose de prendre un billet d'avion pour le rejoindre. J'avoue que je serais prête à tout pour lui plaire de nouveau et revivre nos moments passés.
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
Rose9768, 18 ans, Thuir
|
Je sais qu'on grandit avec le temps, qu'on vit des choses qui nous changent profondément. Quand, je me regarde dans un miroir, je ne vois qu'une fille qui subit ses journées, subit sa vie,. Pendant très longtemps j'ai cru que je ne méritais pas d'être heureuse, que personne ne m'aimera. Je mens depuis que je suis petite, je souris quand j'ai envie de chialer, c'est un des mensonges qui me pèsent le plus parce qu'au final qu'est-ce qu'un mensonge ? C'est le fait de ne pas être sincère. J'ai rencontré quelqu'un je l'aime et j'ai l'impression qu'il m'aime vraiment. Seulement, j'ai des comportements qui me montrent que j'ai minimisé l'influence que mon passé a eu sur moi. J'ai envie d'être vrai tant pis si je me casse la gueule, j'aurais essayé pour une fois de faire tomber de nombreux murs.
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
Luimoinous, 45 ans, Saint Étienne
|
J'avoue que je suis amoureuse de toi. J'avoue que je ne devrais pas. J'avoue que c'est dur de ne pas se dire que nous nous aimons alors que nous nous aimons physiquement, mentalement, avec le cœur, c'est tellement évident. J'avoue que nous avons transgressÉ toutes les règles, surtout les tiennes, mais avoue que ça vaut la peine de s'aimer comme ça.
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
Apelite, 21 ans, Dijon
|
J'avoue A que je n'aurais jamais du dire toutes ses choses à ta copine, et qui est devenue ton ex par ma faute enfin surtout ta faute. Ça m'a vraiment fait de la peine tout ce que tu lui as fait, alors oui je lui ai tout dit de tes bêtises. Alors elle t'as plaqué, j'en étais heureuse. Vraiment, pour elle. Mais j'ai continué à lui raconter et bien sûr elle voulait rendre ses comptes. Je me sens conne maintenant,j'ai perdu ta confiance. Pour rien, juste parce que j'aime parler. Je me déteste vraiment. Tu sais j'ai vraiment cru que j'étais amoureuse de toi, mais maintenant je sais que ce n'est pas vrai, j'ai juste aimé les moments passés avec toi, et je te remercie en gâchant cette confiance. Alors excuse-moi, promis je ne dirai plus rien, promis je tiendrai ma langue, mais s'il te plait ne m'en veux pas.
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
Noémie0306, 16 ans, Montmagny
|
J'ai perdu ma mère à l'age de 13 ans, je ne le réalise que maintenant et ça devient de plus en plus insupportable. Je la cherche partout au quotidien, je me repasse chaque jour les images de sa mort dans ma tête et je n'en parle pas car ça fait du mal, et mes amis et mon petit ami n'ont pas les mots et j'ai juste l'impression de devoir embêter tout le monde avec mes soucis alors j'aide les gens sans penser ne serait-ce qu'un peu à moi mais je m'enfonce. Pour mes proches je dois aller mieux car c'était il y a trois ans, mais c'est de pire en pire... Je suis en décrochage scolaire et je n'ai plus de motivation.
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
Chuuuttt, 45 ans, Montbrison
|
Je suis mariée... Et je suis folle amoureuse d'un autre, folle amoureuse je crois... Et je crois que lui aussi... J'aime faire l'amour avec lui, il est si doux, si tendre, si fou.. J'ai envie de jouer avec lui... J'ai envie de dormir dans ses bras... Vendredi je vais le voir.
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
Quimberlay, 19 ans, Paris
|
Je porte des lentilles de contact de couleur vert, et je suis à la fac dans une nouvelle ville donc les gens ce sont habitués à cette couleur vert, donc ils pensent tous que c'est mes yeux. Je vais être mannequin et ma photographe je lui ai pas dit que ce sont mes yeux tellement j'ai l'habitude, c'est devenue mes yeux je peux pas dire que c'est pas c'est automatique. Aidez-moi je vis un enfer, les gens sont toujours centré sur la couleur de mes yeux alors que je l'ai ai changé c'est comme une paire de seins ou un nouveau nez !
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
Hommetriste, 30 ans, Nice
|
J'avoue que j'en ai marre et que je n'ai jamais de chance en amour.
Ma vie sentimentale est un désert dans lequel je vois que des ruines... je me projette à chaque fois avec une fille, je me vois vieillir avec elle mais à chaque fois il y a toujours un problème qui m'a été caché.
Chaque femme que j'ai rencontré avait des problèmes d'argent, des dettes dépassant les 1000€ qui à chaque fois me font douter de la stabilité de la personne plus tard, sa manière de dépenser son argent... On ne peut pas se permettre aujourd'hui de dépenser plus que ce que l'on a, c'est le piège du monde d'aujourd'hui mais toutes celles que je rencontre tombe dedans... je ne sais plus quoi faire, j'entends à chaque fois leur appel à l'aide vis-à-vis de moi, mais je ne peux pas avoir les épaules pour supporter les problèmes des autres, ce sont des dettes qui ont été causé par elles mêmes... parfois j'aimerais vivre dans une société sans argent, je suis fatigué de ça.
J'avoue subir le stress que me causent la fille que j'aime, chaque jour je me lève en y pensant, en ayant aussi peur que même si je lui prête (en me mettant dans la merde) elle me quitte car la société maintenant est composé d’égoïste, est-ce que je dois l'être aussi ? Mieux vaut se protéger soi-même ?
J'avoue ne pas être une bonne personne, je ne peux en parler à personne je suis seul et je me retrouve sur un site à écrire un message que personne ne lira.
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
Poupée, 38 ans, Bordeaux
|
J'avoue que depuis que mon nouveau chef est arrivé, de quinze ans plus âgé que moi, j'ai vraiment craqué. J'avoue que j'ai un mari génial et que je suis vraiment trop bête.
J'avoue que mon chef me cherche, qu'il m'excite, et que j'ai envie qu'il me trouve. J'avoue que depuis bientôt un an je fantasme sur lui, son côté Vieux beau, ses belles mains, je l'imagine entrain de me prendre par les hanches, j'ai envie de le voir chaque jour dans l'espoir qu'il devienne plus entreprenant...
J'avoue bénéficier d'un traitement de faveur, j'avoue que j'aime qu'il me regarde l'air incrédule me voyant comme une sainte femme enfant hyper droite.
S'il savait la cochonne que je suis Il aurait sans doute moins de scrupules ! Il pense que je ne tiendrai pas la route d'une aventure et à son age ne comprends toujours pas que je ne ferais jamais le premier pas, par principe, par conscience pro, mais que je n'attends qu'une chose : qu'il me saisisse, me prenne, me fasse jouir... sans attendre la permission.
Après tout, il gagne le double de mon salaire alors j'estime que c'est à lui de mouiller la chemise, si j'ose parler... de chemise.
J'avoue qu'il m’excite tellement que je vais finir par craquer et le choper moi même. J'avoue qu'en plus il a l'air sacrement favorisé par la nature et que je ne vais pas ternir comme ça éternellement.
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
Idiote, 21 ans, Istanbul
|
J'avoue, je suis retournée en Turquie pour les beaux yeux d'un homme qui jurait m'aimer pour l'éternité. J'avoue, je me suis faite avoir par les supplications d'un bourreau des cœurs que ce jeu amuse. J'avoue, je l'aime encore, si fort que je ne peux passer une minute sans penser à lui.
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
Girlnextworld, 35 ans, Var
|
J'avoue que j'ai aimé nos snaps coquins et nos échanges sur Messenger... Apprendre que tu avais envie de moi pendant tout ce temps alors que tu n'as jamais osé me l'avouer (merci à l'alcool de t'avoir permis de te lâcher) ça m'a flatté que tu me dises : - que je suis trop belle et sexy - que j'ai une poitrine magnifique (alors que je suis complexée à mort) - que je suis ton genre de meuf également.
Alors qu'est-ce qui nous retient ? Ma relation... depuis 7 ans avec un de tes potes. Que j'aime vraiment. Toi, tu m'as toujours plu et tu le savais.
Tu resteras mon petit fantasme.
Jamais je n'oublierais le seul échange qu'il y a eu cet été... Des baisers de ouf. Oui, car tu embrasses divinement bien, c'était fort intense. J'aurais aimé ne rien ressentir mais ce n'est pas le cas.
S tu m'as grave chamboulé le cœur et l'esprit... Hélas notre amitié a morflé et aujourd'hui on ne se voit plus. Ça m'attriste mais on a chacun nos vies, toi de célib et moi de femme mariée. Un jour tu vas te caser et j'avoue, ça me fera chier, même si tu as le droit d'être heureux...
Bref j'ai mal agis.
Une vraie salope...
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
Daffodil Lament, 30 ans, Paris
|
J'avoue, je pensais que plus l'âge avançait, plus l'amour était plus simple. Je me suis trompé. Non seulement les femmes sont de plus en plus névrosées, compliquées et perdues, mais en plus de se plaindre, elles ne font rien pour aimer. J'avoue que je pensais que les peines de cœur allaient être finies après l'adolescence. J'avoue que c'est très difficile de réaliser que l'autre ne vous aime vraiment pas. J'avoue que les femmes ne savent pas ce qu'elles veulent, n'ont plus aucun courage, plus de respect pour elles-même ou leur partenaire. J'avoue que ça doit être propre à l'être humain, de ne pas se rendre compte de la chance qu'il a en amour et s'en rendre compte une fois que l'histoire est finie... J'avoue que je n'ai plus la force de raisonner, j'avoue que je terminerai sur ce triste constat. J'avoue, les femmes sont elles-même responsable de leur malheur en amour.
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
Tx, 18 ans, Liège
|
J'avoue être un ptit toxon en devenir, échouer dans tout ce que j'entreprends, m'enfoncer et me détruire avec le sourire, j'avoue être un raté, j'avoue aimer la teuf, j'avoue aimer la déconnexion du week end et j'avoue aimer un homme. J'avoue ne rien comprendre à ce monde, j'avoue être perdu parmi les gens, j'avoue être presque mort à l'intérieur.
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
Moritz, 25 ans, Montélimar
|
J'avoue que j'étais venu avouer plein de choses qui me frappent... J'avoue que j'ai parcouru les aveux et cela n'a fait que confirmer ce que je pense, ce que j'ai constaté. Qu'est-ce qu'il y a comme cas psy, névrosées, frustrées, pleines de préjugées, femmes poison, toxiques. J'avoue, j'ose espérer qu'il en reste un petit nombre qui sont encore saines, équilibrées, bien finies, bref... des femmes, des femmes comme avant !
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
Mysterieuse, 36 ans, France
|
J'écris pour me soulager parce que je pense trop, je réfléchis trop à tout ça, ça me pèse.
J'avoue que je ne pensais pas m'attacher à toi, jamais, ces 15 ans qui nous séparent... Je sens que je ressens bien plus que de l'attachement pour toi, je l'ai compris trop tard, quand tu m'as demandé pourquoi je te racontais ce que je racontais. Je te racontais quelque chose qui m'importait et tu m'as blessée, j'en ai pleuré. A partir de ce moment-là, c'était fini mais j'y pensais tout le temps, je me réveillais les nuits. Te fuir a été difficile et surhumain pour moi, j'en souffrais. Et puis, tu m'as expliqué très maladroitement, que tu tenais à moi, que j'étais ta puce J'avoue douter... voilà les raisons de mon éloignement. J'ai tout retourné et tes gestes, ta manière de te comporter quand on est à 2, j'ai la sensation que tu dis vrai et je l'espère car je ne suis pas ton objet. Tous tes gestes, ta douceur, ta tendresse, je crois que tu ressens la même chose que moi. Je ne veux pas en parler, jamais, je mentirai sur ce que je ressens sans aucun doute, si tu me questionnais dessus.
Je n'arrête pas de me demander comment ça a pu arriver. Je pense au moment où je m'éloignerai et où on devra arrêter, je ne sais pas comment faire.
Ça a été une réelle souffrance ces derniers temps, pour moi, de ne pas t'adresser la parole et mal te parler, j'en ai souffert.
Si je t'avais rencontré plus tôt, les choses auraient peut être été différentes mais là, je m'oblige à m'éloigner, à faire en sorte d'être loin quand j'en ai la lucidité et la force.
Pourquoi es-tu venu vers moi ? Pourquoi m'as-tu séduite ? J'avoue ne pas avoir ressenti ça depuis des années. J'avoue aimer quand tu me prends contre toi. J'avoue adorer quand tu me caresses. J'avoue ne rien dire pour ne pas aggraver la situation et que tu te poses des questions. J'avoue me sentir bien quand je suis avec toi. J'avoue me sentir femme quand je suis avec toi. J'avoue avoir envie de toi, quand tu me prends contre toi mais je résiste. J'avoue savoir que tu tiens à moi. J'avoue penser que tu éprouves quelque chose envers moi et j'avoue que j'en suis mal à l'aise. J'avoue penser que tu es malheureux. J'avoue regretter en permanence de ne pas t'avoir rencontré avant. J'avoue que j'aurais tant aimé que tu partages plus avec moi. J'avoue être consciente de la bêtise de tout ça et de la souffrance que ça va nous créer. J'avoue que si je ne me retenais pas, je viendrai vers toi en permanence même quand nous sommes seuls. Je crois qu'on est pareils tous les 2 sur tout ça et sur d'autres points.
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
Sombrespensées, 20 ans, Paris
|
Je suis une personne abjecte. Ma conduite est abjecte. On me prend souvent pour une fille gentille, parfois timide, qui manque de confiance en elle, profondément sincère, vraie, je crois. Personne ne sait, personne ne sait à quel point je suis menteuse, fausse, orgueilleuse, égoïste et irrespectueuse. Je suis l’opposé de l’image que je donne.
J’ai toujours voulu par-dessus tout être aimée, je pense que c’est pour cela que je me montre très gentille envers les autres. Hypersensible, angoissée, Je pensais être quelqu’un de bien, je réalise maintenant pourquoi je ne me suis jamais aimée, pourquoi ce dégout de moi-même. J’ai toujours souffert d’un gros manque de confiance en moi, qui est en fait une forme d’orgueil affreuse. Ce besoin de reconnaissance et d’amour, je l’ai constamment dans la tête. A chaque rencontre, j’imagine et je rêve qu’il tombe amoureux de moi. A chaque rencontre autre, j’imagine être admirée. Mes rêves ? que les autres me voit accomplir des exploits, ou qu’on me voit belle, intelligente, populaire, sociable, drôle, ou alors j’imagine des choses, comme que ma mère meurt pour que chacun reconnaisse et plaigne ma souffrance. A chaque musique que j’écoute, j’imagine en être la chanteuse, la musicienne ou la danseuse devant tous ceux que je connais. En plus de parfois sur jouer pour que l’on reconnaisse ma souffrance, il m’est arrivé d’exagérer mes malheurs ou de raconter d’énormes mensonges pour susciter l’intérêt, montrer que j’ai vécu des choses difficiles. Ces pensées ne s’en vont jamais, à chaque instant j’imagine qu’on s’intéresse à moi, souvent à tort. J’aimerais tellement être quelqu’un de bien, qui a de belles pensées, saines. Je voudrais avoir de vrais rêves, de vraies motivations, parce que ca c’est juste moche, sans intérêt, sans beauté, je me sens juste laide et vide.
Pour que vous compreniez, je vais vous donner des exemples de ce qui est si mauvais chez moi, ce que personne ne sait. Je ne respecte rien. C’est plus fort que moi, je fais tout de manière sournoise. On me prête un appartement, je fouille partout, je cherche les petites choses que je pourrais voler, je porte les habits de la personne concernée, je vis cher elle comme cher moi. Un jour, on m’a envoyé cher la vieille amie de mon père décédé, pour que je puisse connaitre un peu de son passé, et bien j’ai volé cher cette femme qui m’a accueillie. Je l’ai aussi fait à la fille de ma marraine qui m’a également accueillie cher elle, à la copine de mon frère, à une amie de ma mère qui m’a prêté son appartement. Et ce n’est qu’une petite partie de tous les vols que j’ai commis. Ces défauts-là, je les ai depuis toute petite...
J’aime tellement être aimée que je ne sais pas dire non à un garçon qui va s’intéresser à moi. En ce moment, j’ai un copain. Je ne l’ai dit à personne parce que j’attends quelqu’un de mieux, que j’aimerais vraiment, alors je fais semblant d’être libre. Je n’hésiterais pas à le tromper, je l’ai déjà fait. Mais je lui dis que je l’aime, parce qu’il est fou de moi et que je ne veux pas lui faire de mal, pourtant ça lui fera plus de mal encore quand un jour j’aurais le courage de le quitter, mais je suis lâche, et je n’ose pas lui dire que même si c’est une personne en or dont j’aimerais être amoureuse, au fond je ne ressens pour lui que de l’affection, pas de l’amour. Au fond, c’est juste parce que ça me fait du bien d’être aimée que je reste avec lui, et je fais ça par égoïsme, depuis des mois, je lui dis clairement que je l’aime, sans scrupules…
Ma mère a perdu son mari très jeune et s’est retrouvée seule sans travail avec trois petits enfants, j’avais 2 ans, mon plus grand frère 8. Mais elle a été courageuse, a trouvé un travail et n’a jamais arrêté de donner son maximum pour nous. Mais j’ai quand même été capable de lui voler de l’argent, de lui mentir, de lui donner du mal, de la solliciter pour mes problèmes alors qu’elle donne déjà tellement d’énergie pour nous. Sans parler de l’adolescente odieuse que j’ai été pour elle, je l’ai fait énormément fait souffrir, je la tenait pour responsable de mon malheur, j’étais mal dans ma peau et je m’en prenais à elle.
Je suis une menteuse, une voleuse, une lâche, une hypocrite. Ça doit être pour ca que je me suis toujours sentie si seule, et je le mérite. Mais je veux changer, je veux être quelqu’un de bien, je veux me supporter m’accepter et mériter l’amour que je reçois et toute la chance que j’ai pu avoir au cours de ma vie.
Comment faire ? Comment puis changer mes pensées ? comment les stopper ? Est-ce possible ? Suis-je condamnée à rester ce que je suis pour toujours ? Si c’est ça, je ne mérite pas de connaitre le bonheur, je commence tout juste à avoir un aperçu de ce que c’est la vie sans la déprime, je peux arriver à ne plus être malheureuse, je sais comment faire, mais je n’arriverais jamais à me l’autoriser si je reste comme ça...
C’est pour cela que j’ai besoins de vos avis et conseils, s’il vous plaît !
Je crois que si je me mens comme ça à moi-même, c’est pour remplir le vide. Tout les moments ou je suis seule, totalement seule. M’imaginer au milieu des autres, belle et drôle, c’est un moyen de ne jamais penser à moi maintenant, à la réalité. J’essaie de remplacer la solitude par la joie. Ce sont des moments ou je suis une personne géniale, que tout le monde va admirer adorer, juste impressionner les autres, qu’ils me remarquent moi et que moi, qu’ils tombent tous amoureux de moi, c’est quand même absolument ridicule. C’est peut être un gros complexe d’infériorité, ou d’ego surdimensionné ? Ça craint Mais pourtant, je ressens quelque chose. De la tristesse, de la joie aussi, à fond dans la musique. En fait c’est juste que j’aimerais partager ces moments, savoir exprimer ce que je ressens ou ce que j’aime, le partager avec les autres, apporter des sourires de la bonne humeur, de la tristesse, même de la pitié.. Peut être que c’est juste que j’ai l’impression de ne pas être moi-même avec les autres, de ne pas être assez libérée de leur regards, et en conséquence je suis bloquée. Je suis plus folle que ça, plus intelligente que ça, plus drôle, plus belle que ce que je montre, ou alors je ne m’accepte pas comme je suis et j’imagine être quelqu’un de beaucoup plus merveilleux.
Il faudrait juste que j’arrête de ne penser qu’à moi. J’aimerais être plus intéressée par ce qui m’entoure, plus curieuse, mais au final je passe plus de temps à m’intéresser à moi-même plutôt qu’au monde. Et c’est important !!!! Je veux changer !!!! Mais ce soir, tout en écrivant ça, je sais que je vais rester devant mon miroir à me regarder en écoutant de la musique. Déprimant quand on le dit, étrange quand on le fait.
En fait je fais soirée toute seule ! Je suis tellement obsédée par moi-même que c’est ça je me fait une soirée avec moi !! Il y a des gens qui lisent, qui matent des séries, qui se renseignent sur les choses qui les intéressent, qui pensent autres, moi je me regarde le nombril…
Et puis je ne pense qu’à l’amour ! à chaque fois que je rêve, c’est d’un mec qui soit amoureux de moi ! je pense rarement à des filles à ces instants, je ne rêve que de gars..
Pourquoi j’ai couché avec ce mec, je me sens mal, tellement mal, je regrette tellement, j’ai gâché tout les progrès intérieurs que j’ai essayé de faire.. Un mec moche, tellement moche, aucune connexion, on s’entendait bien c’est tout, dès que je suis allé boire un verre chez lui je me suis dit que je ne voulais absolument pas qu’il se passe quelque chose, au début je voulais faire quelque chose de ma soirée, je ne voulais pas rentrer alors je l’ai suivi pour boire un verre chez lui je me suis dit on verra, j’étais un peu excitée peut être en manque à force de tout le temps penser à l’amour, alors quand il m’a embrassé je me suis laissé faire, je me suis laissé faire alors que je ne le voulais pas et je le sentais, j’ai détesté.. J’ai pleuré quand il m’a fait l’amour.. je n’ai rien aimé, rien, même le petit déjeuner qu’il m’a apporté le lendemain je ne l’ai pas aimé, il m’a raccompagné cher moi et a recommencé, je me suis laissé faire alors que je n’en avais pas du tout envie, je l’embrassais alors que je le trouvais affreux.. je n’avais qu’une hâte c’est que ça se termine.. Pourquoi je n’ai pas dit non dès le début pourquoi je suis incapable de rester fidèle à ma volonté pourquoi incapable de lui dire non ? C’était horrible, il est à mon travail.. Si ça se sait au taff, je serais morte de honte.. J’essaie de montrer une bonne image, d’une fille bosseuse et sérieuse, et la tout le monde saura que je suis une gamine qui s’est fait troncher au bout de 3 semaines par un mec qu’elle ne connait pas même, moche et peu intéressant par-dessus le marché.. Pitié que personne ne l’apprenne, ou je serais incapable de regarder qui que ce soit en face.. Je rêve d’amour et je gâche tout.. Depuis je me sens mal, je me remet à être angoissée alors que ça commençait à passer.. Je veux devenir quelqu’un de bien, mais je fait le contraire de ce qu’il faudrait pour pouvoir me regarder dans la glace sans avoir honte de moi.. Tout ceux qui croient que je suis une fille respectable, ma mère, mes frères, si ils savaient. Je ne peux en parler à personne, j’ai honte, tellement honte de moi.. Je me sens stupide, lâche, salie, encore un peu plus.. C’est ça, je salis ma personne à chaque fois un peu plus, et à chaque idiotie je me gâche, je régresse et fais de moi une personne de plus en plus malsaine et fausse.. Je me déteste pour ça, je n’arriverais jamais à être ce que je rêve d’être ! Impossible d’oublier ça de faire comme si rien ne s’était passé, ce matin, 2 jours après, j’ai retrouvé une capote qui était encore dans mon vagin, ça m’a choqué, écœuré, je ne peux rien faire pour me pardonner cet acte maintenant. Je voudrais quelqu’un d’autre, courageuse, droite, qui se respecte.. Mais je ne me respecte absolument pas.
Hier, je suis allée voir un film au ciné avec mon frère sa copine et son ami, sur le sida, juste affreux, et en regardant ce film très touchant choquant et dur, j’ai encore été capable de m’imaginer en scène devant les autres, ceux avec qui je travaille, j’imaginais qu’ils me voient me battre pour une cause avec émotion, en rentrant j’imaginais qu’ils me voient m’occuper d’un enfant, pour qu’on voit que je suis une fille bien, une fille qui ne s’occupe que de ce qui est important , des autres plutôt que s’occuper d’elle-même ..
Comment faire pour être cette personne ? j’en suis incapable.
Je ne culpabilise même pas d’avoir trompé mon copain, pas une seule seconde.
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
Louise, 21 ans, Istanbul
|
J'avoue avoir été cette fille sur le sable qui contemple la mer pour ne pas avoir à te regarder dans les yeux. Mais j'avoue aussi que je n'aurai pas dû te tourner le dos. Je ne savais pas encore, comme tu m'as dit les mots précieux, que je t'aimais moi aussi, alors j'ai choisi de t'ignorer, de refuser un bonheur qui pourrait être mien aujourd'hui sous prétexte que je n'étais pas sûre.
J'avoue que dans mes rêves les plus fous, tu m'aimes encore, et tu te déclareras, encore, lorsque le temps sera venu. Dans certains rêves même, je traverse le temps pour te regarder enfin, et voir dans tes yeux tout cet amour que je cherche aujourd'hui.
J'avoue que je ne suis pas prête à faire le premier pas, et que je ne sais pas si je pourrais un jour le faire. Je ne suis pas cette femme forte que j'aime donner à voir, j'ai peur tout au fond de moi, peur de te perdre, certes, mais encore d'avantage peur d'être déçue ! Je ne te l'ai jamais dit, ce passé qui me hante, mais il est bien là, et il m'annihile.
J'ai peur, autant que je l'aime sans doute, de ce fossé culturel qui nous sépare et qui ferait de notre route un chemin accidenté. Alors j'avoue, je suis dans l'inaction, dans l'attente, et la souffrance, à cause du passé, je me refuse un futur. Mais malgré tout j'espère que tu pourras être heureux, où que tu sois, avec qui que tu sois, et qu'il te resteras toujours une petite place dans le cœur pour accueillir l'idiote que je suis. Je t'aime
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
Wierdo, 14 ans, Belgique
|
J'avoue pleurer en rentrant chez moi de temps en temps.
J'avoue en avoir assez d'être cataloguée comme "intello" simplement parce que j'écris sans faire de fautes d'orthographe et parce que, contrairement à beaucoup de jeunes de mon âge, j'aime lire et écrire.
J'avoue en avoir assez d'être traitée de sataniste alors que je suis athée simplement parce que j'appartiens au mouvement gothique.
J'avoue que j'ai friendzoné 'Mélanie' parce que ma mère est homophobe et parce que, n'étant pas lesbienne, j'ai pris peur.
J'avoue que 'Mélanie', jeune fille dans son monde semblant souffrir du syndrome de Renfield, est la seule personne à me comprendre totalement.
J'avoue que je suis consciente d'avoir gâché notre amitié.
J'avoue que je crois aux vampires mais que je ne le dis pas car je pense que la moitié des gens sont trop idiots pour regarder plus loin que le bout de leur nez.
J'avoue que je souhaite plus que tout au monde rencontrer quelqu'un qui ne me trouve pas bizarre.
J'avoue être consciente que mon arrogance et mon égo surdimensionné ont sans doute quelque chose à voir avec le fait que beaucoup de gens me fuient.
J'avoue avoir envie de baffer tous ces gens de mon âge qui sont d'énormes décadents, qui écoutent du JUL ou du Merde Gims et qui sont incapables d'apprécier de la musique classique parce que "c'est pour les babtous fragiles".
J'avoue qu'un je-ne-sais-quoi m'empêche de me mutiler ou d'attenter à ma propre vie. Un je-ne-sais-quoi qui me garde vivante, mais hurlant et souffrant en silence. Comme dans un cauchemar, j'ai l'impression que j'appelle aux secours et que personne ne peut ni me voir, ni m'entendre.
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
Mmk, 21 ans, Paris
|
J'avoue que j'ai envie de crier. Je t'ai revu et j'ai eu envie de pleurer. Je suis paumée, est-ce que tu me manques ? Est ce que c’est de la nostalgie ? Je sais pas. Mais j'ai mal. Est ce que tu penses à moi comme je pense à toi ? C'est malsain de penser à toi alors que c’est moi qui ai rompu et qu'on est dans une nouvelle relation maintenant.
Je suis jalouse pourtant de la fille qui est avec toi, je suis triste. Et pourtant mon nouveau mec je l'aime, tellement. Toi c'est tellement différent. Je t'aimerais toujours, toujours, vraiment. Je sais pas ce que je dois penser. Qu'est ce que je dois faire ? J'avoue que je veux te demander si je te manque, mais je ne le ferais pas, parce que c'est malsain. J'ai envie de crier, crier et pleurer une bonne fois pour toute. Et que tout s'en aille après, même si c’est 4 mois après notre rupture. J'en ai marre de penser.
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
Nico83610, 19 ans, Hannut
|
Jill, il y a deux ans, lorsque nous nous sommes rencontrés à Paris, je ne pensais pas en arriver là. En effet, j'ai d'abord pensé que tu étais une personne hautaine qui ne pensait qu'à soit... Mais au fil du temps j'ai découvert quelqu'un de formidable avec tant de qualité et quelques petits défauts tout aussi attachant. Au début, je ne voulais pas m'attacher à toi mais lorsque j'ai vu cette photo, j'ai eu un déclic, c'était toi... Oui c'était toi qu'il me fallait pour être heureux et rien ne pouvait me faire changer d'avis ! Depuis, la vie a continuée et notre relation est restée simple, amicale, avec des hauts et des bas de temps en temps. Mais sache que depuis c'est deux années où j'ai appris à te connaitre, mes sentiments, eux, n'ont pas changer, je suis toujours autant amoureux de toi que ce soir du 10 mai 2015 lorsque tu m'as envoyé cette photo, tu es partout en moi, j'arrive à t'entendre quand tu ne parles pas et à te voir lorsque tu n'es pas là. Chaque seconde qui passe me rend plus malheureux de ne pas être au près de toi. Je donnerais tout pour toi, pour tes yeux, ton sourire, pour ton coeur. Sache que je serai toujours là pour toi, je t'attendrai, je ne changerai jamais ! Malgré toutes ces belles paroles, je suis incapable de t'avouer mes sentiments, j'ai peur de tout détruire, de te perdre un peu plus. Je chéri ce jour où je trouverai la force de te dire tout ce que j'ai sur le coeur, de t'avouer mon amour ! En attendant, j'écris ces lignes pour toi, pour que le Monde garde une trace de moi, de toi... Alors Jill, pour finir, je ne dirai qu'une chose: Je suis amoureux de toi Jill !
Nico
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
Rhumananas, 27 ans, Genève
|
J'avoue avoir besoin d'être constamment flattée ces derniers temps. Avoir rencontré tellement de filles, toutes plus fades à mes yeux les unes que les autres, juste histoire de sortir le grand jeu et les voir pétiller, pour ensuite disparaître, aussi rapidement que je suis arrivée.
J'avoue jouer sur plusieurs tableaux, et le leur dire en pensant être quelqu'un d'honnête, sans les préserver, alors que je ne dis pas tout.
Et puis je t'ai rencontré... J'avoue que c'est peut-être parce que tu me repousses que ça me touche autant et pourtant, j'aimerais te lancer tous les arguments en ma possession, auxquels je crois profondément, pour te donner envie de me céder, ou juste d'apprendre à me connaître pour commencer. Mais rien n'y fait...
J'avoue que tu es en couple avec un homme et trop honnête pour lui être infidèle, ce qui est tout à ton honneur. Et si, pourtant, j'avais quelque chose à t'apporter ?
J'avoue que tu me fais éprouver quelque chose d'agréable et ça me change, tu sais...
Tu as coupé court mais j'avoue que j'ai bien trop envie de te connaître pour t'oublier d'aussi tôt, J. Je te laisse tout de même mener ta vie.
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
Eureca14, 18 ans, Nice
|
Je me trouve beau dans un miroir mais très moche en vrai. On m’a déjà fait la remarque que j’étais beau en miroir et moche en vrai. J’ai envie de sortir avec une fille en couple du coup, on se parle tout le temps, on fait des choses ensemble, on s’embrasse, on a des moments très sympas mais à chaque fois on ne conclue pas et elle me recale en me disant qu’elle regrette ce qu’elle a fait car elle ne veut pas tromper son copain.
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
Lindtt, 23 ans, Toulouse
|
J'avoue. J'avoue avoir été trompée. Pourquoi je me sens honteuse vis à vis de ça ? Ne serait-ce pas à l'autre d'avoir honte ? Le karma m'a rattrapée. Je ne suis pas une mauvaise personne, et ne l'ai jamais été. Mais, je n'ai pas été honnête avec les personnes qu'il fallait. J'ai joué, sans le vouloir, avec le cœur des autres. Sans le vouloir hein ? On dit toujours ça.. Et puis il est arrivé, et je lui ai tout donné. Mon temps, mon dévouement, mon corps, mes pensées, mon cœur... Et il m'a trompée. Je l'ai sans doute méritée vous direz. On a ce que l'on sème. Je suis lâche de toujours l'aimer, pas vrai ? Et tout ça, que c'est niais. Je me rends compte que l'on vit dans un monde où la loi du plus fort règne toujours. J'ai 23 ans, et j'avoue avoir toute l'amertume du monde.
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
< Page Précedente Page Suivante >
© 1998 - 2024 Javoue.com - tous droits réservés
- Haut de page
Développement assuré par Gilou
|