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Jean-sébastien, 35 ans, Montréal
J'avoue avoir pensé à plusieurs reprises à ma belle-mère pour être en mesure de "finir" certains de nos derniers rapports.
J'avoue que cette belle femme me fait fantasmer.
J'avoue que je suis en grand manque de tendresse et d'affection.
J'avoue que tu commences à me dégouter de toi.
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Domi, 38 ans, Paris
Père, mère, j'avoue que je ne vous aime ni l'un ni l'autre.
Je vous respecte mais mon cœur ne vous aime pas. Idem pour toute ma famille. Toute. Vous voir est la pire des corvées.
Des personnes négatives, jalouses, qui se collent des étiquettes les uns les autres et ne supportent pas que l'un puisse avoir un tout petit peu plus que l'autre.

J'avoue que c'est pour ça que j'ai mis autant de distance géographique en prétextant une mutation alors que je suis au chômage et que je recherche activement un boulot.
J'avoue que je préfère encore ça plutôt que de vous supporter et d'avoir à me justifier quand je ne veux pas venir vous voir. Ras le bol aussi de subir l'opprobre des uns quand je vais voir les autres et vice versa !
J'avoue que j'en ai eu assez de ton mépris, papa, et de ta malveillance, maman, le tout bien dissimulé sous des tonnes de pseudo-gentillesse.

J'avoue que j'ai un compagnon et que c'est en bonne voie, que je ne compte pas vous le présenter et qu'est-ce que ça fait du bien de rompre avec un entourage aussi toxique ! J'avoue que ça n'a pas été facile mais très salutaire...
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Loupgarou, 27 ans, Aix les bains
J'avoue qu'on est amis depuis plus de 10 ans.
J'avoue que je ne me suis jamais intéressée à toi jusqu'à cette soirée au bord du lac il y a 2 ans maintenant.
J'avoue que cette soirée est restée dans ma tête un moment.
J'avoue que la vie a repris son cours quand tu t'es mis avec M. et moi avec S.
J'avoue qu'il y a 2 mois pile, on a menti aux personnes qui partagent notre vie, et on a passé cette soirée tout les 2. Je suis restée avec toi jusqu'au matin, et c'était... magique
J'avoue qu'en fait tu m'attires plus que je pensais, cette nuit ne part plus de ma tête et que te revoir avec tout nos amis est frustrant car je ne peux pas t'approcher comme je voudrais.
J'avoue que la vie est mal faite parfois.
J'avoue que si je ne m'étais pas engagée avec S. et que tu n'étais pas avec M. je débarquerai chez toi pour tout te dire.
J'avoue qu'aujourd'hui, j'ai honte et je culpabilise vis à vis de S. mais que je ne peux m'empêcher de penser que ça recommenceras... et que tu ne me repousseras pas...
J'avoue que j'aimerai que tu penses la même chose...
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Aubergine, 20 ans, Paris
J'avoue que ça fait longtemps que j'ai envie de coucher avec toi. Toi le garçon timide, pas forcément beau, le genre de garcons qui m'attire, peu sûr de soi (peut être pour me sentir supérieure...). J'avoue que je suis en couple et que tu es son ami. J'avoue que je l'ai déjà trompé une fois pour voir ce que ça faisait. Je m'attendais à être envahie d'émotions, de remords, mais rien. La terre tourne toujours, je ne sens rien de spécial, je suis toujours avec lui et il n'en saura jamais rien, pourquoi lui briser le coeur? Si jamais tu savais mon amour... si jamais tu savais que je fantasme sur un de tes bons amis! Je ne suis pas parfaite loin de là, je n'ai aucune assurance et en voyant les autres aveux je vois que je ne suis pas la seule... je ne suis pas la seule à être lâche et à balancer ses secrets sur un site internet au lieu d'être honnête avec soi-même et de dire tout ce qu'on a à dire.
En tout cas gare à toi, L. Je n'ai pas envie de retromper mon copain, il ne mérite pas ça, mais gare à toi, le jour de mon célibat arrive et ce jour là, où que tu sois, je te trouverai et tu auras le plaisir de te faire baiser par une fille.
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Pds, 32 ans, Paris
Un soir de grande beuverie, mon oncle par alliance et moi nous sommes embrassés... Je me sentais hypra coupable et mal vis-à-vis de ma tante...
Finalement, mon oncle, ne supportant pas ce secret, a fini par lui avouer ce que nous avons fait...
J'ai perdu toute ma famille...
J'avoue que je suis bien naïve et idiote, ne me reste qu'à assumer ma faute...
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Jeune fille, 23 ans, Cassis
Je n'ai pas le droit. Instantanément, et d'une façon si rare chez moi, du premier regard, tu m'as fais un drôle d'effet. Quelque chose que je commence à reconnaître maintenant. Quelque chose de grisant. Et te revoir. J'avais toujours ce gris, cette chose en moi, sur le bord du rasoir, aimantée, incomprise, interdite. Je sais ton âge, et j'essaie en conséquence de m'éteindre, self-control, mais rien n'y fait. En rentrant, mes pensées se taisent mais mon inconscient en redemande.

Je rêve de toi, tu es plus présent que jamais, prêt à guérir, te plier, me réaliser, t'abandonner à moi, entier et sans concession. À mon réveil, je pourrais me recroqueviller en pleurs rien qu'en réalisant combien la réalité n'est pas à la hauteur de ce regard insistant et entier que tu me portais. J'étais le centre de ton visage. Le centre de tes désirs et de tes ambitions. J'étais ton ambition. Et pour une fois, j'avais envie de ça. J'avais envie de m'éclore, d'être ivre de toi. J'allais te céder.

DRING.

Putain de réveil qui me coupe l'herbe sous le pied. Mais comme une baffe à peine percevable, mes yeux se résignent à rester fermer plus longtemps, et lorsque j'atteins enfin le statut de consciente, j'en suis chamboulée. Chamboulée de t'avoir autant voulu. Qui que je sois, consciente ou non.

Avec cette idée de te revoir le samedi suivant, mon excitation était décuplée. Il fallait que j'arrive à vivre, à ressentir, à chair vive, cette expression si bavarde de ton visage que j'avais rencontrée dans ce rêve..
Ton regard, et qu'importe ton âge, je n'en aurais que faire dans l'instant. Je voulais juste connaître en détail, cette réciprocité interdite, je voulais la ressentir et me taire de toi...

Nous y sommes.
En entrant dans cette salle, je te cherche instantanément. Je te cherche, et puis, tu viens me chercher à ton tour. Putain. "Ma chérie", je tressaille comme une enfant, et dans mon sourcil gauche qui se lève, j'étouffe un sourire qui sait combien tu es tout ce que j'aime. Combien je voudrais t'aimer de tout mon être, si la vie m'en laisser le droit.
J'étais folle, j'étais bien, j'étais en vie et j'étais femme. Voilà, ma minute se résumait à toi.
Et puis... J'en voulais encore.
En revenant vers toi, c'était presque comme m'avouer intéressée, et sûr de l'être en retour. C'était presque, dangereux. J'allais à la rencontre de ce que m'avait insufflé mon inconscience, des talons aux pieds. Ton regard fait de noir, qui me regarde à mi chemin entre la séduction et l'insistance. J'avais du mal à choisir entre les deux.
On s'est déjà croisé quelque part ? C'est à peine croyable, cette complicité insistante entre toi et moi. Je ne me reconnaissais pas. Adieu ma transparence, adieu ma réserve, mon intériorisation et tout ces rendez-vous manqués. Tu me rendais mes droits. J'étais en vie, bon sang, cette vie trépidante, c'était toi, c'était notre osmose, c'était notre envie inavouée.
J'ai reçu ce que m'avait promis mon inconscience.
En rentrant, je ne pensais qu'à toi, et mon ventre me réclamait un goût de "encore"..
En te laissant m'écrire longuement, tu m'as clairement fais comprendre ce que tu avais dans le ventre à mon égard. "Si j'avais 10 ans de moins, j'aurais voulu être ton homme..."
Mes cils cessent de cligner brusquement. Je souris bêtement comme si j'obtenais enfin la vérité que je convoitais. Je ne peux m'empêcher de repenser à ce rêve où tu me portais des mots similaires. Cette soirée entre deux téléphones manque de ton regard noir vertigineux. Je cours dans mon lit, comme pour t'avoir auprès de moi, au plus près de l'envie irrépressible et incompréhensible que j'ai pour toi. Cette soirée à s'écrire et à s'imaginer ensemble, je me dois de l'écourter. Et ma poitrine m'ordonne d'aller chercher de l'air ailleurs lorsque je pense que l'on ne se reverra sans doute jamais.
J'avoue, cet homme a la quarantaine. Cet homme est marié. J'avoue, la vie est mal faite, les époques confondues, les rendez-vous manqués, ou qu'importe. Il s'agit là sûrement de mes désirs, encore une fois trop bavards ou mal placés...
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Delfoufoune, 19 ans, Poitiers
J'ai quelque chose à vous dire, vous les femmes ! Pourquoi on aurait pas le droit de se masturber comme les hommes, pourquoi c'est plus honteux ? Injustice, moi je le cris haut et fort je n'ai pas honte de dire que je me masturbe avec toute sorte d'objets insolites, tout y passe même les fourchettes ! Allez les filles faisons un rassemblement de la masturbation féminine ! Masturbez-vous.
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Goose, 29 ans, Strasbourg
J'avoue que je ne comprenais pas quel était l'intérêt de faire un sauna et un hammam.
J'avoue que j'ai pu découvrir les joies de cette activité avec ma famille lorsque nous sommes allés dans un hôtel de luxe pour s'offrir une après-midi de bien être.
J'avoue quand je suis rentré et que les trois dames m'ont dit d'enlever mon maillot de bain, je n'ai pas eu le temps de discuter et trop réfléchir. Ces dames étant dans leur plus simples appareil, le corps transpirant la chaleur du hammam, lovées sur des serviettes...
Je me suis exécuté, j'ain enlevé mon maillot et je les ai rejointes.
J'avoue qu'il était très difficile de percevoir la beauté et le charme de leurs rondeurs avec la fumée.
Mais je m'efforcais de deviner leur corps, et j'arrivais de temps à autre à deviner un sein...
J'avoue que c'était la première fois que je me retrouvais nu devant autant de femmes. Je n'avais jamais été dans une plage naturiste mais là c'était tout comme.
Etonnament je n'avais pas la trique... Je comprends pas car je m'imaginais tous les scénarios possibles avec ces charmantes personnes qui poussaient un soupir de temps à autre en raison de la chaleur pesante.
Je ne savais pas quoi faire, l'une d'entre elles sortit, machinalement, je la suivais. J'avoue que je pensais que j'allais m'effondrer.
Je m'approche des douches, et la dame était en train de s'y doucher, toujours nue. Je la rejoins et je me douche face à elle.
J'avoue que je n'arrivais pas à bien profiter du spectacle. Je ne sais pas pourquoi, peur que quelqu'un nous surprenne, timidité, etc.
J'avoue me rappeler seulement de ses belles fesses genereuses et bien rebondies, elle était grande, longue et elancée et ronde tout juste comme il le faut.
J'avoue que j'espérais secrètement qu'elle me demande de lui faire l'amour, qu'elle se jette sur moi.
La réalité était tout autre chose...
Je la voyais se tartiner d'une emulsion marron.
C'était l'occasion rêvée pour démarrer la conversation.
Elle se retourna et me repondit naturellement. J'avoue que c'est à ce moment là que j'ai pu observer qu'elle avait un magnifique ticket de métro.
Elle m'invita à en faire de même, je m'exécutais. J'étais dans un autre monde.
J'avoue que hélas il ne s'est rien passé car je fus obligé de rejoindre ma famille qui m'attendait... Mais j'ai été super excité par cette expérience et même si je l'ai recroisée dans les vestiaires.
J'avoue que j'ai vu plus en détail son visage : laid, gros... Digne d'une mémé. Ça m'a bien refroidi mais j'avoue que je lui aurai quand même bien fait l'amour.
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Bal, 40 ans, Saint-Lô
J'avoue que j'ai un amant depuis quelques années, par intermittence physiquement mais il ne quitte pas mon esprit, j'avoue que c'est bon et que j'en veux encore.
Je les aime tous les deux. Mes envies augmentent quand je les sais tous les deux avec moi.
Mais l'Amant fait la tête, il a un sale caractère, depuis deux mois, plus de nouvelle. Et pourtant... J'avoue qu'il me manque, j'avoue qu'il me fait toujours fantasmer, je revois nos moments passés ensemble, des petits riens aux chaudes étreintes.
Je relis ses messages les plus forts et je repars avec lui. Mon chéri, Mon Grand, tu peux être si bon. Je te veux encore. Reviens-moi mon chéri.
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Homme46, 46 ans, Ouest
J'avoue que je fantasme sur une de mes belles-sœurs. Ce n'est pas une grande beauté, mais elle vieillit bien, et à bientôt 50 ans, elle est toujours désirable.
Dans le même temps, sa fille de 22 ans n'est pas mal non plus.
Bon, j'avoue que c'est un peu le genre de jeune fille salope que l'on voit de nos jours, gros décolleté en avant, mais mignonne et beau cul.
J'ai pu savoir qu'elle pratiquait la sodomie, ce qui augmente mon fantasme, mais la coincer dans un coin me ferait bien plaisir. Le top serait bien sûr de me taper les deux ensemble. J'avoue que ce serait chouette.
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Eva, 40 ans, Marseille
J'avoue que je connais les identifiants de deux comptes d'un réseau social célèbre : celui d'une collègue et celui de mon copain. J'ai découvert que mon copain discutait avec une inconnue en messages privés. Comme ça devenait un peu chaud entre eux, j'ai fait en sorte de bloquer et désactiver le profil de mon copain.
J'avoue que je regarde tous les jours le compte de ma collègue qui, évidemment, ne le sait pas.
J'avoue que c'est un secret qui me réjouit !
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Mllehalloween, 20 ans, Dijon
J'avoue que cet aveu serait très mal vu si je le faisais à ma famille et à certains de mes amis. Mais j'ai envie de le crier sur tous les toits, parce que je n'aime pas l'idée de me cacher pour vivre ma passion pour elle.

Oui, je suis une fille qui en aime une autre, et j'aurais aimé croire qu'au XXIeme siècle, les gens sauraient passer outre. J'avoue qu'elle me fait tourner la tête, que je n'ai qu'une hâte : celle de me retrouver dans ses bras.

Je l'aime, et j'avoue que ça me fait peur d'être de celles qu'on rejette par peur de l'inconnu.
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Rk, 20 ans, Nancy
J'avoue que quand mon mec m'a trompé, je l'ai quitté et tu as été le premier a venir me parler.
J'ai vite succombé a tes charmes qui me donnaient envie depuis longtemps et tu était si beau... Tu l'es toujours.
Après quelques moments passés en s'embrassant, à parler et à faire l'amour, j'ai renoué avec mon ex, tu es parti et tu as trouvé l'amour.

Aujourd'hui, je repense à toi souvent, ta photo me fais mal au coeur car je sais que toi et moi nous sommes amoureux de quelqu'un d'autre, mais quand je suis seule je pense souvent à Toi. Tu me manques.

J'avoue aimer d'amour mon petit ami, mais toi tu restes une partie de ma vie que je garderais toujours en tête. Ce soir j'aimerais que tu sois là.
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Moi même, 40 ans, Angers
J'avoue F, je me demande si parfois tu penses encore à moi ou si tu as définitivement tourné la page après notre engueulade (engueulade à tes tords cela-dit), je suis mariée F tu le sais, on a joué au chat et à la souris pendant longtemps, on se cherchait, puis cette engueulade dans un grand restaurant, ma fierté, mon orgueil ont fait que j'ai préféré te tourner le dos, aujourd'hui je t'en veux toujours beaucoup, mais je pense régulièrement à toi, je me demande si pour toi c'est pareil ou si depuis tu m'as oublié.
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Ameseule, 15 ans, Nantes
J'avoue c'est moi qui ai volé les 44€ que ma soeur avait laissé dans la portière. J'avoue je voulais lui rendre, mais quand j'ai eu besoin d'argent et que je n'en avais pas j'ai tout dépensé. J'avoue ça fait presque 5 mois maintenant mais je me sens mal..
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Simply the best, 25 ans, Paris
J'avoue que je suis modèle et lors d'un séance shooting pour une grande marque de couture, je me suis retrouvé avec une nouvelle photographe avec qui je n'ai jamais travaillé.
Comme je n'étais pas très à l'aise j'ai appelé ma chérie pour faire passer le temps et penser à autre chose qu'au boulot.
J'ai oublié que le téléphone était toujours en communication, je le pose et la séance commence, la photographe crie :
"Faut que je prenne mon pied !"
... Quelques clichés plus tard, elle me dit de ne plus bouger :
"Tu la sens comme elle est longue ?"
Puis encore :
"C'est tendu là !"

J'avoue que lorsque j'ai repris le téléphone ma chère et tendre m'a sommé de m'expliquer sur ce que j'étais en train de faire...
J'ai dû lui expliquer que "prendre son pied" pour un photographe n'était pas nécessairement sexuel. Que la durée d'ouverture d'un appareil photo pouvait être "longue" et puis pour le "tendu", je n'ai pas su quoi lui répondre...
J'avoue avoir beaucoup ri lors de ce shooting.
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Nono, 33 ans, Paris
J'avoue être en couple depuis plusieurs années et pourtant être fou amoureux d'une amie, ma confidente, plus jeune que moi mais tellement séduisante, drôle, attendrissante...

J'avoue attendre ses sms avec impatience, la voir me procure le plus grand bien et quand on se quitte, je n'ai qu'une envie, la revoir...

J'avoue ne pas savoir quoi faire, je ne l'intéresse pas, je ne l'attire pas, elle me considère juste comme un simple pote...

J'avoue espérer que cette relation douloureuse continue malgré tout car un jour tout cela s'arrêtera et je ne la verrais plus...
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Amaryllis, 20 ans, Toulon
J'avoue que j'aimerais retourner chez ton pote juste pour qu'on prenne le temps de baiser dans l'ascenseur de son immeuble, qui est spacieux et qui a un grand miroir dans lequel je pourrais te regarder me baiser sauvagement.
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Ondine, 20 ans, Strasbourg
J'avoue mener une double vie. J'habite en Allemagne, mais dès que c'est les vacances, je rentre en France. Je suis amoureuse d'un ami de mon frère, qui lui est en France. Mais j'aime aussi quelqu'un en Allemagne. Cette dualité me tourmente sans cesse. Si je franchis le pas avec l'un des deux, je m'en voudrai par rapport à l'autre. Je sais que je ne peux pas avoir les deux pour moi, mais il m'est impossible de me raisonner.

C'est le fait de voir mon colocataire, en Allemagne, tous les jours, qui m'amène à le désirer.
Pourtant, je n'ai pas besoin de voir mon aimé de France tous les jours pour penser à lui et vérifier s'il m'a envoyé des emails.

Je suis triste quand je me rends compte que je suis la seule à commencer nos conversations en ligne. Et si je n'ose plus lui dire "salut !" en première, il ne me parlera pas.

J'avoue que j'ai fait une bêtise : avant de repartir en Allemagne, à la fin des vacances d'été, je l'ai vu en secret pour ne pas que mon frère sache. J'ai expliqué à mon aimé la situation : "il ne faut pas que mon frère apprenne que nous nous voyons régulièrement, car il pourrait imaginer des choses, mais ce n'est pas le cas, loin de là !". A-t-il pensé que je ne l'aimais donc pas ? J'ai dit ça par dépit...
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Professeur g, 40 ans, Liège
J'avoue que j'ai eu des tas de maîtresses, j'avoue que je me suis bien amusé surtout avec Audrey qui était quasi ma poupée vivante... J'avoue que j'en ai fait ce que j'ai voulu, que je l'ai emmené dans des endroits glauques et que je l'ai faite sautée par des tas de mecs, dans des tas de situations bizarres et très excitantes... J'avoue que je vais avouer encore des tas de trucs avec elle !
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Guiz, 24 ans, Tours
J'avoue mentir à ma copine en lui ayant parlé de cette actrice X mentionnée par un de mes amis comme étant sa sœur jumelle ou presque (l'ayant en fait découverte par moi-même).

J'avoue lui mentir en lui ayant montré que j'avais 2/3 photos peu dénudées d'elle pour lui montrer la ressemblance (il est vrai frappante dessus). J'en ai en fait plusieurs centaines dans un dossier caché.

J'avoue avoir regardé des vidéos de cette actrice pendant des dizaines, des centaines d'heures, pour me "soulager" en espérant naïvement que ma copine fasse pareil qu'elle.

J'avoue que mon plus grand fantasme serait de tromper ma copine avec cette actrice, voire de faire un plan à trois avec elles deux.

J'avoue quand même que j'aime ma copine et que je prends plus mon pied avec elle qu'en matant ces vidéos...
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Mistergoood, 33 ans, Genève
Je suis marié depuis 11 ans avec ma femme et j'ai deux enfants d'elle. Je l'ai trompée plusieurs fois avec différentes femmes, ce que je regrette, je me sens comme un drogué en manque de séduction... Je sais que je l'aime toujours.
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Kerlane, 22 ans, Paris
J'avoue avoir quitté N. Et merde, si j'avais su plus tôt que je serais mieux célibataire qu'en couple, je l'aurais fait depuis longtemps !
J'avoue me sentir libre, revivre, indépendante. Ne plus devoir rendre de compte à qui que ce soit, c'est le pied.

J'avoue avoir envoyé un message à J. pour lui proposer qu'on couche ensemble, et qu'il a accepté. J'avoue, c'était hyper bizarre au début... Revoir son ex avec qui on est resté plus de cinq ans, et qu'on a pas revu depuis plus d'un an, juste pour du sexe...
Mais putain ce que c'était bon ! Même en étant bizarre, c'était agréable d'être avec lui, et aucune ambiguïté sur ce qu'on voulait.

J'avoue, j'ai un Plan Cul Régulier, et je me sens revivre.
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Princesse, 20 ans, Paris
J'avoue avoir t'avoir aimé, t'aimer encore probablement, et j'avoue t'en vouloir terriblement d'avoir pris autant de distance. J'avoue ne pas comprendre pourquoi tu te fais du mal en restant avec elle, alors qu'elle te dénigre sans même que tu t'en rendes compte. Tu dois être un peu maso.

Tu me manques, et j'avoue pleurer comme une imbécile devant tes photos. J'espère que je te manque aussi et que tu te rappelles avec douleur comme je t'ai aimé, comme on riait quand on était ensemble, comme on s'excitait partout et n'importe comment, comme on était fou amoureux, comme je te mordais les lèvres et comme tu en devenais fou.

J'avoue avoir peur de ne pas trouver quelqu'un d'aussi exceptionnel que toi.
J'espère que je te manque et que tu penses à moi souvent.