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Marcus, 27 ans, Denver
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J'avoue que ma vie a Denver se passe super bien. J'avoue que personne de ma famille me manque étant donné que tout le monde part dans son coin, faire sa vie. J'avoue que je suis tout le monde grâce à facebook et on se donne souvent des nouvelles. La seule chose qui me manque vraiment c'est mon chien. Mon petit husky avec qui j'ai grandi depuis huit ans... Et j'avoue que quand je suis rentré en France, il m'a vraiment fait la gueule, il ne voulait pas venir vers moi. Il ne m'a pourtant pas oublié mais il a compris que j'étais parti et je pense qu'il m'en veut ! J'avoue qu'à chaque fois qu'on Skype, je demande à voir mon petit husky et lui ne me voit jamais... J'avoue que mon chien me manque vraiment !
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Kerlane, 21 ans, Paris
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J'avoue, je suis restée 5 ans et demi avec lui. 5 ans et demi à mon âge, ca paraît long. J'avoue que les 4 premières années étaient merveilleuses, et malgré toutes les engueulades, le bonheur les surplombaient largement. J'avoue, cela faisait déjà plusieurs mois que je m'interrogeais sur mes sentiments envers lui. En Septembre dernier, j'ai rencontré quelqu'un d'autre. Il ne m'a pas forcément plu, mais il m'a rappelé à quel point c'était bien lui et moi, au début. Oui, au début. La routine s'est installé, et il s'en foutais. Je me sentais mal, et il s'en foutais. Je m'ennuyais avec lui, et il s'en foutais. Je l'ai quitté. Il a fini plus bas que terre. Il a pleuré, il m'a harcelé, il m'a supplié, il m'a menacé de se tuer. Je suis revenue avec lui parce que j'avais peur qu'il le fasse. Mais ca n'a pas duré. Il n'est pas parvenu à faire renaître en moi la flamme du début. J'ai arrêté de l'aimer, et même avec tous les efforts qu'il a fourni, je n'ai pas pu recommencer à l'aimer. Je l'ai quitté. Pour de bon, cette fois. Cela fait quelques temps que je suis avec celui de Septembre, celui qui m'a fait réagir. Il n'y a pas d'amour, mais lorsque je suis avec lui je suis heureuse, et ca me suffit, après cette relation avec lui. Il dit souvent que tu m'as rendue indifférente, que plus rien ne me fait réagir. Il n'a pas tout à fait tort. Avec lui, j'ai appris à devenir indifférente pour fuir le malheur.
J'avoue, tu ne me manque plus. Je garde uniquement les bons souvenirs. J'ai aimé ces 5 années avec toi, et, dans un sens, je t'aime quand même pour tout ce que tu as pu m'apporter. Jamais je n'aurai pensé pouvoir être aussi heureuse et comblée grâce à quelqu'un. Tu as rendu ça possible. Merci J. J'avais besoin de le dire, et, si tu lis ça, tu sauras à quel point tu peux rendre heureux ceux qui t'entoures.
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Aubergine, 22 ans, Paris
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J'avoue mon chéri que tu as très mauvaise haleine et que je me sens très gênée chaque fois que je t'embrasse ! C'est vraiment insupportable comme odeur mais je pense que tu en es conscient toi aussi... Et pourtant tu ne sauras jamais pourquoi je te propose toujours des chewing-gum ou alors ma bouteille d'eau! J'avoue que malgré cet inconvénient je t'aime comme une folle, mais j'avoue également que j'espère de tout mon cœur que ce fléau cessera un jour...
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Pomme, 19 ans, Aix en Provence
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Dure dure année. Qu'on soit passé en 2011, ça n'efface rien. C'est dingue ce que tu peux continuer à me manquer parfois. C'est peut être plus toi personnellement, mais ça reste toujours tellement difficile de pousser la porte de l'appartement le dimanche soir, de me coucher et de me lever seule, tous les jours, les uns après les autres. Quand je pense Aix je pense toi, c'est indissociable pour moi. C'est toujours horrible de parler de ce qui s'est passé, de revenir sur ces derniers mois. J'ai, en tout cas, fini de compter le nombre de jours qui me séparent du jour où tu es parti. Je dis "tu'' parce qu'après tout, jamais j'aurais pris cette décision seule si tu ne m'avais pas donné une raison aussi évidente de le faire. Et puis quand je pense que je t'ai supplié de revenir une bonne dizaine de fois... je me suis rabaissée plus bas que terre, je me suis réduis à l'état de Rien, c'est surement pour ça que c'est si aussi dur aujourd'hui de me reconstruire, d'envisager un avenir avec quelqu'un d'autre, tout simplement parce que j'en ai pas envie, je m'y vois plus. Je m'ouvre plus aux autres c'est fini ça ; je pense même pouvoir dire que je suis devenue glaciale, j'ai plus envie de discuter avec les inconnus, ou les amis de mes amis ou même les gens à qui j'ai pu m'attacher pendant que j'étais avec toi. Je baisse les yeux dès que je croise un regard, j'ai l'impression de plus rien valoir, d'être dénuée de tout intérêt, que même en creusant il n'y a plus rien à tirer de moi. Ouais, j'ai perdu toute confiance en moi, mais aussi toute confiance dans les autres. J'en parle plus à personne parce que je sais très bien que même les murs en peuvent plus de m'entendre à ce sujet. Alors je fais des monologues quand je suis chez moi ; ça faisait un moment que j'avais plus ressenti le besoin d'écrire à ton propos ; mon journal est sur le bureau, j'ai la flemme de me lever pour aller le chercher et surtout mes doigts écrivent tous seuls. J'ai tellement de choses à dire ; je veux avoir mon examen pour partir d'ici, j'étouffe dans cette ville, j'ai toujours peur de te croiser et quand ça arrive, j'ai juste envie de creuser un trou et de me cacher dedans jusqu'à ce que tu disparaisses. Je veux plus vivre ici, il y a trop de souvenirs. Maman avait refusé de me voir fuir cet été, c'est pour ça que je n'ai pas abandonné l'appart. Je ne regrette pas d'avoir été forte sur ce point mais cela dit j'ai hâte de partir. Et rien que pour ça, j'aurais le BTS, juste pour me prouver que même si tu m'as pourri ces deux années, la première parce que j'avais tellement toujours besoin de te voir, que j'étais tellement folle amoureuse de toi que tu m'empêchais de travailler, et la deuxième parce que je suis tellement folle de chagrin de m'être laissée détruire et de me sentir aussi nulle et inutile, j'ai réussi au final. Je quitterais Aix et je te quitterais toi dans un sens, pour de bon. Et je ramène tous mes échecs à toi. Je fuis tout ce que j'ai à faire parce que j'ai plus ENVIE de RIEN faire. J'ai réussi à sortir la tête de l'eau mais y'a toujours une grosse vague de temps en temps ; et c'est dans ces moments là que je vois à quel point j'ai changé, j'ai perdu tellement de moi en route.
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Fiston, 23 ans, Paris
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J'avoue que malgré moi je peux être un macho de première ! J'arrive à la station essence pour faire le plein de mon scooter lorsqu'au moment de remettre le capuchon du réservoir impossible de récupérer mes clef de contact qui restent bloquer dessus. Je demande à un coursier, à coté de moi, de regarder, il me dit que l'on a sûrement du forcer le réservoir pour le siphonner. Il pleuvait des cordes, sans "neman", je me voyais pas laisser le scooter sans antivol comme ça (et oui la clef sert aussi à ouvrir le coffre, c'est encore des malins ceux qui ont pensé à ça !). C'est à ce moment que je vois une grosse moto se garer a côté de moi, je me dis que ce mec là va pouvoir m'aider. J'avance vers lui, je lui dis : excusez-moi j'ai un problème avec mon scooter... A ce moment le motard enlève son casque et je m'aperçois que c'est une femme ??!!!
Du coup je lui dis non non ça va aller merci. J'avoue que j'ai fini trempé jusqu'à l'os pour retirer ma clef sous la flotte au bout de 20 minutes...
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Daniel, 24 ans, Paris
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J'avoue que je viens de trouver un post-it, dans mon Moleskine, avec écrit : "J'avoue que je kiff Javoue.com ! Gros bisous Monsieur Beau gosse !". Le problème, c'est que je ne sais pas qui m'a écrit cela. Cette charmante personne aurait-elle l'amabilité de se manifester auprès des autorités compétentes ?
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Help, 21 ans, Nantes
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J'avoue que je m'envole demain pour les caraïbes, j'avoue que j'attends cette date depuis plus d'un mois. J'avoue que je rêve de me prélasser sur la plage, j'avoue avoir toujours su que j'avais quelques kilos en trop... J'avoue que j'ai dû monter sur la balance pour vérifier le poids de ma valise et que j'ai failli avoir un attaque... 76 kg !!! J'avoue que tout d'un coup je n'ai plus du tout envie de partir.
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Bistouri, 20 ans, Rennes
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Il est temps de passer aux aveux... J'avoue qu'il y a quelques années, je me marchais à la tombée de la nuit dans un petit port de Bretagne. C'était l'été, une belle soirée, des touristes dans tous les coins, je ne me presse pas pour rejoindre ma famille sur les pontons. J'étais même absorbée par le souvenir d'un beau garçon qui m'avait souri à la marina plus tôt dans la journée. Je rêvassais ainsi quand une voix me parvint : « hey, vous êtes bien charmante, miss, avec votre pantalon blanc ! » Un groupe de jeunes en jogging, nonchalamment affalé sur un banc. Je leur avais à peine accordé un regard que je presse le pas la tête haute, outrée par une telle familiarité, me drapant dans ma dignité telle une tragédienne offensée. Je ne leur adresse pas un mot. Je pense : « Quels rustres ! Bande d'imbéciles en rut ! En plus ils sont trop cons pour désigner correctement les couleurs ! Mon treillis est beige, pas blanc... vraiment aucun vocabulaire...! » J'en étais à ce stade de mes réflexions quand je vois quelqu'un, que j'entendais marcher derrière mon dos depuis plusieurs minutes, me dépasser : une petite brune, 25 ans, en tenue de vacances, tongs, débardeur et ... pantalon blanc ! Il ne m'a pas fallu moins de deux secondes pour comprendre : la « charmante miss » qu'on avait hélée, ce n'était pas moi, mais la fille qui marchait deux mètres plus bas... Il n'a pas fallu deux secondes non plus pour que mon ego se dégonfle comme un ballon de baudruche percé par une aiguille... Et j'ai bien été forcée d'admettre que malgré ma posture de fierté effarouchée, j'aurais aimé qu'on me témoigne de l'attention plutôt que de me sentir complètement invisible... Ca flattait mon ego de me faire aborder même si je me le cachais à moi même, et en définitive ma fierté ne se trouvait pas là où je le pensais... Aujourd'hui, je ris intérieurement en repensant à cet ascenseur émotionnel et à ma piteuse déception...
Sinon, tant que je suis là, j'avoue qu'une semaine d'examens blancs supers importants commence demain, que je suis très en retard dans mes révisions, que j'ai passé une bonne partie de l'après midi à lire des aveux et à rédiger le mien au lieu d'étudier... J'avoue que j'espère secrètement que l'adage « faute avouée à demi pardonnée » va se réaliser pour booster mon karma et faire que demain je réussisse cette dissertation qui s'annonce horrible...
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Hate me, 20 ans, Paris
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J'avoue ça va pas en ce moment... J'avoue je sais pas ce que j'ai, je crois que je suis en dépression depuis deux ans et ça me fait flipper de réaliser un truc pareil... J'avoue ça me fait peur d'avouer ça... J'avoue que pourtant j'ai un copain adorable et que je l'aime mais que je pourrais jamais l'aimer comme il le désire parce que j'ai trop souffert de ma première relation sérieuse et que je m'en remet pas... J'avoue je suis jeune et j'ai le temps mais je me déteste tellement que je sais pas si je vais m'en sortir... J'ai peur de passer à côté de ma vie à me détester comme ça !
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Bilouba, 21 ans, Aix-en-provence
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J'avoue que pour ma première expérience de "gâterie" à une fille, la fille en question était plutôt touffue. J'avoue qu'un long poil m'est resté entre les dents. J'avoue qu'elle m'a fait signe de l'embrasser juste après. J'avoue que j'ai pas réussi à le ressortir de ma bouche de façon discrète avant de l'embrasser. J'avoue que je l'ai avalé et j'avoue que c'était pas bon.
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Une miss curieuse, 22 ans, Suisse
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Qu'il m'arrive de regarder par la lucarne de ma porte d'entrée quand j'entends du bruit dans le couloir de mon immeuble, pour voir qui passe. Et donc, comme à mon habitude, je plaque mon oeil à la lucarne quand j'entends la concierge venue parler à mon voisin d'en face. Le sujet est intéressant (objet de discorde dans l'immeuble) et je décide de rester encore un peu. Jusqu'à ce que le voisin dise: "même les voisines d'en face s'en plaignent..." et les voila tous deux qui se tournent vers ma porte ! Vous croyez que ça se voit un oeil à travers la lucarne, qui disparaît aussitôt ? J'avoue, à ce moment-là j'ai eu honte et j'avoue que ma curiosité me perdra...
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P'tite fille, 20 ans, Paris
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J'avoue qu'hier j'ai travaillé jusqu'à 20h30, pour préparer les soldes. J'avoue que juste au moment où on partait, j'ai eu le malheur de louper une marche et que je me suis fait très mal, quelques minutes après je réussis à remarcher, mais mes collègues me disent qu'il vaut mieux appeler les pompiers. Le week end commence donc super bien, n'est-ce pas ? J'avoue que ça a été un judicieux conseil car j'avais de plus en plus de mal à marcher. Les pompiers arrivent donc et me transporte à l'hôpital le plus proche. J'avoue je ne savais pas que les pompiers étaient des gros dragueurs comme ça ! C'en est même désolant. Marrant mais désolant. J'avoue j'ai eu de la chance y avait pas beaucoup de monde à l'hôpital. J'ai quand même attendu 2h30. Heureusement qu'ils m'ont dit que ça serait rapide. Tout cela pour dire que les hôpitaux manquent clairement d'effectif. Je ne sais pas trop comment régler le problème, mais je trouve ça abusé qu'on attende aussi longtemps pour une simple entorse (qui me fait mal, je précise !). J'avoue mon week end commence mal, espérons qu'il finisse mieux !
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Quelqu'un de beau, 28 ans, Paris
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J'avoue que je me rends compte que je me casse le dos à chaque fois que je veux me laver les mains ou faire la vaisselle chez moi. Soit je suis trop grand, pourtant non je ne fais que 1m86, soit les propriétaires avant moi étaient des nains ? J'avoue que ça me donne une bonne raison de laisser la vaisselle à ma femme. J'avoue que si j'ai plus de culot j'irai faire le même coup pour le repassage...
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Jubar, 23 ans, Reims
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J'avoue que je me demande encore si c'est la bonne décision, si nous avons bien fait de nous quitter là dessus au lieu de tenter de surmonter ça et d'avancer. J'avoue que ses arguments sont flous et peu convaincants. J'avoue que je j'ai envie de pleurer en permanence. Je relativise, je positive... J'avoue que je t'aime, que je t'aimerai toute ma vie et que tu me manques à chaque instant.
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Yvan, 18 ans, Paris
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J'avoue que j'ai encore gaffé... Perdu dans mes pensées, préoccupé comme à mes habitudes, lunatiques comme toujours... J'étais en train de poster des courriers importants tout en téléphonant... Et pfff !!! Oui j'avoue je me sens vraiment pas malin quand je repense que j'ai posté la dernière lettre qui était destinée à l'étranger... Avec mon téléphone portable... Le pire dans tout ça c'était que le haut parleur était actif et mon pote n'a pas raccroché il était plié de rire. Pierre, c'était drôle pour toi de faire peur aux passants en hurlant que tu étais coincé dans la boîte aux lettres mais pas moi. J'avoue que j'ai raté le passage du postier le jour d'après et que je n'ai pas du tout envie de faire la queue à la poste pour expliquer ma frasque. Tout cela pour dire à mes amis ne m'appelez pas, mon téléphone doit sûrement être en Italie à Venise à ct'heure-ci.
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Capricam, 24 ans, Arras
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J'avoue j'ai été un peu déçue quand tu m'as dit que tu voulais me voir finir ma saison de handball avant d'avoir un petit loulou. J'avoue j'ai été davantage déçu quand tu m'as dit que ce n'était pas une priorité... J'avoue j'ai arrêté traitement pour la SEP et pilule pour toi et maintenant toi tu me balance ça en pleine tête. j'avoue je suis en fait complétement anéantie...
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Greeny, 19 ans, Paris
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J'avoue que j'ai menti à ma copine. Je venais à peine de sortir de chez moi et j'étais encore à Gare de Lyon dans le métro... Elle m'appelle et me lance : "tu es où ? Bon sang t'es encore en retard !" Moi : "Non non je suis à Charles de Gaulle - Etoile là... J'arrive dans deux stations..." Et là, j'entends la voix du métro dire : "Bastille... Bastille..." Ma copine a hurlé au téléphone en me traitant de tous les noms... Oui j'avoue je ne l'ai pas bien jouée cette blague... Foutue ligne 1, à cause d'elle c'est encore moi qui paye le restaurant.
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What?, 19 ans, Nice
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Au secours ! J'avoue ça m'arrive souvent de flasher sur plusieurs mecs en même temps, d'habitude ça dépasse jamais le trio, mais là ils sont sept !!!
J'avoue ça me fait beaucoup rire et en même temps ça m'inquiète un peu, j'ai peur de donner l'impression que je les considère comme des objets, surtout que je croyais être limite amoureuse de S. Compte là-dessus. Non mais un plan A, B, C, D, E, F et G, quand même, j'avais jamais fait.
J'avoue pour tourner ça en dérision et ne pas trop me prendre la tête je fais régulièrement des classements et je leur ai donné des noms.
J'avoue qu'en ce moment j'en suis là : 1 L'Enfer 2 Ciné 3 Cheveux 4 Wallace 5 Steevy 6 Bamboule 7 Shakespeare et en 8 j'ai rajouté Gromit le pote de Wallace bien sûr... Il n'est absolument pas beau mais très marrant et je crois que j'ai une touche.
J'avoue que S. c'est Bamboule, pour vous dire comme ça peut switcher vite.
J'avoue que lire ça en sachant à qui correspond quel surnom ça vaut de l'or... Quand je pense que l'Enfer a failli s'appeler Pépito. Le pauvre !!!
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Estelle la plus belle, 18 ans, Paris
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J'avoue que je mangeais tranquillement avec mon amoureux aux galeries Lafayette gourmet lorsque j'ai vu... six souris sortir de sous les sièges !!! J'avoue que j'ai caché mon fromage...
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Arzellah, 22 ans, Rennes
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J'avoue, quand j'ai lu l'aveu de Mat the Bird, j'ai failli chavirer... mais à quelques détails près ce n'est pas mon histoire... Et pourtant, j'ai quand même eu le coeur en morceaux, espérant que ce serait lui...
Et je crois toujours m'en être sortie... Jusqu'à ce que je lise cet aveu... ou je retombe... J'ai tellement voulu y voir celui à qui je pense toujours parti vers le Nord...
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Petit poisson rouge, 29 ans, Montréal
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J'avoue que pour une fois, j'y ai cru. Quand j'étais avec lui, je me sentais bien, et ça ne m'était vraiment pas arrivé souvent. Tout, dans sa manière d'agir, de me parler, me disait que lui aussi appréciait ces moments; on est sortis ensemble 3 ou 4 fois et d'un coup, tout s'est cassé, sans que je sache pourquoi. J'ai peut-être été trop honnête, mais si c'est la cause de la cassure, c'est assez paradoxal, vu ce qu'il a vécu avant. J'ai pris une méchante débarque devant son manque d'honnêteté, son manque de courage pour me dire les chose en face (certaines diront que les hommes sont tous pareils...), et je croyais vraiment le connaître, depuis le temps qu'on bossait ensemble. Heureusement, personne n'était au courant, et encore mieux, j'ai eu une nouvelle ouverture professionnelle depuis ; je ne suis donc plus obligée de le côtoyer tous les jours, ça devenait franchement éprouvant. Pourtant, je crois encore qu'il va me recontacter, même si tout m'indique que non, mais je n'arrête pas de me demander : si je croyais bien le connaître et que je me suis trompée à ce point-là, est-ce que je serai capable de refaire confiance plus tard ? Dieu sait que ce n'est pas la première fois que je me retrouve avec un couteau dans le dos, et évidemment, je me pose plein de questions sur moi, mais ce coup-ci, je refuse de croire que j'ai mal agi. J'ai été honnête avec moi et avec lui, mais lui non. Et pourtant, ça me fait mal de penser à lui, d'entendre de ses nouvelles par la bande... Avoir su que tu me ferais ça, je n'aurais jamais accepté ta première invitation !
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Secret77, 20 ans, La Rochelle
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J'avoue que je me suis battue toute la nuit avec un rat et que quand j'ai téléphoné à ma mère pour lui demander quoi faire, j'ai pleuré. Je sais pas pourquoi mais les rats, je trouve ça vraiment dégueulasse...
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Aze, 25 ans, Besançon
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A la rentrée, je n'ai ni appart, ni fac, ni travail, ni sous sur mon compte en banque. J'avoue, je suis dans une merde noire.
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Ninouche, 21 ans, Bordeaux
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J'avoue que chaque été il me tarde qu'une chose... faire les fêtes de Bayonne. Avec une copine de longue date, on prévoit tout même le feutre indélébile noir pour écrire des petits messages sur nos bras. Une fois là bas, on a retrouvé des amis (avec un taux d'alcoolémie qui n'était pas à 0)... et nous nous amusons à nous écrire des mots. Un ami, attrape ma jambe et écrit en Gros et Gras " FOUFOUNE". Tout la soirée, ça a fait rire les gens. Mais j'avoue avoir eu honte quand le lendemain j'ai décider d'aller chez l'esthéticienne pour aller m'épiler la F...... ! J'avoue avoir voulu me justifier !
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FleXxx, 27 ans, Paris
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J'avoue que mon pote m'appelle tout le temps en numéro masqué et a le don de prendre toutes sortes de voix et de changer de formules de façon à me faire marcher à chaque fois que je décroche. Cet après midi, je reçois un coup de fil en numéro masqué, je décroche et l'interlocuteur me lance : "Oui, Monsieur FleXx ?" Je reconnais la voix de mon pote et je réponds : "Alors mon bouffon, ça roule ?" Et il me répond : "Oui c'est M. H. votre banquier, je crois que je vous dérange ?".
J'avoue qu'il souhaitait me rencontrer pour faire le point sur mon compte... Déjà que je n'ai pas le temps de le rencontrer, il n'est pas prêt de me revoir de si tôt.
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