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C'est grave docteur ?, 30 ans, Marseille
J'avoue que je suis sur le cul !
J'avoue que je viens de voir mon médecin en train de fumer...
Il m'a dit que ça fait longtemps qu'il fume.
J'avoue que j'ai immédiatement changé de médecin.
J'avoue que c'est radical mais bon...
Vous trouverez ça normal qu'un nutritionniste mange au mac do ?
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Patate, 18 ans, Paris
J'avoue mon amour que tu sens terriblement mauvais de la bouche !
Je pense que tu le sais déjà mais prends soin de toi nom de nom.
J'essaye toujours de te le faire comprendre par des remarques implicites par-ci par-là mais je ne pense pas que ça marche.
Je pense vraiment que tu souffre d'halitose mais s'il te plaît, pour le bien de ta santé et de ceux qui t'entourent... Fais quelque chose !!! Lave-toi les dents !
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Anselm, 21 ans, Paris
J'avoue qu'un jour, je suis persuadé que je vais voter pour Nicolas Sarkozy.
J'avoue que le lendemain je suis convaincu que je dois voter pour François Hollande.
J'avoue que j'ai peur d'être schizophrénique.
J'avoue que je stresse à l'approche des élections comme à l'approche d'un examen.
J'avoue que je suis face à un grand dilemme.
Pour qui votez-vous ? Ca m'aidera sûrement à faire mon choix...
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Confuse, 24 ans, Tahiti
J'avoue que je vote dans une heure et que je ne sais toujours pas pour qui.
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Petitefille, 16 ans, Paris
J'avoue que tu es partie bien trop tôt...
J'avoue avoir encore tant de choses à te dire...
J'avoue encore penser a toi, souvent.
J'avoue souffrir de ton absence...
J'avoue avoir beaucoup de regrets, en particulier sur la façons dont je t'ai traitée les dernières semaines...
J'avoue, que j'aurais pu faire des efforts... Mais n'en ai pas eu le courage.
J'avoue ne pas t'avoir dit combien tu comptais pour moi...
J'avoue me rappeler de ta voix, ton rire, qui emplissaient de bonheur chacun de mes jours...
J'avoue pleurer, en écoutant tes chansons préférées...
J'avoue encore fêter ton anniversaire, malgré le fait que tu soit partie il y a déjà 2 ans...
Et enfin, j'avoue que je t'aime pour toujours, maman.
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Caro, 19 ans, Nantes
J'avoue que je ne sais toujours pas pour qui voter et qu'aucun candidat ne me plaît... C'est grave docteur ?
J'avoue que cette période de transition, dans l'attente des élections présidentielle me frustre beaucoup. J'ai l'impression que quelque chose va changer le 6 mai !
Mais en fait je crois que je rêve...
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Découragée, 30 ans, Montréal
J'avoue que quand je le vois, je lui en veux de faire comme si je n'existais pas. J'avoue que je fais la même chose, mais ça fait mal.

J'avoue que j'avais une belle complicité avec lui, mais tout ça c'est fini depuis qu'on a essayé de sortir ensemble.

J'avoue qu'il n'a pas été honnête: je lui avais fait part de mes sentiments envers lui, et il n'a rien fait pour les décourager. Je voulais une relation stable, lui un plan cul.

J'avoue aussi que j'ai passé une nuit avec lui, mais on n'a pas couché ensemble, seulement dormi. J'avoue, je sais, j'ai pas été maligne sur ce coup-là. Je me le suis déjà reprochée, et plus d'une fois.

J'avoue que je me suis demandée plusieurs fois si la suite aurait été différente si on avait couché ensemble ce soir-là. J'en suis arrivée à la conclusion que non : depuis le temps qu'on se connaissait, si les sentiments que j'avais envers lui n'étaient pas réciproques, ce n'est pas un plan cul qui aurait changé la donne ou alors ça aurait donné une relation basée sur le sexe, ce qui aurait été pire : je me serais accrochée encore plus et je serais tombée d'encore plus haut. Il fallait d'abord qu'il fasse le ménage dans sa tête (il sortait d'une longue relation).

J'avoue qu'on travaille dans la même compagnie ; je ne le croise pas souvent (heureusement !), et toujours au détour d'un couloir, ce qui se gère assez facilement. Le plus dur, ce sont les 5 à 7 et les repas de Noël : il est super sympathique avec tout le monde, il a une excellente réputation au boulot, mais personne ne sait comment il s'est comporté avec moi (on ne l'a dit à personne et je ne suis pas du genre à faire des coups bas, je ne veux pas qu'on me considère comme la veille fille aigrie). Paradoxalement, j'ai la 'chance' d'être la seule à mieux le connaître que tous les autres ! Mais des fois, j'ai tellement envie de lui crier 'Mais regarde-moi, bordel ! J'ai pas cessé d'exister parce qu'on ne voulait pas la même chose !'.

J'avoue aussi que je ne veux pas forcément redevenir son amie : ça voudrait dire le voir heureux et évoluer avec une autre personne que moi, alors que si les circonstances avaient été différentes, ce serait moi qui serait en couple avec lui. Je voudrais juste qu'on se reparle, comme deux personnes civilisées, pour essayer de dissiper le malaise qui s'est installé entre nous depuis 1 an et demi, mais je n'ose pas faire le premier pas parce que les dernières fois que je lui ai proposé de parler, il a préféré fuir, révélant un côté poltron que je ne lui connaissais pas.

J'avoue que c'était la première fois que je faisais autant confiance à un homme et depuis, j'essaie d'en rencontrer d'autres, mais je me demande si un jour je parviendrais à retrouver un tel degré de complicité ?

J'avoue, il me manque. Et j'avoue aussi aimer penser qu'il est mal à l'aise quand on se croise, même si ça se passe seulement dans ma tête.
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Element, 21 ans, France
J'avoue que je lis souvent des aveux et que certains me blessent car elle n'est plus là.
J'avoue que je n'avais jamais ressenti ça auparavant et que c'est sûrement pour ça que je pense que ça ne se reproduira pas.
J'avoue que j'ai pensé qu'elle était la femme de ma vie car j'ai toujours la gorge nouée même après 2 mois de séparation.
J'avoue qu'elle m'a tout de même offert les plus beaux 9 mois de toute ma vie et pour ça je la remercie...
J'avoue que je suis insensible aux filles à qui je plais ou même au plan cul...
J'avoue avoir peur de ne plus jamais ressentir cette vague d'amour que j'ai reçu...
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Elan38, 59 ans, Paris
J'avoue que j'allais chez Elle pour lui rendre ses affaires.
J'avoue que nous avions prévu de parler gentiment de la rupture.

J'avoue que je n'ai pas de manque quand je ne la voie pas.
Nous avons parlé un bon moment.
J'avoue l'avoir prise dans mes bras au moment de partir.
J'avoue qu'on est allé se coucher et que nous avons fait l'amour.

J'avoue que c'est une rupture en douceur !
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Charette, 22 ans, Saint Valentin
J'avoue, j'ai beau habiter dans le village le plus romantique en ce jour de Saint Valentin.
Rien n'y fait, j'avoue !
Je ne crois pas en la fidélité, tous les mecs sont à mes pieds d'un simple claquement de doigt.
J'avoue que je voudrais y croire mais avec tout ce que j'ai vu, et lu sur ce site. C'est de plus en plus dur.
J'avoue, s'il y a un prince charmant qui veut bien me prouver le contraire ?
Il sait où me trouver.
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Alice, 21 ans, Toulouse
J'avoue, t'as intérêt à avoir tes concours cette année et à pas me faire mariner plus longtemps. Je veux bien t'attendre, mais je te préviens : plus ça va et moins je deviens farouche...
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Mélodie, 21 ans, Vannes
J'avoue, je suis naïve, et j'en paye le prix.

Pour les gens comme moi, la différence entre "virtuel" et "réel" est infime, voire inexistante. Il y a une époque où mon nom était reconnu sur la toile, j'étais à la tête d'un groupe de personnes adorables.

Il y avait cet homme parmi eux : sa voix me plaisait, son humour, sa bonne humeur. J'avoue, je savais qu'il habitait encore avec son ex, mais j'ai accepté de le voir. Il y avait une sorte d'alchimie physique entre nous, nous avons vite terminé dans sa chambre...

Le lendemain, alors qu'on discutait par sms, il avoue aimer encore son ex. J'avoue, je suis extrêmement orgueilleuse : ne pas être la seule, et pire, être numéro 2, pour moi c'est non. Alors j'avoue, j'ai dit stop avant de trop souffrir.

A partir de là, vexée et blessée d'avoir été utilisée comme jouet sexuel, j'ai demandé l'avis et les conseils d'un autre ami virtuel en qui j'avais confiance. Rassurée par ses conseils, je me sentais un peu mieux.

J'avoue, lorsque cette personne est venue réclamer ma place à la tête du groupe, j'ai été surprise. Ne s'agissant que d'un jeu, je lui laisse, et me sépare du groupe pour n'embêter personne.

J'avoue, lorsque j'apprends qu'il a raconté mon histoire, en inversant les rôles, à tout le reste du groupe, incluant des amis de ma vie sociale réelle, je suis anéantie. Ils l'ont cru, lui.

J'avoue ne jamais avoir pensé qu'être naïve pouvait m'amener à avoir une réputation de salope manipulatrice auprès d'une centaine de personnes.

Le monde est cruel.
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Missy, 26 ans, Bordeaux
J'avoue qu'encore une fois je t'ai menti en racontant que je voyais des amis ce soir mais que je voulais te faire croire que tu n'étais pas important pour moi.
J'avoue que tu es marié, que je connais ta femme et que j'espère depuis le début que tu la quitte ou qu'elle apprenne que tu la trompes et qu'elle parte.
J'avoue que je ne crois pas toujours tes paroles quand tu dis que tu penses beaucoup à moi,que c'est la première fois et que ça ne va pas dans ton couple.
J'avoue que j'aimerai que tu sois fou de moi, que tu m'appelles plus, que l'on soit ensemble. J'avoue enfin que j'ai trouvé ton mot de passe et que j'ai regardé tes mails sur cette boite que tu n'utilises plus, que j'ai récupéré des photos, que j'en ai lu, que j'aurais aimé en savoir plus...
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Elle, 31 ans, Grenoble
J'avoue que lorsque tu me fesses, j'aime.
J'avoue que lorsque tu me maintiens fortement, j'aime.
J'avoue que lorsque tu jouis, j'aime.
J'avoue que j'aime me perdre dans tes désirs.

J'avoue que je veux aller bien plus loin avec toi.
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Une autre, 30 ans, Rennes
J'avoue que depuis ce fameux soir du 24 on ne pensait qu'à se revoir.
J'avoue que le 30 j'ai fait 80 bornes pour te rejoindre et que je ne le regrette pas.
J'avoue que j'ai eu tout juste le temps d'ôter mon manteau et mon sac, que déjà nos bouches se trouvaient, j'ai fini dans les 30 secondes agenouillée sur le carrelage, ton sexe au plus profond de ma bouche, les yeux rivés dans les tiens. J'avoue que j'ai adoré.
J'avoue nous avons pris un café, histoire de, puis nous sommes partis dans la chambre. J'avoue avoir frémi sous tes coups de langue et joui sous tes doigts.
J'avoue que décrire tout ce qui a eu lieu serait barbant. J'avoue avoir regretté que le latex te fasse débander, enfin juste le temps que tu m'attrapes pour un 69.
J'avoue que tu m'as laissé venir nicher ma langue entre tes fesses et que c'etait juste torride. L'image de toi à 4 pattes, te masturbant pendant que ma langue te pénètre... J'en ai encore des frissons.
J'avoue que tu as fini dans ma bouche et que tu m'as fait vivre une expérience inédite en m'embrassant à pleine bouche, venant goûter délicatement ma langue. J'avoue que ce seul souvenir m'émeut encore.

J'avoue que rapidement on a reparlé de tout ça, et que la question de "as tu pensé à moi quand tu étais avec ton "officiel" a vite été posée. J'avoue que tu savais que moi ça serait le cas mais j'avoue que quand tu m'as dit avoir pensé à notre 69 quand tu étais dans la même position avec elle ça m'a retournée.
J'avoue qu'on s'est revus le vendredi d'après. On a manqué de temps, on s'est enfermés dans la salle de bains, tu as encore profité de ma bouche, j'étais aux anges, on a fini 3 minutes avant que mon mari n'arrive et c'était d'enfer.

Le soir il avait bu, on a rejoué ensemble, ivres du danger d'être surpris. J'avoue que la suite est plus dure, tu t'es endormi la tête sur ma cuisse, moi assise sur le canapé, et tu as dormi comme une souche, toi qui n'a presque plus de sommeil, et je t'ai trouvé beau, et j'ai compris que je t'aime.
Le lendemain matin, avant que mon mari ne s'éveille, je t'ai réveillé avec ma langue, et tu étais ravi... Tu m'as même dit "si je pouvais me faire sucer tous les matins au réveil je signe tout de suite !" et tu as du sentir que ce commentaire m'avait fait mal - tu sais à quel point c'est difficile ces temps ci avec mon mari.
J'avoue qu'on l'a envoyé chercher le petit déjeuner et qu'on en a profité - commencé dans la salle de bains, continué dans la chambre devant un porno, interrompus hélas. J'avoue que je t'ai allumé discrètement pendant le petit dej et que chaque regard était complice.
J'avoue que le soir tu es venu chez nous avec ton fils et que chaque instant "volable" est devenu volé, et que j'ai découvert que la manière que tu as de te mordre la lèvre inférieure m'excite.
J'avoue que le soir on a fait boire mon mari et que, munis de capotes plus fines, on a enfin pu baiser et que j'ai joui. J'avoue que tu as fini sur mon visage et que tu étais ravi et moi aussi.
J'avoue que le lendemain matin je t'ai réveillé avec ma bouche la aussi, et qu'on s'est rendus compte tous deux qu'on s'attachait même aucun de nous n'a voulu l'admettre.
J'avoue, chaque moment de la journée s'est passé ensemble, bouche contre bouche, même au moment de se séparer devant ta voiture.
J'avoue je sais que rien ne pourrait durer si on se mettait réellement ensemble, que c'est une situation douloureuse, que ça se fait parce qu'on peut partager au moment opportun.
J'avoue regretter quand même, j'avoue que tu fais vibrer mon corps mais aussi mon cœur malgré tous les obstacles, j'avoue avoir envie de plus avec toi en sachant que ça risquerait de tout gâcher...
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L, 21 ans, Mulhouse
J'avoue que je ne sais plus si tu m'aimes encore ou non et j'avoue que ça me fait peur.
J'avoue que je réagis un peu trop excessivement au lapin que tu m'a posé mais tu ne sais pas à quel point tu m'as blessé.
J'avoue que de t'entendre dire que tu préférais voir tes amis et que de toute façon on s'était vus tout le temps pendant 4 mois alors il fallait faire une pause, ça m'a fait l'effet d'une gifle.
J'avoue que passer tout notre temps ensemble m'étouffe aussi mais je pends sur moi.
J'avoue que j'en ai marre de ce stage où je m'ennuie et où tout bas de l'aile entre nous.
J'avoue qu'on savait tous les deux que ce serait dur et j'avoue que je pensais que si on survivait à ça on survivrait à tout, et là je t'avoue que je ne sais pas trop si on survit ou non.
J'avoue que je t'aime comme au premier jour mais que tout à changé.
J'avoue que ça me soule de me dire que tu m'es essentiel alors que je ne te le suis pas.
Je t'avoue malgré tout que je sais que tu m'aime et je sais que tu ne voulais pas me blesser (enfin je l'espère).
J'espère que la fin du stage marquera aussi la fin de cette période de questionnement, et que nous serons heureux après.
Je t'avoue que j'attends toujours que tu me demande de me fiancer avec toi !
Je t'avoue que ma vie ne serait pas pareil sans toi, mieux ou pas je m'en fous, et que malgré les disputes je ne changerais ça pour rien au monde.
J'avoue que je t'aime mon cochon méchant et que vivement que tout reviennes à la normale.
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Nahty, 19 ans, Genève
J'avoue que je t'aimais comme une dingue.
J'avoue que je t'avais dans la peau, que je ne me sentais bien qu'avec toi.
J'avoue que j'aurai eu envie, parfois, de t'enfermer pour ne te garder qu'avec toi.
J'avoue que tu m'as fait mal. Horriblement. Incroyablement mal, en me quittant.
J'avoue que la douleur a été dix fois pire, en t'entendant dire que tu en aimais une autre.
J'avoue que la douleur a été encore pire... en apprenant qu'il s'agissait d'une amie.
J'avoue qu'aujourd'hui, j'espère de toute mes forces que ça ne marchera pas, même si ça doit te faire horriblement mal.
J'avoue que j'ai envie que tu souffres. Autant que j'ai souffert moi.

J'avoue, surtout, que je veux t'oublier maintenant. Et que j'en suis incapable.
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Alice, 21 ans, Toulouse
Maman,
J'avoue que je ne voulais pas te choquer, ou te mettre mal à l'aise, ou n'importe quoi de négatif en rentrant en uniforme. Enfin, si, mais non. Je fais ce que j'aime, et je suis fière de mon béret rouge.
J'avoue que je voulais juste te montrer à quel point je me sentais bien dans mon treillis, à quel point ce que je fais me plaît, à quel point je suis heureuse en faisant ça.
J'avoue que je voulais juste que tu sois fière de moi, et que tu veuilles prendre une photo avec ta grande fille en uniforme, comme tout le monde dans ma section.
J'avoue que je suis un peu jalouse de mes camarades dont les mamans admirent les treillis encore craquants de nouveauté et des photos prises devant le mur de la cuisine.
J'avoue que tu m'as déçue.
J'avoue que je t'en veux, et que désormais, je rentrerai chaque fois en uniforme, béret sur la tête, rien que pour t'emmerder.
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Une autre, 30 ans, Rennes
J'avoue ça s'est succédé à toute allure.
J'avoue qu'on a continué à échanger par sms et que ça devenait chaud. J'avoue qu'il a commencé à être question de réel et que c'était pas du délicat...
J'avoue que le soir du réveillon tu as été bluffé de découvrir que je portais un porte jarretelles et des bas.
J'avoue qu'à un moment on a échangé par message, je te disais que je ne voulais pas la charité, tu m'as répondu d'attendre qu'on soit seuls et que je verrais que c'était pas de la charité.
J'avoue que j'étais allongée sur le lit à coté de ta "nana" (ton plan cul devrais je dire) et que tu es venu me parler et que tes mains se sont promenées et que j'ai adoré.
J'avoue que plus tard à table je t'ai fait du pied et que ça t'a fait tripper et moi aussi.
J'avoue que quand elle s'est endormie pour de bon et mon mari faisant de même dans le salon on s'est retrouvés seuls, à papoter, comme deux cons et que ça a dérapé très vite.
J'avoue que tu m'as entrainée dans la salle de bains en me prenant par la main et que c'était le geste le plus érotique que j'ai vu !
J'avoue qu'on s'est enfermés dans la salle de bains et que je t'ai embrassé, tu as défait ton pantalon et tu as posé ta main sur mon épaule, j'avoue que tu n'as pas eu à insister pour que je me mette à genoux et que je te prenne dans ma bouche.
J'avoue que je suis fière que mes talents t'aient plu car tu as joui rapidement toi qui est plutôt endurant en temps ordinaire.
J'avoue que j'ai adoré et que toi aussi et qu'on en a reparlé.
J'avoue que ce soir par sms on a évoqué ce qu'on voulait l'un de l'autre, ce qu'on attendait ou pas, ce qu'on cherchait.
J'avoue qu'on est officiellement amants désormais, et que notre mot d'ordre c'est carpe diem. J'avoue on est aussi obsédés l'un que l'autre et on a plein de fantasmes en commun et que ça sera un grand kiff.

J'avoue tu as avoué que si on avait été célibataires tous les deux tu aurais envisagé qu'il se passe autre chose.
J'avoue que cet aveu là m'a bouleversée...
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Amecali, 22 ans, Paris
J'avoue que je pense que je t'aime. A vrai dire je n'en suis pas sûre, mais que vu tout ce qui se passe en moi depuis quelque temps je devrais me rendre à l'évidence... J'avoue que ça me rassurait beaucoup que tu me dises que tu me comprends, que tu te poses les même questions et que c'est normal. J'avoue que tu as été patient un temps mais je me rend bien compte que je t'agaces de plus en plus et je te vois, impuissante, prendre tes distances jour et jour. J'avoue que je pense trop et que j'aimerais comprendre et contrôler tout ce qui m'arrive.
J'avoue que ce se serait vraiment très chouette que mon cerveau fasse une pause, juste quelques minutes.
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Nellie, 30 ans, Rennes
J'avoue depuis que j'ai commencé à perdre 40 kg sur les 53 que j'avais en trop, j'ai senti ma santé mentale s'effriter doucement.
J'avoue que depuis que je n'ai plus de boulot j'ai beaucoup moins de vie sociale - et depuis quelques mois j'ai aussi beaucoup moins de vie sexuelle, maintenant que mon mari a admis que ça ne l'intéressait pas.
J'avoue que l'écart entre moi avant et moi qui ai changé est immense - d'une taille 52 à une taille 42.
J'avoue que quand j'ai réalisé susciter le désir ça a été une satisfaction conséquente.
J'avoue voir arriver à pleine vitesse le moment où, comme il y a 8 ans, ma psyché va se briser en morceaux.
J'avoue avoir des pulsions de plus en plus violentes et pas dans le bon sens.
J'avoue avoir eu envie de me foutre en l'air en voiture en rentrant lundi soir, quand je rentrais chez moi, entre autres parce que je quittais le monde où je suis "moi même" pour retourner vers celui où je ne suis que l'épouse de. J'avoue avoir compris que j'avais besoin désormais de plaire, de séduire voire de faire carrément bander pour me sentir bien, parce que je n'ai plus aucune confiance en moi.
J'avoue avoir encaissé grâce au soutien inconditionnel de mon meilleur pote qui, en guise de compassion, m'a dit que ça l'aurait soulé d'aller me chercher aux Enfers pour m'en ramener à coups de pied dans le cul - bel aveu d'attachement de sa part.
J'avoue j'en ai soupé des psy et je ne veux - ne peux - plus y avoir recours.
J'avoue, ça va de plus en plus mal dans ma tête, et je ne vois plus la lumière.
J'avoue je n'ai jamais su appeler à l'aide car c'est toujours moi qui soutiens les autres, qui remonte les "noyés" - mais qui remonte les sauveteurs trop épuisés ?
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Tite fille, 21 ans, Paris
J'avoue que depuis ma deuxième année de licence de droit j'ai développer une colopathie fonctionnelle.
J'avoue qu'elle m'a énormément bouffé la vie.
J'avoue que je ne me sentais plus féminine, plus moi, plus femme.
Pour ceux qui ne savent pas ce que c'est, la colopathie c'est une inflammation du colon, qui fait qu'en cas de stress (et parfois y a même pas besoin de ça) on se retrouve avec des maux de ventre horrible, à avoir des diarrhées quotidiennes parfois.
C'est ce qui m'est arrivé.
Pendant 5 mois, tout les matins j'étais malade, impossible d'aller en cours, et j'osais en parler à personne car j'avais honte.
J'avoue j'ai commencé à avoir la phobie d'aller en cours, car outre la peur de me chier dessus mon ventre faisait aussi des bruits épouvantables que je n'assumais pas du tout et dont j'avais honte et contre quoi je ne pouvais rien.
J'avoue c'était un cercle vicieux, je stressais donc j'étais mal, donc ça me stressais encore plus donc j'étais encore plus mal.
Il y a des gens qui n'ont pas compris mon mal-être. Ce que je peux comprendre.

Mais c'est dur de se dire que du jour au lendemain on est plus du tout pareil et qu'on gardera cette merde à vie (même si les symptômes peuvent disparaître un certains temps).

Il parait que 30% de la population est touchée par ce phénomène, que ça les handicape plus ou moins.
Alors, j'avoue je comprend pas pourquoi j'en ai tant honte, pourquoi j'ai l'impression de plus être une femme, alors même que je n'y peux rien.
Pourquoi j'ai tant peur du regard des autres ?
Parce qu'on est dans une société où la femme doit paraitre parfaite, et où beaucoup de choses sont tabous alors même qu'elles sont naturelles.

J'avoue, j'ai dû voir une psy pour arriver à retourner en amphi, je dois encore prendre sur moi.

Il y a encore quelques mois je ne supportais pas qu'on s'approche de moi de peur qu'on entende mon ventre et qu'on se moque de moi.
Je ne supportais même pas que mon copain m'approche, je n'arrivais pas à dormir avec lui.
Je sais que ça va paraitre ridicules à certains, mais si jamais quelqu'un vit mal quelque chose et qu'il a peur du regard des gens, j'aimerai juste lui dire qu'il n'est pas le seul dans cette situation à avoir honte de sa phobie, de sa peur, à mal la vivre et à avoir du mal à passer au-dessus.

C'est un combat de tout les jours mais c'est en rencontrant des gens compréhensifs, donc des gens biens, qu'on s'en sort.
Et si quelqu'un d'autre a une colopathie qui lui bouffe la vie, je lui envoie tout mon soutien et mon réconfort, j'y ai pas cru, mais ça va de mieux en mieux aujourd'hui.
Donc courage, faut pas perdre espoir.
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Lili, 30 ans, Rennes
J'avoue, il y a quelques semaines je ne me posais pas de question : toi et moi c'est amis + plan cul.
J'avoue avoir fini par lâcher que t'imaginer tringler une autre me rendait limite jalouse.
J'avoue être restée sur le cul quand tu m'as dit que me savoir "branlée par un autre" (quand mon excitation était due à toi) te rendait un peu jaloux aussi.
J'avoue que ce même jour tu m'interrogeais "innocemment (?)" parce que ton horoscope te disait que niveau amour tu étais sur la bonne voie et que tu ne voyais pas de qui il s'agissait.
J'avoue que dans nos échanges j'ai largement de quoi me faire des films. J'avoue que savoir que tu ne m'as jamais aimée quand on était ensemble y a 12 ans me sert de garde fou.
J'avoue penser / savoir que les gens changent parfois, et que je me pose des questions.
J'avoue, la sagesse du Pacha me serait bien utile...
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Choubi, 16 ans, Paris
J'avoue j'aurai pas dû entrer dans la chambre de mon frère sans frapper.

J'avoue j'aurai pas dû avoir l'idée de le réveiller à minuit pour lui souhaiter bon anniversaire.

J'avoue, j'aurai dû m'excuser en te voyant te masturber...

et bon anniversaire grand frère...
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Pianotyn, 45 ans, Cergy-pontoise
J'avoue que je me trouve dure avec lui. Le mettre sur la touche pour une histoire de conflit d'intérêt, c'est dur. Nous étions amis puis amants, et voilà maintenant plus rien. Il créé sa vie, je repars vers la mienne. C'est dur de s'oublier, mais nécessaire, nous savions que cela adviendrait. Je sais que l'on va s'écrire... Un jour. Mais quand ?
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