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Wierdo, 14 ans, Belgique
J'avoue pleurer en rentrant chez moi de temps en temps.

J'avoue en avoir assez d'être cataloguée comme "intello" simplement parce que j'écris sans faire de fautes d'orthographe et parce que, contrairement à beaucoup de jeunes de mon âge, j'aime lire et écrire.

J'avoue en avoir assez d'être traitée de sataniste alors que je suis athée simplement parce que j'appartiens au mouvement gothique.

J'avoue que j'ai friendzoné 'Mélanie' parce que ma mère est homophobe et parce que, n'étant pas lesbienne, j'ai pris peur.

J'avoue que 'Mélanie', jeune fille dans son monde semblant souffrir du syndrome de Renfield, est la seule personne à me comprendre totalement.

J'avoue que je suis consciente d'avoir gâché notre amitié.

J'avoue que je crois aux vampires mais que je ne le dis pas car je pense que la moitié des gens sont trop idiots pour regarder plus loin que le bout de leur nez.

J'avoue que je souhaite plus que tout au monde rencontrer quelqu'un qui ne me trouve pas bizarre.

J'avoue être consciente que mon arrogance et mon égo surdimensionné ont sans doute quelque chose à voir avec le fait que beaucoup de gens me fuient.

J'avoue avoir envie de baffer tous ces gens de mon âge qui sont d'énormes décadents, qui écoutent du JUL ou du Merde Gims et qui sont incapables d'apprécier de la musique classique parce que "c'est pour les babtous fragiles".

J'avoue qu'un je-ne-sais-quoi m'empêche de me mutiler ou d'attenter à ma propre vie. Un je-ne-sais-quoi qui me garde vivante, mais hurlant et souffrant en silence. Comme dans un cauchemar, j'ai l'impression que j'appelle aux secours et que personne ne peut ni me voir, ni m'entendre.
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19am, 20 ans, Océanie
Comme vous le voyez j'en ai ma claque de tout, lui, nous m'enfin bref. En vrai je sais ce qu'il me reste à faire mais je ne veux pas le faire, j'en suis incapable (encore). Je suis retournée avec mon ex cette décision qui m'est propre n'est pas bien vue par tout mon entourage donc je n'arrive plus à me confier à eux.

Ce n'est pas eux le problème mais plutôt le fait qu'ils ne veulent pas que je reste avec lui parce que j'ai tant souffert mais un dicton que je commence à bien comprendre et que je n'apprécie pas du tout me vint souvent à l'esprit "le coeur à ses raisons que la raison l'ignore''. M'en fait je suis là parce qu'il n'a pas changé, j'y ai mis toutes mes forces, mon cœur ainsi que mon âme mais rien est fait, si le travail est entrepris par une personne extérieur que lui même comment peut on avancer. Il pique des crises sans intérêts et j'ai bien peur qu'il se retrouvera seul mais vraiment seul. Il n'a plus d'amis, les seuls qu'il a et bien il ne fait pas attention, ses parents ne peuvent plus le supporter et je comprends tous ses sentiments. Celui-ci les traites comme de la merde il se croit bienfaiteur ou je ne sais quoi. Par exemple pas plus tard qu'une heure il a pété une crise parc que son père ne voulait pas acheter ce qu'il veut, m'enfin pourquoi acheter un truc pour une personne qui te traite comme un moins que rien. De plus il me ment souvent même trop, je ne sais pas sur quoi il me ment mais je le sens. Le truc c'est que je suis encore là avec lui à l'instant présent il dort comme un con et est fâché contre moi pour aucune raison, il se dispute avec son père et j'en paye les pots cassées. Je suis encore là parce que je l'aime, cet enfoiré qui dort à côté de moi je continue à l'aimer mais à le chérir, moins qu'avant. Hier soir, j'ai pris une discussion avec lui mais on dirait bien qu'il en a rien à foutre, je ne le comprend pas. Et moi non plus. Je sais qu'il faut que je parte que je ne revienne plus quand il m'appelle mais mon cœur en fait à sa tête. J'ai la main trop lourde sur mes sentiments j'y arrive plus, je m'humilie j'en suis consciente mais je suis encore là.
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Justme, 17 ans, Canada
J'avoue, j'avoue être faible face à ce qui m'entoure. Tristesse, anxiété, dépression. Une vie qui se confond telle une montagne russe. Incapable de rester seule par peur de faire face à moi même, j'avoue avoir peur. Désolé à tout ceux qui me côtoient, je sais que je suis difficile à comprendre. Je n'aime pas m'exprimer ni m'ouvrir de peur de me blesser et maintenant j'avoue voir noir sans contrôle malgré ces médicaments qui me droguent la vie puisque je n'ai pas une humeur dite normal. J'avoue être en dépression.
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Une fille qui souffre, 15 ans, Toulouse
J'avoue que je souffre énormément de mon acné et cicatrices, des problèmes financiers de ma mère, de ma misérable vie, des multiples injures que j'ai eu à recevoir depuis l'apparition de mon acné, du rejet.
Devant les autres je joue la forte et celle qui n'a pas de problèmes alors que j'en souffre tous les jours.
Je ne peux plus vivre comme ça je fais tellement d'efforts pour ma mère sans emploi et j'avoue que j'envie toutes les filles belles riches avec de vraies familles et qui ont de vraies vies. Je n'en peux plus.
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Elodou01, 18 ans, Lyon
J'avoue, j'en ai assez, assez de me sentir brimée, de ne pas pouvoir avancer comme je le pourrais à cause de gens qui n'en valent pas la peine.
J'en ai marre d'avoir l'impression d'être toujours dans la retenue, pour ne pas blesser, ne pas vexer, ne pas empêcher les autres de faire ce qu'ils souhaitent, j'en ai marre de ne jamais faire ce que je souhaite vraiment, marre de toujours faire en fonction des autres et de leurs états d'âme qui ne me concernent pas.
Je suis en prépa, je suis majeure et je m'estime mature.

Et pourtant ?

Je ne me gère qu'à moitié, je n'ai que la bride à moitié lâchée, alors que je pourrais être tellement autonome !

Mes collocs m'empêchent de faire ce que je veux de mes soirées (musique ma passion, du sport, ou même travailler tranquillement), mes parents me poussent à travailler toujours plus alors qu'ils n'ont même pas une seule idée de ce que c'est que la prépa, ils ne savent pas que quand je leur dis "oh, je n'ai pas beaucoup travaillé ce soir !" Ça veut dire "Cool j'ai travaillé que 2h sur les 3h30 habituelles !"

Et puis quoi encore ?

Je prends mes rdv chez le médecin, j'arrive à me débrouiller pour trouver absolument tout le nécessaire pour un traitement allergologie et ils arrivent encore à me dire de patienter 2 ans que j'aie un frigo parce qu'ils n'ont pas la capacité de m'en acheter un petit pour l'internat... Soit, ils ne peuvent pas, mais alors qu'ils me laissent pouvoir commander ce que je veux sur internet avec MES sous que J'AI gagné en travaillant !

J'en ai assez, tellement marre, je pourrais faire tellement de choses si ils me laissaient gérer mes économies moi même !
Et encore, je ne parle pas du fait que je ne peux plus jouer de la musique qu'occasionnellement, pareil pour le dessin, et même mes recherches pour préparer mon concours d'ingé son sont compromises par absolument tout le reste.

J'avoue, j'aimerais tellement être seule, totalement seule, parfois, pouvoir me retrouver avec moi même, hurler un coup, courir, arrêter de tout intérioriser, travailler quand je veux, réussir ma prépa, mon école... Si seulement je n'avais pas tous ces boulets à traîner derrière moi, toutes ces barrières que je dois franchir et qui ne sont dues qu'aux autres...

J'avoue, j'en ai marre.
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Blackligjr, 14 ans, Paris
J'avoue être victime d'une timidité maladive, qui m'empêche de vivre au quotidien.
J'avoue être ce genre de fille tapie au fond de la classe qui payerait tout l'or du monde pour devenir invisible.
J'aimerais que personne ne me voit, et d'ailleurs je m'habille en conséquence : pulls amples, couleurs sombres comme tout le monde pour me fondre dans la masse.
J'avoue exprimer un profond respect pour toutes ces personnes qui ont la force d'être qui ils veulent, d'assumer leur style vestimentaire et leur personnalité.
J'avoue que j'aimerais qu'on me sourie, qu'on me fasse des compliments, mais j'avoue que je prends peur des que quelqu'un tente de m'approcher.
J'avoue que je me méprends à haïr ces filles qui hurlent pour se faire remarquer, mais que tout le monde aime.
J'avoue que j'aimerais bien aborder un garçon gentil qui partage mes centres d'intérêts, mais j'avoue ne pas savoir comment faire.
J'avoue que personne ne prend mon problème au sérieux, et qu'on me voit juste comme une fille bizarre.
J'avoue qu'être comme ça devient une réelle torture dans la vie de tous les jours.
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Mikael, 40 ans, L'hay-les-roses
J'avoue que j'ai fait envoyer de la documentation à des personnes de mon entourage à leur nom sans demander leur autorisation. Beaucoup de gens se plaignent de mes envois postaux sans permission. J'ai fait cela parce que je ne peux pas m'empêcher d'envoyer des plans de métro aux autres sans leur permission. J'ai la manie d'écrire pour les autres. Je demande pardon à ceux qui s'en plaignent.
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R22, 22 ans, Paris
J'avoue avoir su que tu étais en couple lorsque nous nous parlions. J'avoue, que tu m'écrivais alors même que tu étais dans le lit à côté d'elle. J'avoue penser encore à toi alors que je n'ai plus eu de tes nouvelles depuis quelques mois... Mais je ne peux te sortir de mon esprit.
Je suis fatiguée de ne penser qu'à toi.. tu me rends triste et tu le sais sûrement.
À partir d'aujourd'hui c'est fini.
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Nna, 49 ans, Tours
J'avoue, j'ai changé de boulot après un ras le bol.
Nouveau boulot, nouvelles responsabilités, nouveau stress... J'avoue, je ne suis pas à la hauteur. Mon moral est au plus bas, je pense sérieusement à en finir. Avec tout.
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Meuh, 22 ans, Paris
Je me sens si seul. Quand je rentre à maison, personne n'est là pour me parler. Et je déprime.
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Aelina, 32 ans, Bretagne
J'avoue que j'en ai ras le bol de m'investir dans le milieu associatif. De grands moments certes, mais combien d'années de douleur, d'avoir la sensation d'être complétement paumée entre mon attachement excessif à ces personnes qui somme toute me considèrent comme un pion sur un échiquier parait-il.
J'ai pas envie d'y croire pourtant... Le milieu associatif est pire que le monde salarial. Les relations humaines plus dangereuses que aidantes. J'avoue, j'arrête les frais.
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Capricieuse, 30 ans, Paris
J'avoue que je suis une grande menteuse.
J'avoue que je souffre énormément.
J'avoue que j'arrive pas à bouger de ma place.
J'avoue que je suis nulle.
J'avoue que j'ai causé des catastrophes aux personnes qui m'aiment mais qui connaissent pas ma vérité.
J'avoue que j'arrête pas de pleurer jour et nuit et ça me fatigue beaucoup.
J'avoue que réellement il me manque rien, rien du tout mais je suis paresseuse et trop grattée au point de vouloir avoir tout sans rien faire !
J'avoue que je suis une catastrophe.
J'avoue que ce n'est pas ma faute.
J'avoue que tu m'as brisé le cœur.
J'avoue que tu m'as gâché la vie au vrai sens du mot.
J'avoue que je suis incapable de te nommer.
J'avoue que je peux mourir à tout moment à cause de ma tristesse et de ma dépression.
J'avoue que je pourrai pas continuer.
J'avoue que tout ce qui m'est arrivé et tout ce qui m'arrive est à cause de toi.
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Eueug, 15 ans, Salon
J'avoue,
Je me trouve moche, je n'ai pas confiance en moi, j'ai une timidité maladive, toutes mes émotions sont multipliés par 10 comparé à vous.
J'avoue, je pleurs pour rien, je n'ai plus de motivation, que ce soit pour le collège ou pour vivre. J'ai l'impression d'être une merde aux yeux des autres. Je n'en peux plus. Je me mutile, juste des petits traits sur mon avant-bras sans trop appuyer. J'ai une "carapace" qui se construit en moi. J'ai tout simplement marre de vivre...
J'avoue, j'ai 15 ans comment je peux penser à des choses comme ça ?
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Mélia, 17 ans, Paris
J'avoue que j'en ai marre car mes aveux ne passent jamais.
J'avoue que j'ai compris que c'est parce que je faisais beaucoup de fautes.
Pardon, je passerai mon prochain aveu sur Word la prochaine fois.
J'avoue que Daniel, le webmaster de ce site devrait rejoindre l'académie française.
J'avoue que je suis sûre qu'il fait lui aussi des fautes et que je l'aurai un jour.
J'avoue que j'adore ce site, merci encore Javoue.com
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Ensilensio, 30 ans, Montreal
J'avoue que je suis tanné d'entendre mon chum dire que je suis rien que je ne suis pas belle. Il parle avec son ami et son ami lui dit que je ne suis pas belle. Sans être top modèle je ne suis pas laide. Chaque jour, il me manque de respect. Je le confronte et il nie tout.

Pourtant c'est répétitif. Je ne sais pas quoi faire pour faire changer la situation. Il parle de faire un bébé. Mais dit que je suis trop vieille. Je ne suis pas si vieille. Je crois qu'il n'en veut juste pas. Je ne sais pas quoi faire. Je ne parle jamais de faire un bébé. C'est lui qui en parle.
J'avoue que j'en ai ras le bol. J'avoue, que je veux être heureuse et que je ne le suis pas.
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Luciole, 30 ans, Sannois
J'avoue je ne supporte plus cette mère. Elle n'a fait que me critiquer toute la vie. Je ne fais ou mon entourage ne fait jamais rien de bien à ses yeux. Toujours à critiquer... à croire qu'elle ne fait que des choses bien. Elle ne se remet jamais en question. Elle me dégoûte... elle a un air d'aristocrate de la campagne. Et elle me fait honte en public avec ses airs outrés quand elle n'est pas d'accord.
Elle m'a gâchée ma fête en étant odieuse... elle me dégoûté. Je l'avoue, loin d'elle je me porte mieux.
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J., 34 ans, Paris
J'avoue que je vous méprise, que je vous déteste, et que je vous en veux.
Oui, c'est bien de toi là-bas que je parle, le faux cool trentenaire parisien tout moisi
Toi-même qui au fil des années, arrive à faire flancher l'éternelle optimiste que je suis.

Car qu'on se le dise, il faut s'armer de patience... et vous avez une capacité à faire perdre foi en l'humanité à une flotte entière d'A380 rempli de meuf célibataires les plus formidables les unes que les autres.
Et je n'en peux plus, je n'en peux plus d'entendre les mêmes choses, de la part du faux cool, incapable de se remettre en question, lâche et torturé.

Et je ne veux pas, que dis-je je ne demande qu'à ne pas faire de généralité. Mais en attendant... je n'arrive plus à garder le modjo et un jour je vais vraiment finir par me retrouver aigrie (surtout ce que je ne veux pas)... Le pire c'est d'un banal affligeant, et tout le monde trouve ça si normal, avec les repères qui changent le XX1 ème bla-bla-bla excuse sociologique pourrie.
Ben oui, passons notre vie à voir si l'herbe n'est pas plus verte ailleurs, pour tout simplement finir par passer à côté de notre vie à juste titre.

J'avoue, je n'en peux plus de vos plaintes, de vos égos torturés, de vos ex que vous n'arrivez pas à oublier (mais avec qui vous avez été de vrais ordures) de votre lâcheté universelle, de vos mensonges, de votre peur de tout et surtout des petits rien...
Je n'en peux plus de devoir m'extasier devant un mec de 35 ans qui a l'air sain. De devoir faire la danse de la joie, car OH MON DIEU il n'est pas marié, il est vraiment célibataire, il est séparé pour de vrai, il est drôle et sympa, et SURTOUT – SURTOUT... ce n'est pas un menteur / manipulateur / psychopathe.

Mais à quel moment c'est devenu quelque chose d'extraordinaire en fait ?
Sans déconner.

Et en 6 ans soyons clair, et bien je n'ai fait que croiser vos routes.
Bien entendu il semblerait que je sois une fille formidable et que je doive pas me remettre en question. Car personne, d'ailleurs dans mon entourage ne se l'explique. Sauf que les gars... 6 ans c'est long, et que c'est difficile en 6 ans, de repartir systématiquement avec son petit balluchon de célib, profiter de la vie et by the way de rencontrer des garçons, qui d'aventures en aventures vont bien entendu faire du mal, décevoir et piétiner le cœur plein de bleus.
Au-delà de ça, c'est que chaque nouveau départ et plus dur, il demande davantage de volonté, d'efforts pour laisser sur la route les névroses de côté... mais qu'avez-vous fait de moi quoi !
Je suis en colère, et je vous trouve odieux, et inconscients.
J'avoue que vous avez réussi, à ce qu'un dimanche soir, je me trouve grosse, seule et moche avec mes yeux pandas, et mes cheveux gras.
J'avoue que pour ça je vous déteste, et je veux vous le dire et le crier. Pour que vous l'entendiez.
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Lafillesage, 24 ans, Paris
J'avoue que j'ai un terrible besoin de séduire et que je me sens triste de ne pas t'aguicher plus que ça.
J'avoue que je pense souvent que tu ne réalises pas la chance que tu as d'avoir une femme qui porte des escarpins, des jupes et de la lingerie fine quel que soit le jour ; travail ou non.

Tu ne réalises pas la chance que tu as de rentrer et d'avoir une petite coquine qui t'attend en nuisette.
Tu ne réalises pas la chance que tu as d'avoir une fille pas dégueulasse, féminine, sexuellement très intéressée et vraiment pas conne, curieuse, sage et fidèle comme tout.

J'avoue que tu préfères passer tes soirées avec d'autres personnes, j'avoue que tu ne prends pas la peine de répondre à mes sextos, j'avoue que ton indifférence à mon égard, me font penser que tu ne seras peut-être pas capable de me retenir... Parce que si tu es insensible à mes tentatives de séduction, ça sera bientôt à toi de devoir me séduire...
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Vic, 28 ans, Belfort
Ce soir me vient le besoin de me confier. Je sens que je n'en peux plus. Ecrire me permettra peut-être de faire redescendre la pression. Il parait que c'est thérapeutique.

Cela fait 2 ans que je lutte pour avoir une vie.
Je suis tombée amoureuse d'un divorcé avec deux enfants, avec en option une ex-femme mentalement instable (maniaco-dépressive, mêlée de bipolarité). J'ai tiré le gros lot ! And the winner is... Bibi !

Avec mes études, je me suis retrouvée dans l'Est. Mais ma région d'origine est l'Ouest (Restons vague) et en parlant de vague, je suis comme un saumon, mon objectif est de fonder une famille et avoir une vie, là où je suis née !

En attendant de pouvoir concrétiser ce projet, je vis dans l'Est, dans une ville que je n'affectionne pas du tout. Je n'ai aucune vie sociale, aucune activité. Je ne souhaite pas m'intégrer car mon objectif c'est de partir ! Et je subis les inconvénients d'une famille recomposée.

Ces enfants sont gentils mais j'en peux plus ! Et quand on ne ressent aucun amour pour des êtres humains, c'est extrêmement difficile d'encaisser les épreuves.
Oui, Vous, vous, femme fiancée, mariée à un divorcé... vous êtes les seules à me comprendre. Avez-vous ressenti cette culpabilité de ne ressentir aucun amour pour ses enfants ? Avez-vous eu cette colère qui ne demande qu'à s'exprimer devant ces deux êtres qui représentent à eux seuls le frein de vos projets ?!! Mesdames, je sais que je ne suis pas seule ! Mais sous ce toit, je le suis !

Je suis seule et fatiguée d'être au milieu de ce merdier émotionnel ! Fatiguée de subir ! Car nous subissons les erreurs de celui qu'on aime. Jusqu'où l'amour peut-il nous faire tenir ?

Nous avons lancé les procédures pour récupérer les enfants pour à moyen terme, partir dans l'ouest. Eux pour un nouveau départ, moi pour enfin rentrer chez moi (après 6 ans d'espoir). Et aujourd'hui, l'avocat me dit que ce n'est pas gagné. Le juge peut garder la garde alternée.
OBJECTION VOTRE HONNEUR ! Ah mais non ! Ce n'est pas envisageable. Je ne vous paye pas 2 000 Euros les 10hrs pour me dire ça! Cette garde exclusive est mon passeport pour l'ouest !!! Sans ça, je ne suis prisonnière !

Comment rester zen et ne rien montrer quand ces deux petites personnes peuvent te faire foirer "the" objectif de ta vie ? Dites-moi ! Bouddha n'a jamais vécu en famille recomposée.

J'avoue avoir manqué de patience et déclaré au père ce soir "Si ce jugement foire, je t'en tiendrai responsable !" et j'avoue avoir décidé intérieurement de tout quitter ici si la décision n'est pas celle attendue !

6 ans que j'attends ! je ne laisserai pas ces mômes me gâcher ma vie !!!
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Céline, 24 ans, Tours
J'en ai marre de l'attitude de ma meilleure copine. Elle ment tout le temps pour un rien, elle se cherche des excuses pour tout alors que je m'en fout qu'elle vive encore chez ses parents et qu'elle cherche pas de travail chacun gère sa vie comme il veut.
Elle rejette la faute sur tout au lieu d'admettre qu'elle fait rien de ses journées. On dirait qu'elle me fait pas confiance comme si j'allais la juger. Plus ça va plus elle se comporte comme une gamine qui manque de maturité et ça commence à me dégouter de lui parler c'est triste.
Je peux même pas lui en parler parce que la moindre remarque gentiment dite elle le prend tout de suite mal et elle fait tout un drame. Plus ça va moins j'aime lui parler parce que je sais quand elle ment ou détourne la vérité.
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Toka, 19 ans, Lille
Aujourd'hui, j'ai lutté pour me réveiller, les cours me fatiguent et je n'aime pas ma nouvelle filière. Les horaires sont vraiment mal faits, l'administration... mieux vaut ne pas en parler et je n'apprends pas de choses aussi intéressantes que ce a quoi je m'attendais.

Le résultat : je suis fatigué, déçu et je ne sais pas si je dois changer de cursus, retourner dans mon ancien ou attendre que mon inscription soit effective car j'assiste aux cours sans même être réellement inscrit vue qu'ils continuent d'étudier mon dossier alors que j'étudie des choses inutiles.

Mais j'avoue, cela fait du bien de se lâcher.
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Tounasse, 38 ans, Drôme
J'avoue en avoir ras le bol de cette situation infernale.
J'avoue que je ne comprends pas comment tu as pu tomber amoureuse, à 37 ans, en tant qu'enseignante, d'un élève de 1ère de 17 ans.
J'avoue, après l'avoir rencontré, que je ne comprends pas ce que tu lui trouves.
J'avoue, à l'aide des conseils de tous et de toutes, vouloir être patient et ne pas prendre de décisions hâtives.
J'avoue en avoir assez que tu fasses comme si je faisais partie des meubles ou pire, de ton personnel de maison. Quand tu me dis : "laisse, je vais ranger", et que je range, pas un merci. En fait je suis con. J'aurai du tout laisser. C'est peut-être ce que je ferai la prochaine fois.
Nous sommes le 15 septembre, cette histoire dure depuis fin juin. J'ai décidé qu'à la Toussaint, après ton marathon, je te demanderai si tu éprouves des sentiments pour moi. Si ce n'est plus le cas, tu dégages ! Et tu iras torcher le cul de ton AAAMour...
J'ai envisagé de te payer 15 jours seule dans un meublé, mais ton cas est tellement désespéré que j'hésite !
J'avoue que je commence à être impatient de ne plus te voir, tellement tu n'es plus la même que celle que j'ai épousée et avec qui je vis depuis 17 ans.
J'avoue que je t'ai surement trop aimée et que par certains côté cette situation, qui me confronte à la réalité de la vie, me fait du bien.
J'avoue que je me réjouis d'avance de te voir confrontée aux réalités matérielles de la vie, toi qui est incapable de gérer un budget et un foyer, et ton téléphone portable à la main en permanence...
J'avoue que je n'hésiterai pas à me battre pour garder les enfants si tu continues à faire n'importe quoi.
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Hopefully, 23 ans, Paris
J'avoue me sentir seule.
J'avoue ne pas avoir d'amis.
J'avoue ne rien faire d'intéressant.
J'avoue être inutile.
J'avoue ne pas arriver à changer ça.
J'avoue être complexée.
J'avoue être trop amoureuse de quelqu'un qui en a marre.
J'avoue avoir des problèmes qui n'en sont pas vraiment mais en souffrir...
J'avoue tout ce soir.
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Mauvaisemère, 33 ans, Bruxelles
J'avoue que mes enfants me mènent à la dépression.
J'avoue que j'envisage de les mettre en internat afin de me débarrasser d'eux.
J'avoue que je n'ai aucun plaisir à être avec eux.
J'avoue que je regrette profondément d'être mère.
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Petite-fée-éteinte, 25 ans, Bruxelles
J'avoue que ce soir tu m'as fait beaucoup de mal.
J'avoue aussi que ce n'est pas la première fois.
J'avoue que je me demande si en tant que fille c'est normal de détester son père lorsqu'il nous blesse avec des paroles méchantes depuis l'adolescence.
J'avoue être partagée entre la haine que je te porte et l'amour qu'une fille doit à son père.
J'avoue que si à bientôt 26 ans je n'ai toujours pas confiance en moi c'est en grande partie de ta faute !
J'avoue que tu ne m'as jamais compris et que c'est parce qu'on ne se comprend pas qu'on a pas une véritable relation père-fille.
J'avoue que ça me rends malade en particulier quand je vois comment tu traites ma petite sœur qui elle colle au moule de la famille.
J'avoue que j'en souffre et que malgré moi je ne peut m'empêcher de rechercher ton approbation dans tout ce que je fais malgré que ce sera tout le temps soldé par un échec.
J'avoue que je commence à n'en avoir plus rien à foutre de ce que tu penses. Que je me dis qu'au final pour que tu sois quand même déçu autant que je fasse ce que je veux moi. Au moins l'un des deux sera heureux.
J'avoue avoir hâte d'emménager avec cet homme que tu déteste à cause de sa couleur de peau.
J'avoue que le fait qu'il me corresponde si bien est une douce vengeance car il est parfait mais me savoir avec un noir te rends malade.
J'ai l'impression de te rendre la monnaie de ta pièce.
J'avoue que je l'aime au-delà de tout et que le fait que tu ne le supportes pas est comme la cerise sur le gâteau.
J'avoue que c'est compliqué mais que je n'ai pas envie de capituler parce qu'il en vaut la peine.
J'avoue que si j'avais eu le choix je ne t'aurais pas choisi comme père, encore moins comme mari pour maman. Même si je dois avouer que tu as toujours fait de ton mieux pour prendre soin de nous et que tu as des circonstances atténuantes.
Mais j'avoue surtout que ce soir ça ne suffit plus. Je suis fatiguée de te trouver des excuses.
J'avoue avoir le cœur qui saigne trop pour me dire que ce n'est pas de ta faute..
Même si j'avoue qu'au final tu restes mon père et que je te pardonnerais toujours.
J'avoue que je me sens faible de te pardonner à chaque fois mais que j'ai l'impression de ne pas avoir le choix.
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