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Capricam, 29 ans, Arras
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J'avoue 2015 est officiellement une année de merde... Mon couple défaille et ça me trouble. Je pensais avoir trouver le bon... J'avoue, niveau santé, c'est acté un an d'em......s, je dois encore et pour la quatrième fois un opération dite bénigne mais qui sur moi ne l'est plus car ce qu'il arrive n'est pas ce qui se passe normalement et au bout d'un an c'est beaucoup.
Ma sep m'a joué un tour à ma visite semestrielle. des réflexes asymétriques, plus vifs du côté gauche, mon côté fort certes léger mais malgré cela m'a remué. Après ce jour là il faisait chaud, j'étais exténuée.... on verra à la prochaine. Hier pour ma fête, et pour finir ce long weekend ! J'avoue j'ai fini en beauté le weekend. Perdre le contrôle de son véhicule sur route gravillonnée et se retrouver dans le fossé. Belle performance je trouve ! C'est ironique bien sûr...
J'avoue j'ai eu peur et me dit que ça aurait pu être pire car au final et fort heureusement personne n'a été impliqué mis à part moi. J'avoue que si je n'avais pas contre braqué, j'aurai filé droit dans le fossé et six pied sous terre. J'avoue dans l'histoire j'ai eu une chance monstre.
J'avoue je rêve de dormir là et de mettre fin à cette mauvaise série.
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Ashley, 16 ans, Lyon
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J'avoue, j'ai eu une acné à cause d'un médicament mal pris et ensuite j'avais percé tous mes boutons et maintenant j'ai des cicatrices profondes ça me soule. J'avoue, tout me soule j'ai peur que mes parents ne me payent pas les soins pour enlever ces cicatrices, j'en parle à personne et j'en ai ras le bol, je me sens pas bien dans ma peau. Je me cache la figure avec mes cheveux, le maquillage... mais on voit toujours j'en peux plus je craque. Quand je vois la magnifique peau de mes amis et la mienne je me sens mal. C'est cicatrice m'empêche de faire plein de truc. Je sors même plus de chez moi.
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Clarice, 30 ans, Belgique
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J'avoue que j'en ai ras le bol de ma collègue... elle est chiante, elle parle tout le temps pour raconter ses bêtises avec tous ses enfants, elle sent la transpi avec ses longs poils sous les bras, et j'ai envie de lui dire de se taire une bonne fois pour toute ! Je serais capable de l'étrangler avec ses poils de dessous de bras ! Je n'en peux plus. J'avoue, j'avoue, je l'aime bien 1 jour sur 4.
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Nulnul, 23 ans, Paris
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Tu ne mérites en rien ce que tu as. Tu es bête et égoïste, tu ne fais attention à rien, et pire : tu t'en fiches. La vie a franchement été cool avec toi, alors que j'ai tant donné pour ne rien avoir. Je m'investis. J'apprends seule et rapidement. Je travaille d'arrache-pieds. Je suis sympathique, jolie et drôle. Tu ne penses qu'à toi. Tu ne sais qu'obéir aux ordres et tourne en rond en attendant. Tu n'es même pas beau. Tu te fiches éperdument des autres et t'en moques quand ils ont le dos tourné. Tu n'es pas fidèle. Tu n'as pas la moitié de mes facultés. J'ai été ton "Cyrano de Bergerac" toutes ces années. A créer ton CV, ta lettre de motivation, gérer tes finances, gérer tes papiers. Corrigé tes fautes d'orthographe, relire tes devoirs. T'offrir un métier. Faire de toi ce que tu es devenu, cette réussite.
Et maintenant, je suis dans ton ombre ? Quelle blague. S'ils savaient que je t'ai construis de A à Z... La vie t'a beaucoup donné de chance. Malheureusement la motivation et les compétences ont été écartés au profit de ta chance insolente.
Je te hais.
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Nemesis, 32 ans, Paris
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J'avoue que j'en ai assez d'avoir pas mal d'amies qui ne vivent que pour être en couple. A croire qu'il n'y a que les hommes et la séduction dans la vie. J'avoue que ma vie ne dépend pas de l'amour d'un homme et que je trouve cela chouette. J'avoue que je méprise mes copines qui passent leur temps à me parler d'hommes. J'avoue que j'en ai marre de me sentir sexualisée par le regard des hommes dans la rue. J'avoue que je n'ose pas sortir habillée légèrement sexy car je sais qu'on va me mater et que je serais mal à l'aise. J'en ai marre du machisme ambiant, des hommes qui cherchent à me protéger comme si j'étais une petite chose fragile. Je voudrais me sentir libre et sans contraintes.
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Lafillepathétique, 25 ans, Compiègne
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J'avoue que je suis d'une naïveté pathétique. Je le sais et je sais aussi que tout le monde se demande au bout de la combientième claque je vais arrêter de me faire des illusions.
J'avoue que ça m'énerve. Pas de me prendre des claques tout le temps, ça c'est juste déprimant. Ce sont les gens qui me disent que je vais finir par "apprendre la vie" qui m'énervent. J'avoue que j'ai envie de leur dire combien ils sont aussi pathétiques que moi. J'avoue que je suis d'une infinie gentillesse, d'une infinie patience et d'une infinie sincérité. J'avoue que je m'en prends plein la gueule. J'avoue que les garçons en profitent. J'avoue que je suis tellement gentille que je leur trouve des excuses. J'avoue qu'on m'a déjà volé de l'argent, que j'en ai aussi déjà prêté et que je n'en reverrai probablement jamais la couleur.
J'avoue que, même au boulot, ils se servent de moi et me refilent les remplacements que personne ne veut parce qu'ils savent que je les ferai à fond sans broncher avec heures supplémentaires à foison, heures que je ne note même pas parce que je sais qu'on ne me les rendra jamais mais je les fais quand même, et que, pendant ce temps là, des personnes qui sont arrivées après moi ou qui prennent un peu beaucoup de pauses café obtiennent des postes fixes.
J'avoue que mon père est insupportable, qu'il passe son temps à hurler, à m'insulter gratuitement et qu'il m'exaspère à longueur de soirées. J'avoue que, oui, je suis très en colère à l'intérieur et que j'en ai marre qu'on m'empêche de faire ce que je veux à la maison, qu'on m'empêche d'avoir un boulot décent qui me permettrait de quitter cette maison et que les garçons profitent de ma gentillesse en me traitant comme un objet en retour. Je pourrais "apprendre la vie" et devenir conne et méchante comme tout le monde, j'avoue. Ça me faciliterait certainement beaucoup l'existence, j'avoue. Mais j'avoue que, quitte à être pathétique, je préfère être une pauvre fille pathétique qu'une pathétique connasse.
Alors merci de me juger en silence parce que, j'avoue que vous avez raison, je serai toujours une pauvre fille pathétique et même que je l'assume.
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Capricam, 29 ans, Douai
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J'avoue, j'en ai assez de cette accumulation de merde niveau santé. il y a un, je pensais faire un frottis bénin, de contrôle et j'avoue que c'en est tout autre. J'étais en cin3 et pour éviter de passer un stade pour un cancer du col, j'ai été opéré une première fois. J'ai fait une hémorragie secondaire dix jours après. J'avoue, j'ai craqué quand j'ai reçu cette lettre me notifiant que l'opération avait été incomplète. J'ai donc été une deuxième fois en novembre. L'opération s'est bien passé, je pensais. J avoue que depuis, je n'ai pas eu de menstruations depuis. J'avoue qu'en terme d'économie pour les protections c'est parfait mais il y a des effets secondaires de dingue. J'ai donc subi une troisième intervention pour que le col ne soit plus obstrué. J'avoue, j'étais ravie, je me suis dite enfin c'est fini beh non ! J'avoue que je me sens pire qu'une boule de billard. ça fera quatre interventions pour un problème qui était bénin. J'avoue je n'en peux plus du tout... J'ai hâte que ce soit fini et que je puisse avoir une vie plus reposante.
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Amélie, 24 ans, Rouen
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J'avoue que ça fait des années que je me demande si je t'aime encore. Et j'avoue que pourtant, je reste... il y a tellement d'autres choses en jeu, il ne s'agit plus que de toi et moi... J'avoue que je sais que toi tu as toujours des sentiments forts et que je me sens coupable de ne plus avoir les mêmes. J'avoue que j'ai l'impression de vivre avec un ami, et non un amour. Je ne cherche pas quelqu'un d'autre, je pense que j'ai seulement envie d'être seule. J'avoue que je pense qu'on est allé bien trop vite dans toute cette histoire, et que je me rends compte trop tard qu'on ne se correspond pas. J'avoue que je me dis souvent qu'un jour, je partirai...
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Questcequipourraitsauverlamour, 29 ans, Les Mottes
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J'avoue que je n'en peux plus !!! Oui, je te suis reconnaissante d'avoir accepté de m'héberger cette année-là, et oui tu es une belle personne, mais franchement, j'avoue que vivre avec toi c'est vraiment pénible à la longue.
Si, un bol ça se met aussi dans le lave-vaisselle ! Et étant donné que tu m'as accueillie comme « coloc », la moindre des choses aurait été d'accepter de partager au moins un des foutus rayons de ton frigo ! Et de me demander si j'ai pas de la lessive délicate à mettre avant de fiche les serviettes archi-pleines de poils de tes chiens à la machine et de ne rien essuyer derrière !
Et tant que j'y suis, j'avoue aussi que je t'ai entendue l'autre soir avec ton jules, et que bien qu'étant dans le domaine, tes gémissements m'ont traumatisée. J'avoue aussi que mon copain est venu bien plus tôt et bien plus souvent que je ne te l'ai dit (mais ça, j'avoue que j'en culpabilise encore un peu, même si je le referai sans hésiter tellement ça m'a fait un bien fou !), et j'avoue aussi que j'ai fait des trucs pas très catho dans ton jacuzzi et que c'était plutôt sympa.
J'avoue que je me retiens de te sortir tout ça depuis plusieurs mois car je ne veux pas être mise à la porte et que je suis une gentille fille, mais là, franchement, fallait que ça sorte !
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Flokhis, 24 ans, Bethune
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J'avoue avoir tout perdu en 24 heures. J'avoue que lui est parti, j'avoue être violente lorsque je bois, j'avoue que grâce à cela je vais voir demain un addictologue. J'avoue que j'aimerais que l'homme de ma vie revienne. Encore... J'avoue qu'entre dimanche et aujourd'hui il n'y a pas eu que ça. J'avoue avoir appris que mon propriétaire m'expulsait. J'avoue lui avoir demandé un délai qu'il n'a pas accepté. J'avoue que samedi soir, avant qu'il ne parte, nous avions eu une réponse positive pour l'appartement de nos rêves. J'avoue, on était si heureux, je me vantais même de la chance qui me gagnait continuellement. J'avoue avoir prévenu la propriétaire que je serais seule, et que ce soir elle m'a répondu que de ce fait, je ne l'aurais pas.
J'avoue qu'aujourd'hui en 24 heures, j'ai tout perdu.
J'avoue avoir peur. J'avoue ne pas réussir à me nourrir depuis. J'avoue aimer mes animaux, mais me dis que tout serait plus simple si je n'étais plus là. J'avoue avoir l'impression de me noyer. J'avoue, je suis vide et l'espace que j'habite l'est également.
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La marmotte, 38 ans, Lyon
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J'avoue que j'en ai marre de tes mensonges et de tes promesses que tu ne tiens pas. Tu passes ton temps à mentir mon cœur. A moi et aux autres. Tu n'oses pas dire la vérité, parfois parce que tu ne veux pas faire de peine, mais je n'arrive pas à te faire comprendre que mentir fait bien plus mal.
J'avoue que je n'ai plus confiance en toi. Ton ex-maîtresse m'emmerde, mais tu refuses de me croire. Tu préfères la croire elle, qui te présente toujours son visage d'ange alors que moi, elle ne me montre que son côté diabolique. J'avoue que ça me blesse énormément et que ça m'humilie encore plus que tu veuilles rester en contact avec elle, en sachant que ça me fait souffrir.
J'avoue que je ne crois plus aux promesses que tu fais puisque tu ne les tiens jamais. J'avoue que tu te comportes comme un enfant alors que moi, c'est un homme honnête et responsable que je veux. J'avoue que j'ai pris un appartement avec toi parce que je ne veux pas de regret, parce que c'est quelque chose que je souhaitais depuis longtemps. Mais j'avoue que je me suis donnée un an pour voir si ça marchait et pour l'instant, tu ne fais aucun effort.
J'avoue que tu es en train de briser tous mes rêves et que tu t'en fous. Tout ce que tu veux, c'est que je m'occupes de tes rêves. J'avoue que tu es en train de me perdre. J'avoue que ça me chagrine et que je suis la seule que ça chagrine. Je t'aime mon cœur, mais je ne suis pas prête à tout subir par amour.
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Hello, 22 ans, Dijon
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J'avoue que j'en ai ras le bol comme le dit la catégorie, ras le bol de cette vie que j'ai, bien sûr je sais que j'ai de la chance de vivre, d'être en bonne santé... mais vivre une vie qu'on apprécie pas ça sert à rien... sauf que voilà, je fais mes études ici, j'ai mes quelques amis ici, j'ai mon appart ici, j'ai plein de choses qui me rattachent ici et que je ne peux pas lâcher du jour au lendemain alors que j'aimerais être ailleurs et vivre la vie que j'ai toujours voulu, c'est à dire découvrir le monde, voyager et vivre pleinement mes années de jeunesse pour que plus tard je ne puisse rien regretter.
J'avoue que c'est facile à écrire tout ça mais beaucoup moins facile à faire surtout quand on sait que sa famille vit dans la pauvreté, oui je peux dire qu'on est pauvre, mes parents galèrent chaque jour alors qu'après tous les sacrifices qu'ils ont fait on peut penser qu'ils vivent des jours heureux désormais, pas du tout, en arrivant en France en tant qu'étudiant, le cycle de la vie a pris le dessus et il a fallu chercher de l'argent rapidement pour vivre, aujourd'hui on a une maison à nous mais on peut rapidement perdre cette maison si mes parents ne sortent pas cette galère et ça me fait vraiment peur...
J'avoue que j'en ai marre quand ma mère m'appelle le soir et me parle de leurs problèmes d'argent, de la mauvaise ambiance à la maison, de ma sœur qui fout rien, de mon frère qui fout rien, des ses disputes avec ma tante, de tout, mais je la comprend, elle n'a personne pour se confier, aucune amie même proche pour dire ce qu'elle a sur le cœur, donc je l'écoute et je dis oui, je n'ai pas grand chose à dire mais ça l'aide un peu je pense.
J'avoue que j'ai envie d'aider mes parents à sortir de cette situation parce que je leur doit tout, ils ont sacrifié beaucoup de choses pour moi mais comment vivre ses rêves, sa vie, son avenir si déjà la base n'est pas stable ? Tous les jours je cherche des solutions pour leur problèmes, ils pensent que je vais bien, que je fais ma petite vie d'étudiante tranquille avec juste comme préoccupations mes études, mais non pas du tout, tout le temps je pense à eux, pas une seule journée où je me dis est-ce que un jour ils seront tranquille dans leur tête, sans problème sans rien et vivre eux aussi la vie qu'ils méritent, est ce qu'ils vont mourir comme ça avec tous leurs problèmes, qu'est ce que je dois faire pour les aider ? J'avoue qu'aujourd'hui j'ai un ras le bol de cette situation parce que en fait j'ai peur, j'ai peur du futur, j'ai peur de regretter plus tard ces années perdues entre les problèmes et la vie que j'ai qui me plaît pas. J'avoue être complètement perdue et de ne plus avoir le contrôle de ma vie.
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Petite fleur des champs, 27 ans, Annecy
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J'avoue que ça fait quatre ans qu'on est ensemble. J'avoue qu'on ne fait quasiment jamais l'amour et quand ça arrive c'est loin d'être l'éclate, je m'ennuie au lit avec toi. J'avoue aussi que je suis enceinte et que je sais que tu seras un bon père mais j'ai peur pour notre avenir parce que je suis totalement frustrée... Je sais que tu es un type bien mais tu me respectes tellement que tu n'arrives pas à me baiser !!! Tu me fais l'amour et c'est chiant.
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Lex, 24 ans, Paris
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J'avoue que la première fois que nos regards se sont croisés, j'ai su que ce serait toi, que je t'aimerais pour le reste de ma vie. J'avoue, je suis revenue te chercher et tu m'as ouvert ton cœur. J'ai tout quitté pour te rejoindre, mais j'avoue que je suis malheureuse dans cette ville, j'avoue que malgré l'amour infini que je te porte mes proches me manquent terriblement. J'avoue que parfois je pleure de ne pouvoir profiter pleinement de notre vie à deux à cause de cet environnement hostile. J'avoue que l'égoïsme des gens et leur côté robot m'attriste, que dans cette ville toujours pressée et jamais souriante je me sens comme un carré dans un cercle trop petit. J'avoue que parfois ça me rend violente et que je m'imagine gifler tout ces crétins mais j'avoue aussi que je t'aime tant et si fort que je ne dis rien et qu'en claquant la porte de notre chez nous j'oublie que dehors le monde est fou...
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Poopine, 28 ans, Lyon
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J'avoue que j'en ai marre d'écouter les problèmes de tout le monde ! Trop d'années que ça dure, faire la psy des autres, être celle qui écoute mais ne dit jamais rien. Ok j'avais qu'à m'imposer, mais la vérité c'est que je ne sais pas parler de moi, que j'ai l'impression de ne pas être comprise. D'ailleurs quand je dis à certaines que ça ne va pas, elles m'appellent, mais au final on parle de leurs problèmes, et des miens éventuellement à la fin si y a le temps...on passe dessus...et puis je minimise toujours, pourquoi ? Oui certaines ont eu des gros problèmes, des enfances qu'on ne devrait pas connaître, et ce mal les poursuit encore. Mais je ne suis pas une bouée de sauvetage et j'en ai marre d'entendre tout ça maintenant. Je "porte" les problèmes de mes amis, de mon mari, de mes patients, et tous les changements de ma vie, et je sature ! Moi aussi j'ai eu des difficultés, des blessures, des pertes. Ma vie n'a pas été toujours rose, je ne fais que montrer le meilleur, sourire, et vous aider. J'aime aider, je n'ai pas choisi mon métier par hasard. Mais j'ai aussi besoin qu'on m'aide, qu'on m'écoute et qu'on m'aime simplement... J'aimerai que quelqu'un prenne du temps pour moi parce que ça lui fait plaisir comme ça me fait plaisir d'aider les autres. J'avoue que aussi entourée que je sois, parfois je me sens seule et incomprise.
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J'avouuue, 21 ans, Carquefou
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J'avoue qu'on était une belle bande de potes. Le genre de bande de potes de lycée idéale, celle qu'on voit dans des séries télévisées à grand succès : les potes qui partagent tout de leur vie, et qui font les quatre cents coups ensemble.
On avait tous grandi ensemble, partagé des milliers d'heures à rire des conneries des unes et des autres. Du lycée jusqu'à la fin de la licence, on a tenu. Même si, étant la seule à être partie loin, j'étais moins présente, on se retrouvait toujours avec le même plaisir, comme si la dernière fois qu'on s'était vus datait d'hier.
Et pourtant, il a suffit que deux de la bande s'engagent dans des relations amoureuses, que nos différentes études nous éloignent, pour qu'une dispute éclate. Depuis bientôt un an, on est scindés en deux. J'avoue que je n'ai d'abord pas cherché à m'y intéresser, pensant que ça se résoudrait tout seul. J'avoue que j'avais aussi un peu la flegme de me pencher et de m'investir dans tout ça. Mais finalement, au bout de quelques mois, l'absence se fait sentir.
J'ai bien essayé, de me partager en deux, de tenter de recréer du dialogue là où il n'y en avait plus. J'ai tout tenté jusqu'à ce fameux dimanche, celui qui devait être celui de la réconciliation, qui s'est finalement transformé en celui de la séparation. J'avoue que ce jour-là j'ai jeté l'éponge. La voir annuler au dernier moment m'a fait énormément de peine, et m'a montré aussi qu'elle n'était peut-être plus la fille que j'imaginais. Il restait toi, T., pour qui j'étais prête à tout pardonner. Parce que tu as toujours été fidèle en amitié, que tu m'as toujours soutenu et que j'ai toujours tenté de faire de même avec toi. Mais voilà qu'aujourd'hui, tu tentes de disparaître des réseaux, tu ne donnes plus de nouvelles. Mais j'avoue qu'aujourd'hui, même si c'est tout ce dont tu as besoin, je n'irai pas te chercher. Je n'en peux plus de m'accrocher à ces rêves perdus, il est temps pour moi d'affronter la réalité.
J'avoue que dans cette histoire, j'ai peur d'avoir perdu bien plus que des amis. Mais une partie de ma jeunesse, de mes repères. C'est de tout ce qu'on a fait, tout ce qu'on était, tout ce qu'on a pas eu le temps de faire qu'il me faut porter le deuil. Car, au fond, c'est bien de ça qu'il s'agit.
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La marmotte, 37 ans, Lyon
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J'avoue que je ne te comprends pas. On va s'installer ensemble, mais tu refuses de me présenter à ta famille ou à tes amis. J'avoue que je ne sais pas si tu as honte de moi malgré ce que tu me dis. J'avoue que je ne sais pas où va aller notre relation si tu refuses de prendre en compte ce qui est important pour moi. J'avoue que j'ai perdu la confiance que j'ai en toi et que tu ne fais rien pour que ça change. Ça ne t'intéresse même pas. J'avoue que j'ai peur, mais que je vais quand même faire tout pour que ça marche. J'avoue que j'aimerai ne pas être la seule de notre couple à faire des sacrifices. J'avoue que j'aimerai que tu sois fier de me présenter à tes proches, aux personnes importantes pour toi. J'avoue que je voudrais faire partie de ces personnes importantes pour toi, mais ce n'est pas le cas.
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Bibs, 34 ans, Evry
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J'avoue que tu me saoules Christine. D'une force que j'ai envie de te mettre des baffes ! T'es juste bête en fait. Tu le fais pas exprès vu que t'as pas de cerveau. Alors tu fais bien de regarder des émissions sur le cerveau... Demande plutôt une greffe !!!
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Prout, 22 ans, Avignon
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J'ai l'impression nette et précise de me faire avoir. Le permis est devenu un diplôme quasiment obligatoire à obtenir, et certains en profitent financièrement. On nous bassine de le compliquer uniquement pour sauver des vies, mais honnêtement, si on se souciait tant de vouloir réduire le nombre d'accidents, on instaurerait un suivi. Mais nos chères têtes bien pensantes seraient obligées de le repasser aussi. Or, même pas la moitié des permis en circulation ne l'auraient sous les conditions actuelles. On préfère tacler des jeunes sans argent, motivés, en ayant besoin, soucieux de bien faire pour faire des profits. Mais jamais, oh grand jamais, mettre en place des cours obligatoires tous les, allez soyons raisonnables, 10 ans après obtention du permis, est impossible. Pourtant ça ferait grandement le tri. Au nom de tous ces gens ayant subi des accidents à causes de personnes ayant pris de mauvaises habitudes, ne sentant plus le danger, parfois même ne voyant plus à deux mètres devant eux !
J'en ai marre de trinquer pour un système complètement injuste. Ceux ayant eu la chance d'être nés au bon moment nous regardent de haut : "Tu l'as loupé 3 fois ? Pourtant t'as pas l'air si nulle". Allez-y. Repassez-le dans les mêmes conditions avant de vous croire supérieurs car vous avez eu un examen plus simple.
Toutes les personnes ayant monté en voiture avec moi m'ont certifié que j'aurai dû avoir ce permis. Je me sens en confiance, je maîtrise mon véhicule, je connais mieux mon code de la route que la plupart des autres usagers, je suis réactive, concentrée, et à l'aise.
Qu'on arrête de se faire de l'argent aussi salement. Mais surtout, qu'on arrête de vouloir faire croire que c'est pour notre bien et non pour le fric. Sincèrement, on le sait.
Faites un examen juste.
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Music, 40 ans, Périgueux
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J'avoue que j'en ai marre des tire au flanc (au féminin) qui prennent 2 mois de congé maladie (c'est le terme adapté congé) aux frais de la sécu et de la collectivité. Pour les idiotes comme moi qui bossent, c'est une vraie plaie, et une interrogation permanente. Nous prennent-elles pour des connes ? La réponse est OUI. Et le pire c'est que lorsqu'elles reprennent le travail, il faut faire comme si de rien n'était, et les ménager pour qu'elles ne repartent pas en congé maladie, autrement dit qu'elles aillent buller chez elles. En vérité je vous le dis, l'enfer existe et il est dans les bureaux au service des usagers.
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Uc3, 31 ans, Paris
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J'avoue que j'ai envie de tout laisser tomber. J'avoue que j'attends impatiemment une réponse de mon nouvel employeur pour changer de boîte. J'avoue que si je ne suis pas pris je serai bien mal...
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Ange_ou_demon, 23 ans, Paris
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J'avoue que ce monde me dégoûte. Que plus aucun homme ne sait ce que sont : le respect, les valeurs, l'intégrité, la vérité. Les transports en commun sont le meilleur moyen pour s'en rendre compte. Aujourd'hui j'ai atteint le sommet de ma lassitude et de mon énervement, en me faisant mordre car je me suis interposée entre 2 filles se battant pour une place. Je n'en peux plus de ce monde qui n'est "qu'un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fanges" (cf. A. de Musset). Aujourd'hui mon corps reflète mon esprit. Il est mutilé et anéanti de fatigue. J'ai tellement de colère, je ne crois plus en rien. Tellement déchu en amour, en famille, en amitié ou simplement en société. A seulement 23 ans... j'ai peur des années à venir.
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Perdu, 16 ans, Canada
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J'avoue que je souhaiterais que tu partes très loin de moi parce que j'en ai ras le bol des problèmes que tu me racontes à chaque jour. Ma vie serait tellement mieux sans toi, même si tu penses que je suis ton amie. J'avoue que chaque soir, je pleure parce tu n'es pas la avec moi. Tu me manques terriblement même si tu me m'as jamais vu. Tu es comme une soeur pour moi mais je ne te verrai que dans 6 ans. 6 ans c'est long. Serais-je capable d'attendre ? J'avoue que je ne suis pas une bonne amie. Les personnes que je veux vraiment dans ma vie ne m'aiment pas comme je les aime. Au contraire, ma meilleure amie m'aime beaucoup et croit que je suis sincère avec elle. Au contraire, je lui cache tous mes plus grands secrets. J'avoue que je suis parfois jalouse, impatiente et énervante, mais j'ai de très bonnes raisons pour expliquer cela. Que ça soit parce que des gens me manquent ou que je veux que des gens disparaissent.
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Manon, 29 ans, Cannes
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J'avoue que j'ai rêvée de devenir maman depuis toujours. Maintenant que je suis enceinte j'ai peur de l'être. J'avoue être effrayée à l'idée de mal éduquer mon enfant. Quand je vois mes demi soeurs, j'ai peur que ma fille ne devienne comme.ça. Profiteuse, insolente, flemmarde. Qui n'aide pas sa mère dans la maison, qui lui répond, qui ne connait pas la valeur des choses.
J'ai peur je l'avoue !
J'avoue que j'aurais préféré être fille unique. Je ne m'entends pas avec mes demi soeurs. J'ai honte de penser ça je l'avoue. Mais c'est comme ça.
J'avoue que j'ai honte de ne pas avoir passé mon permis avant. J'avoue que j'ai détesté mon adolescence. Je gardais mes petites soeurs. Je les gardais tellement qu'elles pensaient que j'étais leur mère. Je me suis rebellée à l'age de 18 ans. Non pas parce que j'étais majeure, mais parce que je n'en pouvais plus. J'étouffais. J'avais besoin de liberté.
Aujourd'hui ses mêmes sœurs me parlent mal et me manquent de respect... et leurs parents les laissent faire. J'avoue regretter le jour où j'ai accepté de leur changer la 1ere couche, de leur donner le biberon, le bain, le 1er petit pot. Je regrette chaque sortie avec elles, chaque aller et chaque retour de l'école. Je regrette tout ce que j'ai fais pour elles. De les avoir couvert auprès des parents quand elles faisaient des bêtises, d'avoir négocier leurs sorties et leur argent de poche.
J'avoue regrette beaucoup de choses.
J'avoue avoir été triste d'avoir une petite fille. Je voulais un garçon. Au moins avec un petit mec, je n'aurais pas été si paniquée. J'avoue que je déteste une bonne partie de ma vie et j'ai peur du lendemain.
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Marion, 28 ans, Marseille
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Je sais que même si ils disent le contraire, les parents n'aiment pas tous leurs enfants de la même manière. Ils ont toujours un préféré. Mon père est décédé lorsque j'étais enfant. Mon beau père préfère sa 1ere fille. Ma mère la dernière. Et moi dans tout ça ?
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